Jean Et Roger 1
Latelier débénisterie-sculpture est plongé dans la pénombre. Seul létabli et vivement éclairé. Deux hommes saffairent autour : Roger, la cinquantaine bien tassée et son apprenti Jean. Ce dernier a dix huit ans depuis quelques semaines. Autant Roger est un râblé de 1 mètre 65, large dépaule et costaud que Jean est filiforme avec son mètre quatre-vingts et son corps sec.
Roger et Jean font maintenant équipe de puis plus de six mois. Lun est maitre dapprentissage, lautre apprenti. Depuis longtemps, dès le début sans doute, Roger fantasme sur Jean
sans quil arrive à connaitre la préférence de celui-ci. Coté sexe sentend. Car côté boulot, ils sont tous deux en phase. Le maitre et lapprenti partagent le gout des beaux meubles, des placages précieux et des cultures quils travaillent et rénovent de concert.
Lorsque Jean sest présenté à la recherche dun maitre de stage, Roger a ressenti de suite la passion partagée pour son métier. Il a aussi ressenti une profonde et brulante attirance. Une attirance immédiate qui na pas faiblie au fil des mois. Une attirance qui a failli amener Roger à dire non à la soif dapprendre de Jean.
En se faisant violence, Roger sest fixé une ligne de conduite à tenir : apprendre le métier à son jeune apprenti et ne pas aller sur le terrain du sexe ou des sentiments avec lui. Du moins jusquà ses dix huit ans. Un cap maintenant dépassé et qui revient souvent dans les pensées de Roger. Au point de lui donner des érections que jean doit difficilement ignorer.
seulement Jean ne dit rien, ne montre rien, reste impassible. Comme uniquement concentré sur son travail, sa soif dapprendre.
Les semaines passent. De plus en plus pénible pour la libido de Roger. Depuis quelques jours, il tente lapproche physique. Dans le travail, il saisit quelque occasion de pour coller son corps à celui de Jean. Cela lui a permis de placer son sexe contre les fesses de son apprenti. Un sexe bien dur, gonflé de désir.
Depuis quelques jours Roger et Jean saffairent à la restauration dune sculpture de jeune homme représentant un corps svelte, adolescent, bien formé coté muscles. Les fesses sont visiblement plus rondes quau naturel. Cela donne un coté excitant pour la libido. Roger en frémi le soir lorsque, enfin seul, il caresse cette croupe alléchante mais qui reste
de bois !
Jean semploie à restaurer la patine. Il est maintenant occupé sur la verge de la statue. Une verge au repos, bien dessinée, avec deux bourses bien garnies, laissant deviner chacune un ovale testiculaire. Roger, décide de lustrer les fesses de la statue. Lair de rien pense-t-il. Soudain, dans le silence de latelier, la voix de Jean tinte claire : « Monsieur Roger, maintenant que je suis majeur, je pourrai habiter ici chez vous. Je serai sur place plutôt que faire la route. Et je pourrai moccuper de vous
».
Roger se redresse, reste silencieux, la bouche entre-ouverte de saisissement. Jean reprend « vous savez, jai compris dès le départ que vous bandez pour moi. Je le savais même avant pour vous avoir aperçu dans les bosquets derrière la salle des fêtes en ville
». La respiration de Roger saccélère, sa main continue à lustrer machinalement la fesse du jeune homme de la statue de bois : « oui, si tu veux
» Roger ne sait pas quoi dire. Jean reprend « moi je veux bien, mais cest moi qui décide de ce que lon fait ensemble
».
« Merde
» Roger nen revient pas. La voix de Jean est ferme, claire et impérieuse. Roger sait déjà quil nest plus le patron. Il est déjà soumis à son apprenti. Il comprend inconsciemment que cest ainsi depuis le début.
Dune voix mal assurée Roger lâche un timide, « Si tu veux
».
Le regard de Jean se fait dur, sa voix tranchante « Alors dessape toi et remets-toi au travail
ferme la porte de latelier avant ! ».
Maintenant, Jean et Roger ont repris leur tache. Roger est complétement nu, lérection bien évidente et ses fesses fermes et dodues exposée à la vue de Jean. «
profite pour sucer la queue
» dit Jean en désignant la verge du jeune de la statue.
Après une brève hésitation, la langue de Roger vient caresser la verge en bois. Dinitiative la langue passe sur les bourses. Jean sest placé derrière Roger et dune main, lui caresse les reins. Ses doigts fins jouent avec la pilosité fournie de Roger. Dabord les poils du dos, puis ses doigts saventurent sur le torse. En passant sur le sin, Jean pince le téton de Roger, celui-ci lache un bref cri de douleur « Tais toi, ne crie pas, endure en silence
» La voix de Jean est directrice, sans appel. Aucune faiblesse ou hésitation dans ses ordres. Brusquement, la main de Jean descend sur le ventre de Roger et saisi sa verge en érection. Dun mouvement sec, il le décalotte sèchement. Un « ha » de surprise et de douleur sort de la bouche de Roger « En silence je tai dit ». « Tu me fais mal » lâche timidement Roger. « Ce nest rien à coté d e ce qui tattend » lui réplique Jean. « Tu aimes toujours, tu veux que je moccupe de toi ? » insiste Jean. « Oui ! » Roger na au sempêcher de soffrir en victime consentante.
La main de Jean descend alors vers les bourses de Roger que celui-ci à volumineuse, bien dessinées, remplies de deux belles couilles épaisses. Les doigts de Jean enserrent les deux testicules et les serrent avec force. Jean murmure à Roger « Silence, toujours en silence
». Le souffle rocque Roger supplie «
mais pourquoi ? », « Pour que tu maimes comme je le veux ! ».
Jean nétait jamais entré chez Roger. Celui-ci, vieux célibataire, habite la maison attenante à latelier à laquelle on accède par la porte intérieure.
Arrivé dans la chambre, Roger expose une belle queue de 15 cm avec diamètre impressionnant. Jean évalue à un dix centimètres de circonférence. « Déshabille moi » Roger sempresse dobéir à al demande de Jean. Dune main experte, Roger débarrasse Jean. Enfin, il va enfin pouvoir admirer le corps de son apprenti. Depuis des mois, il bande seul le soir en y pensant, en imaginant toutes les merveilles cachées. Arrivé au slip, Roger baisse fébrilement le tissu tout en sétonnant que jean ne soit pas encore en érection. Après sêtre mis à genou devant son éphèbe, il découvre délicatement le sexe de Jean. « Alors tu ne dis rien ? » la voix de Jean claque comme un défi aux oreilles de Roger. Ce que ce dernier a sous els yeux défi son entendement : une verge de 5 cm au grand maximum dressée comme un dard de guêpe ! Sa grosseur ne doit pas dépasser celle de son auriculaire ! Et aucun poil autour. Jean Jeune homme de dix ans à un sexe dun de 10 ans ! Dun coup, Roger comprend la brutalité et la domination que lui impose Jean. Délicatement, il dépose un baiser sur la verge de Jean et se redresse sans rien dire. Jean le toise du haut de son mètre quatre vingt. Le regard dur et à la fois interrogateur. Devant le silence de Roger, il semble satisfait, comme rassuré. Le bassin de Jean fait un mouvement de lavant comme une invite à la bouche de Roger davoir à se saisir ce que la nature daigne lui consentir.
Goulument Roger avale la verge et les testicules, eux aussi minuscules. Les mains de Jean se saisisse de la tête de Roger et lui dicte la cadence de ce qui ne ressemble à rie dautre quà un « baisage de bouche » !
Peinant, à reprendre sa respiration malgré la petitesse de lattirail, Roger déglutit la salive qui lui envahit la bouche en abondance. La salive coule maintenant le long des cuisses de Jean.
Après un bon moment de cette pratique, Jean décide de se relever complétement, pose un pied sur lépaule de Roger encore à genoux au sol. Comme pour matérialiser sa domination « On va se coucher, je vais me blottir contre toi. Tu vas mettre ta queue entre mes cuisses mais tu nas pas le droit de me faire lamour. Tu pourras uniquement quand je te trouverai assez méritant pour cela. ». Immédiatement Roger pense « mon dieu, cela va être calvaire ! je ne tiendrai jamais une nuit ainsi ! ».
Mais silencieusement et docilement Roger se couche sur le coté. Jean se place devant lui et colle son dos au torse velu de Roger. Le contraste est saisissant entre le corps velu de lun et la peau glabre de lautre. Délicatement, Roger passe une main devant et en lui donnant la forme dune coquille, vient recouvrir le petit sexe de Jean, comme une enveloppe protectrice. Dans le même temps, la queue de Roger se place entre les cuisses de Jean qui, perfidement, exerce une pression par à coup pour entretenir lérection. Roger pousse un profond soupir en se demandant combien de temps il va pouvoir résister à un tel supplice.
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