Collection Anne Ma Muse. Dernier Niveau Du Parking (1/1)

Je m’appelle Anne, j’ai 58 ans, je travaille comme secrétaire dans une entreprise de transports.
Je suis amie avec Chris71 qui écrit les fantasmes qui me hantent, après que je lui ai donné quelques éléments.
Exhibitionniste : histoire qu’il est en train d’écrire.
Sadomasochisme saison II : là encore en cours d’écriture.
Queues de blacks surdimensionnées, par rapport de celle de mon ami qui, du haut de ses 70 ans, fait ce qu’il peut pour me satisfaire depuis mon divorce.

Aujourd’hui, c’est loin d’être un fantasme qu’il vous rapporte.
Lisez.
Je viens de rentrer de la grande ville voisine et je me trouve sous ma douche en train de me laver désespérément la bouche et l’anus après ce qu’il m’est arrivée il y a deux heures.

J’ai commencé il y a deux jours pour une formation dans une société spécialisée dans la mise à niveau des secrétaires surtout en informatique.
Cette formation est tout frais payés, dans le cadre de la formation professionnelle.
Hier matin quand je suis arrivée, j’ai garé ma voiture au dernier niveau du parking souterrain sous la place de l’hôtel de ville.
Niveau 5, ascenseur et retour à l’air libre à deux pas du lieu de la formation.
Je m’ennuie dans ce stage, je connais déjà presque tout et c’est une fois par heure que j’apprends quelque chose de nouveau.

Je rêvasse à l’endroit où j’ai laissé ma voiture.
5e niveau, il y avait seulement deux voitures à cet étage.
Quand je vais redescendre la récupérer demain soir après le repas qui est offert dans le restaurant où nous mangeons le midi, j’espère que les caméras de surveillance fonctionneront, je ne voudrais pas me faire violer.
J’ai des fantasmes, mais celui-là ne m’a jamais effleuré.
Que pourrait-il m’arriver, un homme pourrait me saisir quand j’ouvrirais ma voiture et me pousserait sur mon siège arrière ?
Siège arrière côté droit pour y mettre ma petite valise à roulette.


Il m’attaquerait directement la chatte en glissant sa main sous ma jupe.
Je crierais très fort, la caméra devant filmer la scène et le gardien avec son gros chien arriverait et tel Zorro me sauverait.
Mais dans mon rêve éveillé, il ne vient pas.
La main arrache ma culotte.
Je hurle de plus belle.
J’arrive à tourner la tête, une bête, ce n’est pas possible, je suis poursuivie encore un black.
Beaucoup plus massif que les blacks que j’ai rencontrés pour assouvir mes fantasmes depuis que je les ai exprimés auprès de Chris71.
Je ne vois pas la verge, mais je la sens, une fraction de seconde j’ai peur vu l’engin qu’il doit posséder qu’il m’encule, mais c’est mon vagin qui est sa cible.
Mes chaires intimes sont écartelées, je sens que jamais un bâton comme celui-là n’est entré en moi.
Je continue à hurler mais de plaisir, c’est fou, je subis un viol et je suis presque à en redemander.

- Anne pouvez-vous me répéter ce que je viens de dire s’il vous plait !
- Euh…

Quel con ce prof, juste au moment où j’allais jouir, qu'un orgasme dévastateur allait me traverser !
Je me connais, je vais faire la gueule à Pierre mon amant pendant trois jours surtout si à son âge, il n’assume pas.
Bref, la formation se termine, le repas aussi, je descends par l’ascenseur jusqu’à ma voiture.
Elle est seule, plus personne, plus d'autre voiture.
Un peu tremblante, j’approche de mon véhicule, comme dans mon rêve éveillé j’ouvre ma portière arrière, je vais pour mettre ma valise, je me sens saisie par les hanches, je tombe sur mon siège les fesses en l’air.
Je n’ai pas le temps de voir plus avant, la portière de l’autre côté s’ouvre et je vois un homme cagoulé monter.
Je hurle, finies les fantasmes, je suis réellement en train de me faire violer.
J’ai crié au loup manquant une partie du cours et personne ne semble venir.
L’homme devant moi sort sa verge, elle est noire et plus grosse des plus grosses que j’ai pu voir sur Internet.

Il me prend par la nuque et me force à l’avaler.
De l’autre côté le deuxième att ma culotte, il tire, jusqu’à ce qu’elle se déchire.
Dans mon fantasme, c’est ma chatte qu’il investissait, là, il n’hésite pas à m’enculer.
Il entre, il entre.
Je suis devenue leur salope car d’un côté je suce, de l’autre je propulse mon cul vers cette verge démesurée.
Pierre m’encule, quand j’en ai envie, mon cul va être distendu à vie.
Je vais être obligée d’aller voir un spécialiste pour me faire poser une prothèse du cul.
Ce cul qui réagit, pour la fois, je jouis par l’anus.
Mes sphincters de mon fion se contractent comme jamais ils ne l’ont fait quand Pierre m’encule.
Se faire violer, boire le sperme de la verge qui se masturbe dans ma bouche et recevoir une grande giclée sur ma figure, c’est presque divin.
Je suis folle, je prends ma main et je racle tout pour le remettre entre mes lèvres et ne pas en perdre la moindre parcelle.
Où est ce putain de gardien ?
De toute manière, c’est trop tard, il peut venir.
Ne voudra-t-il pas profiter de mon cul dénudé ma robe par-dessus tête ou de ma chatte qui est restée inviolée à ce moment de mon récit ?
Je l’ai vu dans sa guérite au niveau 0, gros et adipeux.
Deux viols après que les deux gars me laissent en plan après m’avoir permise de jouir comme jamais je n’ai joui.

Je mets dix minutes à m’en remettre.
Je finis par réagir, je sors de ma voiture, ma valise est là, ils n’en voulaient qu’à mon cul
Je cherche ma petite culotte, elle a disparu, celui qui m’a enculé remplissant mon conduit anal de sperme a dû l’emporter comme un trophée.

Je me mets au volant la chatte à l’air.
Ma voiture démarrée, je remonte les cinq étages.
Arrivée devant la barrière le gardien est là, semblant m’attendre.

- Ça a été madame, j’ai beaucoup apprécié les images que la caméra sur le mur d’en face m’a renvoyées.
Je me suis masturbé autant que les deux gars qui sont venus réaliser votre fantasme.
- Voilà pour vous, merci pour ce moment de plaisir, se faire violer par deux noirs ça a été le pied, je rentre chez moi me nettoyer.

Je remets un billet de 50 € au gardien, il a été assez sympa pour fermer le dernier étage afin que les deux mâles blacks que j’ai contactés hier à mon hôtel m’ennuyant seule réalisent mon fantasme.

À quelques mètres du parking, j’arrête ma voiture devant un bar.
J’entre.
Deux magnifiques blacks sont assis au comptoir.
Sans cagoule, je pourrais ne pas les reconnaître.

- Anne, merci de nous avoir contactés, nous serons toujours à ton service pour réaliser tes envies. Tiens, ta petite culotte.
- Gardez là, c’est cadeau, mais nous avions prévu que tu me prennes la chatte.
- Ton cul était trop tentant.

Nous éclatons de rire.
Je rentre chez moi satisfaite de ce stage en entreprise.
Sur ma note de frais en divers, 50 € pour le gardien, 100 € pour chacun de mes violeurs, 250 € pour un moment d’intense plaisir, et réalisation de mon fantasme de viol, c’est presque donné.

On sonne à ma porte, je mets mon peignoir et je vais ouvrir, Pierre doit venir aux nouvelles après mon stage et mon absence.
Deux grands noirs cagoulés me propulsent au sol, déchirant mon peignoir.
Mon fantasme deviendrait-il réalité ?

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