Martine Mon Assistante
En 1985 j'ai 35 ans. Je suis le boss d'une petite agence de pub sur Paris qui emploie 6 personnes. Une équipe jeune et pleine d'idées créatives. 3 mecs et 2 filles et en plus une femme plus âgée, 45 ans environ, Martine mon assistante. Multifonctions, elle s'occupe de tout ce qui est adinistrif, compta et autres tracasseries. Elle assiste aussi aux réunions, aux briefs, et me fait des comptes rendus circonstanciés.
Généralement, le mardi matin j'ai un gros parapheur sur mon bureau avec les différents courriers à relire et signer ainsi que les rapports de réunion.
Vers 11h, je l'appelle pour que nous regardions ensemble les modifications à apporter.
Martine est une femme agréable, pas une beauté fatale, mais avec un certain charme et surtout un sens du service. Elle est efficace dans son travail bien qu'elle soit assez effacée. Mariée et mère de 2 s, je sais peu de choses la concernant, si ce n'est qu'elle habite en banlieue et semble heureuse.
Martine est donc, en ce mardi matin debout à coté de moi qui suis assis devant mon bureau. Nous parcourons ensemble le parapheur où je lui commente les modifications que je souhaite apporter. Soudain mon stylo tombe à terre, et je tends le bras vers le sol pour le récupérer. En remontant, ma main rentre en contact avec son mollet nu. Martine est vêtue d'un jupe très classique qui lui arrive aux genoux, et d'un pull léger.
Au contact de ma main, je la sens se raidir un peu, surprise par ce contact. Ce geste m'a aussi provoqué un certain trouble. Jusqu'à présent nos rapports ont toujours été très professionnels.
Je repose le stylo plus loin sur le bureau, et nous continuons à travailler. A force d'être penché sur le courrier, j'ai besoin de bouger ma posture et je me redresse en laissant mon bras pendre dans le vide.
Quelques secondes et je retourne au contact sur sa peau avec le dos de ma main. Immobile. Je tourne la main pour empaumer son mollet. Aucune réaction de sa part alors que je crains de me prendre une claque.
Enhardi, ma main commence une lente ascension et arrivée sous la jupe, fait une pause. Longue, fébrile. Ses jambes sont serrées aussi j'écarte un peu les doigts et je sens l'étau de ses cuisses devenir plus souple.
Je fais quelques commentaires sur le courrier pour rompre la tension qui nous oppresse. Ma main glisse mainenant vers sa culotte. Sa poitrine se soulève sur une longue respiration.. Elle pose 3 doigts sur le bureau, comme pour garder l'équilibre. Je lui pétris maintenant les fesses, bien fermes, rebondies. Mon majeur parcoure son sillon par dessus son sous vêtement. Nous ne parlons plus, pas un mot, juste le bruit de nos respirations plus amples.
Après avoir longuement carressé sa fente à travers la culotte, je décide de lui baisser jusqu'à mi cuisses, toujours sous la jupe, pour me donner plus de liberté... Je sens ses jambes s'écarter un peu, comme un consentement muet, et mes doigts glissent sur ses lèvres humides. Je les entr'ouvre pour acccèder à son petit bouton, que je fais rouler alors que mes doigts se mouillent complètement.
Je fais pénétrer un doigt, puis deux dans sa grotte, chaude et humide et je la branle, lentement, très lentement. Elle fléchit légèrement les jambes et s'enfonce plus encore sur ma main... Mon poignet est couvert de sa mouille abondante. Un silence pesant dans la bureau, juste nos respirations de plus en plus rapide... quand soudain, elle pose une main sur mon épaule, les 3 doigts de l'autre sur le bureau, elle s'affaise sur un son rauque, le souffle court. L'orgasme l'a emportée...
Je la laisse récupérer un instant. Je prends quelques kleenex que je lui tends et je m'essuie la main aussi..
Pas un seul mot échangé.
Merci Martine, nous reprendrons la lecture plus tard....
Martine est restée encore 7 mois dans mon entreprise, nous avons gardé ce rendez-vous tous les mardi matin.
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