La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1266)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) (suite de l'épisode N°1256) -
Le retrait des colliers pour Alix et Clémence :
Le lendemain matin, le Seigneur dEvans, convoqua Alix et Clémence dans Son salon privé. Il avait exigé quelles se présentent vêtues à Lui. Cest un peu gênées quelles frappèrent à la porte, depuis quelles savaient quIl était leur oncle
- Entrer !
- Bonjour Maître, dirent-elles, ne sachant quoi dire dautre pour dénommer le bon Seigneur dEvans.
- Bonjour les jumelles, ne vous mettez pas à genoux mais asseyez-vous, jai à vous parler.
- Merci Maître.
- Bien. Alix, Clémence, tout le temps que vous avez passé à Mes pieds, à Mon service, vous mavez pleinement satisfait. Mais, par les circonstances que vous savez où nous avons tous appris que vous êtes mes nièces, sachez que je ne saurais soumettre les filles de mon frère. Cest pourquoi, je nai dautre choix que de vous libérer.
- Mais quallons-nous devenir sans Vous et votre protection ?
- Vous aurez toujours ma protection, nous sommes de la même famille.
- Je le regrette, mais peux le comprendre, soupira Clémence.
Le Seigneur dEvans repris sur un ton plus dominant.
- Alors pour la dernière fois, je vais exiger de vous mettre à genoux toutes les deux.
Alix et Clémence tombèrent alors à Ses pieds. Et cest avec une certaine émotion, quIl leur enleva leur collier. Alix avait les larmes aux yeux mais essayait de les cacher comme sa noble éduction lui avait appris.
- Relevez-vous et rasseyez-vous.
- Merci
- Je sais que ce nest pas facile pour Moi non plus, mais autant nous y habi le plus vite possible. Allons les filles, courage, lança le Seigneur.
- Merci mon oncle, osa Alix. Clémence fit de même.
- Eh bien voilà ! Ce nétait pas si difficile que ça, Mes chères nièces, dit-il pour détendre latmosphère.
Lémotion était palpable et Le Seigneur mit fin à lentretien.
- Bien, je vous laisse vaquer à vos occupations, jai du travail.
Elles sortirent et se rendirent dans la chambre quelles partageaient le temps de leur séjour au Château
Le procès et le jugement dAmélie :
Les jours suivants, un matin, le Seigneur Charles dEvans et les membres essentiels du Château étaient rassemblés pour entendre toutes les personnes concernées par laffaire dAmélie, accusée pour vol, manipulation et trahison. Pour ce procès, Manon était présente en compagnie de la Duchesse de Saint Ymer (chez qui elle habitait depuis son retour). Amélie fut amenée menottée et entièrement nue par Messire Mathieu et Messire Philippe. Le Seigneur dEvans se leva et prit la parole.
- Bien, nous sommes ici rassemblés pour entendre toutes les victimes directes et indirectes de ce complot contre nous, complot réalisé par cette démoniaque Amélie, ici présente. Chaque personne aura le droit de réclamer la sanction quelle juge mériter après cest Moi et Moi seul qui prendrait la décision de chaque sanction. Nous entendrons dabord Mes soumises, Manon et Marion, ensuite viendra le tour de Kate et de Ma nièce Clémence. Il y aura aussi un autre témoin, victime indirecte. Manon nous técoutons.
- Merci Mon Seigneur, vous savez tous ce qui mest arrivé, il nest donc pas temps dy revenir. En ce qui me concerne, jai peu connu Amélie aussi je men remets totalement à Vous, Seigneur dEvans et Votre conseil pour décider de la sanction quelle mérite.
- Bien, si tu nas rien à ajouter, Marion à toi.
- Merci Maître. (sadressant à lassemblée) Par rapport à Manon jai eu de la chance, certes le couvent était horrible, mais jai eu les excuses personnelles du Maître et jai retrouvé ma place à Ses nobles pieds et cela suffit à mon bonheur. Cela étant, si je peux faire une proposition de sanction, comme le Maître nous y autorise, peut-être quun petit séjour dans ce couvent précis lui ferait le plus grand bien ?
- Bonne idée Ma chienne, jy avais pensé Moi-même.
- Non Maître.
- Kate, je vous en prie.
- Merci mon Seigneur. Me concernant le préjudice fut moral, car le rubis qui orne la bague, que mon cher Antonin ma offert, était en effet une horrible perte, la perte dun magnifique bijou de famille mais aussi la peur quAntonin ne veuille plus mépouser suite à cette disparition.
- Kate voyons, ce nest pas pour cela que je naurais plus voulu tépouser, tu es mes yeux tellement plus précieuse quun simple rubis (il lembrassa dun baisé passionné).
- Kate, réclamez-vous une sanction ? Demanda le Maître.
- Oui Sire, je souhaiterais quelle connaisse le mal quelle a pu faire surtout à Manon, quelle subisse le même sort à savoir exposée nue au pilori dans la cour du Château jour et nuit, mais aussi le fouet en place publique et lenfermement jusqu'à son bannissement définitif. Tout ça pour avoir moi-même soigné Clémence et constaté ses souffrances, il serait juste que cette diabolique Amélie subisse également le même sort, mais cest impossible car cela va à lencontre de vos règles.
Le Seigneur se dit dans sa tête « oui ça va à lencontre de Mes règles mais en loccurrence je pourrais faire une exception ».
- Bien, merci Kate, Ma nièce à vous.
- Merci mon oncle, comme Kate la dit ce que jai subi ne peut être fait étant donné que cela est contraire aux règles de ce Château et de toute Votre seigneurie, mais lidée de Kate du fouet en place publique me semble convenir parfaitement.
- Bien merci Ma nièce. Maintenant une autre personne a été victime dAmélie, lhomme quelle a accusé davoir utilisé Manon, Valentin, un homme simple desprit qui un jour par maladresse lavait fait tomber, voilà pourquoi elle la accusé. Je lai puni en lobligeant à faire le larbin jardinier et dormir à lécurie avec en retour juste de la nourriture. Messire Léon, faites-le entrer.
Messire Léon ouvrit la double porte derrière se trouvait Valentin en compagnie de Lucie qui laccompagnait, tous deux entrèrent et se mirent à genoux devant le Seigneur dEvans.
- Relève toi, Valentin, je te présente mes excuses de tavoir ainsi puni, je reconnais que jai commis une erreur de jugement étant moi-même trompé par cette femme (il montre Amélie), aussi si tu souhaites quelque chose demande ce que tu veux, tu lobtiendras.
Avant quil ne put répondre, Antonin prit la parole :.
- Sire, je connais bien cet homme, je puis même affirmer que cest comme un ami. Un homme simple, dévoué et loyal. Je sais quil aime les chevaux et qui sait très bien les soigner. Peut-être pourriez-vous lui accorder une place de palefrenier dans vos écuries. Si cela vous y consentez et quil laccepte.
- Cela tintéresserait il, dentrer à Mon service toccuper de Mes chevaux ? dit le Seigneur à ladresse de Valentin
- Ho oui Sire ! Ce sera un honneur dêtre à Votre service, répondit tout sourire Valentin
- Bien considère que cela est fait.
Après avoir salué le Maître respectueusement et avec une évidente gratitude, Valentin quitta la pièce. Ensuite le Seigneur offrit à Amélie un temps de parole, histoire quelle se défende elle-même. Celle-ci ne montra quun visage haineux et lança juste avec méchanceté à toute lassemblée ainsi quau Seigneur :
- Je nai rien à dire, vous irez tous en enfer
(puis elle se tut avec un regard hautain et méchant)
- Soit ! Si cest ta seule défense, tant pis pour toi. Mais on ne pourra pas me reprocher de ne pas tavoir proposé de te défendre
Le Seigneur se retira alors avec ses conseillers, Amélie ramenée à son cachot au fond de la crypte et les autres retournèrent à leurs occupations
L'organisation du mariage :
Kate et Antonin étaient dans leur chambre et ce dernier demanda :
- Ma belle Kate, ne penses-tu pas que nous devrions nous occuper de l'organisation de notre mariage ?
Kate le regarda un sourire l'air mutin, se mit à genoux et répondit :
- Maître, je pensais quaprès ce qui s'est passé, vous voudriez peut être vous détendre ?
- Tu veux une séance, Ma chienne ?
- Seulement si vous lexigez, Maître.
- Ce n'est pas une mauvaise idée, puis d'un ton beaucoup plus dominant, voir sévère (mais plus par pulsion de domination que par réelle contrariété, il reprit) - Crois-tu sincèrement que ta tenue soit correct pour te présenter devant Moi ?
- Non Maître, je vous présente mes excuses.
- Alors met-toi nue, tout de suite.
Kate se déshabilla et se remit à genoux, mains dans le dos, tête baissée et attendit. Lui, tournant tout autour d'elle en silence admirant sa beauté.
- Bien, Ma chienne quas-tu à dire ?
- Je mérite une sanction Maître.
- Pour quelle faute ma salope ?
- J'ai douté de Vous Maître et pour ma tenue inadaptée.
- Pour ta tenue je passe l'éponge, en revanche pour avoir douté de Moi, le Maître et ton futur mari oui tu vas être sanctionnée et ce sera 30 coups de martinet. Et après, je te prendrai comme ma chienne salope que tu es. Debout mains relevées contre le mur, cul cambré et tu attends en silence.
- Oui Maître, dit-elle se mettant en position sans plus attendre.
Antonin avait une idée derrière la tête, il lui banda les yeux puis sortit de la chambre, il revint quelques instant plus tard mais pas seul mais cela Kate, les yeux bandés, l'ignorait. Il s'agissait du Seigneur d'Evans.
- Tu es prête Ma salope ?
- Oui Maître.
Antonin commença, les coups tombaient, Kate comptait courageusement tout en gémissant de douleur mais surtout de plaisir quand une lanière atteignant son sexe trempé de son excitation et enfin.
- 30
merci Maître.
- Maintenant en levrette, tout de suite.
Tout en douceur le Dominant passa ses doigts inquisiteurs sur sa chatte dégoulinante de son plaisir, il montra ses doigts trempés à son ami avec un regard entendu.
- C'est qu'elles t'excitent mes punitions salope, lèche chienne.
La belle soumise lui lécha les doigts avec application et un plaisir non dissimulé. Antonin se plaça ensuite derrière elle et lui donna une forte claque sur ses fesses déjà rougie par le martinet. Puis il la pénétra d'un coup de reins puissant, profond et viril. Elle adorait cela et ne cachait pas son plaisir, quand soudain elle sentit quelque chose se frotter contre son visage, ce qu'elle identifia rapidement comme un sexe d'homme. Antonin étant déjà en elle, elle sut alors qu'il y avait une autre personne mais ignorait de qui il s'agissait. En bonne soumise sachant que cela était la volonté du Maître qui la soumettait, elle prit en bouche cette volumineuse verge dressée pour la sucer du mieux qu'elle pouvait, alternant un rythme rapide puis plus lent, modifiant la pression des ses lèvres, léchant le membre sur toute sa longueur tandis qu'Antonin lui dilatait doucement son anus sans arrêter ses coups de reins en la pilonnant bestialement. Kate était sur le point de jouir quand le Seigneur d'Evans libéra sa bouche et elle put supplier :
- Maî
Maîiiiiitre
pi
pitié, je vais jouir...
- Pas question, retient-toi, tu ne voudrais quand même pas fauter devant le Maître des lieux, révélant ainsi l'identité de l'autre personne présente.
A ses mots, Kate fut saisie et voulant plus que tout satisfaire "les deux hommes de sa vie" elle répondit :
- Oui Maître
- Couche-toi sur le dos, salope.
A ce moment, ce fut Antonin qui prit possession de sa bouche alors que le Seigneur d'Evans la léchait de sa langue habille et baladeuse. Kate était au bord de l'explosion orgasmique.
- Maître, je ne peux plus tenir je vais jou... jouir
- J'ai dit non chienne.
Antonin se coucha sur le dos :
- Remonte ton bandeau et viens t'empaler sur ma noble verge ensuite remet ton bandeau et mon ami, Le Seigneur, te prendra ton cul de salope, et après quelques va-et-vient des deux amis, Antonin ne tenant plus, lança :
- Jouit, salope, maintenant je le veux.
Tous les trois lâchèrent ensemble leurs orgasmes gémissements, râles et soupirs emplissaient la pièce. Antonin aida Kate à se relever et lui mit une ample et chaude chemise et l'attira à lui puis l'embrassa tendrement tant il l'aimait et la trouvait sublime. Cette scène de tendresse fit sourire le Seigneur d'Evans. Ils restèrent quelques instants à discuter tous les trois et Kate finit par s'endormir dans les bras rassurant de son cher Antonin.
- Je vous laisse mon ami, chuchota le Seigneur d'Evans, nous en reparlerons plus tard.
- Merci Charles, bonne nuit
Le lendemain matin, bien reposés et heureux, Kate et Antonin passèrent la matinée à mettre au point l'organisation de leur mariage. Kate lui montra ce qu'elle avait préparé en son absence, la liste des invités et le déroulement de la cérémonie religieuse, restait le plan de table lequel lui donnait du souci et Antonin ne lui fut pas d'un grand secours. C'était le genre de tache qu'il détestait au plus haut point. Ils finirent par abandonner décidant d'y revenir plus tard. Kate se décida enfin à parler à Antonin d'une chose qui la préoccupait.
- Antonin, il y a autre chose qui me tracasse.
- Dis-moi ma belle, si je le peux je t'aiderais.
- Je...je n'ai personne pour me conduire à l'Autel.
- Je sais Kate, je sais mais tu peux choisir un des chevaliers celui que tu veux.
- Bien sûr mais je...je voudrais que ce soit le Seigneur d'Evans, penses-tu qu'Il accepterait?
- Je ne peux te répondre à sa place, va le voir et demande-le Lui, si cela, au niveau des convenances, Lui est impossible, il te le dira
(A suivre
)
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