La Pause Pipi...(La Suite)

Nous avons avec Anna continué à nous voir. Elle s’est montrée à chaque rencontre plus inventive. Nous baisions où l’envie nous prenait. À la campagne, dans la voiture, dans son bureau, dans le mien, à l’hôtel, etc.…
Comme si elle désirait que notre relation s’éternise. Elle s’est même un soir, après que nous avions sauvagement fait l’amour dans ma voiture dans un sous-sol, empalée sur le manche de changement de vitesse. Cela lui a procuré un plaisir que je dirai inoubliable.
Nous vivions un amour interdit. Puisque nous étions mariés tous les deux. Mais que putain les interdits sont bons à transgresser ! Non, vous ne croyez pas ?
- Je suis ta chienne. S’aimait-elle à me dire, à tout champ.
Un après midi là, elle m’a donné rendez-vous chez elle. M’ouvrant la porte en jupe, soutien-gorge à balconnets. Dont les tétons débordaient par-dessus le liseré de dentelle. Ils étaient long, épais comme un doigt d’. De couleur marron foncé. Il m’en fallait pas plus pour bander.
Sitôt la porte fermée, Anna a perdu toute sagesse et retenue. Posant son regard sur la bosse que faisait mon érection sous mon jean. Sa main s’est alors approchée doucement mais résolument sur le point le plus sensible de mon corps. Enfermant et comprimant ma verge dans sa main et ça malgré les couches de tissu qui l’envelopper
- Demande-moi tout ce que tu veux, je le ferai ! M’a-t-elle lancé, en faisant descendre la fermeture éclair de ma braguette.
Elle a enfouit sa mimine dans l’ouverture. Fouillant l’intérieur. Mais elle fut tout de suite barrée dans sa progression, par mon slip. Souillé par les prémices de mon sperme. Qu’elle s’est empressée d’écarter, pour se saisir de ma verge à pleine main. De mon côté, j’ai laissé libre cours à mes doigts. Qui se sont mis à caresser une affriolante surface de chair satinée qui s’étendait sous la jupe. De la lisière du bas aux dentelles de la culotte. Je me suis amusé à faire claquer l’élastique de sa culotte sur la peau désirable.

Avant d’introduire mes doigts entre sa peau et l’étoffe, contactant une humidification du lieu. Quelques centimètres plus haut, son bouton était érigé. Je l’ai incendié, en le titillant avec une science consommée. La zone s’est rapidement couverte de mouille épaisse.
Tout en me pompant la verge de sa main, elle s’est mise à gémir doucement sous ma caresse. Inondant le fond de sa culotte de jets tièdes. Puis elle s’est mise à trembler. Crispant les muscles de ses cuisses. Tanguant, d’avant vers l’arrière. Puis de gauche vers la droite. De même, elle a élevé le rythme de sa main sur ma verge. Nous nous sommes caressé mutuellement.
Comme c’était facile à deviner, j’ai joui. Mon éjaculation était si abondante que j’avais l’impression qu’il s’écoulait sans interruption dans la paume de ma branleuse. Cela le bien fait rire.
Tout de suite après, elle s’est accroupi pour laper ma verge à l’aide de sa langue. C’était divin. Et que dire quand cette même langue est venue me taquiner mon étoile plissée avant de l’enfoncer dans mon cul. Je l’ai entendu pousser des gémissements de plaisir. Comme si elle prenait plaisir à ce qu’elle faisait.
Après m’avoir consciencieusement nettoyé le cul, elle s’est levée pour se rapprocher du côté de la table. Elle s’est saisie de sa coupe et en a but une gorgée. Puis, me dit à voix basse :
- En passe à la suite ?
- Je ne demande pas mieux. Répondis-je en me débarrassant de mes frusques.
Après en avoir fait un petit tas, je me suis approché d’elle. Je lui ai pris des mains sa coupe, que j’ai porté jusqu’à ma bouche pour en finir le contenu.
- Ça donne soif la baise ?
- Tu ne crois pas si bien dire. Il n’en reste plus dans la
Bouteille ? Fis-je en la portant jusqu’à mes yeux.
- Non. Tu veux peut-être que j’en ouvre une autre ?
- Non, merci ! J’ai mieux.
Le verre toujours en main, je l’ai glissé à la hauteur sous son sexe.
- Pisse.
- En voilà un drôle d’idée.

- Pisse ! Je te dis.
- Tu crois que ça se commande comme ça ! Je ne sais pas si je vais pouvoir.
- Pisse, c‘est un ordre. Tu resteras comme ça jusqu’à ce que tu pisses, tu m‘entends.
- Salaud !
Je n’ai pas eu à attendre bien longtemps avant que la première goutte tombe dans le verre. Puis s’en suivit un premier jet. Irrégulier qui a fusé de son sexe. Bientôt suivi d’un véritable torrent dont une bonne partie a empli bruyamment le verre. L’autre formant une flaque sur le carrelage. Mes narines toutes proches de la scène, perçurent l’odeur émoustillante du pipi tout chaud.
Quand le verre fut plein, je l’ai écarté de ses lèvres intimes.
- T’en veux. Lui fis-je en lui tendant le verre plein de pisse.
- Ça ne va pas.
- Tu as tort.
- Non… Parce… que tu vas… pas. Bafouilla-t-elle.
- Je vais me gêner.
Et je l’ai porté jusqu’à mes lèvres. Il s’en dégageait une odeur piquante. J’ai bu entièrement le contenu tiède et salé, en trois gorgées.
- Putain que c’était bon ! Ai-je déclaré, en posant le verre sur le sol.
- Tu es complètement fou. Je pense que c’est pour ça que je suis bien avec toi.
- Qu’est-ce que tu veux maintenant ?
- Que tu me baises.
- Pas tout de suite.
- Alors suce-moi.
- Je préfère t’enculer, si tu ne vois pas d‘objection.
- Fais comme bon te semble. Mais tu me suces d’abord.
- Après je t’encule ?
- Ouuuuiiiiii ! Suce maintenant…
J’ai collé ma bouche en ventouse à la fente et j’ai aspiré sa mouille. Comme si je gobais une huître. Elle a sursauté à chacun de mes coups de langue.
- Continue j’adore… supplia-t-elle.
Puis j’ai aspiré ses grosses lèvres. Et je les ai mâchouillés.
- Oui, vas-y. J’aime tellement çà !
C’était un truc qui la rendait carrément hystérique. Expédiant des ruades désordonnées dans le vide.
- Oh oui ! Oh ! Mâche-moi bien ! Fait-elle, avec de grands coups de riens.

Elle m’a lâché dans la bouche une lampée de jus tiède. Tant que mal, j’ai collé ma bouche à sa moule béante. Fourrant ma langue intimement, alors que se poils me piquer les lèvres.
- Oh oui c’est bon gémissait-elle. J’aime çà me faire bouffer la chatte comme çà. Oui. Vas-y manges-moi.
Elle respirait fort, tandis que je me suis mis à la lécher sa cicatrice, de bas en haut et de haut en bas, jusqu‘à l’anus. Après avoir joui, elle a fuit ma bouche.
- J’n’ai jamais eu un partenaire sexuel aussi bizarre que toi. Me confia-t-elle.
Elle plia les genoux et écarta ses fesses en y plantant les ongles. Poussant dans son ventre, elle fit béer son anus et le souligna en y faisant tourner ses doigts. Sa mouille coula entre ses cuisses. Les doigts en éventail, elle écarta ses poils et ouvrit ses chairs intimes. Le fond mauve de sa fente luisait de mouille et de salive. J’apercevais la pointe érigée de son clitoris. Elle appliqua son sexe écartelé contre la vitre de la table basse. Elle a frotté son sexe entre la surface plane en faisant avancé et reculer son bassin. Reculant légèrement pour que son sexe soit bien en vue, elle prit le tube de vaseline, et le pressa dans son anus. Elle a introduit lentement son index entre ses jambes, pour l’emmener jusqu‘à son anus. Où elle le fit aller et venir, plusieurs fois dans son petit trou. Ceci fait elle l’a retiré en soupirant fortement. Elle s’est alors levée, et a appuyé sa poitrine contre le plateau de la table. D’elle-même, Anna a écarté des deux mains son fessier.
- Allez mets moi là. Fit-elle. Mon trou balle est prêt à te recevoir…
J’ai placé l’extrémité de mon membre contre l’orifice froncé et j’ai poussé doucement. Elle a eut un imperceptible gémissement et elle a creusé davantage les reins. D’un coup de reins, je me suis enfilé au fond de son anus. C’était chaud, étroit, bien visqueux, mais aussi très accueillant. Au point que j‘ai eu très envie d’éjaculer. Mais je tenais avant tout absolument à la profaner amplement.
Et après un temps d’arrêt je me suis mis en mouvement.
- Oh oui ! Soupira-t-elle. Que c’est bon de sentir ta queue dans mon cul. Vas-y bien à fond ! Oui…
Je suis allé et venu. De plus en plus rapidement. De plus en plus profondément. Mes couilles claquaient sur son fessier. Je l’ai besogné de plus belle, à en perdre le souffle. La sueur me coulait de partout. Peu à peu, la fatigue me submergea. À chaque fois que l’éjaculation arrivé je m’arrêtais. J’attendais que l’envie s’éloigne pour la besogner de nouveau. Et alors que je lui pompais le cul une idée me vint. Un exploit que j’avais déjà accompli avec ma femme. Malgré sa surprise, elle avait adoré ça. Pour ce faire j’ai fermé les yeux pour me concentrer. Je me suis relâché, et ma pisse a finit par gicler par à-coup. C’était si scandaleux ce que je faisais, que j’ai sentis que mon sperme sortait lui aussi. Entre deux jets d’urine.
Comme cela l’avait fait la première fois, la jouissance de mon éjaculation fut faible, mais combien intense. Se sentant remplir de pisse chaude, Anna s‘est mise à délirer, à crier :
- Oui… Oui… c’est chaud… je vais jouir… je vais jouir du cul… oui ! Oui ! Oui ! Jouir du cul…
Je confirme que c’était chaud. Ma verge en était là comme pour l’attester. Je me suis mis à la pomper, sans aménagement.
- Je vais… je vais…
Elle a joui. En criant très fort. C’est à ce moment là que la porte s’est ouverte, et que son fils l’air affolé à débouler dans la pièce.
- Mais qu’est-ce qui t’arrive maman, tu es…?
Pris de panique je me suis retiré. Et là drame ! Anna s’est laissé aller. Le fils est resté figée quelques secondes avant de disparaître par l’endroit même où il était venu.
Il n’était plus question pour moi de jouir, de nouveau. D’ailleurs ma verge avait perdu de sa superbe. Une odeur pestilentielle envahissait la pièce.
Je me suis rhabillé. Avec Anna, nous n’osions pas nous regarder.
- Il faudrait mieux quand ne ce revoie plus. Qu’en penses-tu ? Lui fis-je.
- Je pense aussi. Répondit-elle.
J’avais l’impression d’avoir vieilli de dix ans en seulement quelques minutes. Cet épisode a marqué la fin de mon aventure avec Anna. D’ailleurs quelques mois plus tard elle avait demandé sa mutation…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!