Bertrand, Sylvain Et Le Toutou

D’un coup, Sylvain sent des gouttes tomber sur sa nuque et s’écouler lentement le long de sa colonne vertébrale. La sensation est nouvelle. D’abord apaisante, elle provoque une forme de chatouillement le long de la colonne vertébrale. Puis doucement, les gouttes se glisse dans le sillon de ses fesses. Là encore la première sensation apaisante du liquide entre les deux globes que formes ses fesses rebondies laisse la place à une stimulation chatouilleuse. Rapidement Sylvain doit remuer des fesses pour calmer le frémissement que cela lui procure à ce niveau. Dans le même temps, l’esprit de Sylvain émet l’hypothèse que son dandinement fessier doit ravir Bertrand.
Bertrand, que Sylvain ne voit pas en raison du bandeau qu’il porte sur els yeux, est affalé dans un large fauteuil. Il ne fait aucun bruit. Nu lui aussi, il exhibe une semi érection. Sa verge est petite pour un homme de son âge. A peine 12cm dans l’instant. Son corps est quelconque, ni gros, ni maigre. Elle n’est pas épaisse non plus. Mais cela ne le dérange pas. Son physique et sa corpulence sont sans caractéristiques remarquables. Bertrand à l’habitude de se cataloguer dans la catégorie des « moyens » dans tous les domaines. Tous, sauf le professionnel et le sexe. Dans ces domaines, il se sait expert et plein de ressources. La passion que lui voue Sylvain est tombée au bon moment : celui où il craignait d’avoir tout vu. Il s’est alors rendu compte que si côté « femme, il n’avait plus grand chose à découvrir, du côté des hommes, et du jeune homme qu’est- Sylvain en l’occurrence, de nouvelles et prometteuses perspectives s’offraient. D’emblée, Bertrand avait perçu le potentiel de Sylvain à se plier à toutes ses volontés. IL avait alors agi avec son jeune amoureux comme un pécheur à la ligne qui use de toutes les ruses pour que le poisson aille de lui-même là où il le veut.
Dans l’immédiat la main droite de Bertrand tient une longue laisse en cuir finement tressée. Au bout de la laisse, un monsieur âgé d’au moins soixante an.

Nu, lui aussi. Grand d’un mètre quatre vingt dix, cheveux rasés, de belle corpulence avec des muscles encore bien saillants pours on âge. Et un sexe de vingt deux centimètres de long, bien large entouré de deux testicules d’un volume impressionnant. Bertrand appelle ce monsieur « Toutou ». Son Toutou est monté comme un âne a-t-il l’habitude de dire. Pour le moment, Toutou est au repos coté sexe. En érection, il présente fièrement une verge de vingt-cinq centimètre bien raide, parfois plus que celle des jeunots de vingt ans qu’il enfile lorsque l’occasion se présente.
Sylvain ne le sait pas, et ne l’a pas deviné. C’est Toutou qui officie sous les directives de Bertrand. Le tout dans un silence absolu. Toutou obéit simplement au scénario qu’il a mémorisé et aux indications que Bertrand lui communique par signes ou par coup sur la laisse.
Toutou sait que l’on arrive à la fin de la première phase. Silencieusement ils e dit que le jeune homme doit souffrir le matir d’avoir à supporter une érection entretenue depuis aussi longtemps. Consciencieusement, il applique les instructions reçues et glisse un doigt dans la raie fessière de Sylvain. Très vite le majeur, qu’il a long et fin, glisse vers l’annus de Sylvain. Ce que ce dernier avait pris pour des gouttes d’eau s’avère en fait des gouttes d’huile. Le doigt coulisse de haut en bas puis de bas en haut, doucement, en prenant soin d’exister la rondelle annale du jeune homme. Pendant ce temps, Bertrand vient se placer à genoux, silencieusement, devant la verge de Sylvain. Ce dernier n’en peut plus, sa verge le d’un plaisir qui monte lentement du plus profond de ses entrailles. D’un coup, une giclée s’échappe du sexe de Sylvain. Le doigt de Toutou accélère son mouvement en insistant sur la rondelle sans la pénétrer. Deux gros jets de spermes s’échappent de la verge de Sylvain presque à la verticale tellement l’érection est forte. La bouche de Bertrand happe la liqueur au vol. Silencieusement, Bertrand tire sur la Liasse de Toutou et tous deux sortent de la pièce.
Sylvain reste seul, les mains toujours suspendues à sa chaine, l’érection toujours aussi forte, sa tension sexuelle à peine apaisée par l’éjaculation.
Sylvain sombre lentement dans un demi sommeil facilité par l’épuisement consécutif au traitement sexuel dont il vient de faire l’objet et au silence des lieux.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!