Le Petit Chaperon Rouge

Il était une fois une jeune femme, d'une vingtaine de printemps, qui gambadait dans la forêt pour aller voir sa mère-grand.

Elle portait une jupette rouge à la pupe trop courte et un trou au niveau de sa poitrine si volumineuse qu'elle était prête à sortir .
Elle avait aussi des collants blancs montant jusqu'aux cuisses et des espadrilles à talon d'un rouge éclatant .

Mais ce qu'elle abordait le plus fièrement c'est son chaperon rouge .


Au détour d'un chemin elle vit un loup qui lui demanda où elle allait .
Elle répondit : Je vais voir ma mère-grand, et lui porter une galette avec un petit pot de beurre que ma mère lui envoie.
— Demeure-t-elle bien loin ? lui dit le loup.
— Oh ! oui, dit le Petit chaperon rouge, c'est par-delà le moulin que vous voyez tout là-bas, à la première maison du village.
— Hé bien, dit le loup, je veux l'aller voir aussi ; je m'y en vais par ce chemin ici, et toi par ce chemin-là, et nous verrons qui plus tôt y sera.

Le loup se mit à courir de toute sa force par le chemin qui était le plus court, et la jeune femme s'en alla par le chemin le plus long, s'amusant à cueillir des noisettes, à courir après des papillons, à faire des bouquets des petites fleurs qu'elle rencontrait et à étancher la chaleur de ses cuisses derrière un bosquet.


Le loup ne fut pas longtemps à arriver à la maison de la mère-grand ; il heurte : Toc, toc. " Qui est là ?"
— C'est votre fille le petit chaperon rouge (dit le loup, en contrefaisant sa voix) qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre que ma mère vous envoie. "
La bonne mère-grand, qui était dans son lit à cause qu'elle se trouvait un peu malle, lui cria : " Tire la chevillette, la bobinette ccherra. "

Le loup tira la chevillette, et la porte s'ouvrit.

le petit chaperon rouge, qui quelque temps après vint heurter à la porte. Toc, toc.

" Qui est là ? "

Le petit chaperon rouge, qui entendit la voix assez étrange du loup, eut peur d'abord, mais croyant que sa mère-grand était enrhumée, répondit : " C'est votre fille le petit chaperon rouge, qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre que ma mère vous envoie. "
Le loup lui cria en adoucissant un peu sa voix : " Tire la chevillette, la bobinette ccherra. " Le petit chaperon rouge tira la chevillette, et la porte s'ouvrit.
La jeune femme alla voir sa mère-grand dans la chambre et aperçut certains détails troublants.


- Ma mère-grand, que vous avez de grandes oreilles !
- C'est pour mieux écouter, mon .
- Ma mère-grand, que vous avez de grands yeux !
- C'est pour mieux te ma ... te voir, mon .
- Ma mère-grand, que vous avez de grandes dents !
- C'est pour mieux te manger !

Aussitôt, le loup enleva la couverture qui le caché et dévoila sa véritable apparence.

Ce n'était point un loup mais en évidence une louve ou plutôt une louve-garou si on regardait de loin son apparence charnelle.

Elle ressemblait à une femme d'une vingtaine de printemps à la peau argenté, possédant une longue chevelure noire, du pelage se présentait au niveau des avant-bras et des jambettes, elle avait des yeux d'un jaune vif et des seins aussi larges qu'une citrouille.

Du canidé, elle n'y resta de deux grandes oreilles pointues et une queue touffue.

Mais néanmoins, le plus troublant dans son anatomie est son pénis aussi grand d'un mètre, fièrement dressé vers notre petit chaperon rouge.

Ceci dit-on voiler bien qu'elle était bisexuée, car il n'avait point de testicule, mais des lèvres de vagin qui demandaient des choses grosses et longues entre elles.

La louve, car au vu de son anatomie générale, elle était plus femelle que mâle, lançant un regard espiègle vers le petit chaperon rouge
Où est ma mère-grande ? lui demanda le petit chaperon rouge.


-N'ai point d’inquiétude, lui rétorqua la louve, je ne mange pas d'humain, encore moins quand ils sont si âgée, elle fait un puzzle, dans la grange, nous serons plus tranquille comme ça !
-Mais pourquoi donc, lui demanda le petit chaperon rouge
-Ho ! mais tu le sais très bien !

Cette dernière, paralyse par une sensation inconnue, ne réagit pas quand la louve se jeta dessus et l'embrassa.

- Ho madame la louve, que vous avez de grands bras !
- C'est pour mieux te caresser, ma chère.
- Ho madame la louve, que vous avez de grandes jambes !
- C'est pour mieux t’enlacer, ma chère.
- Ho madame la louve, que vous avez de gros seins !
- C'est pour mieux te réchauffer ma chère.
- Ho madame la louve, que vous avez un grand pénis !
- C'est pour mieux te faire jouir, ma chère.
- Ho madame la louve, que vous avez de longs ongles !
- C'est pour mieux te déshabiller !

Aussitôt dit, la louve arracha les habits du petit chaperon rouge et aperçu que le corps de la jeune fille était aussi spécial que le sien. Elle possédait aussi un pénis durci au contact de l'air libre et pas de testicules, à la place un vagin ruisselant de désir.

-Hoho ! voilà une drôle de surprise ! dit le canidé
-Oui, nous sommes hermaphrodites de mère en fille, répondit le petit chaperon rouge
-Moi qui pensé m'amuser qu'avec mon engin dressé, rétorquai la louve, on dirait que ma fente mouillée va avoir elle aussi son amusement !

Elle se baissa pour prendre le long engin du petit chaperon rouge et lui dit "veux-tu me prendre ou je te prends ."
-Prenez- moi si vous plaisez, dites cette dernière, mais faite attention, je suis encore vierge de toute chose !
-Ho une pucelle ! je vais m'amuser à te dé-fleuré !

À moins de temps qu'il en faut, la louve entra son sexe d'homme dans le vagin du petit chaperon rouge qui, malgré la douleur, se sent envahir de la sensation incroyable.


Plus les coups de reins de la louve augmenté, plus son corps brûlait de plaisir charnel.
La louve en profita pour prendre le membre du petit chaperon rouge et le mit entre ses seins volumineux pour le lécher.

Sa compagne de sexe eut un coup de chaleur monté jusqu'à sa cervelle .

Plus le rapport passait, plus son corps brûlait et ses sens sensuels augmentaient jusqu'à son paroxysme, elle ressent le sperme chaud de la louve au fond d'elle et le sien sortir en grande pompe de son engin
Après un temps de sexualité relativement cour, la louve se leva.

-Cela te plait ? petite vierge dé-fleurée ? fit la louve.
-Tout cela est tellement nouveau, dit elle, mais tellement bon !
-Et on ne fait que commencé, répondit la louve.

Elle prit le sexe du petit chaperon rouge pour le mettre en elle.

Sentant le vagin de la louve qui entourait son pénis, le petit chaperon rouge senti l'extase l’envahir de nouveau même si celui-ci était différent, elle senti qu'on lui prit ses gros seins et qu'un organe masculin se glissa entre sa poitrine, sans trop savoir pourquoi, elle suça ce pénis, procurant des sensations de plaisir à la louve.

Au bout de cette nouvelle fusion des sens extraordinaire, où elle avala du sperme en abondance, quelqu'un ouvrit la porte avec fracas.
C'était un bûcheron qui par les cris orgasmiques, croyait qu'on attaquait quelqu'un.
Que ne fut pas sa surprise en voyant ces deux créatures dans leur parti de jambes en l'air.

-Je crois que vous avez besoin de rien, dit-il
-Mais voyons, dit la louve, on a toujours besoin de membres bien membrés !
-Dans ce cas, répondit-il, laissez-moi apporter le mien

Il se déshabilla et montra un pénis plus gros que nos compagnes et aussi de gros testicules près à la décharge.

-Ho monsieur le bûcheron, dit le petit chaperon rouge, que vous avez de grosses boules !
-C'est pour mieux te régaler, mon !

À ces mots? il prit le petit chaperon rouge et l’enfila jusqu'aux entrailles, cette dernière prit dans cet élan éjacula de tout son sperme.


Malgré ça, le bûcheron continua de la prendre de plus en plus fort.
La louve qui de son côté se masturbait ses deux organes sexuels.


Après une jouissance partagée de nos deux amants, le bûcheron décida que s'occupait de la louve.
Voir le gros mâle prendre cette hermaphrodite fit dressait l'organe du petit chaperon rouge tout en fessant mouillé en jambe .
Elle se mit donc sur le pénis de la louve pour se faire embrocher .

Pendant que la louve se remua de palpitation dues à ces deux organes qui furent mis en attribution, les mains du bûcheron caressèrent la merveilleuse poitrine du petit chaperon rouge.

Cette stimulation fit mettre son corps en feu et la jouissance de ces corps fusionnés fut due telle intensité que le petit chaperon rouge fit jaillir de son sexe des flux de sperme qui se mirent directement dans la bouche de la louve.

Mais ce ne fut point terminé, car le bûcheron pris de nouveau le petit chaperon rouge, de manière que tout en enfilant son sexe dans son vagin mouillé, il caressa de nouveau sa grosse poitrine envoûtante.

Mais cette dernière prit la louve de la même manière et lui caressa elle aussi ses gros seins
La louve, non sans vouloir elle aussi en profiter de la caresse de poitrine se mit de telle sorte qu'elle se retrouva à coté du petit chaperon rouge et une de ses mains prit un sein de cette dernière.


Le bûcheron, vit une de ses mains de libre et prit entre ses doigts un sein de la louve.
C'est maintenant que le petit chaperon rouge avait une main de livre prit le sexe d'homme de la louve et le masturba.

Cette situation fit dans leur crâne des élans de plaisir incroyable et une jouissance de toute force
À la fin? elle se sent lasse? mais toujours désireuse de continuer quand la mère-grand arriva

-Bordelous ! j'ai fini mon puzzle !
Le petit chaperon rouge, gainée de cette situation, prit le couvre li et dit "ce n'est pas ce que vous croyez, mère-grand"

Mais cette dernière n'était pas stupide et a comprit ce qu'il s'st passé ici

-Bordelous ! vous allez pas toucher à la galette, j'espère ! et vous aurez pu m'attendre, dit elle en se déshabillant
Voyant le corps fripé de la vielle hermaphrodite fit peur à la louve qui s'enfuit s'en demander son reste, le bûcheron donc la vue lui fit perdre toute excitation partie elle aussi.

Resta donc le petit chaperon rouge qui dit "mère-grand, pouvez-vous vous rhabiller ? et ne plus parlez de cette histoire ? j'en serais fort grès !


Fin

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