De Zizi À Queue
De zizi à queue
Après ma toute première enculade à 22 ans, je n'ai eu que des aventures Hétéro pendant des année. Mais le souvenir de cette queue qui jouit en moi m'est resté vivace, actif avec les femmes, je deviens passif avec les hommes.
C'est donc vers l'âge de 40 ans que je me suis mis en quête de queue pour les sucer et essayer de les avoir dans le cul. Ça a donc commencé par la fellation. J'avais remarqué qu'il y avait parfois des gens qui stationnaient autour des pissotières publics surtout, la nuit tombée. Je m'y suis rendu et j'ai remarqué que les gens se caressaient la queue et se la montraient. j'ai fait de même, jusqu'à ce qu'une main se saisisse de ma queue pour me masturber. J'ai vu que certains prenaient les queues à pleine bouche, je les ai donc imité. Juste sucer sans aller recueillir la crème en bouche, mais je commençais à prendre plaisir à faire jouir. Par contre, je n'aimais pas trop être sucé, je me suis laissé faire une ou deux fois à défaut de trouver un actifs. J'avais mes toilettes régulières.
À Paris, j'avais repéré plusieurs cinéma porno qui n'existent plus d'ailleurs. Mais c'est à lyon, dans un ciné porno que j'ai évolué dans la fellation. J'avais repéré la place idéal pour accueillir les queues près des toilettes. Jai évolué dans mon astiquage de queue, au début, la suce allait jusquà léjaculation mais hors bouche. Je me souviens de mêtre fait surprendre, par une queue darabe, jai tout recraché dégoûté et le quidam sest excusé davoir joui si vite sans pouvoir me prévenir. Ensuite, javais remarqué quun suceur professionnel, il devait être tous les jours dans ce cinéma et toujours à la même et meilleur place, à chaque fois que quelquun lui jouissait dans la bouche, il allait tout recracher aux toilettes. Je lai donc imité, et je lui ai pris sa place plusieurs fois en arrivant juste à louverture du ciné.
Mais je sentais pour moi que le plaisir nétait pas suffisant.
Mais lenvie était trop forte, aussi un jour jai dévoilé mes fesses pour permettre aux aventuriers dexplorer mon intimité. Jautorisais une entrée, mais vite, je fermais les fesses avant la jouissance. Je commençais à bien sentir mes pineurs pour mesquiver à temps. Jai eu des queues encapuchonnées mais javais limpression de menfiler des sextoys plastics.
Un jour jai lu quune pommade spermicide avait des propriétés de protection, je me la suis procurée et je me suis lancé dans la baise bareback.
Mon désir était de retrouver cette sensation que javais connue en Afrique avec ce jeune éphèbe.
Mon premier évacuateur interne, je ne connais rien de lui. Jétais donc dans ce cinéma porno à Paris, on payait une entrée et on pouvait circuler allègrement dune salle à lautre.
Cest un souvenir qui alimente encore mes masturbations.
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