Sss - 2

Le jeu de l'amour et du hasard est un jeu dangereux et, à force d'y jouer, Adam et Célia sont tombés dans leur propre piège …

"Nous n'avons pas besoin d'aller chez elle!"
"Adam, j'ai accepté son invitation."
"Tu as dit que nous lui ferions savoir. Appelle-la et dis-lui que nous sommes trop occupés."
"Mais nous ne sommes pas occupés. Elle est seule et nous sommes ses seuls amis ici."
"Tu n'es pas son amie!"
"Adam, écoute. Elle est ton amie. Pourquoi ne veux-tu pas la voir?"
"Je suis ici en vacances pour fuir les soucis du quotidien. Cela inclut les gens du travail. Même ceux que j'aime bien."
"Il me semble que tu protestes de façon trop véhémente!"
"Mais qu'est-ce que ça veut dire, bordel?"
"J'ai vu comment tu la regardais dans son bikini. Tu veux l'éviter parce que tu ne veux pas que je te vois baver sur elle. Dur. Je veux te voir souffrir. Je veux voir à quel point tu m'es dévoué et fidèle!"
"T'es sérieuse là? Tu veux aller dîner chez elle pour me surveiller et t'assurer que je ne la lorgne pas? Te rends-tu compte à quel point c'est tordu comme raisonnement?"
Il secoua la tête, se forçant à se calmer. Il protestait trop. Cela éveillait ses soupçons.
Elle était toujours aussi légèrement vêtue, enveloppée dans une sorte de paréo.
"Entrez" invita-t-elle, les conduisant à une table élégante sur le balcon. Un verre à vin se trouvait à côté des couverts avec un peu de liquide ambré: "J'ai commencé sans vous. J'étais un peu nerveuse."
"Nerveuse, mais pourquoi? Tout est magnifique, n'est-ce pas Adam?"
"Euh, oui, adorable!" C'était un peu déconcertant de voir Célia anxieuse. Sa nervosité était-elle feinte ou justifiée?
"Je voulais que tout soit parfait!"
Stéphanie mit une main réconfortante sur le bras de Célia: "Mais tout est parfait!"
"Euh, je n'ai pas ici de quoi cuisiner comme un chef, alors je me suis contentée d'un repas commandé chez le traiteur" dit Célia gênée "J'ai entendu Adam raconter que tu es un véritable cordon bleu.

Les hommes se vantent toujours des mérites de leurs femmes!"
Stéphanie rougit: "J'essaye. Tu es superbe. Le bronzage te donne un teint doré magnifique!"
"Moi? Regarde toi! J'ai passé toute ma vie à essayer d'obtenir ta couleur de cheveux et tu fais ça naturellement!"
Adam restait bouche bée. Il ne comprendrait jamais les femmes avec leurs rituels de socialisation étranges.
Quand Célia a voulu verser du vin dans le verre de Stéphanie, elle a refusé: "Pas pour moi. Merci. Adam et moi voulons que je sois enceinte, et je veux le faire correctement. L'eau sera très bonne, vraiment."
Adam a accepté la nouvelle sans ciller. Ils en avaient discuté, certes, mais rien n'avait été décidé. Il se demandait si Stéphanie était juste en train de revendiquer son éjaculation. Elle ne voyait pas Célia comme une menace, mais elle avait partagé cette friandise "au cas où." C’était la chose la plus incendiaire que Stéphanie pouvait dire.
Célia eut une brève crispation de la mâchoire, aussitôt remplacée par un sourire éclatant: "Oh, bien, félicitations! Mais voilà une raison de plus pour s'amuser! C'est peut-être l'un de vos dernières folies! Après la naissance du bébé, tu n'auras plus beaucoup d'occasions de faire la fête. En plus, tu as apporté une bonne bouteille, ce serait dommage que tu ne participes pas!"
Stéphanie rigola: "Oh, d'accord. Juste un verre, alors!"
"Un verre … ou deux ..."
"Pas deux!" Dit Stéphanie, essayant de paraître sévère: "Adam … dis lui juste un!"
Adam leva les mains: "Laissez moi en dehors de ça!" Il espérait que Célia était assez sobre pour savoir ce qu'elle faisait.
Adam admirait comment Célia avait conquis Stéphanie. Il n'avait jamais vu sa femme se faire des amis aussi rapidement.
Elles parlaient sans cesse de tout un tas de sujets, riaient comme des folles, se touchaient la main en se penchant l'une vers l'autre.
Stéphanie semblait un peu rouge, comme si le vin commençait à lui tomber sur la tête.

Adam était clairement sur la touche, laissé pour compte, et il s'inquiétait des phrases pleines de sous-entendus de Célia.
S'il ne se trompait pas, Célia, en trente secondes, avait suggéré que Stéphanie puisse être sa servante amoureuse et qu'elle servirait Adam mieux que Stéphanie ne le pourrait jamais.
Célia continuait: "Certaines personnes peuvent aimer plus ardemment que d'autres, sont capables de se donner totalement. La brise est relaxante. As-tu déjà aimé comme ça?"
"Non, j'ai toujours eu un peu peur de perdre le contrôle!"
Adam a faillit dire: "Merci beaucoup!" mais il voulait savoir où allait cette conversation bizarre et hésitait à briser l'ambiance.
"C’est triste. Jadis, j’ai aimé un homme follement, mais il n'était pas libre. Elle l'appréciait assez peu, mais elle l'avait eu la première, elle portait son anneau et son nom. Ça m'a fait mal, je ne vais pas te mentir, mais j'ai dû renoncer! "
"Tu l'as laissé avec sa femme?"
"Oui, qu'est-ce que j'aurais dû faire?"
"Le lui prendre!" Le sourire de Stéphanie était peut-être l'expression la plus perverse qu'il n'ait jamais vue.
"Comment peux-tu affirmer cela?"
"Oui. Vraiment. Si elle ne le chérissait pas, elle ne méritait pas de le garder ..."
Adam était surpris d'entendre cette opinion émaner de Stéphanie, elle qui respectait plus que tout les liens sacrés du mariage. Il se demandait si c'était son côté romantique. Conversation de filles ...
"Si nous avions été amies à l'époque, est-ce que tu m'aurais soutenue et aidée?"
"Si nous étions amies … bien sûr!"
Célia posa sa main sur le bras de Stéphanie: "Parce que le véritable amour doit tout vaincre, n'est-ce pas?"
La transe romantique de Stéphanie était à son comble tandis qu'elle fixait Célia dans les yeux en souriant: "Absolument!"
Célia ajusta une mèche de cheveux sur la joue de Stéphanie, en l'effleurant derrière l'oreille: "J'espère que tu as gardé de la place pour le dessert .
.. Oh, merde! Le dessert ... le gâteau au chocolat truffé de framboises! Je devais le récupérer chez le traiteur. Je vais aller le chercher, si vous voulez juste ..."
"Non, reste là! Adam peut aller le chercher, et je t'aiderai à nettoyer! Tu en as déjà fait plus qu'assez ... Je ... Je vais nettoyer!"
"Si ça ne te dérange pas, Adam ...?" Célia lui jeta un coup d'œil. De quoi voulait lui parler la brunette? De ce qu'ils avaient failli faire cet après-midi? Était-ce là le but de cette histoire de vol de mari? Il voulait protester mais la décision lui fut retirée.
"Bien sûr que non!" Stéphanie offrait les services de son mari. "Nous l'ennuyons avec nos histoires de filles, ça lui fera du bien de prendre l'air, n'est-ce pas, chéri?" Elle n'a même pas cherché à savoir si elle avait raison ...
"D'accord, alors c'est au bout de la route du quai des Pêcheurs. Demande Zani. Et merci!"
Adam eut le sentiment très net que les deux femmes voulaient se débarrasser de lui. En fait, pour un homme qui était censé être profondément aimé par les deux femmes à cette table, il se sentait délaissé.
Avec un peu d'imagination, il pouvait soupçonner les deux femmes de complicité. Célia avait pu nouer des liens amicaux avec Stéphanie en un temps record, de là à imaginer qu'elle pourrait lui faire partager ses activités saphiques ...
Adam donna un bisou à Stéphanie sur les lèvres, et Célia plissa les yeux, un avertissement visuel autant qu'elle l'osait.
Pouvait-on réellement vivre avec une femme aussi impossible?
Quand Adam arriva chez le traiteur et s'enquit du dessert, Zani le regarda avec étonnement: "J'ai dit à Mlle Célia que ma cousine, la pâtisserie qui est au carrefour des 6 routes ferait son dessert, elle devait le récupérer là-bas!" Quelques kilomètres plus tard, Adam arriva à la pâtisserie du carrefour des 6 routes, demanda la cousine de Zani et découvrit que la coquine brunette avait récupéré le maudit dessert quelques heures auparavant.

Pour rester seule avec Stéphanie, Célia l'avait envoyé chercher l'échelle à monter les blancs en neige et le marteau à bomber le verre, comme on le ferait avec un garnement … La salope!
Quand il revint à l'appartement, furieux, les deux femmes étaient blotties l'une contre l'autre sur le canapé. Sa femme tétait le doigt de Célia, les yeux fermés, en pleine extase. Les deux femmes levèrent les yeux vers lui, Célia souriante et Stéphanie rougissante.
"Chéri, Célia a retrouvé le dessert! Il était là depuis le début!" Elle montrait les deux assiettes sur la table basse.
Célia plongea son doigt dans la crème et le tendit à Adam: "Goûte!"
"Hem! Non, merci ..."
"Oh, chéri, c'est bon, vas-y, goûte ... il est vexé!" dit Stéphanie.
"Stéphanie ... je ne me sens pas bien, j'aimerais rentrer."
"Tu as un peu trop aimé le vin!" plaisanta Célia. "Prenez une bonne nuit de sommeil, on se verra demain."
Stéphanie semblait ravie de cette suggestion: "Oui, oui, nous nous verrons demain!"
"Nous avons le barbecue, demain", lui rappela Adam.
"Oh, oui, c'est vrai. Nous avons fait la réservation. Et ça coûte un bras! Je suis vraiment désolée, chérie!"
"Oh, c'est pas grave, Fanny!"
Le monde d'Adam basculait, Stéphanie appelait Célia "chérie", et la brunette répondait par un familier "Fanny"!
"Si tu veux, on peut se voir avant le barbecue. Notre complexe possède le meilleur spa. Adam va à son cours de plongée, demain matin. Passe me prendre. Chambre 1723. Tu viens vers ... neuf heures, OK chérie?"
Au moment de partir, Adam fit la bise à Célia qui paraissait si innocente.
Sur le chemin du retour, Stéphanie était très tendre. Mais une fois au lit, elle murmura une excuse, que ce n'était pas une bonne idée. Et plus tard dans la nuit, alors qu'elle le croyait endormi, il eut la nette impression qu'elle se masturbait. Il n'avait pas besoin de se demander à qui elle pensait. La brunette jouait un drôle de jeu.
C'est le bruit de la douche qui a réveillé Adam. Un coup d’œil à sa montre lui apprit qu'il était en retard. Pas le temps d'interroger Stéphanie sur les événements de la veille, ni pour le petit déjeuner. Il enfila son short de bain, la bise à Stéphanie, et se dirigea vers son cours de plongée.
Après une demi-heure de théorie, ils se sont glissés dans des eaux peu profondes. L’instructeur les a conduits lentement vers une grande roche volcanique à une vingtaine de mètres sous l’eau.
Après quarante-cinq minutes de plongée, en remontant, Adam avait du mal à rééquilibrer sa pression interne; souffler fort avec son nez ne lui a pas débouché les oreilles comme prévu. Une oreille restait pleine d'eau et il était quelque peu désorienté.
Il s'arrêta au bar de la piscine pour se désaltérer, plonger lui avait donné soif. Il chercha du regard les femmes, mais il ne les vit nulle part.
Dans la chambre, la douche était toujours allumée. Stéphanie aurait-elle oublié de l'éteindre ou ... ? Adam trouva Célia assise sur le bord du lit, regardant avec intérêt la porte de la salle de bain. De l'intérieur venait la douce voix de Stéphanie qui chantait un air romantique.
"Veux-tu un cocktail?" Demanda Célia: "C'est à base de gingembre, avec du sucre, des épices … très bon!"
Elle se leva pour lui laisser la place, et il profita de la situation pour s'allonger sur le lit, s'adossant à l'oreiller. La taie d'oreiller empestait l'excitation féminine. Et elle était humide. Célia s'assit sur le bord du lit, avec la tête du chat qui a mangé le canari.
"Célia, t'es devenue folle?" il siffla: "Tu te doigtes sur mon putain d'oreiller? Si je peux le sentir, Stéphanie le peut aussi!"
Célia lui sourit: "Ce serait une chose amusante à faire, n'est-ce pas?"
Elle le défiait du regard et tendit le bras pour glisser délicatement ses doigts parfumés de cyprine sous les narines d'Adam, qui jeta un coup d'œil furtif vers la porte de la salle de bain, mais la douche coulait toujours à fond.
"D'après toi, les femmes ont-elles une saveur et une odeur uniques ou différentes les unes des autres?"
Célia caressait délicatement la lèvre supérieure d'Adam: "D'après toi, c'est la saveur et l'odeur de laquelle, Stéphanie ou moi?"
Elle devenait de plus en plus audacieuse avec ses taquineries et posait sa main sur la bosse de son short.
Elle le pressait d'une main et en même temps plongeait son doigt dans sa bouche.
Avec Stéphanie dans la pièce voisine. Il attrapa ses bras et la maintint alors qu'elle se débattait: "Arrête tes bêtises. Que s'est-il passé hier, quand tu es restée seule avec elle?"
C'était bien sûr juste au moment où la douche s'est arrêtée de couler: "Chérie, pourrais-tu me passer une serviette?"
La requête venait de la salle de bain et ne lui était pas destinée. Mais Adam s'est levé pour lui donner une serviette de toilette.
"Oh, chéri, je ne savais pas que tu étais rentré." Elle sourit et attrapa la serviette demandée. "Merci!"
"Tu as repris une douche?" s'enquit-il
"Quoi? Oh, eh bien, oui, après le spa, et le traitement à l'huile chaude, il y avait une file d'attente pour se rincer, alors Célia et moi nous sommes venues nous laver ici. Célia est passée la première, moi après. "
Stéphanie enroula la serviette autour de ses cheveux, et pénétra dans la chambre à coucher, indifférente à sa nudité.
Il y avait des jours où elle se cachait de son mari, et là elle se pavanait entièrement nue devant Célia.
"Eh bien, si vous êtes propres, on pourrait aller au barbecue. Cela commence dans une demi-heure. L'apéro ..."
D'un coup, Stéphanie avait l'air fatiguée: "Oh oui. Justement, je disais à Célia ... qu'il fait trop chaud dehors."
"Bien, c'est Djerba!"
"Ouais, mais pas aujourd'hui, pas maintenant. Je suis lasse!"
"Stéphanie, nous avons payé ... Je ne veux même pas y penser! Et tu ne veux plus y aller?"
"Non, tu as raison, bien sûr. Nous n'allons pas gâcher notre argent. Emmène Célia."
"Quoi?"
"Célia, tu veux bien prendre ma place? Je voudrais me reposer. Je suis toute bizarre, le vin, hier, peut-être. Si je pouvais ..."
"Chérie, Célia n'aime probablement pas le barbecue, le cochon grillé, etc ..."
"Oh, c'est bon," répondit Stéphanie, "il y a toutes sortes de préparations avec des légumes, je me souviens du menu."
"Célia, ma chérie, Adam sera un parfait gentleman. Et s'il ne l'est pas, ne me raconte pas, je ne veux pas savoir."
Elle éclatèrent de rire comme deux gamines. "Je vais faire une sieste, maintenant. Fichez le camp tous les deux!"
"Je dois me changer" grogna Adam. Il attrapa un short et une chemisette et passa dans la salle de bain. Il allait rester seul avec Célia pendant des heures et il n'y aurait personne d'autre que sa volonté pour l'aider à résister à la brunette sexy. Cette pensée le terrifiait et le ravissait en même temps.
En sortant de la salle de bain, il trouva Célia penchée sur Stéphanie, allongée sur le lit. Elle lui chuchotait quelque chose, puis lui tapota la tête et se levant: "Prêt à m'escorter au bal, mon beau chevalier?"
Elle s'est retournée vers Stéphanie: "Dors bien, ma chérie, tu vas faire de beaux rêves, DORS."
Stéphanie s'était déjà assoupie … Ils sont partis, théoriquement, en direction du barbecue.
Bien sûr, ils sont allés directement chez Célia sans même se concerter. Il suivait sa fine jupette en coton qui flottait au-dessus de ses jambes fuselées, le regard aimanté.
Il l'a bousculée à l'intérieur du studio plus brutalement qu'il ne le souhaitait et verrouilla derrière lui.
Sans sourire, sans un mot, il attrapa une poignée de ses cheveux pour presser sa bouche contre la sienne avec une urgence bestiale.
Il la plaqua contre le mur en écrasant ses rondeurs pulpeuses avec brutalité, pressant ses mamelons avec son torse. Cuisses écartées, elle subissait contre sa chatte l'urgente pression d'une cuisse musclée qui lui broyait le pubis. Gémissante, elle s'offrait, bouche ouverte, à la langue intrusive de son amant. Agrippée à sa taille, possessive et possédée, elle répondait par des gémissements aux grognements du mâle qui la soumettait à son désir.
Avec un grognement de convoitise, elle le repoussa férocement, dégrafa son short et de pencha pour le prendre en bouche, vorace et affamée. Elle léchait sous le gland avec des petits coups urgents, puis le taquinait en mordillant le gland. Bientôt, cependant, elle le prit dans sa gorge, agrippée à son cul comme moyen de pression pour le gober aussi profondément qu'elle le pouvait. Il sentit perdre son contrôle dans cette bouche vorace et, entraîné dans un tourbillon de sensations, sans un cri d'anticipation, il se répandit dans la bouche de la brunette accroupie.
Elle se releva les yeux brillants d'excitation et il la souleva pour la porter jusqu'au canapé. S'agenouillant entre ses jambes ouvertes, il humait sa chatte avant d'écarter sa petite culotte pour dévorer son minou.
Ses gémissements et ses ondulations du bassin étaient exquis pour lui, habitué à une femme sans réactions. Elle n'avait nul besoin de délicatesse, de douceur ou de tendresse, elle était déjà prête à venir.
Son parfum comblait ses sens, sa queue se gonflait sous lui, ses couilles s'alourdissaient. Les doigts mêlés à ses cheveux pressaient l'arrière de sa tête alors qu'il lapait sa chatte et que sa langue dansait autour de sa perle. Quand elle le plaqua contre elle dans un élan de passion qui ressemblait à de la rage, il lui prit le cul à deux mains et aspira son clitoris dans la bouche, l'agitant en tous sens avec sa langue. Elle a crié, un cri étranglé dans sa gorge. Ses hanches ont tremblé puis elle s'est détendue complètement.
C’est elle qui l’a traîné jusqu’à sa bouche pour lécher son visage en lui murmurant qu’elle aimait mieux le goût de sa chatte quand il était sur ses lèvres. Il la pencha par-dessus le dossier du canapé pour la pénétrer en levrette, ne se souciant pas de savoir si elle le souhaitait comme ça ou pas. Son besoin était trop grand et sa chatte trop désirable pour qu'il puisse faire autre chose que d'assouvir sa convoitise… la putain irrésistible et puissante était e par l'animal sauvage.
Il n'avait pas besoin de s'inquiéter, elle aimait sa maltraitance. Le cul arqué pour lui, l'encourageant par ses cris, pour qu'il la bourre encore et encore, jusqu'au fond de sa chatte. Maintenant et pour toujours. Il s'enfonça profondément dans son vagin, recouvrant ses parois de son foutre gluant.
Il s'effondra sur elle, épuisé et repu, la tête vide et le cœur léger. Réunissant ses dernières forces, il se traîna jusqu'au lit, espérant un repos réparateur. Mais elle vint se blottir contre lui, tendre et amoureuse. Sa caresse masturbatoire tyrannique et le frottement de ses lèvres pulpeuses sur sa bouche ont finalement réveillé sa queue et son repos n'a pas duré longtemps.
Il n'avait pas l'habitude, avec Stéphanie, de prolonger les rapports sexuels. Sa queue, maintenant, pouvait rester dure aussi longtemps qu'il le souhaitait. Célia s'effondra dans le sommeil après plusieurs orgasmes tonitruants. Il se plaça dans la position de la cuillère et prit une dernière fois son plaisir en elle avant de s'endormir sans se retirer.
Il se réveilla dans une pièce obscure et mit quelques secondes pour se souvenir qu'il était dans sa chambre d'hôtel. Stéphanie n'était pas avec lui et son côté du lit était froid. Il vérifia l'heure… deux heures du matin. Que se passait-il?
En fin d'après-midi, déjà, il avait été désorienté en se réveillant dans le lit de Célia. Elle était sous la douche et chantonnait une chanson tendre. Sa voix était agréable. Mais le soleil était déjà bas sur l'horizon. Et il empestait le sexe.
Stéphanie allait le remarquer. Il avait sauté sous la douche.
Célia voulait le savonner et se pourléchait déjà les babines: "Viens ici, Mamours. Je vais m'occuper de toi!"
Elle saisissait déjà son sexe lorsqu'il s'est exclamé: "Pas le temps de t'amuser, chérie. Je suis en retard."
Elle avait fait la moue et l'avait laissé tranquille: "OK! Je m'en suis servie pendant que tu dormais ... tu avais la queue raide, alors je m'en suis occupée … Tu ne t'es même pas réveillé et tu n'as joui … Mais moi, oui! Je t'ai chevauché et j'ai pris mon pied!"
Il avait ri de ses commentaires, de ses grimaces et de sa façon de lui faire comprendre qu'elle était heureuse.
Il s'était rhabillé puis était retourné dans la douche pour lui faire un bisou: "Je te vois bientôt. Je ne sais pas quand, mais je vais trouver une solution. Tu es merveilleuse et ... Je t'aime!"
"Je sais" avait-elle répondu avec un petit sourire triste: "Je t'aime aussi. Je suis sûre que ce sera bientôt."
Il était revenu dans sa chambre pour trouver Stéphanie endormie sur le lit. Reconnaissant de ne pas avoir à répondre aux questions sur le barbecue (ou son absence), il s'était couché à côté d'elle et s'était endormi.
Maintenant, il était inquiet. Où était Stéphanie, à cette heure de la nuit? Avait-elle des soupçons? Avait-elle trouvé quelque chose de révélateur dans ses effets? Il pouvait tout imaginer, elle avait un sixième sens féminin étrange qui lui permettait de tout deviner. Il alluma la lumière, vérifia qu'elle n'était ni dans les WC ni dans la salle de bain, ses affaires étaient toujours là.
C'est alors qu'il remarqua le voyant de message clignoter sur le téléphone.
Il a eu un mal fou à comprendre les instructions pour accéder à la messagerie vocale, et finalement: "Salut chéri, tu dormais si profondément que je n'ai pas voulu te réveiller. Célia m'a dit que tu avais beaucoup bu au barbecue, alors je suppose que tu as besoin de cuver." Son gloussement impliquait qu'elle n'était pas sobre elle-même. "Célia et moi avons décidé de passer une soirée entre filles, et je t'appelle juste pour que tu ne t'inquiètes pas. Nous sommes au dancing, et nous ne rentrerons pas tard."
Il entendit la voix de Célia à l'arrière-plan et le rire de Stéphanie en réponse. "Heu ... pas trop tard, en tout cas. Salut!"
L'horodatage indiquait dix heures. Il était trois heures et demi.
Il y avait un autre message, il y a environ une heure. Cette fois, c'était la voix soyeuse de Célia: "Salut, Mamours. Stéphanie n'est plus en état de remonter jusqu'à l'hôtel, alors je l'ai ramenée chez moi. Si tu veux, tu peux venir nous rejoindre, autrement je vais m'occuper d'elle jusqu'au matin."
Merde. Il raccrocha le téléphone, se rhabilla et se dirigea vers la porte.
La beauté de la nuit africaine ne pouvait pas être éludée, mais Adam aurait préféré une lampe de poche. La marche lui a fait du bien.
La porte du studio n'était pas verrouillée. Dans la chambre, Célia, assise sur le lit, adossée aux coussins, sa robe ouverte révélait sa poitrine magnifique, trempée de sueur. Entre ses jambes repliées et écartées, Stéphanie, accroupie, lapait la chatte de la brunette.
Célia, les yeux fermés, gémissait: "Ooh, ouais, Stéphanie, suce-moi bien, hum, ta langue, là ouais, comme ça!"
Elle caressait lentement la tête de Stéphanie qui pointait son cul en l'air.
"Hep!"
"Ah, bonjour, Mamours. T'en as mis du temps pour venir. Heureusement que Stéphanie a trouvé une occupation!"
"Je vois ça."
"Tu n'es pas jaloux quand même? N'oublie pas que tu m'as fait la même chose cet après-midi!"
Il restait silencieux. Seuls les bruits de succion troublaient le silence.
Donc, voilà, on y est, tout est révélé. Maintenant que tout est clair, c'est comme un soulagement. Plus de tergiversations.
"Stéphanie, peux-tu arrêter un moment? S'il te plaît, c'est ça ta vengeance? Tu vas m'ignorer à cause de ce que j'ai fait?" Il soupira.
Célia tendit la jambe et du bout du pied souleva la jupe de Stéphanie, révélant son cul nu.
"Elle ne t'entends pas, Mamours. Quand je les ai sous la main, ils n'entendent que ma voix. Tu veux la baiser?"
"Qu'est-ce que tu racontes?"
"Je te l'ai déjà expliqué, je peux hypnotiser les gens. Et les influencer suffisamment pour les désinhiber. Ta femme avait des désirs saphiques refoulés, j'en ai fait ma chienne!"
Il était abasourdi.
"Depuis le dîner, l'autre jour, quand tu nous a laissées seules, puisque tu te demandes depuis quand. Stéphanie chérie, arrête-toi un instant; tu m'as déjà fait jouir trois fois et j'ai besoin de reprendre mon souffle!"
Stéphanie retira son visage extatique de la chatte à Célia.
Apparemment, l'hypnose n'était pas simplement un fantasme ludique.
Adam ne pouvait pas expliquer autrement le comportement étrange de sa femme.
"Oh, s'il te plaît, laisse-moi manger ta chatte, Célia. J'aime ton goût sur ma langue. S'il te plaît, baise-moi le visage ..."
"Euh, est-ce que tu peux arrêter ça? C'est difficile d'avoir une conversation sérieuse avec ses jérémiades."
"Ooh. Ouais. Désolée." Elle souleva le menton humide de Stéphanie pour la regarder droit dans les yeux: "DORS, je le veux!"
Stéphanie ferma ses yeux en se couchant entre les jambes de sa maîtresse.
Adam ne pouvait s'empêcher de penser qu'il aurait pu utiliser ce petit truc une ou deux fois au cours des années.
"C'est peut-être une question stupide, mais peux-tu m'expliquer ce qui se passe?"
"Je construit notre futur, Adam. Tu aimes Stéphanie, mais plus encore, tu te sens responsable d'elle. Comment pouvais-je te persuader sans être un peu influente? Si tu l'avais abandonnée pour moi, tu aurais été dévasté par la culpabilité. Je ne voulais pas que tu te sentes minable à cause de moi!"
"C'est ça que tu appelles influente?" Il montrait Stéphanie dormant paisiblement, le visage proche de la chatte de sa maîtresse.
"Oui. Maintenant, tu nous as toutes les deux. J'ai eu le temps de réfléchir, seule pendant ces vacances, sans nouvelles de toi. Délaissée, abandonnée, seule dans mon coin."
L'amertume pointait dans sa voix: "Seule ici, j'envisageais déjà que ce serait l'attente qui rythmerait ma putain de vie, l'attente chaque seconde avec l'espoir de te voir quelques brefs instants, au lieu de vivre à tes côtés!"
Elle soupira: "J'ai décidé de changer le cours des choses. Pour que tu reprennes la main, Stéphanie a besoin de fermeté. Tu es vraiment être trop doux avec ta femme."
"Tu voudrais que je sois plus énergique?"
"Oui! Sois un homme!"
"Vraiment être le patron?"
"Ooh oui, Mamours!"
"OK. Libère Stéphanie, et fous le camp de ma vie! Tu trouves ça assez énergique?"
"Quoi? Attends! Non, non!"
"Ne me demande pas d'attendre, Célia. Tu ne peux pas tout décider toute seule, tu ne peux pas baiser ma femme sans son consentement, et tu ne peux pas changer ma putain de vie à ta guise. Et ensuite me dire que je dois assumer mes responsabilités."
"Tu prétends aimer les hommes qui ont un comportement machiste, tu mouilles quand on te donne un ordre, et tu décides pour moi de ce qui me convient ou pas. Je ne veux pas passer ma vie à me poser des questions sur les priorités de ma compagne. Et que se passera-t-il quand tu trouveras quelqu'un de mieux? Ou qui te plaira mieux ... Je ne pourrais pas vivre toujours sur mes gardes. Tu es la définition même d'une chienne alpha."
Célia se voulait convaincante: "Je n'ai pas décidé pour toi de ce qui est bien ou pas, je t'ai attiré comme le font les femmes depuis la nuit des temps. Je t'ai montré mes fesses et tu as perdu la tête. Je ne veux pas avoir un homme grâce à un tour de magie. Je ne voulais pas vivre dans le mensonge. Je veux t'aimer au grand jour, comme ta femme. Je voulais juste alléger ta conscience, prendre la responsabilité pour que tu sois heureux."
"Parce que tu me trouves faible?"
Célia se laissa tomber à genoux: "Non, parce que je t'aime tellement. Je te veux, mais je m'abandonne aussi. Je me donne à toi sans réserve. Comment peux-tu voir cela comme autre chose que de la soumission? J'abandonne tout pour être à tes côtés. "
La vision était charmante, elle était encore plus belle dans la soumission et dans le désespoir. Même s'il désirait s'agenouiller près d'elle pour l'embrasser, Adam devait durcir son cœur.
"Je pourrais être ta deuxième femme. La plus obéissante. Stéphanie est et restera la première. Pour toi, je veux bien être la seconde."
"Je ne crois pas que tu puisses accepter cela. Tu es trop fière!"
"Adam, je suis fière. Mais je suis toute à toi. Stéphanie sera ma déesse. Regarde." Elle écarta les cuisses de Stéphanie et commença à lécher sa chatte.
"Stop! Arrête ça tout de suite!" Elle s'est relevée.
"Bon sang, Célia, c'est justement de ça dont je parle. Tu me fais bander et je suis incapable de réfléchir. Inconsciemment ou pas, tu me contrôle. Tu crois le faire pour mon bien, mais tu m'humilies!"
"Je pensais juste ..."
"Ne pense pas!" il criait. "Ne pense plus, j'en ai déjà marre!"
Soumise mais résolue: "Adam, je t'aime et je te veux. Mais je ne veux plus vivre dans l'ombre. Je sais que tu m'aimes, et je mérite ton amour. Mais je veux aussi ton respect. Je peux me soumettre, être entièrement à toi, avoir la deuxième place, mais je veux ma place à tes côtés!"
"Sinon?"
"J'ai une offre d'emploi. En Argentine. Tu n'entendras plus jamais parler de moi. Je ne veux plus rentrer chez moi, dans mon petit studio minable, passer mes soirées à pleurer, et au matin, faire semblant … Je veux vivre, sortir, aimer, m'amuser. Je cesserai de penser à toi, rien qu'à toi, et je trouverai quelqu'un qui saura m'aimer!"
Encore de l'amertume. Mais Adam n'avait jamais pris cela en compte, dans leur relation. Il rentrait chez lui frustré par leur flirt, mais chez lui il retrouvait le confort d'une femme aimante. Peut-être pas comme il le souhaitait, mais il n'affrontait pas la solitude et le désespoir! Était-ce étonnant qu'elle ait concocté ce stratagème fou pour "résoudre" le problème?
Et maintenant, ce trou béant dans son estomac quand elle avait parlé d'Argentine. Jamais la revoir? Pourrait-il vivre avec ça? Se contenter de la monotone Stéphanie, une vie remplie de regrets, sachant qu'il avait tout perdu parce qu'il était trop frileux?
"Qu'est-ce que Stéphanie en pense?"
"Quoi?"
"Qu'est-ce qu'elle veut?"
"Ce n'est pas son avis qui m'importe, c'est le tien. Je t'ai présenté les différentes options, à toi de choisir!"
Et la volonté de Stéphanie était plutôt dénuée de pertinence, compte tenu de sa nature nouvellement malléable.
Est-ce qu'elle aimait enfouir son visage dans la chatte de Célia? Ça lui paraissait évident, tout à l'heure.
Et serait-elle heureuse de partager son mari? C'était moins garanti.
"Alors?"
"Tu laisserais Stéphanie redevenir elle-même? Seulement hétéro?"
"Elle l'a jamais été. Je n'ai pas tout inventé."
"Tu vivrais avec nous, en tant que jeune épouse. Faire les courses, le ménage, s'occuper des s. Stéphanie veut un bébé ... À notre service… si elle accepte cela. Une vie d'obéissance, à moi et à elle. Avec pas grand chose d'autre que mon amour pour toi?"
"Aurais-je droit à des vacances?" sur un ton mélangé d'humour et d'espérance.
Plus sérieuse: "Je vous servirais, l'un comme l'autre. Je serais soumise à vos moindres désirs. Cela fera partie de la transaction."
"Je suppose que si tu peux le supporter, Stéphanie pourra aussi. Lève-toi, Célia."
Elle avait le regard vide. "Hein?"
"Si cette vie te suffit, elle devrait suffire aussi pour Stéphanie."
"Tu ..."
"Ce que j'essaie de te dire, chérie, c'est: " Veux-tu m'épouser? "

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