De Queue En Queue, Récit 3

Ma vie sexuelle homo, n’est sans doute pas hyper active. Mais lorsque j’ai le temps et l’occasion, j’aime me retrouver dans un ciné porno. Donc après avoir été fécondé anonymement, j’ai poursuivi ma recherche de queue éjaculant dans mon cul. Un jour, dans le même cinéma parisien, mais dans une autre salle, très grande celle-ci où j’ai eu l’occasion de boire de bonnes gorgées de sperme. J’avais remarqué que les gens se rendait dans un couloir (issue de secours) peu éclairé mais suffisamment pour voir ce qui se passait. J’avais acquis une jupe courte pour pouvoir me déplacer le cul à l’air d’une salle à l’autre, dans ce couloir un jour, un arabe a planté sa queue dans mes fesses, je dis un arabe alors que je n’ai pas vu son visage, il m’a enculé direct sans présentation, il faut dire que mon cul nu était offert à tous. Je dis que c’était un arabe car ses poils pubiens rudes, me frottaient les fesses à chaque aller. J’étais penché pour offrir une meilleur attaque. J’ai beaucoup aimé cette baise-là car, tout d’abord elle a duré, et j’étais bien à sentir ce membre me pénétrer avec vigueur. J’étais baisé et devant tout un groupe qui était là en voyeur. On me regardait me faire enculer quel plaisir et surtout je savais qu’au bout de cette danse je serai gratifié d’une bonne semence crémeuse qui tapissera mes entrailles. Je goûtais chaque instant avec délectation, sentant mon inconnu prendre du plaisir à me baiser comme une chienne. Il m’a pris sans rien demander et est reparti de la même façon. Après de longs mouvements alternatifs, le quidam a passé ses mains sous ma chemise et a enserré ma poitrine comme pour une femme. Je resserrai mes bras pour donner un peu de volume à mes pectoraux pour les faire passer pour une poitrine féminine et cela a fait son effet, je l’ai entendu souffler et lâcher un râle de plaisir tout en se plaquant contre moi.
À l’époque, malgré crème de protection, je n’osais pas garder les sperme en moi. Donc sitôt baisé, je me suis rendu aux toilettes suivi par un gros dont je n’avais pas encore repéré la présence et qui avait assisté avide à ce coït anal.

J’ai donc évacué une bonne quantité de sperme et de pommade. J’ai remis une dose à l’aide d’un tube applicateur fournit avec cette pommade. Et à peine sorti des chicote, que le gros s’est jeté sur moi la queue agressive et m’a perforé le cul. Donc même pas besoin de tapiner pour se faire prendre, il a fait son affaire, a joui dans un essoufflement puissant et s’est retiré aussitôt. Les baiseurs, une fois apaisés, s’en vont sans autre forme de procès. Ce sont plutôt les jouisseurs en bouche qui sont souvent reconnaissants d’avoir été sucés avec autant de professionnalisme. En effet, avec le temps on devient pro.