Le Mariage De Ma Meilleure Amie
Plusieurs semaines plus tard notre soirée de préparation un peu spéciale chez Marielle, je me rendais à son mariage. J'avais pour l'occasion acheté une nouvelle robe boutonnée sur le devant blanche à rayure rouge verticale soutenue par une large ceinture rouge qui me faisait ressortir ma poitrine encore plus à son avantage. Anxieuse de me retrouver face à Thierry et Jean-Marie, je restais prés de mon mari? La cérémonie civile commença, et je me plaçais derrière les mariés prés des deux autres témoins. J'avais décidé de ne pas répondre aux compliments des deux hommes quand ils étaient venus me dire bonjour, me glissant à l'oreille que j'étais très bandante. Un grand nombre d'élue étaient présent car le mariage bien que très chic était aussi un rendez vous des politiques de la région. Pendant la cérémonie je sentais mon téléphone en mode vibreur. Thierry me fit un signe pour m'inviter à regarder discrètement. Je profitais d'un moment ou nous étions assis pour regarder, j'avais reçu un MMS d'un numéro inconnu avec un message : "Retrouve-nous pendant le vin d'honneur dans les caves du caveau si tu ne veux pas que la photo GIF se retrouve sur le mauvais téléphone...". Sur la photo on pouvait me voir chez Marielle 3 semaines plus tôt, me faire chevaucher par Edouard, attachée sur le canapé pendant qu'un autre homme me giclait son sperme dessus.... Je regardais les 2 hommes qui me souriaient, Jean-Marie me faisant un clin d'il... J'étais une nouvelle fois prise au piège et à la merci de maitre chanteur...
Après la cérémonie nous nous rendions au caveau lieu ou avait lieu le vin d'honneur. La journée était belle, et nous prenions le champagne dans les jardins. C'était très chic, et superbement organisé. Avec Richard nous parlions avec des amis, participions aux photos avec les mariés, et bien sur la traditionnelle photo avec les témoins. J'étais entre Thierry et Jean-Marie qui se collaient tous deux moi, et je pouvais sentir que l'un des deux en profitait pour me peloter les fesses.
C'était un petit caveau voûté qui, pendant la révolution, avait servi de prison et de cachette, disait-on. On y parvenait au moyen d'un étroit escalier tournant fermé par une porte en bois massif. L'ambiance ne se voulait pas très chaleureuse voir même froide et humide. Et la lumière naturelle très faible. L'humidité, du sol, ainsi que les futs de vin en chêne dégageait des odeurs de moisissures. Ils m'attendaient entre 2 futs.
- Approche toi ma belle, hummmm t'es délicieuse aujourd'hui encore plus bandante que la dernière fois
- Que me voulez vous ? Et que voulez vous faire avec cette vidéo ?
- Mais juste terminé notre jeu de la dernière fois, tu nous as un peu laissé sur notre faim, et puis c'était quoi ces manières de fermer sa porte à clé ?
- Bon ca suffit dites moi ce que vous voulez qu'on en finisse mon mari m'attend et je pense qu'il ne va pas apprécier votre petit jeu...
- Tu as raison... allons droit au but...
Jean-Marie m'attrapa par le bras, et m'attira vers lui d'un mouvement brusque, j'allais protester quand la main de Thierry qui était passé derrière moi me bâillonna. J'étais à nouveau prise au piège entre ces 2 hommes qui allait m'utiliser comme leur jouet....
- Tu vas nous obéir toute la soirée si tu ne veux pas te retrouver sur internet avec du sperme sur ta face de grosse cochonne ... T'as compris... Hoche la tête si tu as bien compris...
Je hochais la tête en signe de consentement, le ton avait changé et je savais qu'il pouvait causer beaucoup de tord à mon mari et ses affaires, je décidais donc de me laisser faire. Apres tout ce n'était pas la première fois, et peut-être qu'il me ferait jouir qui sait .
- Hummm j'adore tes grosse miches salope, ils sont trop bon, je vais coller ma queue entre eu avant la fin de la soirée je peux te le garantir...
Ils continuèrent de jouer de mon corps pendant quelques minutes, je sentais leurs mains sur mon corps, et ces deux doigts qui jouaient entre me cuisses. J'essayais de me débattre mais sans trop de conviction, le désir étant plus fort...
- Fais pas ta mijaurée ma belle, on t'a bien vu l'autre fois prendre ton pied, avec le black bien membré, on sait que tu aimes la bitte, ca se voit sur la vidéo, t'es une gourmande, une affamée de la bitte, qui aime se faire un peu forcer.
C'est vrai que j'avais jouie sous leur yeux, me faisant prendre par Edouard, attachée et soumise et jouissant en public. Ils savaient que j'aimais cela, et aller en profiter. Ils me poussèrent vers le fut et Jean-Marie me tendit une ceinture...
- Tu vas enlever ta culotte et mettre ca pétasse, c'est une ceinture que tu vas porter pendant la soirée jusqu'a ce qu'on décide de te l'enlever... Oui t'as bien vu c'est une ceinture avec deux godes ....C'est très simple, tu peux choisir avec gode vaginal, gode anal, mais aussi les deux. J'ai aussi la version vibrante si tu veux alors tu choisis quoi ?
Le harnais était rouge et noir en cuir et réglable, équipé de godes mesurant environ 9 et 13cm de long pour 3 cm de large chacun. Les godes semblaient amovibles à souhait par pression, simplement. Ne répondant pas à Jean-Marie, il insista.
- Apparemment c'est une timide, enlève lui le vaginal on va garder le plug anal se sera plus confortable pour danser ...
- Non mais vous êtes totalement fou, je ne vais pas porter ca pendant la soirée !!!! Tout le monde va s'en apercevoir et si mon mari le voit ... Vous êtes complètement taré je refuse !!!!!!!
Thierry m'attrapa par les cheveux et d'un air menaçant me dit
- Obéis cochonne sinon tu sais ce qui va se passer... Tout le monde va recevoir sur leur téléphone ce soir ta photo de tronche de salope recouverte de sperme...
- Oui et si l'envie prend à ton mari de vouloir te baiser, ben il se contentera d'une bonne pipe. Après tout t'es une bonne suceuse ...
Je décidais d'obtempéré et enlevais ma culotte. Un string sexy vert de la collection Nature Féminine amande de la marque Lise Charmel. Réalisé sur un tulle multibrin très doux avec broderie et dentelle il révélait parfaitement la magie de mes fesses. Thierry m'arracha le string des mains et me força à le mettre dans la bouche, surement pour me bâillonner pendant qu'il me passait son harnais. Jean-Marie badigeonna le plug de vaseline afin de faciliter l'introduction et me le tendit. J'enfilais le harnais et ma plaçait le plug dans mon petit trou tout doucement. Une fois en place, ils me tournèrent afin de vérifier que tout était bien fixé. Une grande claque sur mon gros cul marqua la fin de notre première séance, tout en me demandant de rester disponible dans la soirée... Je rebaissais ma robe et sortit du caveau, le tout n'ayant pas duré plus de 15 minutes...
Je rejoignais Richard, ayant du mal à marché j'essayais de trouver la bonne position, ayant à supporter cet appareil toute la soirée. Une fois le vin d'honneur terminé nous passions à table. Bien évidement à la table des mariés, le plan de table dessiné par Marielle m'avait placé entre mes deux tortionnaires alors que Richard était avec les épouses en face de moi. Une vingtaine de table de 16 personnes en moyenne avec la piste de dans son milieu.
- Apparemment il y a un feu d'artifice dans 30 minuties, et si on faisait une petite pause dans les toilettes que je m'occupe de tes fesses ma belle ?
Il aimait ses préambules salaces qui dénotaient fortement avec ma position de bourgeoise. Je repoussais ses avances mais il se montrait très insistant.
- Non mon chéri, attendons à la maison, si tu veux je te fais patienter avec cela ...
Tout en lui disant cela je lui tirer ma langue la remuant pour l'exciter encore plus ....
- Hummmmm, j'adore quand tu fais ta pute, viens tu vas me sucer, ton petit trou sera pour plus tard...
Il m'entraina, avec lui dans les toilettes... et j'apercevais Jean-Marie et Thierry m'observait... Il m'emmena dans les toilettes des hommes et nous nous enfermions dans une cabine. Il me poussa de force à m'asseoir sur la cuvette, et sorti son membre encore flasque...
- Fais mon bander ma belle, prends moi dans ta belle bouche...
Je le pris dans ma bouche entièrement et commençait à le pomper sentant son dard gonfler de désir dans ma bouche de bourgeoise BCBG. Je sucer mon homme, sentant au fond de moi le plug anal qui m'excitait de plus en plus... Il fallait que je le fasse jouir car comme je le connaissais il allait prendre possession de mes fesses si cela duré trop longtemps... Je pompais, suçais, léchais le branlais... La plus belle pipe de ma vie, titillant son gros dard, le léchant de ma langue comme une glace... Cela ne venait pas... et je sentais le gode au fond de mon anus, qui m'excitait encore d'avantage... Il me tenait par les cheveux et allait me relever quand on entendit deux hommes entrer dans les WC... Je reconnus les voix de mes harceleurs... Ils m'avaient suivie et savaient que j'étais entrain de sucer mon homme dans une des cabines ...
- Quelle belle femme cette Patricia... Elle est vraiment exquise.
- Oui t'as raison, et je veux te dire, elle est quand même superbement gaulée pour son âge... Et puis elle s'habille tellement sexy... J'en banderai presque...
- Oui, y en a un qui à de la chance... Elle doit faire des trucs pas dans le dictionnaire avec sa belle bouche de bourgeoise...
Les commentaires fusaient ainsi que leur rire gras... Richard sous l'excitation de cette conversation avait remis son sexe dans ma bouche et se branler avec mes lèvres... Il accélérait, pendant que je continuais à le pomper... en écoutant mes 2 voyeurs parler de moi... Ils ressortirent juste à temps pour que Richard puisse se décharger complètement dans ma bouche, m'obligeant à l'avaler afin sois disant de ne pas salir ma toilette.
- Et bien, tu as vrai fan club toi... Bon je t'accorde que tu fais un peu dans le senior, mais on peut dire que tu leur as tapé dans l'il... Je devrais peut être leur proposer une passe. Tu pourrais me rapporter gros une pipeuse comme toi
- Ohhh Richard arrête avec tes commentaires et sortons rejoindre les autres le feu d'artifice va commencer...
- Attends je sors en premier, tu attends quelques minutes et tu me rejoins au feu d'artifice... si on croise quelqu'un en sortant tous les deux ca va pas faire très sérieux.
Il m'embrassa et sortit en refermant la porte, me laissant seule dans les toilettes des hommes. J'attendais quelques minutes. Au moment de sortir alors que j'entrouvrais la porte, un mouvement brusque repoussa la porte par laquelle thierry rentra dans les WC me coinçant à l'intérieur... Nous étions tous les deux dans cet endroit exigu, il me repoussa vers la cuvette me forçant à m'assoir.
- Alors ma belle, j'espère pour toi que tu n'as pas triché et que tu as respecté les règles et que tu n'as pas touché à ton plug, qu'as tu fais raconte moi.
- Non je te promets je n'y ai pas touché... Il a voulu me prendre mais je l'ai sucé, et il a jouie dans ma bouche...
- Hummmmm, mais t'es vraiment la reine des cochonnes, mais attends on va vérifier quand même pour voir l'effet que cela te fait, soulève ta robe que je regarde... Mais avant regarde ce que j'ai retrouvé... Ouvre la bouche
J'obéis et ouvrait la bouche dans laquelle il me plaça mon string qu'il avait conservé pour mieux me bâillonner, et ensuite soulever ma robe laissant apparaitre el harnais toujours solidement en place avec le plug qui continuait à m'envahir l'anus... De sa main gauche il me prit les poignets, pour les tenir au dessus de ma tête alors que de l'autre il desserra le harnais pour passer sa main entre mes cuisses et me caresser la chatte qui dégoulinait...
- Mais t'ex excitée comme une vraie chienne, toi, t'es trempée... va falloir qu'on calme cette tempête...
Il me tenait les bras fermement et continuer à me caresser, la chatte, j'étais excitée comme une folle, je fermais les yeux le laissant jouer de moi... Il me faisait jouir, et il le savait... Il avait réussi à me rendre ad dicte, et aller faire de moi ce qu'il voulait... Il me lâcha enfin repris ma culotte, remis mon harnais en place, et sorti.
- Prépares toi d'ici une heure, on va te délivrer, et te rendre ta vidéo Bella dona...
Je rejoignis Richard pour le début du feu d'artifice. C'était féérique, Robert avait prévu les choses en grand, comme le bal qui suivit avec notamment un orchestre qui allait nous faire danser toute la nuit. Je dansais avec Marielle et un groupe de copine, bien que les pressions anales que je ressentais entre mes fesses m'empêchent de me déhancher. La fête battait son plein quand Jean-Marie, me glissa à l'oreille,
- Rendez-vous dans le caveau dans 10 mins beauté...
- Je ne peux pas m'absenter trop longtemps, Richard va se douter de quelque chose
- T'inquiète beauté on s'occupe de ton mari, rejoins nous c'est tout...
Je continuais à danser, avant de rejoindre notre table au Richard était avec Robert en grande discussion... Il ne fit pas attention à moi, j'en profitais pour m'éclipser,, croisant le regard complice de Robert qui avec un grand sourire accompagné d'un clin d'il, "Amuse toi bien Patricia, profite de la danse ton mari et moi avons à parler affaire...". Je sortais discrètement et me rendait vers le caveau ou m'attenait mes deux maitre chanteurs. Le caveau était toujours aussi humide, et obscur la lumière du jour ayant disparu. Seule une petite ampoule éclairait la salle voutée. J'entendis la voix de Thierry...
- Approche toi ma belle, viens ici on t'attend.
Je me rapprochais d'eux quand ils m'attrapèrent vigoureusement et me coincèrent entre eux, l'un devant, l'autre derrière. Leurs mains se répandirent sur mon corps, Thierry me replaçant ma culotte dans la bouche afin d'atténuer mes gémissements. J'avais 4 mains qui parcourraient tout mon corps, écartant ma robe pour laisser apparaitre mes gros seins juste protégés par mon soutien-gorge corbeille vert Nature Féminine amande nature Lise Charme. L'un derrière moi me malaxait les seins au travers mon SG, quand l'autre enfouissait sa langue dans ma bouche, tout en tirant en relevant ma robe afin de dévoiler mon harnais. Il coinça ma robe dans la ceinture, et commença à me palper les fesses... J'étais leur prisonnière, et j'allais subir leur assaut sans rien pouvoir faire pour les empêcher. Thierry commença à m'appliquer des claques sur ma croupe. C'était le plus vicieux des deux, avec des penchants sados maso. Je me souvenais de son plus grand fantasme qu'il avait raconté, de forcer une belle bourgeoise sans défense... La bourgeoise ce soir c'était moi...
- T'as quand même un sacré cul, ma belle, pour ton âge
- Ouiiii et ses nichons c'est du XXL, ils sont faits pour être malaxé dans mes mains.
- Et si on lui enlevait son harnais, son petit trou doit être suffisamment dilaté pour prendre nos deux queues à la fois.
- Oui et vu comment elle réagit à nos préliminaires elle est chaude comme de la braise.
- Attends on va l'attacher on sera plus tranquille...
Ils me trainèrent au fond du caveau, j'étais totalement dépoitraillé, et troussée comme une dinde, toujours avec mon string dans la bouche et juste mon SG et mon harnais pour protéger mes zones les plus érogènes de mon corps, mais qu'avaient t'ils encore inventés ?? Au fond du caveau ils ouvrèrent une petite porte de cachot en bois, et me poussèrent à l'intérieur. La porte se referma derrière eux, nous étions encore plus isolés, et moi encore plus à leur merci... Je regardais autour de moi, l'endroit était sale et sombre avec plusieurs machines en bois dont je devinais soudainement l'utilité. Je compris en un instant l'usage de cette pièce. Je savais qu'il existait dans le centre ville une salle pour Sado Maso que les libertins, échangistes, dominants, fréquentaient assidument, je venais de découvrir que j'y étais seule avec mes deux amants... Je fus poussé vers une sorte de pilori moderne en bois.
La partie haute du pilori était composé d'un carcan avec trois trous pour coinçait la tête et les deux mains et pendant que Jean-Marie me tenait par derrière toujours en me pelotant mes gros seins Thierry réglait l'appareil en hauteur afin de le mettre à ma taille. Il semblait le manipuler à la perfection et donc ne pas en être à sa première utilisation. La seconde partie se trouvait être un banc (similaire à vieux banc de gymnastique pour faire du cheval d'arçon). Composé de fer, bois naturel, vinyle, et cuir véritable, le tout était dun chic élégant de BDSM, merveilleux pour humiliation, parfaite pour les peines, et glorieuses un jeu de soumission...
Ils me positionnèrent à 4 pattes sur le banc en cuir et me poussèrent de force la tête dans l'orifice central avec les bras de chaque côté avant de refermer le carcan de bois me rendant définitivement prisonnière. Ils étaient tous deux les derrières moi, passant leur main sur tout mon corps commentant chacun la situation qui ne pouvait appeler de réponse de ma part, toujours restreinte par mon string.
- Quest ce que tu dirais dune bonne fessée avant denlever ta ceinture beauté
- Oui cest vrai tas été très vilaine tout à lheure dans les WC, à tailler des pipes
- Oui tu te comportes comme une petite trainée, à ton âge tas pas honte
La première claque sabattit sur ma croupe, puis la seconde, chacun son tour. Thierry sétait muni dune cravache, et continuait sa tache comme pour le dressage dune pouliche sauvage. Je sentais mes fesses rougir sur les claques, et continuait à supporter leur commentaires Ils se décidèrent enfin de menlever mon harnais et mon plus anal, laissant mon trou béant, suite à plusieurs heures de cette sodomie e Jean-Marie plongea son visage entre mes fesses me tenant par les hanches, et plongeant sa langue dans mon anus qui venait dendurer plusieurs heures de pénétration humiliante. Sa langue me fit plonger dans un orgasme torride, je ne sentais plus rien que cest coups de langue et ses mains sur mon corps. Il me lécha lanus tout en me pénétrant de ses doigts dans ma chatte toute mouillée. Totalement vaincue je ne sentis même pas la présence de Thierry devant moi menlevant mon string de la bouche pour me plonger sa grosse queue au fond de ma gorge. Humiliée, soumise, telle une poupée de chair, il mutilisait comme une vulgaire pute. Jétais leur jouet, et il me faisait jouir. Jean-Marie se releva et me pénétra, me pilonnant comme un animal. Aucune douceur, des bêtes, des animaux en rut. Lun devant lautre derrière, et moi au milieu, troussé comme une oie et mes gros seins se balançant toute fois toujours protégé par mon SG. Ils continuèrent, échangèrent leur position, laissant durer mon supplice de jouissance pendant plus de 10 minutes avant de me libérer du carcan et de me relever
- Attends on va la fini debout cette grosse pute en sandwich, deux queux il parait que cest son plus grand fantasme daprès Marielle.
- Avec toutes les pilules que jai prises de toute façon je peux la baiser toute la nuit et plusieurs fois dit Jean-Marie
- On va faire vite quand même sinon son homme va sinquiéter, et on ne voudrait pas quelle se fasse gronder madame la bourgeoise . Nest ce pas
- Oui prenez moi tous les deux maintenant et faite moi jouir
Javais perdue toute retenue et voulais juste leur grosse queue au fond de moi, jusquà ce quil me jouisse dessus.
Ils me soulevèrent, Jean-Marie devant, qui me pénétra en premier et Thierry derrière. Je maccrochais au coup de Thierry qui allait menculer, mes jambes enserrant le gros ventre de Jean-Marie. Ils étaient tous les deux en moi, tellement bestial, si gonflé, si dur, ils me ramonaient comme des animaux. Ils avaient du se gaver de Viagra pour bander si fort et si gros à leur âge. Quelle folie, le mariage de ma meilleure amie et je me trouvais dans une cave pour sado maso entrain de me faire prendre comme une esclave sexuelle par deux seniors de 65 ans j'étais juste leur jouet, leur poupée, sans retenue, ils me possédaient par mes deux trous, m'utilisaient comme une vulgaire catin juste bonne à prendre leur foutre. Jean marie me téter une de mes grosses mamelles, alors que Thierry de sa main me peloter l'autre. Je jouissais encore et encore sous leur coup de hanches sans retenue avec des soupir et gémissements qui les exciter encore plus. Ils avaient réussi à me soumettre, ces deux vieux ventripotents, avec pour seul avantage leur arrogance et carte américain express platinium. Cette fois pas besoin de payer une prostituée, ils avaient leur pute entre eux, qu'ils utilisaient de tous les moyens possibles. J'étais juste ailleurs perdue possédaient par leur sexe quand soudainement je me réveillais à genoux avec ces deux hommes me giclant dessus visant la bouche et m'ordonnant de tout avaler...
Perdue de jouissance et la bouche, le visage mes seins mes cheveux recouverts de sperme, ils me nettoyer et, rhabillèrent, et ramenèrent à la cérémonie. Une foi dans la salle de réception Je mis plusieurs minutes pour retrouver mes esprits, quand Richard s'approcha de moi en me disant :
- ma chérie je pense qu'on a un super dossier avec Robert, et c'est grâce à toi car tu lui as tapé dans l'il....
Mon expérience au caveau en était vraisemblablement qu'à ses débuts...
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