Pension Complète

Lorsque ma grande sœur m’a demandé si nous étions d’accord de prendre notre neveu en pension pour sa première année à l’université, mon époux et moi avons dit oui sans hésiter. Nous vivons seuls dans une grande maison et j’ai gardé de beaux souvenirs du petit Kevin venant en vacances et en weekend chez moi. Bien sûr, le Kevin qui jouait au cow-boy et sautais sur mes genoux est maintenant un beau et grand jeune homme…

Quelques jours après son arrivée chez nous, mon mari est parti en voyage d’affaire et je me suis retrouvée seule avec mon neveu. Comme chaque matin, je vais dans sa chambre pour ouvrir les rideaux et aérer un peu mais, ce jour-là, à ma grande surprise, Kevin est encore dans son lit…

Un peu embarrassée, je m’exclame: “Kevin ! …Tu n’as pas les cours ce matin?”. Il faut dire que j’aime flâner en nuisette le matin et que je n’avais pas prévu de me montrer en petite tenue face à lui ! A moitié endormi, Kevin se redresse sur ses coudes et balbutie les yeux entrouverts: “Tante Sophie ?… C’est toi ?… Non… J’ai congé aujourd’hui”.

Kevin remonte lentement son drap sur son torse nu tout en me déshabillant du regard. J’aperçois malgré moi son sexe se dresser sous le drap et former une bosse monstrueuse. De toute évidence, il dort nu sous son drap. Sidérée par la taille de son engin, je m’assoie au bord du lit sans pouvoir le quitter des yeux.

Kevin tente de se justifier: “Tante Sophie, je suis désolé, mais… ta chemise de nuit est transparente et… avec les rayons du soleil…”. Toujours sous le coup de l’émotion, je m’étonne à voix haute: “C’est moi qui te fais bander comme ça !”. Gêné, il poursuit en bafouillant: “Non ! Non… tu ne me fais pas bander… Ou plutôt… Si ! Si… tu me fais bander…”.

Rouge de honte, il baisse finalement les yeux et fixe mes pieds comme un petit garçon qui a fait une bêtise. Je tire lentement sur le drap et découvre peu à peu le corps entièrement nu de mon neveu.

Son pénis, raide comme un pieu, est d’une taille réellement impressionnante.

Sans dire un mot, je retire mes mules, je pose mes pieds nus sur le lit et les glisse doucement jusqu’au contact de son sexe. Partagé entre l’excitation et la honte, Kevin tente de résister en regardant mes orteils monter à l’assaut de son pénis: “Tante Sophie… mais qu’est-ce que tu fais…”. Je monte lentement jusqu’au sommet de la colonne de chair et emprisonne son gland entre mes orteils.

Les mains agrippées au drap, Kevin jouis instantanément sans pouvoir contenir ses gémissements. Étonnamment, au lieu de gicler, son sperme sort lentement de son pénis dans un flux interminable. Le liquide blanchâtre nappe son gland et coule entre mes orteils comme le glaçage d’une pâtisserie gourmande.

Je ne résiste pas à l’envie de goûter à son foutre. Je m’agenouille sur le lit et lèche soigneusement la crème onctueuse qui dégouline le long de son pénis. Kevin a abandonné toute volonté de me résister. Au contraire, il prend ma tête entre ses mains et me force à prendre son sexe dans ma bouche.

J’enfourne tant bien que mal les premiers centimètres de son pénis et m’applique à téter son gros gland encore gluant de sperme. Sa respiration se fait de plus en plus rauque. Kevin remonte ma nuisette et glisse lentement une main entre mes fesses. Je me cambre pour aller à sa rencontre. Je sens ses doigts explorer ma vulve trempée de désir, puis remonter lentement sur mon anus et tester sa résistance…

Je relève la tête et le supplie doucement: “Oh oui mon chéri… J’en meurs d’envie… Encule-moi ! Là, maintenant !”. Je pose ma tête sur le lit et me cambre au maximum pour l’accueillir. Tremblant d’excitation, Kevin s’accroupit derrière moi, pose son gland recouvert de bave sur mon anus et pousse en s’agrippant à mes hanches.

Je sens mon anus se dérober sous la pression puis s’ouvrir d’un seul coup et laisser rentrer le gland de mon neveu dans mon cul… Kevin s’immobilise un instant, comme pour refouler la montée d’un orgasme, puis il commence à aller et venir lentement, en faisant ressortir puis ré-entrer la couronne de son gland dans mon anus.


Je ne résiste pas longtemps à ce traitement… Mes jambes se mettent à trembler et une vague de chaleur envahit mon ventre… Mon anus se contacte en saccades autour du pénis de Kevin qui se met à me pilonner frénétiquement... Parcourue de spasmes, je jouis un hurlant tout en m’affaissant à plat ventre sous ses coups de boutoir.

Kevin se couche sur moi et continue à me sodomiser sauvagement. Mes cris de plaisir et les grincements du lit résonnent dans le silence de la petite chambre. Son sexe qui bondit comme un diable dans mon cul est si gros qu’il stimule même mon point G… Alors qu’un nouvel orgasme s’empare de moi, Kevin s’immobilise en tremblant et jouis à son tour en inondant mon cul de foutre avant de s’écrouler sur moi de tout son poids.

Assommés par la puissance de notre orgasme, nous sommes restés ainsi, emboîtés l’un dans l’autre, jusqu’à ce que je sente son sexe grossir à nouveau à l’intérieur de mon cul… Nous avons continué à baiser toute la journée, dans toutes les pièces de la maison et dans toutes les positions imaginables.

Mon neveu m’a confié qu’il fantasmait sur moi depuis le jour de son arrivée. Je dois avouer que quelques envies cochonnes m’avaient aussi traversé l’esprit… Maintenant, je ne manque jamais une occasion de me retrouver seule avec lui, et d’assouvir le moindre de ses fantasmes…

Bons baisers, Sophie.

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