Mesdames , Mes Belles Conquêtes
Je venais de perdre mon mari et javoue quen lespace de quelques jours , je lavais vite oublié .Il nétait plus rien pour moi et à 49 ans , jétais à la recherche dun amant . Mais dans mon entourage , il ny avait pas un seul homme qui avait réussi à me séduire .Et puis , je me suis aperçu que ce nétait pas un homme qui me manquait . Je me suis mise à chercher la compagnie des femmes, à être proche delles , à les inviter chez moi , à chercher leur chaleur dans mon salon , surtout lorsquelles sont belles . Je me suis découverte une autre envie . Je me sui même mise à penser à elles durant mes insomnies et , dans mon lit , rien ne mempêchait de me masturber .Je dormais sans culotte et instinctivement , durant ces moments , ma main se dirigeait vers ma chatte bien poilue, mes indexes , tour à tour , sillonnaient ma fente mouillée , puis astiquaient mon clitoris turgescent devenu dur aux premières pensées .Au septième jour de la mort de mon mari , je me suis surprise en train de penser à une femme dont je ne connaissais pas le prénom mais et qui mavait marquée le jour de lenterrement . Elle mavait prise dans ses bras , et bien serrée contre sa poitrine , au point où je sentais ses seins durs contre les miens flasques et mous .Cest la consistance de sa poitrine contre la mienne que je ressentais , chaque nuit, avant que lune de mes mains ne saventure sur lun de mes seins pour sy appuyer .Je narrivais pas à reconsti la même pression mais il suffisant que jy repense pour quune envie me revienne : me masturber en pensant à elle .Et toutes les nuits , dans la grande solitude de mon lit , je revivais ces moments .Le matin , ma seule obsession était de savoir qui était cette femme .Des images me revinrent où je la voyais parler avec lune de mes cousines .Et , ne pouvant sortir durant ces jours e deuil , je lui téléphonai pour en savoir plus sur cette mystérieuse femme qui me subjuguait de plus en plus , hantait mes nuits et changeait ma sexualité .
Au matin , le téléphone retentit . Mon cur se mit à battre la chamade . Mon fils dormait encore . Je rejoignis le salon en courant .
Le soir , je leus au téléphone . Elle ne savait si elle devait donner suite à notre relation . Je lui expliquais que cétait la première que javais senti des sensations aussi fortes en faisant lamour .Elle me dit que cétait réciproque pour elle aussi et que pendant plus de 20 ans , elle nattendait que de me revoir et que les circonstances ne lont jamais permis .Juste après mon mariage , elle devait revenir me voir et peut-être même me déclarer sa flamme .Elle ne savait pas trop comment sy prendre et cest à cette époque que son mari fut écroué pour escroquerie , abus de pouvoir et détournement de deniers publics . Il devait écoper de quinze années de prison ferme mais elle était arrivée à draguer quelques juges et procureurs de la République . « Bien sûr jai couché avec eux » mannonça-t-elle en pleurant .Cest ainsi quil neut que six années de prison , libérable en cinq ans pour bonne conduite .Pendant ces cinq années , il me laissa sans le sou , moi qui avec lui , javais appris à vivre loin du besoin . « Je me suis dit que puisque javais couché avec les hommes de la justice , je pourrais coucher avec dautres mais contre de largent. » a-t-elle déclaré . « Cest ainsi quécumant certains endroits aisés que je fréquentais avec mon mari , je me faisais draguer par des hommes de la haute société. Jétais devenue une pute de classe .Jaccompagnais ces hommes , ces PDG , ces chefs dentreprises , ces médecins de spécialités dans leur mission de travail , je fréquentais les meilleurs hôtels du pays . Javais réussi à louer un appartement à Belcourt où je revenais après mes ébats qui ne mont apporté quune fortune qui mavait mise à labri du besoin pendant que mon mari purgeait sa peine . » A sa sortie de prison , son mari se retrouva à la tête dune fortune , puis à la tête de lentreprise quil tenait encore. Bien entendu , elle ne parla jamais de ses égards de route pendant son absence mais il lavait su par les mauvaises langues , ni du compte en banque quelle avait réussi à amasser. Il la répudia et elle léjecta de son appartement. Elle put se dégoter une boutique à Alger-centre et ouvrit une boutique de parfume et de lingerie féminine. Elle sest mise à avoir en horreur les hommes préférant la compagnie des femmes .Et dans sa boutique , elle avait un véritable vivier car parmi les clientes , elle recevait des lesbiennes .Elle me raconta lhistoire de cette femme qui est venue avec son mari et qui nétait autre quun procureur avec lequel elle avait cuché pendant que son mari était en prison .La femme , une arriviste , avait besoin dun parfum et Meriem voulait une vengeance . Elle la tenant par la main pendant quelle lui versait quelques gouttes de parfum sur le dos de la main .Meriem nhésita pas à lui caresser la paume de la main sans que le mari ne sen aperçoive .La femme ne comprit pas ce que lui faisait la propriétaire des lieux lorsquelle lui effleura la poitrine .Mais elle en fut toute retournée .Meriem lui proposa des dessous féminins et lattira vers larrière boutique , inaccessible aux hommes . Et tout en la tenant par la hanche , elle lui montra des dessous féminins . Puis , elle sest mise à lui caresser le flanc . La bonne dame ne dit rien et sortit avec la promesse de revenir le lendemain car elle était gênée par la présence de son mari .Le lendemain , elle revint. Cétait une autre femme .Elle sentait bon le parfum quelle avait acheté la veille et Meriem alla droit au but . « Vous voulez que je ferme la boutique ? » lui dit-elle . La femme acquiesça et Meriem lui dit que ça ferait dix mille dinars pour lheure quelle passerait avec elle . La bonne femme était daccord et paya de suite . Meriem se déshabilla et enlaça la femme qui avait lair un peu surprise . Mais après la surprise , ce genre de femmes trouvent lextase dans les bras dune autre femme . « Jaimais les femmes et je sentais que les femmes aussi, alors pourquoi ne pas en faire un commerce . »mannonça-t-elle doucement .Elle me demanda, alors, si après tout ce quelle venait de me raconter , je pouvais continuer à laimer . Je répondis que son passé mintéressait avec toutes ces aventures qui auraient pu se produire chez moi mais que jétait bête et que je la remerciais pour avoir éveillé en moi cette fibre sensuelle et que plus jamais un homme ne me toucherait et que je voudrais mallonger , moi aussi , dans son arrière-boutique. Elle en fut heureuse , me fixa un rendez-vous pour le lendemain, chez moi mais cétait impossible car mon fils navait pas cours et restait à la maison pour préparer ses examens Elle me souhaita une bonne nuit , pleine de beaux rêves où elle devait être présente et me promit de mappeler .En raccrochant le téléphone , je mis ma main dans mon entre jambe pour mapercevoir que ma cyprine dégoulinait . Et je me mis à me dire que javais 48 ans et quaucun homme , à part mon frère , navait réussi à me mettre dans cet état . Jallais dans la cuisine , cherchai un joli concombre dans le frigo , le passai sous leau chaude , lessuyai et me mis au lit . Je le suçai dabord abondamment pour le saliver et lintroduire dans mon vagin qui dégoulinait encore .Javais la sensation dêtre déflorée par un sexe dâne . Et en pensant à lâne , jeus un sourire parce que , tout simplement , je venais de faire un pied de nez à tous les hommes .Cétait bon et il glissait parfaitement bien dans ma fente, ce sexe dâne . En moins dune minute, il mapporta le plaisir que jamais aucun homme ne mavait apporté .De ma table de nuit , je pris une serviette pour essuyer cette douce cyprine qui menvahissait et je mendormis en priant dieu quelle ne sassèche jamais et que ma douce Meriem maime pour la vie . Je dormais en souriant à lidée de penser à cette douce Meriem qui , malgré son âge , était fort appétissante . Je dormais en pensant à toute une vie perdue avant de découvrir mon homosexualité. Je dormais en pensant à cette envie que jai toujours eue daller au hammam, pas pour me laver , mais pour me rincer lil auprès de ces pucelles qui accompagnaient leurs mamans et qui, faisant mine de ne pas sen apercevoir , laissaient tomber leur pagne pour exhiber un joli corps , ou encore, ces dame entre deux âges , qui me demandaient de leur savonner le dos et qui ne disaient rien lorsque ma main furtive touchait les fesses ou les cuisses . Je navais pas le temps de réfléchir et je me trouvais dans les toilettes du hammam en train de me masturber après avoir savonné ma chatte qui brûlait de désir .Cétait un signe de on homosexualité que je navais pas déceler au bon moment .Certes les hommes me regardaient quand je passais près deux . Mais cétait leur instinct de virilité qui conduisait leurs yeux à se poser sur une femme .Mais quand une femme regarde une autre femme , cest autre chose , un autre regard , une autre pensée , une autre envie .Jétais zyeutée dans les cérémonie de mariage , comme lavait fait Meriem pour moi lors de mon mariage , mais je navais jamais eu lidée que jétais regardée par les femmes pour une envie de mavoir dans leur bras . Je croyais ces choses réservées aux hommes , au machos surtout.
Meriem vint après trois longues journées . Elle portait une longue robe à boutons sur toute le devant et une veste jean. Elle était belle , elle était sensuelle, elle était fraiche et me sauta au cou dès lentrée dans la maison . Elle avait passé la nuit à penser à cette rencontre . On sembrassait sans sinterrompre pendant un bon quart dheure avant darriver au salon . Avant de sasseoir sur le divan , elle déboutonna sa robe et me montra sa féminité . Ses seins , sa chatte noire et luisante éblouissaient .Elle enleva sa veste , sassit et me fit signe de la rejoindre .Je ne savais plus quoi faire devant tant de charme , de beauté , dassurance . Alors , lidée me vint de me deshabiller devant elle avant de masseoir , jôtais ma robe pour montrer des seins qui tombaient mais qui étaient encore beaux , ma culotte pour montrer une chatte épilée mais qui commençait à noircir et un clitoris qui léblouit et je me jetai près delle. Elle réussit à échapper à mon étreinte pour plonger sa tête entre mes cuisses et mettre ce bouton dans sa bouche .Jen étais perdue de joie . Elle me suça comme si cétait un sexe dhomme , ses mains tentaient décarter encore plus mes cuisses pour avoir toute cette protubérance dans se bouche .Ma tête était posée en arrière et je me caressais les seins qui me faisaient gémir denvie .Mes cuisses comprimèrent sa tête , je venais de perdre trois litre de cyprine dans un soubresaut qui me souleva du divan . Sa langue entra en action pour ne pas perdre une seule goutte. Puis réussissant à se relever , elle membrassa en déversant tout le liquide visqueux dans ma bouche . Venant delle , tout était bon . Sa bouche , ses seins , sa robe quelle ne portait plus , ses poils qui me caressaient la poitrine , le sein gauche puis le sein droit .Ses seins petits et ronds avec les tétons comme des fraises donnaient envie dêtre croqués . Ils me faisaient envie . Je les empoignais , les caressais , je glissai une main entre ses cuisses pour introduire mes doigts dans sa fente . Mouillée. Mes doigts sortir de sa chatte imprégnés de cyprine et jarrivais à les rapprocher de ma bouche . Je suçai ce doux miel qui dégoulinait de mes doigts avant quelle ne plonge dessus à son tour . Elle mit ma main entière dans sa bouche et je jouis encore une fois . Elle sen aperçus et doucement remonta sa chatte au niveau de ma bouche . Je sentais les gouttes perler sur ma langue . Ma langue réussit à sinfiltrer au milieu des deux lèvres pour se balader au milieu des chairs visqueuses. Cétait tout ce quil lui fallait et jétais prête à lenvoyer au septième ciel .Je confirmais ce que je savais déjà , la chatte des femme me subjuguait plus que les sexes dhommes. Mais dans les films porno , jétais plus attirée par les couples de lesbiennes que par un couple hétéro . Je la léchais et je me masturbais parce quen ces moments , elle se concentrait sur la jouissance sans pouvoir faire autre chose. Je navais jamais su quun jour je réussirai à me masturber en faisant lamour avec une femme . Ouilllllle que cétait bon quand le point culminant fut atteint et quand nous lavions atteint au même moment . On tomba dans les bras lune de lautre dans lodeur parfumé de nos cyprines. On est restés longtemps endormie lune dans les bras de lautre jusquau moment où elle me demanda si je pouvais introduire mon clito dans son vagin . Je ne savais pas quoi lui répondre puisque je navais jamais essayé mais lidée me plut et lon sest mises à sembrasser pour chauffer un peu les moteurs . Très vite mon clito banda . Elle le saisit dabord dans sa bouche, le suça encore et encore , sa langue me caressait le bas du clito et cest qui me faisait jouir une première fois . Puis elle remonta au niveau du sexe contre sexe , javais son beau visage en face de moi et ses lèvres mouillées à hauteur de ma bouche . Cétait elle qui ajustanos deux sexes pour se faire enfiler par mon clito. De petits va et vient lui permirent davoir une bonne cadence et de se faire du bien . Apparemment , la cadence lui allait bien à voir le regard quelle me jetait .Elle grimaçait denvie et de même , je sentais que je la pénétrais . Puis , elle se mit à accélérer la cadence et je compris que je la pénétrais bien comme il faut . Il ne lui fallut que peu de temps pour jouir dans un gémissement que je lui connaissais maintenant mais elle continua pour que jarrive à lextase aussi . Ses mains aggripèrent mes seins et elle me donna un joli coup de rein qui me fit perdre tout le liquide que javais . Nos cyprine se mélangèrent encore une fois et encore une elle pplongea dans ma bouche pour saccaparer de ma langue et criant des « je taime ». Et je laimais aussi comme je navais jamais personne .Nos corps se refroidissant , nous nous trouvâmes en train de se rhabiller car elle devait partir . Le lendemain , me fit-elle savoir , elle ne pourrait venir car elle attendait une femme toute laprès-midi. « Tu nes pas jalouse , jespère » me lança-telle en se serrant contre moi . « Cest le boulot , cest pour de largent. » Je répondis quelle était libre de faire ce quelle voulait pourvu quelle ne moublie pas.
Quelques jours après , Meriem ne pouvant venir chez moi , je décidai daller au hammam , car je me sentais ce besoin de voir des corps de femmes . A cette-ci , le hammama était presque vide . La propriétaire me dit quil ny avait que deux femmes à lintérieur . Cétait mieux que rien. Jentrai dans la salle chaude et je vis les deux femmes , lune dans les bras de lautre. La première faisait un massage à la seconde .Je choisis un endroit où je pouvais les contempler .De temps à autre , je jetai des coups dil furtifs et je distinguai que ce nétait plus un massage mais des caresses .Les pagnes étaient délaissés et javais en gros plan leur intimité. Cétait fascinant. La bonne femme ne se gênait pour me montrer la fleur de son anus et lautre un peu moins âgée, la trentaine environ ou un peu plus ,sa chatte bien rasée. Elles arrivaient même à se toucher les partie génitales en ma présence. Cétait émouvant. Cétait comme si jassistais à de la pornographie en direct .Je chauffais à lintérieur de moi-même et mes seins se durcirent au point où je devais les toucher mais javais peur quelles me voient , quelles décèlent la moindre émotion sur mon visage . Puis , je sentis mon clito sortir doucement de sa gangue . Les deux femmes sembrassèrent sur la bouche avant de se quitter pour reprendre leur place . Mon clito chercha quelques caresses mais il métait impossible de le faire de peur de trahir ma position. Je savonnai ma main et allai aux toilettes pour une masturbation comme je lavais déjà fait auparavant. Après tout , jétais venue pour ça , voir des corps , me donner envie , jouir . Jai vu des corps nus de femmes en action et je crois que jen ai pris du plaisir . Dans les toilettes ,je pris mon clito dans ma main et lastiquais en revoyant cette scène . Jentendis dautres femmes arriver et sengouffrer dans la salle chaude au moment où je jouissais . Je voulais embrasser ce clito qui me donnait tant de satisfaction , tant de plaisir mais je ne pouvais pas . Lvoir vu dans la bouche de Meriem mescita encore et je me mis à me branler encore .Je maperçus que je le tenais dans ma min comme un homme tient son sexe pour se masturber . Javais vraiment quelque chose dextraordinaire et je nen étais jamais aperçu .Encore une jouissance , dans les toilettes du hammam, en pensant à la femme plus âgée, à ses seins pendants et au baiser quelle avait reçu de la plus jeune. De retour , le contingent de femmes avait déjà pris place non loin de moi . Je frottai mes jambes avec le gant rugueux en matant la nouvelle marchandise .Mon excitation pour ce genre de spectacle pouvait durer des heures mais la plus vieille du couple vint me demander si je voulais quelle me frotte le dos .Jacquiesçai et elle sassit près de moi , cuisse contre cuisse, douceur contre douceur , excitation contre excitation , chaleur contre chaleur .Elle commença dabord par me le frotter sans le gant , juste avec ses mains chaudes contre mon corps chaud et suant, ce qui sapparentait beaucoup plus à des caresses , puis avec le gant rugueux, sans trop appuyer comme pour prolonger ses caresses .Elle me frôlait les fesses alors , je desserrai mon pagne noué autour de la taille pour lui laisser plus de prise sur cette partie de mon corps où elle voulait aller . Cest ce qui lui permit de les toucher . Je la laissais faire . Puis , elle passa le gant sur mes cuisses . Je lui dis que le gant était trop rugueux . Alors , elle lenleva et passa sa main sur mes cuisses , sur mon ventre , sur mon pubis touchant même la naissance des poils ,sur mes seins . Cétait bon de se faire peloter par une inconnue . Elle me rinça à leau chaude puis prit le savon dans mon sac de toilette et se mit à me savonner le dos , puis la poitrine . Les femmes, à demi-nues dans la salle chaude, ne nus regardaient pas et je la laissai faire parce que ce quelle me faisait était bon .Je maperçus que jaimais être touchée par une femme .Les caresses de mon mari ne mapportaient jamais rien dexcitant .Elle me rinça le dos et sen alla . Je bandais encore plus et faisant mine de me laver les parties intimes sous mon pagne , je me masturbais au savon .Je ne réussis pas à avoir une jouissance mais cela faisait du bien de le caresser , de mettre mes doigts dans ma fente .Je sortis , je mhabillai et rentrai à la maison où mon lit mattendait avec un bon concombre .Je pensai à la scène du hammam , aux caresses de linconnue, le concombre dans la bouche , entièrement au point où il arrivait à la gorge . Ah cette inconnue et mon dieu ses caresses au savon, ses mains douces et ses seins qui frolaient mon corps !!! Ce nest quaprès maintes jouissances que je me levai , pris un verre deau et me préparai un bon café . Mon fils ne tarda pas à rentrer avec une bande de ses copains qui voulaient me voir et me présenter leur condoléances .
Le lendemain , Meriem mappela juste pour me demander comment jallais . Jétais contente de lentendre dautant plus que jallais dormir alors que jattendais un film porno , sur Canal+ . Je lui parlai de mon hammam sans lui raconter ce que jy avais fait .Et je fus surprise de lentendre me dire quelle y allait uniquement pour zyeuter les jeunes filles , voir leur seins pointer dexcitation, leurs chattes , bander et bien entendu se masturber aux toilettes .Je montrai ma surprise feinte et elle me dit : « Pourquoi crois-tu que les femmes y vont ? » Elle devait venir me voir le lendemain .Jétais étonnée. , je croyais que jétais seule détentrice de ce vice mais voilà que toutes les femmes lont , toutes les femmes, ou du moins une grande majorité, vont au hammam pour se faire peloter et pour mater et certainement se masturber .Minuit. Le film. Les beaux corps , les sexes géants , les râles , les cris, les soupirs ,les pénétrations anales chères à mon frère et moi, les femmes qui se masturbaient devant des hommes qui baisaient violemment des femmes , des femmes qui sembrassaient, les litres de spermes qui se déversent dans les bouches et les litres de cyprine qui se déversent de mon sexe .Ma main trempée pénétrait dans ma bouche puis astiquait mon clito que je voulais avoir dans ma bouche aussi, mes jouissances , mes soubresauts , mes râles étouffés pour ne pas être entendus par mon fils . Je mendormis dans cette odeur de cyprine qui sétalait sur le drap en pensant à ces plaisirs ratés, gâchés du temps de mon mari.
Cest ainsi que se passaient les jours qui suivirent mon deuil auquel jétais astreinte à rester à la maison pendant 5 longs mois et même si je devais sortir , je ne devais pas dépasser le crépuscule pour rentrer à la maison .Mais , je pense quaucune femme nas aimé son deuil comme jai aié le mien qui ne dura , en toute sincérité que 8 jours , pas plus , 8 jours dabstinence . Juste après je me suis découverte une autre sexualité qui me plaisait beaucoup mieux que lautre . Lhomosexualité et lenvie de mater les femmes . Meriem venait me voir de temps à autre et ramenait avec ses lots lots de baisers , de caresses , de tendresse et de jouissance . Elle me parlait des femmes avec qui elle couchait dans sa boutique , de leur libido , de largent quelle leur soutirait et des produits quelle leur fourguait , beaucoup plus chers que pour les autres . Cétait une véritable prostituée pour femmes. Mais elle soccupait bien de moi au point où elle ma fait oublier que jétais mariée à un homme pendant plus de 23 ans . Cest vrai , je navais plus de souvenirs de quelques ébats avec lui . On se mettait au lit , il me culbutait comme il voulait , il nembrassait même pas , il jouissait . Je me levais , me lavais , revenais me mettre au lit , il dormait déjà .Cest tout . Avec Meriem ,le plaisir durait , les langues ne narrêtaient pas de se sentir proche lune de lautre . Nous navions quune seule salive , quune seule cyprine et nos corps étaient tellement bien réglés quon jouissait en même temps, quon râlait en même temps . Elle avait plaisir à me faire bander , à mettre mon clito qui la subjuguait dans sa bouche ou à me masturber avec sa petite main dadolescente . Elle adorait que je bande pour elle . Et je bandais vraiment pour elle . Le seul hic , cest quelle avait pris cette mauvaise de se prosti pour les bourgeoises et jen était une . Jétais à la tête dune fortune , elle le savait mais jamais , il na été question dargent entre nous Au contraire , elle me faisait plein de cadeaux qui provenaient de sa boutique : des parfums , des dessous , des culottes que je mettais spécialement pour elle . Elle maimait . Mais je ne dormais jamais sans avoir eu une pensée pour la dame du hammam . Jy suis allée à plusieurs reprises, sans la revoir cependant . Je retournais à la maison , fatiguée , frustrée et cette envie de masturbation commençait à sestomper si ce nest les films porno de Canal + .Et je me remettais à penser à elle et je me disais , lorsque ma main frôlait mon clito, quelle aussi devait me chercher , quelle aussi devait penser à moi , à ses caresses sur mon corps , sur mes poils et quil était sûr quelle mouillait sa culotte pour moi .
Un jour cependant , alors que je my attendais le moins , je la revis . Dans un nuage de vapeur , elle était toute nue et semblait se rincer pour sortir .Il y avait du monde dans la salle chaude mais elle arriva à me distinguer au milieu de toutes ces effluves vaporeuses . Elle se leva sans ajuster son pagne , membrassa comme si nous étions de vieilles amies et me fit une place près delle .Elle me dit quelle nétait venue que pour me rencontrer et quelle était venue plusieurs fois dans ce seul but . Elle menlaçait et sentait bon le savon de lavande et le shampoing. Je minstallai comme je pus près delle parce quil y avait du monde mais javoue que cétait la première fois que jai voulu cette proximité . Je lui dis que jétais contente de la revoir en mettant ma main sur sa cuisse . Elle me serra contre elle juste pour montrer son approbation .Plus de deux mois quon ne sétait pas vues et cela me parait la veille maintenant quelle était si proche de moi. Je caressais sa cuisse parce que personne ne semblait avoir les yeux sur nous et de son coude elle la pressa pour me montrer quil ne fallait pas que je lenlève . Commença alors , entre nous , le doux manège des caresses, des « je te touche » « tu me touches » .Les regards furtifs quen se jetait en disaient long sur notre envie de faire .Alors , il fallait quelle me frotte le dos et cétait le prétexte de faire de moi ce quelle voulait . On ne se connaissait pas mais on saimait comme si nous étions des amies de longues date . Avec mon coude je frôlais ses seins nus et durs . Elle me caressait les fesses. Lorsquil fallait quelle me savonne le dos , elle a profité pour passer sa main sur ma chatte bien poilue . Elle sentie mon clito dur , ( et il était plus dur que dhabitude ) et moi, je sentis quelle nen pouvait plus .Et la main savonneuse , elle sen alla déverser sa cyprine aux toilettes me laissant sur ma faim .Elle revint quelques minutes plus tard , elle sexcusa et je fis de même . De retour , nous avions réussi , tant bien que mal notre toilettes . Nous sommes sorties toutes les deux nous reposer dans la salle dhabillement et cest là que nous avions appris à mieux nous connaitre. Elle habitait dans le quartier , on a échangé nos numéros de téléphone et cétait le début de ma plus belle histoire damour .La première fois que Lila ( elle sappelait Lila) est venue chez moi , je lai emmenée directement dans ma chambre , dans mon lit , chose que je navais jamais faite avec Meriem. On sest longuement embrassées et caressées et elle a mis sa main dans ma chatte poilue mais bien entretenue (javais rasé les poils qui longent ma fente , fait disparaitre le triangle pour laisser place à un joli rectangle qui montait jusquà presque mon nombril). Lila y plongea sa tête et sa langue quelle mouilla longuement pour ne plus soccuper que de mon clito. Meriem tout comme Lila en étaient vraiment subjuguées. Cétait presque un sexe dhomme en miniature , en un peu plus grand que miniature au point où je pouvais faire des va et vient entre leur lèvres sans quil ne sorte . Lila aimait ses va et vient dans sa bouche . Je lui caressais le dos , elle était blanche de peau et sa peau était dune douceur que nont que les bébés . Puis , elle se tortilla pour me présenter sa vulve , bien grosse , bien rasée et bien mouillée . Dun coup de langue , je lapais comme une chienne ce quelle me donnait en offrande .Elle libéra une main pour appuyer ma tête contre sa chatte comme pour me la faire entrer entièrement . Jétais heureuse quelle aimait ma chatte bien fournie et ma langue . Jallais jouir mais je me risquai à lattendre, et puis, non , je me laissais couler . Alors , elle prit une de mes mains pour me la poser sur ses fesses. Je pouvais lui titiller lanus, je mouillai un doigt dans sa cyprine et le lui enfonça doucement , à la première phalange , elle serra très fort son anus et cria de joie .Je continuais à lui suer tout ce quelle me donnait et les bouches pleines, on sest embrassées sans arrêt , sans même penser à mettre fin à nos ébats . Lila adore le sexe , Lila adore les femmes , Lila navait que 36 ans et elle madorait plus que tout au monde . Jai aimé Lila toute ma vie , comme je laime encore aujourdhui .Je crois quil ny a quavec elle que jai fait lamour , lamour avec amour . Jai 63 ans , elle en a 52 mais lorsquon se rencontre , on refait toujours comme la première fois dans ma chambre . Cest la seule femme que jai emmenée dans ma chambre dans mon lit mouillé de nos deux cyprines. Bien sûr , jai eu dautres conquêtes , féminines bien entendu, mais ce sont dautres histoires que je raconterai plus tard .
Ammoula
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