California Dream Suite 1

Après une semaine passée à visiter, bronzer et baiser comme des fous dans notre chambre, une canicule incroyable prit le contrôle de l’état. Il faisait tellement chaud que les contacts physiques se faisaient très rares. Oz passait son temps à surfer alors que je préférais rester dans la fraîcheur de la maison. Comme d'habitude, Oz décida d'aller à la plage et comme d'habitude je suis resté dans le salon à regarder la télé. Marc (le père d'Oz) était assis dans un fauteuil avec son ordinateur sur les genoux afin d'avancer dans un dossier pour son travail ou pour toute autre tâche aussi ennuyeuse que possible.
Vers 13h la température commence à grimper sérieusement. Alors que je somnolais sur le sofa, les yeux à demi fermés, je remarquais que Marc posait son pc sur la table basse. « Il fait vraiment trop chaud » dit-il en soupirant et en lançant sa tête en arrière contre le dossier du siège. « Qu'une solution, se mettre à poil. Je suppose que t'as rien contre vu que tu suces mon fils au moins 6 fois par jour ». Je me redresse un peu à l'ouest, il a vraiment dit ça ? J'eus à peine le temps de me poser la question qu'il était déjà debout, en train de se déshabiller complètement.
Mes yeux sont restés fixés sur son corps d'homme. Ce gars est magnifique. Un jeune quarantenaire sportif, bien musclé, avec des fesses bombées et fermes, deux couilles énormes et un sexe bien plus épais que celui de son fils. Son corps est couvert d'un mince filet de poils et sa peau reluit à cause de la transpiration, mettant en valeur ce corps si parfait. Il se rassit dans son fauteuil en basculant une nouvelle fois la tête en arrière et en gardant les jambes bien écartées pour laisser son engin respirer. Je suis totalement ébahi. Je suis figé, les yeux écarquillés, bloqués sur son torse et j'ai la bouche à moitié ouverte, prêt à baver comme un chien quémandant un biscuit.
« Bon faut se mettre au boulot maintenant »
Je sentis mon corps trembler.

J'en avais terriblement envie, cet Homme si sexy voulait que je le suce. J'étais envahi par un sentiment étrange, j'avais envie et besoin de sentir cette bite en moi, de sentir son corps m'écraser et de renifler toutes ces odeurs de mâle en chaleur. Je me redresse et m'assieds sur le sofa, toujours dans un état second. J'allais me lancer et attr ce sexe si chaud quand je vis Marc se pencher et récupérer son ordinateur pour réellement se mettre au boulot...
Il voit que je suis un peu confus et que je le fixe avec envie. « Si tu veux fais comme moi, crois moi c'est très agréable de sentir ton corps libre de tout vêtements, ça fait du bien vas-y »
J'avais envie de le ou de l'attacher pour le forcer à me laisser faire, mais j'ai juste suivi son conseil et me suis déshabillé devant lui (même s'il avait les yeux rivés sur son écran). Me voila nu, devant un homme, nu lui aussi, mais rien ne va se passer. Il va travailler et je vais regarder la télé.
Étant frustré de cette expérience je me lève et quitte le salon. Je me sers un vers de thé glacé et me dirige à l’extérieur. Je m'assieds sur le bord de la piscine, toujours nu. Après avoir rêvassé un petit moment en battant les pieds dans l'eau comme un canard, je me décide à nager nu. Je me fais descendre vers le fond, appuie mes pieds contre la paroi et m'élance à toute vitesse sous l'eau pour rejoindre l'autre bout de la piscine. Marc à raison c'est vachement agréable d'être nu, de sentir l'eau glisser sur ma peau et caresser doucement mes fesses. Je remonte à la surface et me laisse flotter, coincé entre la douceur de l'eau et la chaleur du soleil.
L’après-midi s'achève doucement, je me suis rhabillé (ainsi que Marc) avant que Oz ne rentre et pour aller manger au restaurant. Tout se passe bien, on rentre d'avoir mangé et on se pose devant un match de football américain puis, pris par la fatigue due à cette chaleur nous nous sommes mis au lit.
Je n'arrive pas à dormir, je suis toujours coincé devant ce corps d'homme, il encombre mes pensées.
J'ai faim. Oz dort lui. Je me lève doucement et décide d'aller boire un thé glacé. Je suis nu, je sors de la chambre et passe devant celle de Marc. La porte n'est pas fermée, je la pousse un peu juste pour jeter un œil. Il est là, étendu sur son lit, complètement nu. Son torse se gonfle doucement et se rétracte suivant le rythme de sa respiration. J'ai envie de me blottir contre lui. Je suis comme envoûté, j'entre dans la chambre et ferme la porte derrière moi. Je sais qu'il a envie de me baiser. Je poursuis mon chemin jusqu'à son lit. Il est parfait. Il à l'air doux et charmeur mais une certaine bestialité se dégage de se corps si puissant et virile. Je m’apprête à me pencher pour toucher son corps.
« Arrête un peu ton trip de mission impossible et suce moi le manche, il t'a fallu du temps avant de te décider à venir. » Il m'a pris au dépourvu, je reste encore un fois totalement figé devant lui. Il me tire et enroule ses bras musclés autour de mes épaules. Il me coince contre son torse et m'embrasse langoureusement. Je tremble de désir, je sens son sexe gonfler contre mon bas-ventre. Il se frotte contre moi et glisse ses mains sur mon dos pour atteindre mes fesses qu'il palpe et malaxe. Je suis déjà au bord de l'éjaculation, mon sexe est prêt à exploser. Je dois me calmer. Je me retire de son étreinte et descends doucement mon visage vers son engin. J'embrasse chaque centimètre de peau qui passe devant ma bouche jusqu'à arriver à ce membre si épais, objet de tout mes désirs. J'oublie Oz, la Californie, ma famille. Je ne pense qu'à ce mâle qui veut me défoncer.
J'att son sexe le masturbe un peu avant de me l'enfoncer en bouche. Je commence par son gland. Je le gobe et tourne ma langue autour. Je commence doucement à l'enfoncer le plus possible dans ma gorge. Il tient ma tête de ses grandes mains et bouge son bassin afin de garder le contrôle sur moi. Il s'enfonce, se retire puis se renfonce. J'étouffe un peu parfois mais ce qui compte c'est d'avoir sa bite dans ma bouche.
Je suis sa chienne et je le sucerais une journée entière s'il le voulait. Il redresse sont torse, coinçant mon visage entre ses jambes et glisse sa main le long de ma colonne jusqu'à arriver à mes fesses puis à mon trou prêt à subir ses assauts. Il me doigte doucement de son majeur puis ajoute l'index et me pilonne le cul.
Il me prend par les aisselles et me tire sur son torse puis roule sur moi. Il m'embrasse à nouveau, goulûment et divinement. Il me domine. Son corps lourd se pose sur le mien. Il écarte mes jambes doucement sans quitter ma bouche. Il tend le bras, att une capote et la tient devant mon visage, j'ouvre l'emballage avec mes dents. Il récupère le préservatif et l'enfile d'une seule main tout en me fixant droit dans les yeux. Il se repositionne bien en face de mon anus ouvert et m'enlace à nouveau. Il me pénètre doucement. Je suis pris par une douleur diffuse, j'ouvre la bouche mais rien ne sort. Il ressert son étreinte et continue sa percée. Il rentre entièrement et reste ainsi un petit moment. Puis il ressort doucement et commence de légers mouvements pour que j'ai le temps de m'habi et cet énorme membre. « C'est pas avec mon fils que tu seras capable de prendre des grosses bites, mais t'inquiètes je suis là maintenant ».
Sur ces mots il m'embrasse à nouveau et accélère son balancement. Il commence à me défoncer comme jamais. Il se redresse et place mes pieds sur ses épaules. Ses cuisses claquent contre mon cul. Je pousse de petits gémissements graves. Il me contrôle et fait ce qu'il veut de moi. Il place mes jambes de son côté droit, me tourne sur le flanc et se place derrière moi. Je pose ma main à l’arrière de son crâne et lui caresse doucement les cheveux. Je suis secoué par les à-coups violents de son bassin dans mon cul. Il se retire et plaque mon torse contre le matelas. Il grimpe sur moi et glisse son sexe entre mes deux fesses bombées, qu'il claque de sa main droite. Je suis en transe. J'aime être un peu brutalisé, surtout si c'est par un homme aussi sexy que Marc.
Il continue de me pilonner jusqu'à pousser de longs râles suivit de deux grands et ultimes coups de bassin. Il s'écroule sur mon dos et me sert dans ses bras. Sa respiration est forte, son corps couvert de transpiration et sa queue, encore en moi, semble ne pas dégonfler.
Il se laisse rouler sur le lit, sortant son sexe de mon cul. Je me tourne et pose ma tête sur son torse. Je fixe le spreme coincé dans le latex et pense à quel point j'aurais voulu sentir tout se foutre couler sur mon visage. Je lui retire sa capote et retourne contre son épaule.
« Ok, c'était vachement intense, je comprends pourquoi Oz t'a emmené dans ses valises. Ça te dit une bonne nuit dans les bras d'un homme ? »
J'ai évidemment accepté, je me suis blottis contre lui en guise de « oui ». On a dormi l'un contre l'autre sans même se plaindre de la chaleur.
Juste avant de sombrer dans un sommeil intense et mérité, j'entendis la porte bouger. Sûrement un courant d'air. Je me lève pour la fermer, il ne faudrait pas que Oz nous voie comme ça, puis je me reglisse contre mon beau mâle et m'endors.

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