The Naughty Life 1

The naughty life – épisode 1 –

"si tu veux bien descendre, récupérer mon ami Fernando dans le hall d'entrée de l'hôtel. Tu l'accompagneras jusqu'à ma chambre. N'oublies pas de laisser ton côté de porte communicante ouverte. Quand je te le dirai, tu nous attendras à 4 pattes, en jock sur le lit, et tu te laisseras guider "
Les consignes de Wiktor étaient simple, comme toujours. Je me suis rendu à l'entrée de l'hôtel dans l'attente de Fernando. J'ai aperçu sa silhouette quelques minutes plus tard. Il était immense et dégageait une puissance, une virilité folle.
Fernando était un brésilien originaire de Bahia. Il dépassait allègrement le 1m90, crâne rasé. Sa peau noire m'excitait au plus haut point.
Il s'avançait vers moi, un large sourire apparaissait sur son visage. Il me salua chaleureusement et je sentis sa grosse main me donner une tape amicale dans le dos.
J'imaginais un bref instant ce qui allait m'arriver, avant de retrouver mes esprits et de conduire Fernando dans la chambre de Wiktor.
Puis j'entrais dans la mienne, la gorge séche par le stress qui m’envahissait. Pourtant, j’en étais pas à ma première. Seulement avec Wiktor, s’était toujours différent, je voulais à chaque instant lui plaire, et le satisfaire.
J'enlevais mes vêtements. Seul un jock noir m'habillait
Mes sens étaient en alerte. J'entendais au travers de la parois, la grosse voix de Fernando qui rigolait fort.
J'étais impatient.
Viens alors un message WhatsApp de Wiktor. "prépares toi, à 4 pattes sur le lit"
Je proposais à Wiktor d'avoir les yeux bandés. Mais il ne me répondit pas. Je devais pourtant le savoir. C'est Wiktor qui décide. Il est peu bavard mais il sait ce qu'il veut.
Un bruit m'indiqua que je devais me tenir prêt. J'entendis alors la porte s'ouvrir.
Wiktor parle en portugais à Fernando, puis il s'approche de moi. Je ne bouge pas. Il attache les ficelles reliées à un masque qu'il positionne sur mon visage tout en me chuchotant qu'il va me laisser seul quelques instants avec le colosse brésilien.

Wiktor va regarder le début de nos ébats sur son iPad connecté à la caméra placée sur le bureau.
Fernando s'approche de moi, ses grosses paluches se posent sur chacune de mes fesses, il les secoue, les claquent doucement, puis les écartent au maximum
J'imagine qu'il regarde l'objet de ces désirs. C'est alors que je sens une grosse langue râpeuse envahir mes fesses. Pendant de longues minutes il cherche à l'introduire toujours plus profondément en moi.
Les caresses de ses mains sur mes fesses, conjuguées au travail d'expert effectué par sa langue, me mettent dans un état second.
Je prends mon pied tout en pensant à bien cambrer mes fesses pour donner un beau spectacle à Wiktor. Je ne sais pas si c’est le travail de cette langue qui me rend fou, ou bien, savoir que dans la chambre d’à côté, Wiktor est en train de prendre du plaisir à m’offrir à un inconnu.
Je suis doublement impatient.
Impatient de découvrir le sexe du colosse brésilien et impatient de sentir la présence de Wiktor.
Cela peut faire 15 ans que je le connais, je suis chaque jour davantage addict de son charisme, de son esprit, de son corps, de sa queue.
C'est la deuxième fois qu'il partage mon corps avec un inconnu et je découvre que j'aime ça.
Soudainement, une claque puissante, qui rougis ma fesse, vient de me rappeler à ma situation
C'est Wiktor qui me signale sa présence, avant de présenter son sexe d'ébène à ma bouche. Je me précipite pour lui faire honneur. Mais Wiktor en a décidé autrement.
C'est lui qui imprime le rythme en tenant ma tête entre ses deux grosses mains. Il cherche à la rentrer en entier en bouche. J’y arrive, non sans mal, tellement sa queue est épaisse.
Le brésilien n'en perd pas une miette, il nous observe quelques instants avant de reprendre le travail de sa langue sur mon orifice tout en y ajoutant un doigt pour préparer mon cul à ce qui va m’arriver ensuite.
Je me trouve comblé par ces deux hommes puissants.
Depuis l'entrée de Wiktor dans la chambre des plaisirs, je note un changement de comportement du colosse brésilien.
Impressionné par la prestance de mon étalon venu des Antilles, il se montre parfait partenaire, jouant pleinement le jeu décidé par Wiktor.
Ce dernier me manipule comme si mes 68 kg ne pesaient que le poids d'une plume. Je me trouve dans la seconde qui suit à sucer la queue du brésilien. Au même moment, après s'être habillé de plastique, Wiktor me pénétra d'un coup sec. Je sens ses grosses couilles taper contre moi pendant qu'il me pénètre intensément.
Je suis à 4 pattes, les mains de Wiktor sur mes épaules. Il s'est positionné au-dessus de moi afin de faire glisser au plus profond de moi, sa queue. Puis ses mains emprisonnent mon cou, et il accélère la cadence afin de me faire monter au septième ciel.
Un peu impressionné par le spectacle offert, le colosse brésilien faiblit un petit moment avant de se remettre à durcir, dans ma bouche
Je sens une queue entrer au plus profond de moi quand l'autre me libère momentanément. Ce va et vient intense dure un long moment avant que Wiktor décide de s'absenter une nouvelle fois.
Je peux reprendre mon souffle, mais j’éprouve une grande frustration à voir Wiktor repartir dans sa chambre. Il me dira seulement « fais-moi honneur »
Fernando est surpris par ce départ, aussi, je décide de prendre l’initiative, afin de satisfaire Wiktor. Je demande à Fernando de s’allonger sur le lit, je me place sur lui, mes fesses à hauteur de sa bouche, et je me mets à la sucer, en me positionnant de telle façon à ce que Wiktor puisse parfaitement me voir au travers de la caméra.
La queue de Fernando est belle, un bon 18 cm je dirais. Cela me permets de la prendre en entier en bouche, sans grande difficulté. Je sens qu’il prend plaisir, et lui de son côté profite d’un cul bien ouvert par la sodomie pratiquée par Wiktor, quelques instants auparavant. Il sait vraiment bien jouer de ses doigts. Lorsque le troisième est entré, il se déchaine en moi.
Il se décide alors de me prendre. J’accueille sans difficulté son sexe en moi. J’ai la tête sur le matelas, le cul relevé, bien cambré, pour lui procurer un maximum de plaisir, et je me remets à penser à Wiktor, à tout ce qu’on a connu ces quinze dernières années, et me disant que les prochaines, risquent d’être encore plus folles.
Mais si je commençais par le commencement ?
Bonjour, je m’appelle Manu, j’ai 36 ans, typé espagnol, petit gabarit (172cm) plutôt bien fait, avec une jolie barbe entretenue. J’ai connu Wiktor lorsque j’avais 21 ans. Je venais de débarquer en Martinique. Il en avait 18, et on s’est connu par le sport…