We Guet Apens 1/3 : La Journée

Le jeudi en fin d’après midi, je reçu n appel que je n’attendais pas de Didier.
Il me proposait de passer le we ensemble du vendredi soir au lundi matin.
J’étais plus que ravie, je voulais même le voir le soir même, mais il était occupé.
Je sautais sur un pied comme une adolescente, j’avais eu une hausse de moral vertigineuse.
Je préparais mes affaires pour le we et me couchais assez tot pour être en pleine forme, afin de le faire craquer.
Le vendredi me parut interminable et dès que pu partir je ne me suis pas faite prier.
Je rentrais chez moi pour me préparer et être plus que sexy et ravissante.
Je faisais tout pour lui plaire, chemisier blanc, jupe un peu en dessous de mi cuisse, porte jarretelle, sans culotte ni string, bas couture, talons hauts noirs et imperméable blanc cassé. Je sais qu’il affectionne cette tenue.
Je prenais un taxi pour le rejoindre, j’étais plus qu’impatiente.
Lorsque je suis arrivée, j’ai sonné au vidéophone et il m’a ouvert.
Une fois chez lui, nous nous sommes embrassés longuement, il m’a plaqué sur le mur comme souvent et surtout comme j’aime
Il ne tarda pas à me soulever ma jupe pour me caresser « tu n’a pas mis de culotte »
Moi « non, j voulais etre disponible et être salope comme tu aimes »
Didier « tu es hyper sexy et craquante » et de rajouter « il va falloir que je te punisse »
Moi « me punir pourquoi »
Didier « pour ne pas avoir de culotte »
Nous nous sommes mis à rire
Je me suis agenouillée pour lui sortit son sexe et l’engloutir comme une affamé.
Je dégoulinais
Au bout de 5 minutes il me prit par le bras pour me retourner face au mur, me soulever ma jupe et m’embrocher d’un coup.
J’étais tellement trempée qu’il est entré sans aucun problème
Il me pilonna sans ménagement encouragé par mes vulgarités « oui c’est bon, défonce moi mon chéri comme une salope, je suis ta salope ouiiii, encore »
Il sortit de moi pour me mettre à 4 pattes sur le canapé et de nouveau me besogner.


Je savais qu’il voulait me sodomiser, car il étalait de la salive sur mon petit trou, cela n’a pas tardé, il s’est enfoncé dans mes fesses tout en douceur comme j’aime.
J’avais orgasme sur orgasme, je n’arrêtais pas.
Nous avons passé la soirée et la nuit à batifoler.
J’étais bien, heureuse et comblée.
Nous avons pris le petit déjeuner au lit pour remettre ça après.
Nous nous sommes levés en fin de matinée pour ensuite nous promener.
J’avais décidé de la faire craquer, jupe mi cuisse, escarpins talons aiguilles top moulant, petite veste et mon imperméable, portes jarretelles, sans string ni culotte.
Il m’a dit en sortant « tu es ravissante »
Moi « je fais au mieux pour te plaire »
Didier « mais tu me plais énormément et tu me plairas encore plus avec ça»
Il me tendit un œuf vibrant que je me suis introduit dans le vagin.
Moi « tu veux me mettre en trans »
Didier « oui car tu es encore plus belle lorsque tu es excitée et que tu as envie. Tu as les yeux qui brillent »
Je me sentais plus que bien, il était aux petits soins avec moi tout en étant coquin comme j’aime.
Nous nous sommes baladés plus que gentiment, avec des orgasmes repétitifs dus à l’œuf vibrant.
Nous avons déjeuné léger.
J’étais sur un nuage, il me faisait plus que craquer.
Nous remontions une rue d’un quartier huppé de Paris et en passant devant une vitrine, il s’arrêta en me disant « viens on va rentrer, j’ai vu quelque chose qui va t’aller à merveille »
Nous étions devant un magasin de grande marque.
Nous sommes entrés et en s’adressant à une vendeuse « nous voudrions essayer cette paire de bottes »
J’étais plus que surprise.
Une belle paire de bottes, talons aiguilles assez haut et qui remontaient assez haut sur les jambes. Pas des cuissardes.
Je les ai passées, en faisant attention avec ma jupe de plier les jambes sur le coté pour éviter que la vendeuse, qui était un peu du style vielle France’ ne voit pas le haut de mes bas et que je n’avais pas de dessous.

En me regardant dans la glace je me trouvais plus que sexy, mais un peu provocante quand même.
Dans le style que j’affectionne le porno chic.
Cela me fit instantanément mouiller
Didier qui m’avait laissée tranquille avec œuf vibrant, que j’avais même oublié, a du s’en apercevoir et l’a mis en route à distance.
L’excitation n’a fait que monter à la vitesse grand « V »
Je lui ai jeté un regard pour lui demander d’arrêter
Il m’a souri en me disant « tu es vraiment ravissante ma chérie »
Mon excitation continuait d’augmenter. Je ne savais pas si j’allais tenir longtemps avant d’exploser.
Et pour ne rien arranger, Didier montra une autre paire de bottes à la vendeuse « vous pourriez, s’il vous plait, faire essayer à madame ce modèle »
Je n’avais pas bien vu le modèle désigné et je suis allée m’assoir.
Lorsque je me suis assise, cela a accentué les vibrations et mon excitation .
Je me suis relevée immédiatement, comme s’il y avait quelque chose qui m’avait piqué les fesses, pour limiter les effets et surtout ne pas exploser, tout en allant vers Didier « Arrête un peu, je ne vais pas tenir »
Didier « tu es vraiment ravissante Ma chérie »
Moi « je fais un peu vulgaire, avec ces bottes »
Didier « non pas du tout, tu fais très femme du monde libérée »
La vendeuse arrive dans les entre temps avec l’autre paire de bottes
Moi « arrête les vibrations pendant que je suis assise, s’il te plait »
Didier « oui parce que tu es sage »
Il arrêta les vibrations, j’avais plus que chaud et je dégoulinais, je sentais la cyprine couler sur le haut des mes cuisses. Je retirais mon imper.
Je m’asseyais doucement, quelle fut ma surprise lorsque je vis la longueur des bottes.
Je fis mon cinéma avec les jambes sur le coté pour retirer les premières et passer les suivantes.
Elles me montaient au dessus du genou et avec ma jupe courte, cela faisait mauvais effet.

J’avais l’air d’une salope élégante.
Moi en me levant et en me regardant devant la glace « oui c’est moyen »
Didier « oui c’est un style »
La vendeuse « elles sont différentes des premières »
Didier « elles te vont bien aussi »
Je me voyais un peu comme une catin, ce qui me faisait mouiller encore plus.
Didier s’en apercevant remis l’œuf vibrant en route en me disant « repasse ton imper, pour voir ce que ça donne »
Je me dandinais pour essayer de limiter les effets de l’excitation créé par le sex toys.
Une fois l’imper passé, j’avais l’air d’une pute de luxe.
Mon excitation montais encore, je regardais Didier pour qu’il comprenne d’arreter.
Mais il me sourit, très amusé par la situation.
Je restais debout en me regardant dans le miroir.
Didier « elles te plaisent, tu veux les garder aux pieds »
Moi « non, nous ne prenons pas celle la » et de rajouter doucement en m’approchant de lui « arrête le sex toys, je vais aller m’assoir, sinon je vais exploser en plein magasin »
Je dégoulinais.
J’ai pris mon temps pour aller me reassoir.
Il stoppa les vibrations en disant « repasse les première ».
Je le regardais et mon contorsionnais pour les repasser en pliant mes jambes sur le coté.
Je me suis relevée, elles m’allaient bien, même si j’étais provocante
Didier en s’adressant à la vendeuse, « nous vous les prenons » et il remit les vibrations.
Moi « je les garde aux pieds »
Didier « oui, elles te vont très bien »
La vendeuse « c’est vrai, elles vous vont à merveille »
Il modifiait le rythme de vibrations. Je me contenais du mieux que je pouvais.
Nous sommes sortis, je l’embrassais pour le remercier en lui disant « merci mon chéri, mais arrête de jouer avec le sex toys sinon je ne vais pas tenir longtemps »
Didier « c’est bon non »
Moi « non arrête, je te ferais tout ce que tu veux à la maison »
Nous avons regagné la voiture toujours avec les vibrations.
Je me contenais, mais pour combien de temps, je ne sais pas.
Nous sommes montés en voiture, j’étais au bord de l’explosion. J’ai retiré mon imper
Moi « arrete s’il te plait, je n’en peux plus »
Didier avec son sourire en coin
Nous étions dans une rue embouteillée, il ne trouva rien de mieux que de me remonter la cuisse pour me caresser en disant « tu as chaud, tu es trempée »
Moi « oui arrête, ça t’amuse » en lui serrant le poignet
Il me caressa le clitoris en pleine rue dans la voiture, je n’ai pas tenu très longtemps. J’ai explosé avec un orgasme puissant qui m’a provoqué une éjaculation féminine importante. Je me suis à moitié évanoui.
Au bout de 10 bonnes minutes j’ai refait surface, j’en avais partout, ma jupe était à tordre, il y en avait plein le siège en cuir, je baignais dans la mon jus de chienne
Didier plus qu’amusé « eh bien ma chérie tu t’es éclatée »
Moi « arrête, tu exagères vraiment, tu savais que j’allais exploser, depuis le temps »
Didier « mais c’est bien, tu as eu du plaisir, non ? »
Moi d’une petite voix « oui mais j’aurais préféré être dans l’intimité avec toi » « regarde maintenant je suis trempé, j’en ai partout » « tu le fais exprès, je ne peux pas sortir dans un tel état »
Didier « on va aller t’acheter les affaires pour que tu sois plus présentable »
Moi « comment veux tu que je sorte, j’en ai partout »
Didier « tu va retirer tout ce qui est mouillé »
Moi « tout est trempé, comment veux tu que je fasse »
Didier « tu vas juste mettre ton imper, c’est tout »
Moi « avec mes bottes hautes, tu veux que je ressemble à une pute »
Didier « j’aime bien que tu sois un peu pute »
Moi « tu exagères »
Nous nous sommes dirigés vers un magasin de vêtements d’une grande marque en nous garant au parking à coté d’un mur, pour que je retire ce qui étaient mouillés. Ma jupe, mon haut, le haut de mes bas et le siège étaient trempés.
Je me suis essuyé avec ma jupe qui a aussi épongé le siège.
C’était une véritable serpillère.
Moi « maintenant tu vas te calmer un peu »
Le pire est que je recommençais à mouiller
Nous sommes arrivés dans le magasin au rayon femme, Didier comme à son habitude avec moi choisit les vêtements.
Il me sort deux jupes, plusieurs hauts. Les jupes me paraissent courtes.
Je m’isole dans la cabine d’essayage, étant en porte jarretelles sous mon imperméable, cela va très vite.
Le première, jupe porte feuille courte un peu trop même, au dessus de mi cuisses, avec le haut moulant et mes bottes, je fais un peu salope pour ne pas dire beaucoup.
La vendeuse en me voyant sortir, ne sais pas trop quoi dire.
Lorsque je me vois dans le miroir, je fais salope.
Didier « oui c’est un style »
Moi doucement en me rapprochant de lui « oui style salope à la limite de la catin »
Didier « ça te va bien » J’ai haussé les épaules.
La deuxième jupe, droite en maille en plus longue tout en étant mi cuisse, me va mieux.
Je fais femme sexy à la limite provocante. Cela me convient mieux
Didier « essaie l’autre haut »
Moi « oui » je rentrais dans la cabine pour passer le deuxième haut qui était plus classique.
Lorsque je sortis en me regardant dans le miroir, je me trouvais craquante, sexy un peu provocante mais chic.
Didier « oui c’est plus sage »
La vendeuse « l’ensemble vous va à ravir »
Didier avec son regard coquin « repasse l’ensemble précédent »
Moi « mais celui la me va mieux »
Didier « ne discute pas »
J’ai repassé la jupe plus que courte et le haut moulant. Je trouvais que je faisais encore plus catin que la première fois
Didier « oui tu es très bien comme ça »
La vendeuse me regardait de façon interrogative.
Moi « non je vais remettre l’autre »
Didier en s’approchant de moi et en me prenant par le bras « tu restes habillée comme ça »
Et de rajouter en s’adressant à la vendeuse « nous prenons les deux tenues, pourriez vous retirer les antivols et couper les étiquettes pour que madame puisse sortir habillée ».
Elle se dirigea vers la cabine et fut plus que surprise de trouver que la deuxième tenue et mon imperméable. Elle excisa un petit sourire.
Je passais pour la salope de la journée
Didier remettais en marche le sextoys
Nous sommes sortis
Didier « ouvre ton imper, il fait chaud »
Moi « tu ne trouve pas que je suis assez exposée comme ça, regarde la tenue que j’ai, j’ai l’air d’une pute, les hommes se retournent sur moi »
Didier « je trouve que tu porte ça très bien »
Moi en passant devant une vitrine qui me reflétait « regarde l’allure que j’ai »
Didier « tu fais salope comme j’aime »
Nous sommes redescendus dans le parking pour aller à la voiture.
Arrivés à la voiture, qui était garée contre un mur, donc à l’abri des regards, il me plaqua sur le capot en me giflant en soulevant ma jupe plus que courte et en me disant « petite pute tu va voir se que je vais te mettre » en me sodomisant brutalement.
Moi « non arrête tu me fais mal »
Didier « tais toi tu ne mérites que ça salope »
Il me pilonna comme un âne et le pire est que j’ai eu plusieurs orgasmes sous l’action conjuguée de la sodomie et des vibrations du sextoys
Didier « tu jouis encore petite pute »
Moi « ouiii c’est bon » « encore »
Didier « tu vas encore en prendre salope »
Il redoubla d’énergie, je me faisais littéralement défoncer le cul
Moi tout en jouissant « arrête tu me fais mal, doucement »
Didier « tais toi salope, tu ne mérites que ça de te faire défoncer »
J’avais orgasme sur orgasme, j’essayais de les dissimuler car il me défonçait le cul, j’avais quand même mal, malgré tout.
D’un coup il dit « tu vas me faire jouir avec ton cul de pute » tout en me tirant par les cheveux pour avancer ma tête vers lui tout en restant à plat ventre sur le capot de la voiture « ouvre la bouche salope »
Il me l’enfonça au fond de la gorge alors qu’il sortait de mon cul et au même moment je sentis des mains s’agripper à mes hanches et un sexe contre mes lèvres.
J’essayai de me débattre mais Didier m’immobilisait sur le capot et l’autre homme me tenait bien par es hanches.
Didier « met lui dans le cul directement, car devant c’est déjà occupé »
Son sexe de plus que bonne taille entra en moi d’un coup jusqu’au fond de mon cul. Il était énorme.
Didier me déversa du sperme au fond de la bouche et sur la figure « oui qu’elle salope, c’est bon de se faire défoncer et beurrer la gueule » tout en me mettant un autre gifle et de rajouter « vas y défonce la cette pute »
Il m’étalait son sperme sur le visage « c’est bon petite pute » sous les assauts de cet inconnu fortement membré que Didier encourageait « défonce la, elle est bonne »
L’autre m’embrochait sans ménagement.
Je me faisais démonter
Je me suis mise à jouir, Didier « c’est bon salope »
Une fois mon orgasme passé Didier dit « encule la plus fort»
J’essayais de nouveau de me dégager, car il était monté comme un cheval.
Il accéléra dans mon cul les mouvement, il était complètement en moi
Je poussais des cris étouffés par la bite de Didier dans la bouche et j’avais le souffle court, car la dilatation était importante.
Il s’est acharné sur moi, et j’ai fini par jouir.
Il se retira de moi, Didier me tira par les cheveux pour que je me mette à genoux et l’homme m’éjacula sur la figure sans un mot. Ensuite il partit
Didier me lâcha en se rhabillant et alla chercher des mouchoirs en papiers pour que je m’essuie.
Une fois dans la voiture
Moi « Tu me prends vraiment pour une pute, tu m’a fais mal et tu me fais défoncer par un inconnu»
Didier « tait toi, tu n’es qu’une pute, tu as vu comment tu es habillée et maintenant tu es bien ouverte»
Moi « mais c’est toi qui m’a obligé à porter cette tenue »
Didier « tu m’as excité avec, il fallait que je te le montre »
Moi « et l’homme qui était ce »
Didier « un homme que j’avais contacté »
Le sextoys continuait de vibrer et il me caressait, j’ai encore joui avant d’arriver à l’appartement
En arrivant je me suis faite culbuter comme j’aime sur la table avec mes bottes, j’étais comme une trainée
A suivre

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