48 - Zahra : Dis-Moi « Moi Ou Ton Mari ? »
48 - Zahra : dis-moi « Moi ou ton mari ? »
Dans une soirée dun ami commun, je discutais lautre jour avec Salah mon jeune ami médecin. Je le félicitais, lui et les hommes et femmes de ce métier sur leur courage face aux situations graves de leurs patients et surtout de leur sang froid face au sexe opposé qui doivent se dénuder devant eux pour les soigner. Je suis sûr que certains de leurs clients et clientes leur faisaient des avances sans quils leur répondent grâce à leurs études et leur expérience. Il ma doucement souri et ma répondu que je me trompais et que parfois, eux aussi, médecins ou pas, réagissent comme de simples êtres humains excités par le sexe. Et pour me convaincre et peut-être mexciter car je le taquinais souvent sur ce sujet, il ma raconté une de ses aventures du genre avec une patiente. Je le cite :
« Il y a quelques années quant je professais dans une autre ville, ma femme mavais demandé à prendre avec nous, dans ma voiture, chaque matin, sa voisine et amie, appelons la Zahra, car son lieu de travail est à cinq mètres plus loin de celui de mon épouse. Chaque fois, ma femme sassoit dabord à mon coté et Zahra à larrière. Arrivée au lieu de son travail, ma femme descend la première. Puis Zahra, dont le Lycée est plus loin, prend sa place à coté de moi. Je lamène à son travail puis je rejoins mon cabinet car je suis médecin spécialiste urologue et annexes. Zahra était une femme de trente ans, toujours très discrète et réservée et sa tenue toujours très stricte. Cétait dailleurs pour son attitude sérieuse que ma femme était devenue son amie et avait accepté de me la confier pour lamener à son travail.
Un jour, alors que nous arrivions près de son travail, avant de descendre, Zahra ma demandé si je pouvais la conseiller pour ses problèmes de santé. Selon ses dires, elle avait hésité longtemps, à cause de son amitié pour ma femme, mais sans mexpliquer pourquoi. Mais ce jour la, elle a pris son courage et a décidé de se confier, non seulement à lami pour garder son secret, mais surtout au médecin spécialiste car son problème concerne ses organes génitaux.
Ce jour la, Zahra était très différente de celle que nous connaissions. Sa tenue était totalement différente et très sexy. Elle avait une robe avec des boutons jusquaux ras des cuisses et tenue par une ceinture bien serrée, ce qui dégageait outrageusement son derrière et ses larges fesses. Le col de la robe, assez bas permettait dadmirer très largement le début du sillon de ses seins qui gonflaient le vêtement de manière arrogante. Ainsi vêtue, Zahra était une très belle femme, au corps bien rempli et quant elle sourit, ce quelle faisait rarement auparavant, elle devenait irrésistible. Même si je ne voulais pas montrer assez directement mon étonnement, jétais ébloui de sa féminité, de sa tenue et du parfum que son corps dégageait. Ce jour la, dans mon cabinet, cétait réellement une femme étrangère et pour la première fois, je la désirais sexuellement. Jai tout de suite pensé quelle me draguait sous lexcuse de faux problèmes génitaux, et jétais preneur.
Ensuite, elle me détailla son soi disant problème. Elle était mariée depuis plus de trois ans et avait des relations sexuelles normales et régulières avec son mari, sans aucune protection vaginale, et pourtant elle narrivait pas à être enceinte. Et comme son mari lui avait dit quil avait déjà eu un dans un premier mariage, elle était inquiète sur elle-même. Cette situation commençait à la bloquer sexuellement et lénervait en permanence. Elle a donc décidé de voir un spécialiste et cest à moi quelle sest adressée, dabord comme mari de son amie. Jai fait semblant dapprouver son choix et comprendre ses inquiétudes. Javais hâte de lexaminer, nue, et de caresser ce corps qui commençait à maffoler. Mon zob était déjà bandé à fond et mon corps brulait de désir.
Elle sest étendue sur le lit de consultation et jai commencé à dégrafer les boutons de sa robe en lui conseillant de fermer les yeux car le docteur et son patient doivent rester très calmes pendant losculation.
Mais je me suis un peu retenu et jai dégagé complètement sa robe pour la poser sur une chaise. Puis, jai commencé, soi disant mon travail dauscultation en appuyant, plutôt caressant, avec les mains, certaines parties de son corps en lui demandant de me dire ce quelle ressentait. Elle avait toujours les yeux fermés, quoique je la soupçonne de mobserver en douce sous les paupières. Elle ma avoué que mes mains étaient douces et lui chauffaient la peau. Puis jai mis mon oreille et ma joue sur ses seins, en appuyant, comme pour écouter son cur que je sentais battre rapidement, preuve quelle était aussi excitée que moi. Je me dis, mais quai-je à faire avec son cur puisque cest son sexe quelle voulait que jexamine. !
Jai donc collé ma joue avec insistance sur ses deux seins et commençais à les écarter avec mes doigts pour mincruster entre elles. Puis jai mis ma main dans son dos et jai dégrafé et dégagé son mini soutien pour libérer les trésors de sa poitrine. Elle restait les yeux fermés pendant que je touchais et appuyais sur les gros boutons gonflés de ses seins lourds et hauts dressés. Sa trentaine donnait à ses seins une douceur et une consistance affolantes.
Alors, jai descendu ma langue et ma lècherie sur son ventre et son nombril pendant quelle restait silencieuse, abandonnée et haletante. Je ressentais son corps qui commençait à vibrer et mon excitation arrivait à son comble. Javais envie de la violer, la, sur la table, mais jai préféré prolonger mes caresses, mon avance dans le désir. Enfin, ma langue arriva à hauteur de son slip. Je humais son odeur forte, excitante, féminine, sexuelle. Jai ôté ma blouse et lai jetée sur la chaise. Mon zob qui me tenaillait, gonflait mon léger pantalon avec une énorme bosse bien visible. Jai mis ma langue sur les lèvres de son sexe, alors Zahra, enfin, poussa quelques gémissements, des « aaahh ! » prolongées de jouissances et quelle essayait d. Mais, vaincue par le désir, elle ma murmuré, supplié doucement par des soupirs saccadés, davoir pitié delle, de la délivrer de ce tourment qui lui brulait la chatte. Oui, elle a eu le courage de mavouer tout cela dans des soupirs murmurés.
Alors, fébrilement, je lui ai enlevé le slip pour voir enfin, en entier, sa belle chatte qui frémissait et qui coulait de désir, une vraie fontaine de jus féminin à lodeur ensorcelante. Fou de désir, jai foncé dessus. Avec avidité, jai léché sa chatte de lextérieur, sur ses monticules dont la douceur aurait fait éjaculer directement un jeune moins expérimenté. Ensuite jai introduis ma langue dans sa chair au teint rose bonbon pour la gouter de lintérieur. Totalement prise par le désir, Zahra essayait de soulever pour se tendre vers moi, alors, jen ai profité pour prolonger ma main vers son derrière.
Puis, pour avoir un accès total à sa chatte, je lui ai soulevé une de ses jambes pour la mettre sur le muret coté du lit. Ainsi, sa chatte était entièrement à moi et je pouvais la sucer entièrement, de lextérieur, de lintérieur et écartant ses lèvres je la pénétrais avec délice en buvant son nectar. Ma langue, mon doigt et même mon nez pénétrèrent dans sa chatte pour la humer, la sentir et la gouter. Jétais encore plus ébloui et excité. Je la baisais avec ma langue et son clitoris que je léchais en cadence gonflait comme une bite. Zahra nétait plus maitresse delle-même et criait de plaisir et de jouissances. Je changeais parfois ma langue par mes doigts dans sa chatte et la branlais vigoureusement et elle hurlait de jouissances. Ainsi, elle a eu un orgasme bruyant. Jai un peu ralenti pour la laisser souffler, puis jai repris mes branlements avec les doigts et les lèchements avec mes lèvres et elle a eu très rapidement, un second orgasme aussi gruyant et mouillé que le premier.
Ce que je ne comprenais pas, cest pourquoi je continuais à la baiser avec mes doigts et ma langue au lieu dy plonger mon zob qui, pourtant, me faisait mal à force dêtre gonflé. Je dois certainement avoir un problème psychologique à étudier plus tard. Même quant je ralentissais mes branles sur sa chatte et que je continuais avec mes autres doigts, ma branle vigoureuse dans son cul, Zahra éprouvait autant de plaisir. La preuve, cest quelle remuait ses fesses, en cadence avec mes caresses et je sentais son anus qui vibrait par ses pressions internes. Jai aussitôt pensé que cette femme était formidable, une vrai femelle de sexe, devant et derrière, et je commençais à comprendre quelle sest facilement donné à moi. Elle était femme même dans ses murmures « non !non !aaahh !maman ! » et « continue !continues !doctor !pousses ! ». Elle disait cela en arabe bien sur (ya yemma ! zid ! doctor ! douk !) et ça donnait à ses paroles un accent et un sens encore plus sensuel qui amplifie lexcitation.
Elle a enfin ouvert les yeux et me regardait avec fougue et me dit, toujours en arabe affolant « doctor !tu mas échauffée !excitée !alors termines !baises moi ! donnes moi ton zob ! vite » (doctor ! sakhanatni ! 7aragatni ! aya kammal ! nikeni ! hatli zebek ! fissa3 ! Ses paroles me brulaient, maffolaient mais je continuais seulement mes caresses digitales profondes et elle ajoutait presque avec violence contre moi : « niques moi ! niques moi ! ô doctor !niques moi sil te plait !plonge ton zob dans ma chatte ! vite! » (nikes moi ! ô doctor ! sa7a nikes moi ! douk zebek fi souti ! fissa3). Maintenant, elle avait élevé ses jambes et écarté ses cuisses le plus haut possible, totalement offerte pour le plaisir de la baise.
Cest alors que jai été vaincu par le désir. Jai descendu mon pantalon et dégagé mon zob. Je lai dabord offert à sa bouche pour lui ordonner de me sucer comme une vraie femme qui aime le sexe des hommes. «t7abi zeb rjaal ! haki zebi !moussih !thouguih !koulih ! » (tu aimes le zob des hommes ! tiens mon zob ! suces le ! goutes le ! manges le !). Alors, elle empoigna mon zob gonflé à bloc pour lenfoncer dans sa bouche chaude et commença à me sucer et me lécher comme une affamée du sexe et des plaisirs sexuels. Parfois, elle le mordillait doucement puis elle le gobait avec avidité en essayant de lenfoncer au fond de sa gorge.
Cette énergie quelle prenait en manipulant et suçant mon zob me donnait des soupçons sur ses relations sexuelles avec son mari. Et tout en continuant à me sucer le zob, une de ses mains est allée me caresser et malaxer mes couilles. Puis elle démarra une branle vigoureux le long de ma hampe tout en gardant mon zob en partie dans sa bouche chaude, une branle énergique et avec fougue affolée de plaisir. Elle prenait plaisir à manipuler mon zob, alors que juste avant, elle désirait que je lenfonce dans sa chatte. Elle me regardait et me suppliait de la baiser. Alors, jai retiré mon zob de sa bouche, pour le placer, juste entre les lèvres de sa chatte. Puis, me baissant légèrement et le prenant dans une main, jai commencé à le frotter et tourner sur les lèvres de sa chatte et sur son clitoris bien dégagé et gonflé. Puis jai enfoncé avec violence mon zob dans sa chatte, en mordillant les bouts de ses seins. Elle hurlait de plaisir « doukou !doukou ! fissa3 ! » (enfonces le ! enfonces le ! vite !). Alors, doucement, jai poussé mon zob dans sa chatte. Dès que le gland a bien pénétré, elle a poussé un cri de victoire et de jouissance. Puis, et avec plus de violence, jai enfoncé mon zob jusquaux couilles. Elle a encore hurlé beaucoup plus fort et ma enfoncé ses ongles dans le dos et entouré ma taille de ses jambes et cuisses.
Mes doigts plongés dans son cul dune part et mon zob dans sa chatte, jai commencé une série de vas et viens puissants et accélérés car je ne commandais plus ma volonté. Mon zob était devenu le maitre de la situation et il nous amenait dans cette saillie animale par de violents vas et viens. Maintenant, moi aussi, le haletais et même gémissais bruyamment de plaisirs et de jouissances. Zahra avait fermé les yeux et plongeait dans un coma de jouissances sexuelles. Jétais moi aussi totalement envouté et ne maitrisais plus rien. La machine sexuelle de mon zob et de la chatte fonçait à plein régime et rien ne pouvait plus larrêter avant lexplosion finale. Dans cette course folle, jai eu la sensation que Zahra a eu au moins un orgasme hurlant et qui ma inondé le zob mais on ne pouvait rien arrêter. Mes coups de reins étaient tels que le lit de consultations oscillait dangereusement et risquait de sécrouler. Enfin la délivrance arriva et jai éjaculé dans sa chatte des litres de sperme chaud sans marrêter. Puis je me suis écroulé sur la femme, presque totalement étourdi.
Nous sommes restés ainsi, un long moment soudés lun dans lautre. Prenant conscience, jai constaté que mon zob avait fléchi en partie dans la chatte de Zahra. Je me suis redressé et mon sperme coulait sur ses cuisses et sur la table. Elle restait toujours apparemment inconsciente, les jambes totalement écartées, le sexe ouvert. Cest a cet instant que jai pris conscience que je lui avais bien ouvert et niqué la chatte jusquaux couilles et que nous avons éprouvé tous les deux de la jouissance à fond. Mais je désirais encore gouter de son corps. Alors je lai retournée sur le ventre et jai frotté mon zob sur le sillon de son cul. Cétait un formidable cul, des hanches à faire bander un énuque, larges, blanches, charnues et douces. A ce spectacle merveilleux, mon zob sest rapidement regonflé. Alors, jai écarté un peu son anus et jai poussé fortement mon zob qui a difficilement pénétré sa Terma.
A ce contact, Zahra sest réveillée et poussé un grand cri de douleur. Je me suis bloqué tout en mexcusant car je croyais que son anus était plus souple. Je Tout en mexcusant plusieurs fois je lui ai posé la question si elle avait déjà sodomisé et elle ma presque répondu par la négative. Elle a essayé de remuer du derrière pour se débarrasser de mon zob mais je lui ai conseillé de rester immobile quelques instants et son cul va shabi à mon zob. Quant la douleur sest atténuée, jau retiré doucement mon zob. Puis jai plongé sur sa Terma avec ma bouche et mes lèvres et jai démarré une série de lèches et sur les fesses et sur son anus. Après plusieurs lèchements, son anus commençait à se détendre, alors, jai enfoncé doucement, le bout de ma langue et je lui ai fait quelques lapements tout en lui massant les fesses et la Terma. Au bout de plusieurs minutes, sa langue pénétrait un peu plus et Zahra commençait à remuer du derrière. Jai compris quelle shabituait à la pénétration dans son cul mais jai décidé de patienter encore plus.
Je lui massais les hanches et les fesses, je pénétrais un doigt puis deux dans lanus et les remuaient doucement en branle très courte et en les écartant pour assouplir lentrée. Puis je reprenais avec ma bouche et mes lèvres. Mon autre main nétait pas restée immobile car je sui allé lui caresser la chatte et le clitoris par-dessous. Et au bout dun moment, Zahra sest échauffée, et elle ma demandé dessayer encore de la pénétrer par la Terma. Décidammant elle voulait tout expérimenter. « rou7 ! doctor ! douk zebek fi teremti ! nikes bessa7 bi chouwaya ! » (vas y ! doctor ! enfonces ton zob dans ma Terma ! baises moi mais doucement !). Jétais impatient depuis un moment, alors jai recommencé à gliser et frotter mon zob gonflé, entre ses fesses. Je marrêtais seulement un peu quant jarrivais au niveau de lanus et je poussais légèrement pour louvrir. Au troisième essai, mon gland pénétra en partie, alors jai continué et enfin, il pénétra totalement. Certes Zahra poussa quelques gémissements mais elle mencuragea « doukou ! doukou ma tkhafach ! zebek la7lou ! bessa7 ch7aal khchine ! » (plonges le ! naies pas peur ! ton doux zob ! comme il est gros !).
Alors jai poussé et je lai enfoncé petit à petit jusquaux couilles. Quant mon ventre a claqué sur ses fesses, Zahra a crié de plaisir « aaahhh ! doctor ! ch7aal mtiine zebek fi qari ! kheyr mine souti ! 7oukou ! 7oukou ! » (aaahhh ! doctor ! comme il est puissant ton zob dans mon cul ! mieux que dans ma chatte ! ). Jai compris quelle commençait à gouter les charmes de la sodomie. Avoir un zob plogé dans une Terma a toujours éta une jouissance spéciale aussi bien pour les femmes que pour les hommes. Ce sont des sensations de pénétration et de domination toutes nouvelles et follement jouissantes. Et Zahra commençait à en jouir. Alors, jai démarré mes vas et viens de plus en plus vigoureux, puissants et accélérés, tout en la tenant fortement par les hanches. Zahra soulevait son derrière pour se pousser encore mieux vers mon zob et moi je trouvais mon aise dans cette position. Jétais monté sur la table et sur Zahra et je jouissais mieux que tout à lheure.
Me penchant encore plus, jai envoyé mes mains par-dessous son corps et jai empoigné ses seins et tiré dessus à lui faire mal, mais elle semblait aimer cela car elle murmurait toujours « nikni ya doctor ! nikni mine lor ou mine goudam ! nike ma tkhafach ! hani leyk ana ou souti ou teremti ! » (niques moi ô doctor ! niques par derrière et par devant ! niques et naies pas peur ! je suis à toi moi, ma chatte et ma Terma !). Et elle continuait ainsi pendant que je la besognais par derrière. Je lui tirais les cheveux et elle me demandait de continuer plus fort. Elle semble aimer à être violentée dans son corps et dans ses organes sexuels. Elle semble en avoir besoin pour aboutir au plaisir et à la jouissance. Pendant tout ce temps, je ne sais pas si elle avait eu des orgasmes dans sa chatte alors que je lenculais par derrière. Mais quant je suis arrivé au bout de mon plaisir et que je lui ai dis que jallais éjaculer, elle ma demandé de la retourner pour lui remplir encore une fois sa chatte. Alors, rapidement jai retiré mon zob de sa Terma et elle sest position sur le dos. Et après avoir branlé un peu mon zob pour lui garder sa chaleur et son gonflage sexuels, je lai replongé violemment dans sa chatte. Encore trois ou quatre vas et viens accélérés et jai éjaculé fortement pour la seconde fois dans la chatte de Zahra. Quatre jets puissants de sperme lui ont inondés sa chatte et Zahra a poussé un hurlement de jouissance, de délivrance. Je voyais sur son visage une béatitude extrême, une sorte de délivrance et de victoire.
Jai compris quenfin Zahra venait davoir une connaissance nouvelle et jouissante de sa chatte. Elle avait senti que maintenant, sa chatte sest réellement ouverte, débloquée, offerte aux plaisirs du sexe. Et que même sa Terma, en phase avec sa chatte, s était aussi ouverte et offerte aux zobs et sans honte ni complexes. Sa Terma a été élargie, un peu par la violence de mes coups de zob et par la douleur enfin maitrisée. Mais mon traitement, certes un peu violent, a été efficace sur cette femme bloquée. Ce nétait pas totalement exprès car javais été ébloui, séduit et très excité par son corps, le gonflage immédiat de mon zob en a été la preuve évidente, mais le résultat a été presque, disons médical.
Et puis, brusquement, elle changea dattitude et commença à pleurnicher. Elle ma avoué dans un murmure « ô doctor ! jai honte ! pourquoi avons-nous fais cela ! comment pourrais-je me comporter, maintenant, avec mon amie, votre femme ! ». Je lui ai conseillé de garder ce secret entre nous, car on a été fous, tous les deux. Cependant, je lui ai dis que jai eu beaucoup de plaisir avec elle car elle était une très belle femme avec un corps merveilleux et que jespérais quelle a été aussi très heureuse de nos ébats. En effet, baissant les yeux et dans un murmure, elle ma avoué quelle n »avais jamais ressenti de telles choses avec son mari et quelle souhaitait seulement être débloquée pour er. Mais elle ne recommencera plus à tromper son mari. Puis, elle est parti toujours en pleurnichant un peu mais radieuse sexuellement. Me rappelant ses ardeurs durant nos ébats sexuels, jétais certain quelle sétait libérée et débloquée totalement. Dommage quelle refuse de refaire lexpérience car elle était réellement chaude sexuellement avec un corps merveilleux bien rempli.
Par la suite, nous navons pas eu dautre contact sexuel, mais un mois plus tard, elle ma demandé une seconde consultation. Je lai reçue dans mon cabinet. Elle semblait encore ennuyée comme la dernière fois. Je lui ai dis « La dernière fois, tu avais un problème de manque dement ! et cette fois, quest ce qui se passe ? ». Elle me répondit dans un murmure et un sourire de coin comme si elle désirait mavouer un secret : « je viens te dire que mon problème, cette fois ci, cest que je suis engrossée ! ». Jai étais très étonné mais jétais très content pour elle et son mari. Je le lui ai dit, mais comme elle continuait à me lorgner du coin de lil avec un sourire complice, jai compris. Alors jai hurlé : « Pas de moi ! cest impossible ! ».
Elle a baissé la tête et a continué « jai fais le test de grossesse et il a été positif, concluant ! ». Je restais, toujours choqué mais encore incertain elle me regardait toujours, attendant mes conclusions de médecin. Est-il possible que les violences de nos ébats, de mon zob et de mes éjaculations abondantes dans sa chatte qui ont eu des résultats ? Elle ma dit quaprès nos ébats, ses nouvelles relations sexuelles avec son mari ont été nettement meilleures quauparavant et quils ont eu du plaisir, et quelle pense quil a réussi à mengrosser ! ». Jai été assez soulagé de son diagnostic mais javais quant même quelques doutes. Après tout, dans quelques mois, on verra le résultat, moi ou le mari ? Quelle importance !
Et ainsi, mon ami docteur Omar ma avoué quil était aussi un homme qui aime les belles choses, les plaisirs des chattes et des sodomies, un homme normal en définitive !
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