Les Réceptions De M. Le Marquis (Partie Viii)
Il sort du jacuzzi et se poste devant moi. Je prends immédiatement une serviette pour le sécher, puis me mets à genoux devant lui.
Il dévoile son sexe déjà à moitié tendu, sans doute par le récit de M. Trévigny, et mordonne de me mettre au travail, ce que je fais sans me faire prier.
Je commence par un petit coup de langue sur son gland, suivi dun tendre baiser. Son sexe déjà humide a un petit goût salé très plaisant.
Afin de ne pas le faire languir, je ne traîne pas à le prendre en bouche et me lance dans une fellation endiablée.
Je ne parviens pas à rentrer son sexe désormais bien dur en entier, aussi suis-je obligé de forcer ma gorge, ce qui marrache de petits cris d qui semblent lui plaire.
La salive commence à perler au coin de ma bouche et le long de son vit pour venir tomber sur mon torse.
Je me démène un petit temps de la sorte. Soudain, dune main fermement agrippée à mes cheveux, il tire ma tête en arrière pour extrait son sexe de ma bouche.
Je le regarde, interloqué, en levant une main timide avec pour projet de messuyer la bouche. Il interrompt la manuvre dune gifle sèche et précise.
- Inutile de vous essuyer la bouche, jeune homme. Vous êtes très beau ainsi.
Je me ressaisis aussitôt et replace mes mains dans le dos.
- Je sais exactement ce quil manque à cette fellation. Faites moi voir votre cul.
Je me tourne et lui tends mon cul, dans lequel il insère, ni une ni deux, un plug qui marrache un soupire de plaisir.
- Voilà qui est mieux, replacez-vous.
Lorsque je me retourne pour me remettre au travail, je constate que deux sexes se sont joints de part et dautre du sien. Ce sont Monsieur le Marquis et Monsieur Modeni, qui ont visiblement décidé de prendre part aux festivités.
Commence alors un véritable festival masturbatoire.
Je suce lun des sexes pendant que, de mes mains, je branle les deux autres. Puis je change, recommence, et ainsi de suite.
Je ne passe au sexe suivant quaprès avoir réussi à rentrer celui sur lequel je suis en entier dans ma gorge et ly avoir maintenu quelques secondes.
La salive coule maintenant abondamment sur mon torse devenu luisant. Pourtant je ne marrête pas en si bon chemin. Tant que lon ne men donne pas lordre, je narrêterai de sucer ni nessuierai les substances qui recouvrent mon corps
Totalement absorbé par la tâche, je ne remarque pas Monsieur Trévigny qui sort du jacuzzi pour semparer dun martinet et venir se placer derrière moi.
Le premier coup qui vient siffler sur mes fesses cambrées me fait sursauter et marrache un cri étouffé par le gland de Monsieur De Viaud, confortablement lové tout au fond de ma gorge.
Cela fait éclater de rire les invités.
Je ne me déconcentre pas pour autant, et continue à sucer et à branler comme si ma vie en dépendait.
Bientôt les coups se succèdent, entre mon cul et mon dos.
Dans lintermédiaire où ma bouche est libre, entre un sexe et un autre, jen profite pour remercier respectueusement Monsieur Trévigny.
Il me semble entendre au loin les éclats de rire de la femme traiteur, qui doit voir la scène. Je ne me déconcentre pas pour autant. Lhumiliation fait partie de mon rôle de ce soir
Car oui, pour ce soir je ne suis quun esclave sexuel, avec pour seul libre arbitre le plaisir des invités. Sils ne la reprennent pas, cest quils considèrent quelle a le droit de se moquer de moi, et alors, cela me convient. Sils mordonnent de me mettre à genoux devant elle et de lui embrasser les pieds, je le ferai.
Mais pour lheure, ce nest pas leur dessein, aussi je continue à les sucer et à les branler.
Le petit manège dure un long moment, mais je ne me laisse pas abattre. Finalement, jentends Monsieur le Marquis sexclamer :
- Eh bien, jeune homme, il vous en aura fallu du temps pour vous laver ! Monsieur Trévigny vous a t-il tant rempli que cela ?
Sans marrêter de sucer, je devine que Brun est revenu de sa toilette.
Une tape sur la tête me signale que je peux marrêter. Monsieur Curval prend la parole :
- Bon, eh bien si notre petit brun est revenu, cela signifie que je peux subtiliser celui-ci pour passer à la chambre.
Et comme pour illustrer son propos, il passe son index dans lanneau de mon collier, et me fait relever, puis messuie avec une serviette et mentraîne à sa suite, toujours en tirant sur mon anneau. Docile, je le suis en gardant les bras croisés dans le dos.
Mon cur bat la chamade. Je suis envahi dun mélange dexcitation ultime, et dappréhension.
Constatant mon inconfort à marcher, il me lance :
- Allons, mon garçon, faites un effort. Vous serez bien content davoir gardé ce plug lorsque je vous présenterai mon sexe, car il est dune taille conséquente, vous en conviendrez.
Dans le salon, nous croisons M. Modeni qui, ayant fait son affaire, retourne au cur de la fête, encore tout rouge de leffort effectué dans la chambre avec Blond.
Les deux hommes se font signe, et M. Modeni fait un grand sourire accompagné dun clin dil complice à M. Curval. Je baisse les yeux.
Nous faisons un petit détour par le vestiaire des invités, pour que M. Curval se rhabille. Je lattends dans le couloir, exposé à la vue et aux moqueries des traiteurs. Japerçois furtivement Blond qui se dirige tant bien que mal vers les vestiaires et les douches des esclaves, le corps luisant de sueur et rougi par endroits.
Arrivés dans la chambre, M. Curval mordonne daller me placer à genoux sous lun des anneaux fixés au baldaquin du lit.
Jobéis et il sempare de mes mains afin de les lier à lanneau, au-dessus de ma tête.
- Désormais vous êtes à ma merci, cest bien compris ?
- Oui Maître.
Il hoche la tête dun air satisfait et se dirige vers la table où sont disposés les accessoires. Son pas est lent, et ses gestes minutieux. Il att quelque chose, sans que je ne puisse réussir à voir quoi, et fait volte-face pour revenir vers moi.
Il pose à côté de moi deux pinces à seins reliées par une chaînettes et att mes tétons entre le pouce et lindex de chaque main, puis se met à les tordre pour les durcir.
Il me place les pinces sur les seins et tire légèrement sur la chaînette, tout en me parlant à quelques millimètres du visage. Je soupire de plaisir, les yeux mi-clos.
- Vous me plaisez vraiment jeune homme, aussi je me sens obligé de vous avertir dune chose. Je ne suis pas ce quon peut appeler « un tendre » lorsquil sagit de sexe. Bien sûr, je respecterai les règles de la soirée. Mais sachez que je risque de vous malmener quelque peu pour mon bon plaisir.
Peinant à rester concentré malgré la morsure des pinces et lérotisme dégagé par son souffle chaud sur mon visage, jarticule difficilement, comme un robot :
- Je suis ici pour vous servir, Maître. Ce que vous aimez, jaime. Mes limites sont les vôtres.
- Parfait !
Et sur ces mots, il membrasse avec gourmandise, forçant sa langue dans ma bouche et tirant sur la chaînette. Il finit par la lâcher et retourne à la table pour semparer dun martinet.
À peine revenu jusquà moi, il commence à fouetter en mintimant lordre de compter.
Il semble impatient, car ses coups commencent directement à une intensité telle, quils marrachent gémissements et supplications. Pourtant je ne me laisse pas aller, et continue à compter, et à le remercier. Il tourne autour de moi, aucune partie de mon corps nest laissée pour compte.
Tout en me fouettant, il a sorti son sexe de son pantalon et a commencé à se masturber.
Finalement, lorsque le compte arrive à vingt, il se place juste devant moi, son sexe juste sous mon nez.
- Suce ! mintime t-il.
Emporté par lexcitation, il a laissé de côté son langage châtié, et est passé au tutoiement.
Jobéis.
Pendant que je le suce, il me détache les mains de lanneau suspendu.
- Mets tes mains dans ton dos.
Jobéis.
Il se retire de ma bouche, et se place derrière moi, le temps de me lier solidement les bras dans le dos, après quoi il revient me fourrer son sexe dans la bouche.
La manuvre ne dure pas longtemps : sitôt quil sent son sexe assez lubrifié, il place ses deux mains derrière ma tête pour me lenfoncer complètement, jusquà ce que mes lèvres encerclent la base de son vit.
Il reste dans cette position un long moment. Bien trop long. Jétouffe, je ne peux plus respirer. Mes réflexes de régurgitations, réprimés par ce sexe turgescent, font jaillir de ma gorge des bruits étranglés.
Enfin, il se retire, me retourne, et me plaque le visage au lit pendant que je récupère tant bien que mal mon souffle. Jai tout de même le réflexe de lever mon cul et de me cambrer, en espérant que cela lui plaise.
Il menvoie une série de violentes claques sur les fesses. Par réflexe, je me tortille pour essayer de me débattre : en vain, mes mains liées dans le dos, je ne peux rien faire. Je me ressaisis bien vite, et lui tends à nouveau mes fesses, docile.
Il les empoigne à pleines mains, puis joue dune main avec le plug qui est toujours dans mon anus.
Son autre main lâche mes fesses. Jentends un bruit de tube que lon débouche et très vite, je sens lodeur du lubrifiant.
Je suppose que dans linstant quil suit il lubrifie son sexe, mais il narrête pas de faire jouer le plug à lentrée de mon cul, ce qui ne manque pas de me faire soupirer.
Puis tout à coup, il ôte complètement le plug, mapplique une noisette de lubrifiant sur la raie, et vient directement poser son gland contre le trou pour étaler le lubrifiant. La sensation de son bout le long de ma raie procure un chatouillement des plus agréables.
La manuvre ne dure quun temps, et bientôt il commence à pousser pour sinsérer en moi.
Le terrain ayant été bien préparé par le plug, le gland pénètre sans trop de mal, mais non sans un gémissement plaintif de ma part. Pourtant M. Curval nentend pas sarrêter en si bon chemin. Il continue sa percée et, centimètre après centimètre, progresse laborieusement en moi comme un spéléologue en pleine exploration.
La douleur est non négligeable, mais lintense sentiment de chaleur qui parcourt mon corps à chaque centimètre supplémentaire ainsi que le désir ultime de satisfaire le Maître me poussent à observer la plus grand docilité.
Il me semble à chaque instant que son sexe est entièrement entré en moi, pourtant, à chaque fois, mon assaillant me montre que je me trompe en continuant encore et encore.
Enfin, il sarrête. Je le pense au bout, mais il me réserve une nouvelle surprise. Dun ultime coup de bassin, il effectue une poussée de plusieurs centimètres, et je sens son pubis se coller à mes fesses. Cette fois cest bon. Il est entré. La pénétration fut laborieuse, mais il est entré. Ce sexe est sans aucune doute lun des plus gros que jai eu loccasion de prendre dans toute ma vie.
Il me gratifie de plusieurs grandes claques sur les fesses avant de me lancer joyeusement :
- Eh bien ! Ce nétait pas gagné, mais tu as réussi à tout prendre. Maintenant voyons voir ce que vaut ce petit cul sur la durée !
Hébété, je marmonne :
- Merci, Maître.
Il rit de bon cur.
- Tu ne perds pas le Nord. Tu es une bonne petite salope, jaime ça.
Il plante ses doigts dans mes fesses et entame un retrait tactique lorsque, tout à coup, on frappe à la porte.
- Entrez. Dit calmement M. Curval.
La voix de la traiteur retentit respectueusement :
- Monsieur, désolée du dérangement. Je venais voir si vous vouliez des petits fours.
Stupéfait, je tente de tourner la tête pour vérifier que mon ouïe ne ma pas trompé. Sans succès, ma position ne mautorise aucune liberté de mouvement, je suis totalement vulnérable.
- Madame, ne me prenez pas pour un idiot. Je connais les règles des réceptions de Monsieur le Marquis, et le service en chambre ne fait pas partie de vos prérogatives.
La réponse de M. Curval me rassure, mon humiliation ne sera donc que partielle.
Il reprend :
- Cependant, japprécie votre cran. Jaime me donner en spectacle. Aussi, si votre intention était de vous rincer lil, je vous autorise à rester. Sinon, veuillez partir.
- Merci beaucoup, Monsieur ! Vous êtes trop aimable.
Il ajoute :
- Sachez que je devrai tout de même en informer M. le Marquis.
- Bien sûr, bien sûr.
Et il reprend tranquillement les choses où il sétait arrêté, pendant que la traiteur va sasseoir dans un fauteuil, à quelques mètres de mon visage.
Je peux enfin voir le visage de cette femme qui aime tant se jouer de nous, les esclaves. Il est rayonnant. Elle arbore un sourire jusquaux oreilles quand, me regardant dans les yeux, elle croise les jambes comme pour se mettre à laise et mieux profiter du spectacle. Je sens mon visage virer à lécarlate.
M. Curval achève bientôt de sextraire, en faisant bien attention à ne pas sortir tout à fait son gland. Puis il entame une deuxième pénétration, plus rapide cette fois. Sans tarder, il se retire à nouveau.
Puis vient la troisième pénétration. Puis la quatrième. Et très vite, je perds le compte.
Les coups de bassin de succèdent, et plus la cadence augmente, plus je gémis.
La douleur sest totalement estompée, et seuls subsistent le plaisir et le bonheur dêtre ainsi rempli par cet homme viril et triomphant.
La cadence augmente encore. Très vite, je mabandonne entièrement à lexcitation et hurle de plaisir.
Je veux parler, lui dire combien cest bon, mais je suis incapable darticuler. Je ne peux que gémir.
Jen oublie cette femme qui nous observe dun air moqueur en riant. Jen oublie quaprès cela, il faudra que je me lave et que je retourne au service illico. Jen oublie que, sans doute, dautres me passeront dessus dans la soirée.
Il ny a que ce sexe. Cet énorme sexe qui me pilonne. Et ces mains, qui me fessent en rythme. Et ces pinces, qui me tiraillent les seins dune façon électrisante.
Au bout dun moment, Monsieur Curval att les liens qui me retiennent les bras serrés dans le dos, et tire dessus pour me faire relever le haut du corps.
Je suis désormais à genoux, et chacun de ses assauts me fait basculer tout le corps en avant, jusquà ce quil me ramène en arrière en tirant sur mes bras. Un mouvement de balancier seffectue sur les pinces à seins qui, entraînées par la chaînette, tirent à chaque mouvement un peu plus fort sur mes tétons.
Je perds la notion du temps. Chaque fois que je couine un peu trop fort, jentends le rire inquisiteur de la femme, comme venu du lointain.
Finalement, les coups de butoir se font plus saccadés. Plus violents aussi. Ils saccompagne dun choc assez violent des cuisses de M. Curval sur mes fesses.
Je sens le sexe de M. Curval se raidir dans un dernier effort, et sans sarrêter de me pénétrer, cracher un véritable geyser de sperme en moi, alors quil me rejette la tête la première sur le lit.
Il plaque ses mains sur mes fesses, plante ses ongles dedans sans la moindre tendresse, et laisser son vit me remplir jusquau dernier spasme éjaculatoire.
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