Lucienne
La présence de notre gendre à la maison pour plusieurs semaines, et ses regards ,révélateurs, sur ma petite femme , a fait resurgir un souvenir.
Nous étions en mai 68, pas encore marié, mais vivant depuis plusieurs semaines chez mes futurs beaux-parents ; pour moi, en raison des événement pas de cours à la fac de médecine, mais toujours mon emploi de nuit dans une clinique pour me payer mes études , ma future travaillant à lhosto. Lorsque je rentrais de mes nuits, avant un sommeil réparateur, il me fallait une bonne douche pour me décontracter.
Mon beau père, où presque, lui était sur la route du lundi au vendredi soir, ce qui finalement me laissait seul dans la journée avec Lucienne, sa femme au foyer. Autant mon beau père était cool, autant elle était bipolaire, tantôt charmante, tantôt agressive , sans que rien ne le laisse prévoir, et de plus très invasive, toujours à la recherche de renseignements nous concernant, ce qui parfois était très gênant surtout quand il sagissait de questions très personnelles sur notre vie amoureuse.
Après une nuit assez difficile, comme à mon habitude, jai occupé la salle de bain, sans doute trop longtemps, car sans prévenir, Lucienne est rentrée, me demandant si jen avais encore pour longtemps. Surpris, je nai pas eu le temps de me retourner, et elle a pu constater de visu, la raideur de mon sexe, bandé comme à chaque fois que je me douchais. Sans être un étalon, il nen reste pas moins que je suis bien monté, 22 cm, mais surtout avec un très gros gland, toujours décalotté. Surprise de la vue sans aucun doute, après de longues secondes, elle sest retirée, non sans avoir pu retenir un oh de surprise. Un peu gêné, je me suis réfugié dans ma chambre pour un repos attendu, mais très long à venir.
Deux jours plus tard, alors que jétais à nouveau sous ma douche, elle est à nouveau rentrée, avec cette fois le prétexte de mapporter une serviette sèche ; la provocation était évidente, car sa nuisette , plus que transparente, laissait découvrir tous ses charmes.
Un peu perdu par la situation, je nai cependant pas pu retenir une érection ; déposant sa serviette, sans quitter du regard ma tige bandée, elle sest approchée, et avec un sourire malicieux, elle ma dit :
« cest moi qui te mets dans cet état ? » Que répondre ?, je suis totalement bloqué devant lincongruité de la situation ; en effet elle me donne des envies dans sa tenue, excitante, sexy, provocatrice, mais en même temps , cest la mère de ma future femme. Cela ne semble pas la troublée, bien au contraire , car se rapprochant , elle sempare de ma tige et la caresse ; jessaie de me retirer, mais difficile de lui résister et finalement, elle sen empare , glissant ses mains , jusquà mes couilles.
« elle a de la chance ma fille ; jean lui nen a quune petite et de plus il ne soccupe pas souvent de moi ». Tétanisé, je ne résiste pas, et je la laisse me branler doucement. Ses mains sont douces, efficaces et quand elle se penche pour lemboucher, je lui att la tête pour quelle la gobe complétement ; sa bouche avale le gourdin, qui bute sur le fond de son palais ; elle se retire, à la limite de l, puis me regardant fixement, elle me dit « je sais que tu vas bientôt me faire jouir, mais là cest toi qui va en profiter » à nouveau , elle me branle avec ses lèvres, tout en me triturant les bourses, pleines de semence. Je ne résiste pas longtemps, et alors que jessaie de me retirer, elle me maintient , et cest dans sa gorge offerte que je jute, à longs jets, , lui emplissant la bouche, semence quelle déglutie péniblement, avant de se redresser et de membrasser, les lèvres pleines de jute.
Avant que jai pu réaliser ce qui venait de se passer, elle se retire et me laisse en plan, encore secoué par mon plaisir, mais aussi par lhorreur de la situation.
« jai envie de toi ; j entends ma fille jouir parfois la nuit quand tu lui fais lamour et jai envie que tu men fasses autant ; rassures toi, je sais être discrète , et tu pourras faire de moi ce que tu veux ; viens me faire lamour, jai envie de jouir sous la pénétration de ta queue » sans me laisser le temps de lui répondre, elle plaque sa main sur mon bassin, découvrant la rigidité de mon braquenard ; « tu vois elle aussi à envie » me prenant pr la main, elle mattire dans sa chambre.
En arrivant, elle me retire rapidement mes vêtements, et elle me pousse sur le lit ; allongé sur le dos , la tige bandée au-dessus de mon ventre, je reste immobile ; elle a envie de mener les débats et cela me plait ; me faisant face, elle écarte lentement sa chemise, découvrant totalement son corps ; cest la première fois que je la vois complétement nue et je reconnais que cest une très belle femme ; en se cambrant, elle fait saillir encore plus sa poitrine quelle caresse, titillant ses pointes saillantes ; elle me provoque, jouant avec son corps, et quand à son tour, elle sallonge sur le lit, outrageusement, elle écarte ses cuisses, dévoilant ses petites lèvres , roses, recouvertes de cyprine, d où ressort la pointe de son clito .
« jai trop envie, prend moi, jai envie de ta queue ; fais-moi jouir, mon corps te désire, mon ventre à envie que tu le remplisses, que tu le fécondes » ; cest lorage dans ma tête et comme un fou, lui relevant les jambes sur mes épaules, ce qui fait bailler encore plus la chatte offerte, je présente mon gland à lentrée de la grotte avide de possession et dune traite , je menfonce dans son intimité ; la surprise ou la force de la pénétration, lui fait pousser un oh,, puis sagrippant à ses genoux pour mieux soffrir, elle mencourage « oui mon jeune amant , défonce moi, prend possession de ma grotte, elle mattends que cela , fait moi jouir, fais de moi, une femelle affamée de ton sexe »
Sans plus réfléchir, je la possède totalement, enfonçant ma queue le plus profond possible, avant de ressortir pour mieux la pourfendre à nouveau ; mon gland distend sa moule, qui peu à peu sélargie et se remplit de cyprine ; pour ne pas jouir trop vite, je me retire et frotte ma tige sur son bourgeon gonflé et sur ses petites lèvres rougies par les frottements sur mon sexe ; à chaque fois que ma queue la réinvestie, sa respiration saccélère signe de la montée de son plaisir. Ma queue baigne dans son plaisir et coulisse de plus en plus librement dans sa grotte dévastée. Ne pouvant plus me retenir , je la pilonne un peu plus brusquement, avant de me répandre dans son ventre qui réclame ma semence ; quand mes jets frappent le fond de sa matrice, un grondement monte de sa gorge avant déclater bruyamment ; je dois lembrasser pour atténuer la puissance sonore de sa jouissance.
Quand je me retire de sa chatte, doù sécoule le mélange de nos sécrétions, elle membrasse tendrement puis mentourant de ses bras , elle me dit « tu viens de me donner beaucoup de plaisir ; mon ventre est plein de ton sperme et jai encore envie de toi ; je suis à toi, tant que tu le voudras »
finalement , elle a été ma maitresse , pendant toute la période des événements, soffrant non seulement à la possession de sa chatte , mais aussi moffrant son petit trou (une première pour moi), ainsi que sa bouche pour que je jute dedans.
5 ans plus tard, devant lattitude de mon gendre, jai raconté à ma douce épouse, lépisode Lucienne , mais aussi le fait que javais compris que Philippe avait envie delle et que je nétais pas contre. Lavenir le confirmera.
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