Voyage De Noces En Afrique
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Le texte original provient d'un tabloïd britannique, le genre de journal qui publie des histoires "vraies" particulièrement croustillantes.
Ce qui est curieux, dans ce récit publié comme un rapport de police, c'est de constater à quel point il est détaillé. Cela se lit presque comme une histoire érotique. Le pseudo-journaliste fournit tellement de détails scabreux, que je me suis pris au jeu de vous narrer ce qui s'est "réellement" passé!
NB: Dans la vraie vie, les femmes n'aiment pas être violées
Un couple de jeunes gens, en voyage de noces, a été attaqué vers 2 heures du matin, par un groupe de 4 malfrats.
Ils dormaient dans le chalet qu'ils avaient loué à proximité du parc Bonaero, près de Johannesburg.
On est au début des années 90, c'est la fin de l'apartheid, le pays vit une transformation politique et sociale importante, des bandes de jeunes désargentés errent à travers le pays, la police et l'armée peinent à reprendre le contrôle.
Les jeunes gens se sont mariés 2 jours plus tôt, en Angleterre, pays dont est originaire la jeune femme. Le jeune homme, lui, est originaire d'Afrique du Sud.
Ils se sont rencontrés et mariés en Angleterre. Ils ont décidé d'utiliser l'argent récolté à l'occasion du mariage pour visiter la famille et le pays du marié, pendant leur voyage de noces.
Si ils avaient loué un chalet à l'intérieur du parc ou une chambre dans un hôtel, ils auraient été en sécurité, protégés par les gardes.
Mais ils n'avaient pas assez d'argent et ils ont choisi cette solution économique de louer un petit chalet isolé dans la banlieue.
Ils dormaient tranquillement dans leur lit quand ils ont été réveillés, vers 2 heures du matin, par une troupe de 4 jeunes brigands désireux de se faire un peu d'argent rapidement. Maintenus, ils ont été rapidement immobilisés par des cordelettes.
Pieds et poings liés, attachés solidement aux 4 montants du lit, ils étaient incapables de se défendre.
Deux des voyous, plus âgés, ont commencé à saccager l'intérieur du chalet, à la recherche de tout ce qui avait de la valeur.
Les deux autres, semble-t-il un peu plus jeunes, sont restés près du lit.
Les deux jeunes mariés dormaient nus, et le buisson blond-roux que la jeune femme avait sur le pubis semblait les intriguer.
Le jeune qui se trouvait près du mari a remarqué le sexe recroquevillé de peur du jeune marié, lui a donné une chiquenaude accompagné d'un commentaire incompréhensible dans sa langue, ce qui a bien faire rire les deux salopards. Il a recommencé à plusieurs reprises, secouant du bout de l'index le kiki qui se ratatinait de plus en plus, et ils hurlaient de rire.
Le jeune bandit qui se trouvait du côté de la jeune mariée ne restait pas inactif. Se caressant le sexe par-dessus son pantalon d'une main, il laissait l'autre main errer sur le corps nu et offert à sa convoitise de la jeune épousée.
Du bout des doigts, il caressait l'air absent le mamelon gonflé, la gorge diaphane, les lèvres pulpeuses, puis se décida à empaumer et à palper le sein ferme et arrogant. La jeune mariée se tortillait, impuissante à échapper à la main baladeuse, qui caressait son ventre et descendait encore. La main atteignit le buisson blond-roux, ses doigts jouaient avec les poils dorés, effleuraient le clitoris, et une étrange langueur s'emparait de la jeune mariée.
Brusquement, l'index fouineur simmisça dans sa chatte, lui arrachant un cri de surprise et de douleur mélangé. N'ayant pas été suffisamment préparée, elle était sèche et l'introduction brutale du doigt avait été douloureuse autant quinattendue. Mais le gars avait de la suite dans les idées, et il s'est acharné à lui doigter la chatte sous les commentaires probablement salaces du copain qui secouait la bite du mari. La jeune femme ne restait pas insensible au traitement infligé, et sa respiration s'accélérait nettement pendant que sa chatte s'humidifiait. Le jeune agresseur a retiré son doigt pour le porter à son nez, le sentir, puis à sa bouche pour le sucer.
Il a émis un commentaire à l'attention de son pote mais celui-ci ne l'écoutait plus, inquiet par le calme revenu à l'intérieur du bungalow. Il s'est absenté pour rejoindre les deux autres qui cherchaient un butin dans le logement.
Le jeune violeur a détaché un des pieds de la jeune femme pour approfondir son exploration de la petite chatte blanche.
Il s'est installé sur le matelas, entre les jambes écartées de la jeune femme sans défense, alors que son mari était allongé à côté d'elle.
Le voyou souriait en caressant le corps nu et sans défense de la jeune mariée, pendant que son mari, à côté d'elle se tortillait et grondait en redoutant ce qui allait se passer.
La jeune femme était offerte, allongée nue sur le dos, jambes écartées, et ce qui l'inquiétait le plus c'était de devoir subir cet homme devant son mari impuissant à la défendre.
Très croyante, elle s'était préservée jusqu'au mariage. Et comme elle n'avait pas eu le temps de faire le nécessaire, depuis deux jours, son jeune mari utilisait des préservatifs en attendant qu'elle prenne la pilule.
Il était hors de question que ce malfaiteur rentre son bâton de chocolat dans son vagin fertile et l'imprègne de sa semence.
Elle espérait que le maigre butin qu'ils pourraient trouver dans le chalet, autant que le désir de fuir au plus vite le lieu de leur forfait, lui permettrait d'échapper à la concupiscence de son violeur et qu'il se contenterait de quelques attouchements.
Même si cela la faisait enrager de perdre l'argent donné à son mariage et ses bijoux, elle préférait cela plutôt que de subir cet homme, qui se penchait sur elle pour lui téter les nichons.
De nouveau, il avait inséré deux doigts dans sa chatte qui s'humidifiait, le pouce pressait son clitoris, et sa bouche mâchonnait ses tétons qui se dressaient.
De nouveau, sa respiration se faisait difficile, et son mari à côté d'elle lexhortait à résister à son agresseur.
Elle pensait bravement qu'elle ne voulait pas devenir une statistique du taux de criminalité en Afrique du Sud.
"Plutôt mourir que de céder à ses avances!" l'encourageait son mari.
Mais déjà son tourmenteur se relevait, dégrafait son pantalon et l'ôtait.
Il devait penser qu'il l'avait suffisamment préparée et qu'elle était désormais prête à l'accueillir, mais quand elle a découvert l'énormité qui pendait entre ses cuisses, ses yeux se sont agrandis de terreur et le souffle lui a manqué.
Elle pensait qu'un engin pareil ne pouvait pas exister, et surtout que ça ne pourrait jamais entrer. Son mari avait un jouet d' à comparer, et la première fois, elle l'avait senti passer!
Le jeune marié était au désespoir, murmurant: "Non, pas ça, vous allez la !"
Le jeune gars, plein de vigueur, s'installait à nouveau entre les jambes de la jeune mariée, défiant en souriant le jeune marié, le dévisageant d'un air goguenard. Il lui dit quelque chose dans son sabir, et présenta son missile aux portes du paradis.
Bizarrement, il semblait que l'agresseur était plus intéressé par la réaction du mari que par celle de la femme. Il continuait de le dévisager en souriant au lieu de s'occuper de la femelle qu'il comptait fertiliser.
Bien que sa bite ne soit pas totalement rigide, cela ne semblait pas le préoccuper et, saisissant fermement le manche de son outil, il commença à pousser pour franchir le barrage des lèvres qui tentaient de lui résister.
La jeune femme soufflait fort, résistant les yeux fermés, encouragée par son mari mais, peine perdue, d'un coup de rein puissant, le mécréant enterra d'un seul coup la moitié de son membre dans la petite chatte blanche.
La jeune femme poussa un hurlement de douleur, et c'est le moment que choisit l'autre jeune salopard pour faire sa réapparition dans la chambre, en gueulant comme un putois.
Apparemment, les deux autres, plus expérimentés, à la vue du maigre butin, avaient préférés prendre la fuite en laissant en plan les deux jeunes imbéciles. S'ensuivit une discussion, brève mais animée, entre les deux agresseurs, et c'est semble-t-il celui qui chevauchait la jeune femme qui a eut le dernier mot.
Il a commencé à limer sa victime, s'enterrant de plus en profond dans la chatte étroite, épiant ses réactions.
Au début, c'était douloureux, puis petit à petit, la nature a fait son uvre, la chatte s'est humidifiée, et le souffle de la jeune femme s'est intensifié, apportant quelques gémissements qui n'étaient pas causés par la douleur.
Son pénis était tellement différent de celui du mari, tellement plus long, tellement plus gros. Et puis celui-là ne portait pas de préservatif lubrifié, et le contact sur les parois du vagin était totalement différent! Quand cette énorme queue coulissait entre ses chairs, le contact peau contre peau envoyait des petites décharges électriques dans ses terminaisons nerveuses, et la jeune femme replia sans pudeur sa jambe libre pour faciliter la pénétration.
Elle a tourné la tête pour voir si son mari s'apercevait de son abandon, mais le pauvre homme avait bien d'autres chats à fouetter.
Le deuxième voyou avait lui aussi ôté son pantalon, et se masturbait tranquillement sous le nez du mari, très près de sa bouche, et son mari se tortillait, inquiet, se demandant si ce type n'était pas homosexuel.
Tranquille de ce côté-là, elle s'installa aussi confortablement que possible en essayant de tirer profit de l'assaut qu'elle subissait.
Le gaillard la limait fort, il était grand et vigoureux, le lit tremblait sous ses coups de reins puissants, et les gémissements de la jeune femme se mêlaient aux grincements du sommier.
À côté, le jeune mari que le second bandit avait laissé tranquille, se mettait à pleurer en entendant sa jeune épouse céder à la convoitise.
Elle aurait aimé tendre sa main pour consoler son mari, le presser contre elle pour lui signifier son amour, que ça ne changerait rien à leur union, qu'elle l'aimait, même si elle appréciait beaucoup ce que ce salopard lui faisait subir.
Mais elle ne pouvait pas, ses mains étaient attachées au-dessus de sa tête.
Mais en même temps, le sexe du violeur commençait à produire son effet, alors elle a levé haut sa jambe libre, posant son pied sur les fesses de l'homme pour l'encourager à plus de rudesse, en oscillant du bassin pour accen les coups qu'elle recevait.
Ooh, oui, c'était mieux. Bien mieux même, en accélérant sa cadence il pouvait mieux la pénétrer, et pour elle aussi c'était meilleur car à présent sa chatte en ébullition était sollicitée sur toute sa profondeur.
Le mari ne pouvait que constater les dégâts, sa jeune épouse se faisait prendre sous ses yeux comme une salope, baisée par un jeune africain au sexe disproportionné.
Elle devenait vraiment bruyante maintenant, ses gémissements couvraient les grincements du sommier parce que le jeune étalon la baisait si fort et si profond que le mari pensait qu'elle aimait être violée.
La vérité était plus complexe. La jeune femme avait cessé de s'inquiéter de ce que pensait son mari, l'esprit totalement accaparé par les sensations nouvelles que lui procurait cette bite surdimensionnée qui la prenait à cru.
Elle appréciait le moment, pensant pouvoir lui expliquer plus tard qu'elle avait simulé pour abréger l'agression.
Alors que se formait dans ses reins une houle annonciatrice d'un orgasme ravageur, l'homme noir commença à ralentir, sa queue se tendit encore plus et cracha ses jets de sperme fécond au fond de l'utérus fertile de la jeune anglaise.
Elle était à la fois inquiète d'être imprégnée, et en même temps frustrée de ne pas avoir eu le temps dexulter.
Si cet imbécile avait pris son temps pour la préparer correctement au début, elle aurait probablement eu la possibilité d'éprouver une jouissance, mais là c'était le fiasco complet.
Pourtant, elle pouvait le sentir palpiter encore en elle, tellement présent qu'elle essayait de redémarrer la machine en ondulant des hanches, en frottant son ventre contre le sien, en utilisant son périnée comme une pompe aspirante pour tenter de le sucer.
Impressionné par le désir qu'exprimait ouvertement la jeune anglaise, il est resté en elle un peu plus longtemps, comme s'il comptait la baiser deux fois de suite.
Il bougeait ses hanches, mais son pénis mollissait, maintenant qu'il s'était vidé les bourses, il prenait conscience du danger qu'il y avait à trop traîner sur les lieux de son forfait.
Mais même avec son pénis en détumescence, il restait beaucoup plus envahissant que ne l'avait été le jeune mari depuis 2 jours.
Pendant qu'il se retirait d'elle, l'autre homme se présentait déjà, la bite à la main, prête à servir. Ils se sont parlés dans leur dialecte et ils ont ri. Impossible de savoir de qui ou de quoi ils se moquaient, car leur regard allait de la chatte exposée et dégoulinante de foutre de la jeune mariée, au kiki tout riquiqui du mari dépité et jaloux.
Le deuxième vaurien détacha la seconde jambe de la jeune mariée avant de s'installer entre ses cuisses ouvertes. Il avait parfaitement assimilé le manège de la jeune anglaise si coopérative, et pensait qu'il s'amuserait davantage en la libérant un peu.
Le premier homme s'installa sur le pas de la porte pour surveiller les alentours en cas de danger, mais ne quittait presque pas des yeux son pote en train de se mettre en position pour baiser la petite blanchette. Son regard envieux en disait long sur son désir de remettre le couvert, et baiser encore une fois cette petite salope blanche si bandante.
Le deuxième était équipé d'un sexe encore plus monstrueux que le premier. Pas plus long, mais encore plus épais. Aussi gros que l'avant-bras de la jeune anglaise, dira-t-elle plus tard à la police qui l'interrogeait.
Le jeune mari a vu l'impressionnant chibre se balancer à l'horizontale et il a murmuré: "Mon Dieu, il va la déchirer avec ça."
En sentant le gland turgescent se présenter à l'orée de sa chatte gonflée de désir, la jeune mariée a replié ses jambes en les écartant aux maximum pour faciliter l'introduction. Contrairement à ce qui s'était passé pour le premier, elle n'avait plus aucun désir de résistance, elle ne voulait que prolonger les sensations que lui procurait un gros chibre noir en train de lui ramoner sa petite chatte blanche.
Il prenait son temps, dévisageant d'un air narquois le mari, juste à côté, qui regardait la petite chatte blanche de sa femme se faire distendre par un énorme braquemart noir.
Le pauvre mari a refermé ses yeux pleins de larmes en murmurant "Pas déjà" lorsqu'il a entendu sa femme gémir et haleter pendant l'introduction du mandrin dans sa craquette.
Heureusement que le passage du premier violeur avait laissé beaucoup de lubrifiant et de mouille mêlées, parce que le deuxième était encore plus gros, peut-être même à la limite du supportable.
Bien évidemment plus épais, elle était consciente de chaque sensation que ce pénis lui procurait. Tellement serré dans l'étroit conduit, il drainait les parois de la vulve derrière lui.
Il mettait beaucoup d'énergie pour fouiller la jeune mariée haletante, gémissante et geignante sous la force de ses coups profonds.
Il était en train de lui couper le souffle et le mari, convaincu qu'elle appréciait et se donnait, s'était remis à sangloter.
On peut supposer que le fait d'avoir entouré les reins du violeur avec ses jambes et d'onduler du bassin comme elle le faisait, donnait un indice au mari sur ce qu'elle pouvait ressentir.
Pour être honnête, encore une fois, elle avait oublié la présence du mari à ses côtés et se concentrait sur les émotions que lui procurait ce jeune étalon plein de vigueur. Elle espérait seulement que celui-ci durerait assez longtemps pour pouvoir jouir enfin.
Et c'est arrivé. Une lame de fond, si dure, si intense. Quelque chose qui balaye tout sur son passage. Elle n'a pas pu retenir son cri de joie. Elle a bloqué le mouvement de va-et-vient de l'homme allongé sur elle. Elle l'a retenu au fond de son puits d'amour, frissonnante de plaisir. Son violeur a relevé la tête pour la dévisager, a sourit, puis a posé sa bouche sur la sienne. Ils ont échangé un long baiser passionné, un baiser d'amour.
Le mari a recommencé à gémir. En plein désespoir. Impossible maintenant de le convaincre qu'elle avait simulé. Il savait. Elle avait éprouvé sa première jouissance, une intense jouissance dans les bras de cet homme noir.
Mieux encore, ils recommençaient. Leurs bouches soudées dans un long et profond baiser à quelques centimètres de ses yeux exorbités, le couple adultère recommençait les ondulations du bassin pour se donner encore plus de plaisir.
Il est possible que ce soit l'orgasme de la jeune femme, ou ce baiser langoureux qu'ils échangeaient, ou même les lamentations du mari, ou l'ensemble des trois, mais le jeune noir n'a pas pu se contenir.
Il avait entamé une ascension irréversible. Après plusieurs coups de rein saccadés, durs et profonds, chacun faisant grogner la jeune femme, il s'est libéré dans le conduit étroit et fertile de la jeune épouse.
Tellement énergique, tellement abondant, tellement érotique. Quelques coups supplémentaires, et elle aurait pu revenir une seconde fois.
Alors, frustrée, elle a frotté son clitoris contre le pubis du jeune homme. Surpris, il recommença à pomper, sa queue étant encore assez raide pour l'émouvoir. Il se pencha sur elle en lui tendant sa langue qu'elle se mit aussitôt à sucer amoureusement.
De nouveau, le mari recommença à gémir fort en voyant sa femme se soumettre à cette crapule.
Il n'est pas redevenu vraiment dur. Le moment était passé. Pas de sentiment. Il avait baisé la petite blanchette. Elle avait joui. Très bien. Mais pas de romantisme, il n'était pas là pour ça. En plus, les trépidations de son pote, sur le pas de la porte, lui rappelaient que c'était dangereux de traîner ici.
Quand il est sorti de la chatte blanche, il y avait beaucoup de dégâts sur le drap. Et cette salope gardait ses jambes grandes ouvertes. Sa chatte aussi était grande ouverte. Le sperme dégueulait à gros bouillon. Elle l'invitait à revenir, à la baiser encore, elle en voulait plus de la bite noire.
Elle avait aimé la grosseur, la puissance, les sensations, elle était marquée. Quand une petite blanchette goûte à la grosse bite noire, elle ne peut plus s'en passer.
Elle le regardait ranger sa bite dans son pantalon, et lui il surveillait son regard. Il savait. Il a souri en voyant son regard de dépit quand la grosse bite a disparu de sa vue.
Puis avec un sourire au mari, il a saisi les clés du véhicule de location et il est sortit en riant.
La jeune épouse se demandait pourquoi il riait en regardant son mari.
Elle restait allongée, les jambes écartées, la chatte ouverte, dégueulant des flots de sperme. Allons, plus personne pour la finir?
Au bout de quelques minutes, certaine que le calme qui régnait indiquait que la troupe était partie, elle a refermé ses jambes et s'est soulevée pour regarder son mari. Il ne la regardait pas et fixait le plafond.
Puis elle a vu, à côté de la queue ratatinée du mari, une tache de sperme qui s'étalait sur son ventre et qui coulait le long de sa hanche, tachant le drap. Voilà ce qui avait amusé le jeune noir et l'avait fait rire. Voir sa femme se faire baiser par de jeunes violeurs noirs lui avait procuré une jouissance. Sans les mains, sans rien, juste de la voir prise comme une salope, et il avait joui!
Sa petite verge toute ratatinée avait joui de voir sa femme prise par d'autres sous ses yeux.
Voilà qui ouvrait des perspectives intéressantes!
En tous les cas, pour cette fois, fini la crainte des reproches. Je me suis fait baiser, j'ai bien joui, merci, mais toi aussi!
Pendant qu'elle le regardait, sa queue si petite semblait encore tisser, et il ne croisait pas son regard.
À force de gigoter, elle a réussi à défaire ses liens, et s'est dirigée vers la porte pour se renseigner.
Un flot de sperme a commencé à couler hors d'elle et elle a dû placer sa main dessous pour le contenir.
Oui, ils étaient partis.
Elle est revenue délivrer son mari, puis s'est dirigée vers la salle de bain pour se nettoyer.
Son mari lui a crié: "Tu ne peux pas te nettoyer. La police aura besoin de preuves."
Elle savait de quelle "preuve" il parlait. Le sperme de ces deux hommes noirs qui l'avaient baisée. Qui avaient éjaculé au plus profond de sa petite chatte blanche. Le sperme qui pouvait la mettre enceinte. Aucun doute possible, avec le mari qui utilise des préservatifs, si elle tombait enceinte, c'était pour avoir un bébé métis. Est-ce que le mari voulait qu'elle soit enceinte?
Elle a chassé cette idée loufoque et elle a crié au mari: "Alors, appelle la police!"
Elle ne voulait pas que quiconque sache, elle ne voulait pas avoir à raconter, à subir les regards, elle regrettait la perte des bijoux et de l'argent, c'est tout. Elle voulait qu'on la laisse tranquille.
Mais le mari lui, peut-être à cause des bijoux et de l'argent, a appelé la police. Il ne se souciait pas de sa dignité ou de sa honte.
Elle ne savait pas quoi faire de tout ce que les violeurs avaient laissé en elle.
Son mari ne voulait pas qu'elle se vidange dans une coupelle et prenne un bain.
Elle se sentait sale, alors elle est allée s'étendre à plat dos sur le lit.
Maintenant, s'ils veulent un échantillon de sperme, qu'ils se servent!
Heureusement, le mari ayant parlé de viol au téléphone, une policière est arrivée avec un kit de protection pour le viol.
Elle est entrée dans la chambre escortée d'un jeune gars qui a écarquillé les yeux quand il l'a vue allongée nue et les jambes écartées.
Bien qu'elle soit jeune, la policière savait exactement quoi faire. D'abord parler. Posant sa mallette au sol, elle s'assit au bord du lit. Elle se tourna vers le jeune policier, qui matait la jeune anglaise nue.
"Vous pouvez aider les autres policiers à dresser l'inventaire avec le mari de tous les objets volés. Je peux gérer ici."
Lorsque le policier est sorti, elle a saisit la main de la jeune anglaise: "Salut. Je suis l'officier Patricia Jonques. Ce corps en sueur et cette chatte trempée et collante m'indique que vous revenez de l'enfer!"
La jeune anglaise était soulagée d'avoir affaire à une femme compréhensive: "Je vais bien, je n'en suis pas morte. Je m'en remettrais, je suis solide, vous savez."
"Combien y avait-il d'hommes? Combien d'entre eux sont venus sur vous?"
"Deux."
"Seulement deux? Votre mari a dit qu'il y avait quatre hommes?"
"Oui, mais deux seulement m'ont réellement baisé. Les deux plus âgés nous ont volé, les deux plus jeunes m'ont violée."
"Noirs, je suppose?"
"Oui"
"L'un ou l'autre étaient-ils gros, entre les jambes?"
"Très. Les deux."
"OK, je ne suis pas surprise."
La policière, bien que mariée, était autant attirée par les femmes que par les hommes, et cette jolie ingénue abandonnée devant elle était très attirante. L'idée d'utiliser son kit de viol sur cette femme lui faisait mouiller sa culotte.
Elle tendit la main et palpa les seins l'un après l'autre: "Vos seins sont très rouges. Est-ce douloureux ici? Parfois ils écrasent ou mordent trop fort."
"Non, ça va. Ils n'ont pas été sauvages avec mes seins."
Elle continuait de l'examiner en promenant ses mains sur son corps: "Écartez un peu plus les jambes."
La policière utilisa deux doigts pour ouvrir la chatte de la mariée et regarder à l'intérieur: "c'est très rouge ici et vous avez beaucoup de sperme qui s'écoule."
"Oui, de deux hommes."
La policière leva ses yeux dans les yeux de la mariée: "Nous avons presque le même âge et vous êtes très franche. Est-ce que nous pouvons nous tutoyer, cela facilitera nos échanges?"
"OK!"
"Je dois te dire que tu as eu beaucoup de chance. Vous avez eu tous les deux beaucoup de chance. Laisse-moi te raconter. Il y a deux mois de çà, une automobiliste européenne s'est égarée dans une banlieue, je devrais dire un bidonville pas très loin d'ici. Dans un terrain vague, une bande de jeunes désuvrés jouaient au ballon. Elle est descendue de voiture pour demander son chemin. Ils l'ont encerclée pour la tripoter et ils commençaient à la dénuder lorsqu'un automobiliste s'est arrêté pour essayer de l'aider. Ils l'ont tué à coups de barres de fer, puis ils ont violé la femme. Ils l'ont entraînée vers une de leur planque et elle a été violée toute la nuit à maintes reprises. Ces types sans foi ni loi sont extrêmement dangereux. Maintenant, passons à l'examen!"
"As-tu laissé couler beaucoup de sperme avant que j'arrive ici?"
"Non. Mon mari a refusé que je me lave, alors je me suis allongée sur le lit."
"Oui. Il en reste beaucoup à l'intérieur, et ça coule aussi dans la raie des fesses. Dis-moi, est-ce qu'ils t'ont prise par le cul?"
"Non, je n'aurais pas pu gérer cela. Je suis vierge de ce côté."
"Je vois. C'est probablement une bonne chose, si les deux hommes étaient gros."
Elle tenait la jeune mariée ouverte avec deux doigts.
"Tes petites lèvres, à l'intérieur, elles sont si rouges, et gonflées, comme si elles avaient été maltraitées. Tu es en voyage de noces. Alors dis-moi. As-tu perdu ta virginité récemment?"
"Pour ma nuit de noces. Il y a juste deux nuits."
"Et ton mari, est-il aussi gros que les deux hommes?"
Rougissante, elle ne voulait pas l'admettre au début, puis: "Mon mari est beaucoup plus petit."
"Ouais. Je suis désolée que tu aies dû faire cet ajustement aussi tôt dans ton mariage. As-tu pu les pratiquer confortablement, ces deux hommes noirs avec leur grand pénis?"
"Pas au début. Le premier gars, c'était comme si je perdais ma virginité à nouveau. Le deuxième homme était plus facile à absorber, même s'il était plus épais. C'était plus facile. Et il est resté en moi, beaucoup, beaucoup plus longtemps. Tu vois?"
Elle baissa les yeux, rougissante et honteuse, refusant de lui faire la confidence.
La policière la maintenait ouverte. "Est-ce que je suis vraiment si rouge?"
"Ouais, pas mal. Ton corps a reçu un choc."
La mariée acquiesça: "C'est peut-être pour ça que je suis rouge, il a duré si longtemps et si fort. Ils étaient tous deux beaucoup plus virils que mon mari. Mais je me suis adaptée."
"Tu prends la pilule?"
"Non. Pas encore. Mon mari utilise un préservatif en attendant."
La policière opina: "C'est une bonne chose, si ton mari utilise des préservatifs. Seuls ces deux types t'ont prise à cru et t'ont imprégnée de leur semence."
La jeune mariée l'interrompit: "Je les sentais jouir en moi, me remplir de leur semence, ils étaient tellement plus forts et j'étais très consciente de toutes ces sensations."
"Le préservatif réduit les émotions. Comme ils t'ont baisée à cru, si tu tombes enceinte, tu sauras que cest lun d'eux et tu pourras décider si tu veux avorter ou pas."
Elle a regardé la jeune mariée dans les yeux: "Attends-toi à ce que ton mari ne veuille plus te toucher pendant un moment. C'est fréquent dans les cas de viol, surtout si le mari est blanc et le violeur noir. Quand ton mari voudra avoir des relations sexuelles, si tes règles ne sont pas arrivées, continue d'utiliser un préservatif avec lui jusqu'à ce que tu sois certaine."
"Je comprends. Pauvre homme, mon mari m'a respectée et voilà. On se retenait jusqu'à notre retour en Angleterre pour me faire prescrire la pilule."
La policière écarta de nouveau les lèvres de la mariée pour regarder à l'intérieur: "Est-ce douloureux? À l'intérieur puisqu'ils étaient si gros?"
"Non. Je n'ai pas mal. Ils étaient tous les deux très forts, mais je me suis dilatée rapidement."
"Et la longueur? Est-ce que l'un d'eux est allé trop loin et peut-être blessée? Veux-tu que j'appelle une ambulance pour vérifier à l'hôpital?"
"Non, pas d'ambulance et pas d'hôpital. Je vais bien. Ils étaient forts, certes, mais j'ai géré et je me suis dilatée."
Depuis le début de l'examen, elle n'avait pas ôté ses doigts et elle la manipulait sous prétexte d'examen, étirant ses lèvres encore rouges et palpant sa chatte ouverte: "Tu es OK ici. Mais ici? Et ici?"
"Oui. Ils m'ont beaucoup dilatée, surtout le deuxième homme."
La policière continuait à écarteler la petite blonde en regardant à l'intérieur: "C'est une bonne chose pour toi que le plus fort soit passé en deuxième position."
Elle plongea son regard dans les yeux de la jeune mariée: "Ça t'a plu?"
Le regard de la jeune mariée s'est troublé: "Si je dis oui, est-ce que c'est mauvais? Je n'ai pas su empêcher mon corps de réagir."
La policière acquiesça, compréhensive: "Je connais. C'est agréable d'être prise par une grosse bite. Le corps a besoin de ça."
Rougissante, la jeune mariée murmura: "Je ne le dirais à personne d'autres qu'à toi. Je ne veux pas que ça se sache."
"Alors tu as joui avec les deux? Si c'est le cas, tu dois te taire car de tels témoignages pourraient être utilisés contre toi au tribunal. Si tu reconnais avoir eu du plaisir, les hommes diront que tu étais consentante."
La mariée souffla, consciente des doigts de la policière dans son vagin: "Je vais garder ça pour moi. Mais c'est seulement le deuxième qui m'a fait ... venir!"
"T'inquiètes, je te comprends!"
La policière, voulant établir des liens plus étroits, a décidé de révéler son secret à la jeune mariée.
"Veux-tu que je te parle de mon expérience personnelle?"
"Oui s'il te plaît."
Les doigts de la policière se sont agités un peu plus dans son vagin.
"Moi aussi j'ai été violée une fois, enfin, violée, en quelque sorte. Par un homme noir. Très viril. Très très bien équipé! À une réception, chez des amis communs. J'étais un peu saoule et il était très
envahissant! Mais une fois qu'il me l'a mise, il était très épais, et je l'ai apprécié. Il m'a baisée debout, contre un mur. Même debout, il était suffisamment grand pour pénétrer jusqu'au fond de moi et je suis venue très fort avec lui. Vraiment très fort!"
La jeune mariée la regardait, les yeux écarquillés: "Mais cette alliance? Étais-tu mariée quand ce noir t'a prise comme une fille?"
"Ooh! Oui! J'étais et je suis toujours mariée!" Elle rigolait. "Je ne connaissais pas cet homme, mais il connaissait bien mon mari, ils travaillaient ensemble. Pendant que cet homme noir me baisait, mon mari était juste de l'autre côté du mur, dans la pièce voisine, discutant avec ses copains."
La jeune mariée souriait, complice: "Je connais ce sentiment. C'était très excitant pour toi, d'être baisée par un inconnu avec ton mari si proche. As-tu mieux joui qu'avec ton mari?"
La policière acquiesça: "Oui, c'est mon secret. J'ai joui presque immédiatement tellement c'était fort. Il était très fort et il étirait ma chatte comme jamais elle avait été dilatée. Puis nous nous sommes embrassés et le sexe est devenu encore plus formidable. Quand il a éjaculé en moi, je l'ai rejoint et nous avons joui ensemble. Un merveilleux moment."
"Sensationnel."
"Sa queue était belle, très longue, peut-être trop longue, mais j'ai pu la prendre parce que nous étions debout. J'ai surtout apprécié son épaisseur, mais une queue comme ça..." dit-elle en secouant la tête. "Je ne pourrais pas l'assumer de façon régulière, mais de temps en temps, pour varier les plaisirs..."
"Tu n'as plus jamais baisé avec lui, après ça?"
"Non. J'étais trop gênée après ... Je me suis mal conduite... Pendant qu'il me baisait, je lui ai demandé de me baiser plus fort avec sa grosse queue
Parce que j'avais besoin ... Tellement besoin."
Elle regardait la jeune mariée dans les yeux: "J'essayais d'être gentille, exprimer ma gratitude, je me suis emportée et je suis allée un peu trop loin, mais c'était vraiment ce que j'avais envie."
"Rien à foutre" répondit la jeune mariée. "J'aurais essayé de baiser encore avec lui."
"Non, non, je ne peux pas. Quand il m'a baisée, je ne savais pas qui il était, mais lui savait qui j'étais. Plus tard, j'étais avec mon mari et cet homme, le noir, était là. Mon mari m'a présenté à lui et le type a dit: "Oui, je l'ai vue avec toi plus tôt dans la soirée."
"J'ai compris qu'il savait qui j'étais et qu'il était en train de baiser la femme d'un de ses collaborateurs. Je me suis donc fait un devoir d'ignorer ce salaud après ça."
"Je peux comprendre ça. C'est embarrassant, surtout après que tu aies avoué au noir que sa grosse queue était tout ce qu'il te fallait et qu'il te voit à côté de ton mari."
"Mon mari mourrait s'il découvrait un jour comment je l'ai humilié."
La policière a regardé la jeune mariée: "Et toi? Tu as jouis avec le deuxième devant ton mari?"
La mariée rougit. Elle était embarrassée avec la vérité, alors elle a dit: "Ouais, c'était mieux, avec le deuxième homme. Je n'ai pas eu le temps de jouir avec le premier. Trop rapide."
La policière approuva: "Maintenant, c'est notre secret. Tu n'as pas à t'inquiéter. Je comprends ce que tu ressens, ta culpabilité."
"Je me sens coupable parce c'était évident que j'appréciais, car après avoir atteint l'orgasme avec le deuxième, il était sur le point de sortir et j'ai continué à jouer avec lui."
"Vraiment? Waouh, Tu t'es masturbé contre lui? Dis m'en plus." La policière encourageait la jeune femme en faisant jouer deux doigts dans la chatte exposée.
"Il a semblé surpris mais il est resté en moi le temps que je finisse. J'ai mis mes jambes autour de lui et j'ai frotté ma chatte contre son pubis. Quand il a éjaculé en moi, j'étais très proche de finir, je n'ai donc pas été longue à venir. Mon mari savait ce que je faisais."
La policière hocha la tête avec compréhension: "Au tribunal, si le violeur dit que tu jouais avec ta chatte pour jouir encore, ce pourrait être mauvais. N'avoue jamais cela, et fait en sorte que ton mari se taise."
La mariée acquiesça: "Tout le temps, mon mari était ligoté à côté de moi. Il gémissait et il pleurait. Je pense qu'il savait ce que je faisais. Dis-moi, officier, as-tu jamais affronté la culpabilité?"
"Tu peux m'appeler Patricia quand on est seules. C'est compliqué. Quand cet homme noir me prenait debout contre le mur, je savais que c'était mal ce que je faisais. Mais depuis le début, je lui avais donné ma bouche et je lui avais murmuré des mots d'amour. C'était tellement bon, si doux et si fort. Même après qu'il eut finit, je l'embrassais encore à pleine bouche en le suppliant de me baiser encore."
La jeune mariée acquiesça à son tour: "Quand il m'a fait jouir, je l'ai embrassé. Sur la bouche. Je ne connais même pas son nom, mais pourtant il m'a fait jouir si fort."
Patricia rigola:"Je suppose que nous sommes deux salopes. Nous avons eu toutes les deux un amant noir et nous avons pris notre pied. Bien mieux qu'avec nos maris respectifs."
Et puis, surprenante et grivoise, Patricia se pencha sur la jeune mariée et l'embrassa à pleine bouche. Un tendre baiser. Un baiser langoureux avec un jeu de langue érotique. Un baiser plein de promesses, qui sait, plus tard?
À la fin du baiser, elles tentèrent toutes deux de faire comme si l'acte n'avait pas eu lieu: "Patricia, ces hommes, pensez-vous avoir une chance de les coffrer?"
"J'en doute. Dans cette période troublée, des bandes de jeunes hommes parcourent le pays en tous sens. Ici, c'est le far-west. Et puis, ils parlent tellement de dialectes différents qu'il est très difficile de demander des renseignements aux gens. En plus la police est majoritairement blanche, les délinquants majoritairement noirs, c'est compliqué de les faire parler. Mieux vaut oublier, plus vite tu passeras à autre chose, mieux tu te porteras."
La policière a cessé de jouer avec la chatte de la jeune mariée, elle a plongé un doigt dans la flaque de sperme qui sécoulait hors d'elle et, dun geste rapide et doux, elle a inséré son doigt dans lanus de la jeune anglaise.
"Ooh! Qu'est-ce que tu fais? Ça fait ... du bien ..."
Tout en massant l'anus de la jeune mariée, Patricia se pencha pour l'embrasser.
"Merde Patricia, mon corps semble reprendre vie!"
"C'est ce que je pensais. Tu es faite pour l'anal. Aussi salope que moi. Voici mon idée: pour rétablir le lien dans ton couple. Offre-lui ton cul!"
"Mon mari? Dans mon cul? "
"Oui. Dis-lui que ces hommes ont eu ta chatte à cru en premier, que tu ne pourras jamais revenir en arrière et lui rendre ce qu'ils lui ont volé, pour qu'il soit le premier quelque part, donne lui ta virginité anale."
La policière travaillait son anus étroit avec son doigt en allumant la jeune femme.
"Waouh, Patricia. C'est une très bonne idée pour me faire baiser par mon mari ... Ooh c'est vraiment bon, ton doigt! As-tu fait cela avec ton mari, pour te faire pardonner?"
"Ce n'était pas nécessaire, il n'a pas su que je baisais avec ce grand homme noir, mais de temps en temps, je lui accorde ce privilège, et là, au moins, il est toujours assez grand!"
"Merci pour la suggestion. Quand mon mari voudra baiser, je lui ferai l'offre. À coup sûr, il sera bien assez grand!"
"Quand tu seras propre, j'aimerais beaucoup te montrer ce que je peux faire avec toi."
Patricia utilisait ses doigts pour pénétrer la petite chatte rougie en même temps que son anus à présent dilaté.
"Ooh putain Patricia, ça fait un peu mal au début, mais après, ça fait tellement du bien!"
Elle regardait dans les yeux la policière qui lui souriait.
"Je ne sais pas combien de temps nous resterons ici maintenant, mais tu as mon numéro et tu sais où je vis
S'il te plaît, je suis vraiment attirée par toi, jamais je n'avais pensé qu'avec une femme
mais toi, tu me fais
Ooh!"
"Oui. Il faudra que je consacre un peu de temps à cette enquête."
La policière retira son doigt et, après l'avoir essuyé, saisit son kit pour viol: "On se reverra bientôt pour les besoins de l'enquête, mais maintenant il faut recueillir les preuves. Les hommes nous attendent dehors."
La jeune anglaise a pu lui fournir beaucoup de "preuves".
Plus tard, rhabillée, elle a pu déposer son témoignage auprès des policiers, en leur expliquant tout ce qui lui était arrivé, en omettant juste un détail: la façon dont elle avait beaucoup apprécié et aussi, le mari, en partie ...
Alors peut-être, après avoir eu la chance de baiser avec Patricia, elle repartira en Grande-Bretagne comme le veut son mari.
Mais il ne faut pas s'inquiéter pour elle, beaucoup d'hommes noirs vivent en Grande-Bretagne, et elle trouvera sûrement de quoi s'occuper.
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