Collection Lesbiennes. Femme Pour Femme (4/8)
Je viens de perdre mon pucelage grâce à la Comtesse de la Tour.
Cest le lendemain de son exhibition devant moi dans un café près du casino de Salins-les-Bains dans le Jura quelle se sert dun gode pour me le prendre moyennant la somme de 1 000 .
Je finis la journée dans ses bras, elle m'apprend pleines de chose sur ma maman.
Elle était lesbienne et a même pratiqué la chose en trio avec une femme parisienne à qui Marguerite la Comtesse souhaite me recommander.
Maman voulait quitter papa, mais est restée pour moi, pour méviter le traumatisme quune séparation aurait engendré pour une jeune fille.
Une seule décision, deux chemins, un à prendre, lequel ?
Quitter papa, ça cest sûr, mais pour quoi faire ?
« Caissière en CDD à 1 000 par mois ? »
Au risque de me retrouver le bec dans leau dans six mois avec un contrat non renouvelé et avec un destin incertain.
« Pute féminine dans les beaux quartiers. »
Avec quand je regarde les sommes demandées par Marguerite et ce quelle faisait à ses clientes, elle les gagnait en une après-midi.
1 000 dans mon autre main, gagné grâce à la perte de mon pucelage dans le même temps.
Jarrive dans le camping, cest leffervescence, Véronique la voisine de notre tente à côté où se trouvait la jeune fille avec laquelle jespérais avoir ma première expérience sexuelle féminine me voit et me rejoint.
Elle me prend dans ses bras, nos poitrines viennent en contact.
Je sens bien quil se passe quelque chose danormal, mais mes pointes séveillent.
Je la connais depuis 10 ans, elle est là avec son mari qui pèche avec papa.
Je sais depuis deux jours que je suis lesbienne, mais ce quelle mapprend me glace le sang.
- Viviane, ton papa a eu un accident de pêche.
Il est tombé dans la rivière et sa tête a tapé un gros caillou, il est à lhôpital dans le coma.
Nous ne savions pas où tu étais, toi qui vas dhabitude toujours avec lui.
Comment lui dire que je viens de perdre mon pucelage, moyennant rétribution avec un gode impressionnant par son calibre !
- Viens-je temmène, il a été conduit au Centre Hospitalier de la ville.
Une fois sur place, japprends que sa tête a porté et quun traumatisme s'est formé.
Jean le mari de Véronique la secouru appelant immédiatement les secours.
Je comprends ce qui est arrivé.
La fameuse prise impossible, papa venait de la prendre, la truite se débattait comme jamais il navait vu une truite se débattre.
Il a vu papa prendre son épuisette quil portait dans son dos.
La truite la vu et a essayé de se détacher sans succès mais au moment où papa s'est baissé, il a glissé et sa tête a porté sur un caillou.
La truite est partie tirant la canne et il a fait le nécessaire pour secourir mon père.
Je le remercie et on mautorise à voir papa.
Je le veille pendant trois jours.
Son état est stable et il est transportable, je décide de le ramener dans lhôpital à lEst de Paris près de chez moi.
Je voyage avec lui et une infirmière de la société dambulance qui le transporte.
Joublie complètement Marguerite, les chattes des filles, seul papa a de limportance pour moi, il est ma seule famille.
Cest un matin prenant le temps de ranger mes affaires rapatriées par lassurance, voiture comprise, que je trouve le carnet dadresses.
Le numéro 03 est bien celui de Marguerite qui décroche, étant contente que je lappelle bien quelle sache déjà ce qui nous est arrivé, les langues vont vite dans ces gros bourgs.
Bref, quelques jours encore et il me faut prendre des décisions difficiles pour la jeune adulte que je suis, même si je ny ai pas pensé un seul instant le jour où jai eu 18 ans.
Papa est sorti du coma profond où sa chute lavait plongé.
Mais cest un légume, il faut tout faire pour lui.
Son assurance couvrait le transport et les soins, mais pas plus.
Qui pense quand il les signe à ce quil représente, jétais là le jour ou papa a signé, seule la somme à débourcer lui importait.
Bref, jai le choix, soit men occupant 100 % du temps, sans pouvoir travailler et vivre demprunts sans savoir la suite de ma vie.
Soit le placer dans un centre lui aussi près de chez nous où il recevra tous les soins nécessaires.
Dans la vie, le destin prend des décisions pour vous.
Je veux placer papa dans cet établissement où il vivra des jours heureux, du moins la directrice de létablissement me présente très bien la chose.
Je sors le carnet et jappelle Charlotte de V.
Je respecte ce que ma demandé Marguerite quant à la confidentialité du nom.
Ce que je peux dire, cest que je sais que Charlotte est lhéritière dune grosse famille possédant une grosse société.
Quand jappelle et quelle décroche, je sais que je serai pute féminine pour chattes de bonne famille.
Elle me reçoit à son adresse.
- Entre, Viviane, je te tutoie, tu as presque lâge de ma fille, je sais ce qui t'est arrivé, Marguerite ma appelé, elle ma dit pour son carnet dadresses, veux-tu que je taide ?
- Oui, jai placé papa et ça va me coûter fort chère, pouvez-vous maider ?
Je me place dans les mains de cette femme, aussi bien mise que Marguerite.
Et dire que maman a baisé avec cette dame !
Je comprends que maman avait les mêmes penchants que moi, une chienne ne fait pas des chattes.
Et qu'elle y a cédé quand je vois dans mes pensées le corps de Marguerite et ce que je vois de Charlotte même habillée.
Elle porte un tailleur certainement sorti de chez Dior ou tout autre couturier de la place parisienne.
Marguerite voulait que je mémancipe de la tutelle de papa, comme ma mère navait pas eu le courage de le faire.
Ce nest plus nécessaire, une truite, fusse-t-elle monstrueuse, a choisi pour nous, impossible de revenir en arrière.
- Tu as pris ta décision, quand veux-tu rencontrer ta première cliente ?
- Il faut battre le fer quand il est chaud, jai besoin dargent, beaucoup dargent.
- Tu vas en avoir, dès cet après-midi si tu es libre.
- Où et combien ?
- Regarde dans ton carnet à la lettre C, Clotilde de F.
- F, lhomme politique ?
- Oui, elle est lesbienne et le couple ne veut pas de liaison qui le mettrait en porte-à-faux alors il lui paye des femmes pour femmes.
- Viviane, dit carrément le mot, jai bien compris quen acceptant de la rencontrer, je deviens une pute féminine.
- Tu as raison, mais dans notre milieu, nous parlons de femme pour femme, même si cela revient au même.
Cependant ton look est à revoir, je connais très bien Clotilde, je vais lappeler et lui expliquer.
As-tu ton permis ?
- Oui, je lai passé il y a trois mois en conduite accompagnée avec papa et depuis une semaine, jai le droit de conduire seule ayant eu mes 18 ans.
- Alors vas-y et soit performante, vu ton joli petit cul, tu vas faire un malheur.
Reviens demain, nous irons faire les boutiques.
Quand Marguerite ma téléphoné pour me dire quelle avait réussi à rencontrer la fille de notre amie trop tôt disparue, elle ma donné carte blanche financièrement pour que tu sois la plus appétissante des femmes pour femmes.
Elle espérait que tu répondrais à son appel, jai reçu cette valise pour toi. Le code est 6969, facile à retenir.
Je rejoins mon domicile, par un taxi qu'elle appelle et quelle paye quand il arrive je suis sur le trottoir à lattendre.
Je sens que les transports en commun à Paris ne seront que taxis ou vélib.
Rendue chez moi, jouvre ma valise, divers objets, cest normal quand jai lu quune dénommé Maryse S. se fait fouetter pour 2 000 la séance.
Je retrouve le gode de maman qui a essayé de me déflorer et le gode du Comte qui lui a réussi à faire de moi la femme que je suis en train de devenir.
GPS calé sur ladresse de Clotilde de F.
Je démarre la voiture de Papa.
Cest comme ça simplement que je me retrouve dans une ville aux antipodes de ma ville, que je gare ma voiture dans lallée dune propriété ou un serviteur mouvre ma portière.
Incroyable, sur le perron un homme mattend, je le reconnaîtrais entre mille, on le voit souvent à la télé.
- Viviane, votre prénom vous va à ravir.
Ma femme Clotilde va être enchantée de vous recevoir.
Ce couple semble avoir des serviteurs.
Mais dans laile de leur résidence où il me conduit, ouvrant une porte avec une clef et la refermant consciencieusement, et qui donne sur un escalier montant dans la tour que jai vue de lextérieur, je vois que peu de personnes nont accès à lappartement où il me fait monter.
La pièce carrée où nous débouchons en haut de lescalier est en tout point un baisodrome pour femme de luxe.
Une cheminée, certainement pour lhiver, de nombreuses peaux de bêtes entassées en son centre, un bar et un fauteuil.
Sur la peau de bête une femme nue et longiligne.
Quand je vois Charlotte ma chaperonne et cette femme déjà vue au bras de son mari, je vois quil leur est impossible davoir le moindre gramme de trop.
Pourtant ses seins en forme de poire et assez développés, sont différents de ceux de Charlotte que jai aperçus dans lentrebâillement de son corsage.
- Viens me rejoindre, Marc paye là, déshabille-là et prend ta place dans ton fauteuil.
Le mari sort une enveloppe de sa poche que je mets dans ma valise, jaurais besoin du gode de maman.
Le mari sexécute, je me retrouve nue.
Il me prend par la main et mapproche de sa femme comme sil lui offrait mon corps.
Cest devant lui quà un moment de ma prestation je sors Popaul, jai décidé de lappeler ainsi et que je lui bourre la chatte, alors quelle est à quatre pattes, leur en donnant pour 2 000 .
Elle hurle de plaisir, son mari dans laxe où nous nous trouvons nous regarde sans faire me moindre mouvement.
Je viens de devenir pleinement une femme pour femmes ou une pute pour femme comme vous le voulez
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