Collection Lesbienne. Femme Pour Femme (8/8)
Je vous ai quitté alors que Marie me parlait de son père biologique, sa mère sétant fait inséminer pour la mettre au monde.
Après lavoir baisée une nouvelle fois, la fistant pour la première fois, elle a repris lhistoire de son père avec un peu de difficulté.
Je suis une femme pour femme avec de lexpérience depuis que jai accepté de satisfaire toutes ces dames de la haute, moi qui viens de la banlieue.
- Mon père sappelait Jean, tu mexcuses, lappeler papa, voire père comme jai toujours dit « mère » à mère ma été impossible
Jean donc sest assis à ma table.
À partir de ce moment, elle me raconte ce quils se sont dit.
Il lui a expliqué quil avait pris conscience de ce quil avait accepté de faire quand il avait vu Charlotte le ventre rond.
Il était déjà marié sans .
Ce que Charlotte ignore encore, cest quà la naissance de Marie, il lavait reconnue comme sa fille.
Il lui a avoué avoir récupéré un mouchoir en papier, un jour où dans un square, elle était avec sa nourrice.
Il avait vu sa fille tomber.
La jeune femme avait nettoyé les gouttes de sang avec, avant de le jeter dans une poubelle.
Il lavait récupéré et fait faire un test ADN qui a confirmé sa paternité.
Un jour elle a appris son décès, un académicien qui disparaît cela se dit à la télé.
- Surprise, un notaire ma convoqué.
Hors de sa famille légitime, jai hérité de lhôtel particulier où jhabite.
À ce moment dans notre lit, naturellement depuis que nous sommes ensemble, ma main prend son sein.
Je sais que dans nos pratiques amoureuses, ses seins sont sa principale source de plaisir.
Elle adore que je les lèche longuement.
Dautres points de son corps sont très sensibles, ses pieds.
Mieux son gros orteil gauche, pourquoi lui ?
Des terminaisons nerveuses doivent être directement branchées sur son cerveau.
Jean, limmeuble, sa maman, son métier.
Quand je descends de ses seins jusquà lui, même ma langue sur son nombril a un effet limité.
Comment retransmettre ce quelle fait quand je lui prends le pied et que je le suce ?
Elle se tord dans tous les sens, criant à qui veut lentendre son plaisir.
Cet intermède montre comment notre amour a progressé surtout quand ayant repris nos sens, jattends la suite de son histoire qui va faire partir de mon histoire.
- Tu me parlais de ton papa, Charlotte semble lignorer que cest lui qui ta fait son héritière !
- Oui jai eu peur quelle nait du mal à accepter que je le voyais en secret.
Je lui ai fait croire que javais fait un emprunt pour me le payer.
Le plus drôle cest quelle a tenu à maider et tous les mois, elle me verse la moitié de ce que je suis supposée rembourser.
Avec cet argent, jai pris des parts dans notre cabinet davocats, Brigitte a eu une mauvaise passe, jen ai profité, mais il mest impossible dêtre majoritaire.
- Est-elle lesbienne ?
- Oui, mais elle lignore, cest une refoulée, tu me connais jai assez de connaissance de notre milieu pour cela.
Elle fait partie des femmes que tu connais bien, tu en rencontres régulièrement, mais elle refuse de sassumer.
Jarrive donc à ce joli mois de mai ou je reçois un coup de téléphone dun gendarme sur mon portable alors que Marie est dans mes bras après un autre moment torride passé ensemble.
Je pourrais expliquer ce que nous venons de faire, bien sûr, mes jouets sexuels mont permis de la faire grimper au rideau comme elle la faite pour moi.
- Êtes-vous Viviane ?
- Oui.
- Connaissez-vous Marguerite, comtesse de la Tour ?
- Oui, cest une grande amie.
- Jai le regret de vous dire quelle est à larticle de la mort.
Elle faisait faire ses besoins à son chien dans le caniveau quand un camion montant du bas de Salins a fait un écart.
Le chien est mort et la comtesse percutée sans sortant sur le choc.
Elle nous a donné votre numéro pour vous joindre.
Elle vous réclame.
Marie et moi en quelques minutes, avons fait nos valises.
Jai sorti la voiture de papa du garage souterrain, mis le GPS direction, Salins centre et nous avons pris lautoroute.
Marie pendant que je conduisais a appelé Brigitte et Charlotte.
Charlotte lui dit quelle regarde pour prendre un train jusque dans le Jura.
- Merci dêtre venue si vite Viviane.
Marguerite nous parle dune petite voix, elle a du mal à respirer, nous voyons quelle fait beaucoup defforts.
- Qui est cette jeune fille, à la regarder, mais oui, tu es la fille de Charlotte mon amie.
Viviane, tu mas tellement parlé delle, par moments jen ai été jalouse après ce que nous avons vécu.
Jai rapidement compris que lamour avait frappé entre vous deux, à mon âge il faut savoir seffacer.
Je crois que le destin ma rattrapé.
Jespérais bien vous voir aux prochaines vacances, hélas la montagne qui est tombée sur la tête en a décidé autrement.
Viens à côté de moi et toi Marie de lautre côté.
Jai du mal à parler, un de mes poumons est touché.
Je sais que cest la fin, je voulais te dire plusieurs choses avant de rejoindre ta maman Viviane.
Je souhaite que tu toccupes de Loulou mon chien, tu leur demanderas à qui ils lont confié, ils refusent de me le dire, jai peur quil ne soit à la SPA.
Ça commence mal, mais mieux vaut éviter de lui dire que Loulou est déjà partie en direction du paradis des chiens.
- Quand je serai partie, prends mes clefs, tu les demanderas à Aline, la petite infirmière qui soccupe de moi et tu iras chez moi.
Tu iras dans mon bureau, tu trouveras un coffre, voici le code.
Je le mémorise., Marie aussi.
- À lintérieur il y a ladresse de mon notaire et les doubles des papiers que nous avons faits.
Tu hérites de tous mes biens, tout est en règle, même les droits de succession, il te reste à signer, je voulais te présenter cela pendant les vacances.
- Marguerite, restez sage, Viviane est entre de bonnes mains, je suis avocate fiscaliste.
- Je verrais avec votre notaire ce que nous pouvons faire pour que Viviane perde un minimum de vos biens.
- Cest bien, une autre chose, depuis que je suis ici, jai sympathisé avec mon infirmière.
Je voulais faire venir le notaire.
Jai promis à Aline que tu linstallerais dans son cabinet dinfirmière privé personnel ici à Salins.
Elle fait partie de nos tendances sexuelles, je laurais bien caressée un peu, mais jai déjà du mal à vous tenir les mains, les filles.
Enfin, mais ça cest dans le coffre, je veux être incinérée comme ta maman et je souhaite que mes cendres rejoignent les siennes.
- Sans problème Marguerite, je vais tavouer quelque chose, lorsque avec papa jai ouvert lurne, une grande partie des cendres de maman sont tombées sur la petite plage de sable près de notre tente.
Nous mettrons les tiennes au même endroit.
Même si avec le temps, tout a disparu, je suis sûre que votre ADN se mélangera pour léternité.
Marguerite ferme les yeux, ses mains se détendent et les appareils se mettent à sonner.
Marguerite rejoint maman son amie et son chien.
La cérémonie est sobre, inutile à perdre du temps à décrire toutes les formalités, je parlerai de deux choses.
Côté notaire et grâce à laide de Marie, les biens de Marguerite me sont revenus.
Aline qui a accouru quand les appareils ont sonné est dans notre lit entre Marie et moi.
Attention, notre deuil oblige, cest trois mois plus tard pendant nos vacances que nous avons fait plusieurs choses.
La première Marguerite, du moins, ses cendres reposent sur la petite plage avec en plus les cendres de Loulou sa dépouille conduit chez le vétérinaire et qui attendait ce que sa propriétaire revienne.
Marie a eu une idée respectant la parole donnée concernant Aline.
Papa est ici à Salins dans lappartement que nous avons fait aménager au premier étage de la maison de Marguerite.
Il a son infirmière particulière qui vit avec lui, du moins jusquà son coucher.
Nous avons fait aménager un ascenseur qui permet de descendre son fauteuil roulant.
Il sert à la petite pour le sortir et le promener jusquà sa rivière.
Marie et moi navons eu aucun mal à amener Aline dans notre lit.
Marguerite avait raison, elle aime les femmes.
Jadore quand je suce la chatte de Marie pendant quAline me suce de son côté.
À trois, nous découvrons des positions impossibles à 2.
Nos jouissances nous les atteignons plus souvent car à tout moment lune de nous a envie de lune ou de lautre.
Mais tout a une fin, même les vacances.
Papa installé, Aline à ses petits soins, bien rémunérée pour vivre près de lui, nous rentrons à Paris avec Marie.
Avant de partir en vacances, jétais près des bureaux du cabinet davocats.
Sortant davoir vu une cliente, jai fait le chemin pour la rejoindre, jétais à deux pas.
Javais vu la plaque sur le devant à côté de la porte.
« Brigitte M. »
Sans lui dire, M comme Molière, ça ma interpellé, jai ouvert mon carnet, il y avait des chances que jaie raison.
- Brigitte Molière !
- Oui, que voulez-vous.
- Êtes-vous la fille de Stéphanie Molière ?
- Oui, cest maman, que lui voulez-vous, elle est décédée il y a deux ans.
Marie avait raison, elle fait partie des lesbiennes refoulées, je suis une femme pour femme, sans difficulté je lamène dans son lit.
Je le fais gratuitement sans lui dire que je suis Pacsé avec son associée, cest un peu traître, mais jai un but que je poursuis.
- Tu as lair anxieuse !
Je lui pose la question à la deuxième soirée au moment où nous dansons ensemble nos chattes intimement collées.
Je sens quelle mouille, je suis pute, je vais lêtre jusquau bout, mais cest bientôt lanniversaire de Marie et je souhaite lui faire un cadeau.
Eh oui, je suis une salope, mais quand on aime et que la vie vous en donne les moyens, surtout étant une pute, il faut lêtre jusquau bout.
Cest dans son lit quelle mavoue avoir joué et perdu.
Je mengouffre dans la brèche et propose mon aide.
Brigitte 41 % des parts de sa société.
Marie 40 %.
Moi 19 %.
Aujourdhui Marie réalise son rêve, 59 % contre 41, nous sommes majoritaires.
Nous pouvons continuer nos vies de femme aimant les femmes dans lesprit voulu par Marguerite.
Je me suis fait une ennemie, je le sais, lamour prime.
Une série corrigée par ma muse Anne, quelle en soit remerciée.
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