Série Insolite. Épisode 20 « Sarah » : Baisée Par Surprise Par Ses Propres Agents De Sécurité. Partie 11/13
Je mappelle Sarah, ça faisait plus dix mois que javais rencontré William, nous nous aimions profondément, il était charmant et ne savait pas quoi faire pour me faire plaisir. Il désirait me voir heureuse, comblée et épanouie, me faisant très souvent de joli cadeau, cela allait de la simple rose jusquau bijou. Nous étions très complémentaires malgré notre différence dâge, notre quotidien était exceptionnel. Ce fut sans doute la raison pour laquelle javais accepté son candaulisme. Je compris que notre bonheur passait par là. Nous étions heureux de partager notre vie et nous avions décidé de nous marier.
Par contre, avec Gédéon, ce fut tout à fait différent, jétais tombée sous lemprise de mon amant, jen étais presque soumise nosant jamais lui refuser toutes ses demandes. Sexuellement, j'avais envie de lui et de son sexe. Immédiatement javais remarqué que ce jeune chauffeur africain me faisait prendre un plaisir incroyable, je me sentais petite, fragile et protégée.
Jécoutais William lorsquil me disait dêtre docile avec lui, mais je ne me forçais pas, je navais pas envie de le décevoir afin quen retour il me procure le plaisir dont javais besoin.
Lors de la septième partie de mon histoire, dans la série insolite N°19, je vous avais expliqué que William mon futur mari sous linfluence de Gédéon mon amant, me demanda de me faire séduire par le gérant dun sexshop. Depuis ce jour, je me doutais que mon jeune amant désirait me punir. À trois mois jour pour jour de notre mariage, William memmena à une réception un peu spéciale chez des connaissances libertines. Jétais donc venue très sexy, avec un maquillage prononcé, je portais pour loccasion la petite robe noire à effet mouillé très courte quil mavait acheté au sexshop qui garantissait un très profond décolleté.
Tous ces messieurs étaient très élégants et accompagnés de jolies femmes toutes très peu vêtues. La soirée sannonçait bien, javais hâte de faire plaisir à mon homme qui allait probablement me partager.
Cependant jinsistais tellement pour me défendre que mon chéri se fâcha après moi, en me disant que nous aurions une discussion sérieuse, dès le lendemain puis il téléphona au chauffeur qui nous attendait dans la cour : « Gédéon ! Ramène Sarah à lappartement et reviens ici immédiatement. » Je ne comprenais vraiment pas ce quil se passait. Avant de monter dans la voiture, je lexpliquai à Gédéon qui me rassura en me certifiant quil nierait également les faits.
Je pleurais sur le siège passager, gentiment mon jeune amant me caressa les cheveux pour me consoler : « Cest bon ! Ne ten fait pas. » Puis comme à son habitude Gédéon me demanda une petite gâterie : « Ça te changera les idées. » Je métais penchée sur son sexe en mappliquant à lui faire ce quil attendait de moi. Cette fois, je nen fis pas tomber une seule goutte. Pendant tout le reste voyage, il me fit de savantes caresses intimes. Mais lorsquil me déposa dans la cour, jétais très déçue de rentrer seule :
Monte Gédéon, jai besoin de toi, je suis trempée.
Désolé mais je dois exécuter les ordres du patron.
Je devais me résoudre à dormir seule dans mon lit avant de pouvoir mexpliquer le lendemain matin, cétait sans doute ma punition. Dans le hall de lentrée, je pris lascenseur privé sans passer par le bureau des agents de gardiennage. Arrivée dans notre appartement, après avoir enlevé mon imper, je métais servi un grand verre de jus de fruit. Lorsque jétais à la cuisine, jentendis du bruit sur le palier. Javais omis de fermer à clé, intriguée, je me dirigeai rapidement dans le couloir, je vis alors au-dessus de la porte dentrée, clignoter le voyant de lalarme silencieuse.
Jallais la couper lorsquau même moment, japerçus trois agents de sécurité foncer sur moi, ces trois hommes métaient totalement inconnus. Le chef se nommait Simon, un homme de plus de soixante ans, un petit gros, assez laid, mal rasé, il était assez bizarre avec son visage violacé. Le second Jérôme était plutôt un bel homme dune petite quarantaine dannées, grand et de belle carrure, cheveux très courts, avec sa moustache et son air sévère, il me faisait penser à un CRS. Tandis que Karim, un jeune trentenaire, grand très mince, à la limite de la maigreur, avec ses cheveux noirs frisés et un visage tailler à coups de serpe, me semblait tout aussi rigoureux que ses collègues. Ce fut Karim qui coupa lalarme pendant que leur responsable, dun ton très menaçant minterpella :
Quest-ce tu fous là sale pute ?
Mais enfin, je suis chez-moi, je suis la compagne de Mr W F
Montre-nous tes papiers ! Me lança Jérôme tel un flic.
Écoutez, je vais vous expliquer
Ta gueule ! Tu venais cambrioler ! Dit Jérôme.
Tout alla très vite, le responsable demanda à Karim de faire le tour de lappartement afin de sassurer que le patron ne se trouvait pas chez lui pendant que Jérôme, me maintenait les poignets dans mon dos : « Menotte-la, on va la questionner. » Ordonna Simon.
Je suis la future épouse du PDG, si vous ne voulez pas avoir d'ennuis avec votre supérieur, je vous conseille de me laisser et de partir immédiatement de chez-moi. Répondis-je excédée.
Tu vas la fermer ta gueule sale pute. Me cria le CRS.
Karim revint en disant que jétais seule. Ils se regardèrent un instant sans rien dire, Jérôme mavait jeté sur le canapé sans ménagement, je me retrouvais avachi sur les coussins avec ma robe courte entièrement relevée.
Me voyant ainsi, le jeune maghrébin sexclama : « Regardez la salope ! sa culotte est percée. » Dit-il en passant sa main sur mon entrejambe : « Elle est toute mouillée en plus. » Dès quil mavait touché, je voulus crier mais Simon me maintenait le cou en mettant sa main sur ma bouche. À partir de ce moment, je ne pouvais plus bouger, les menottes me maintenaient les bras dans le dos. Les deux plus jeunes ne se gênèrent pas, pour me palper, les mains de Jérôme remontaient sur mes jambes gainées, pendant que Karim me flattait la poitrine sous mon décolleté.
Je me débattais, donnais des coups de pieds, ma robe se retrouvait enroulée autour de ma taille. Ils me maintenaient les jambes, je compris vite que jétais impuissante contre ces trois agents de sécurité et quil ne servait à rien de résister. Je vous avoue que jeus très peur, je savais quils allaient me violer car les mains du jeune maghrébin étaient sur mes seins et celles du CRS me fouillaient déjà mon intimité. Ne voulant pas avoir mal, je ne voulais plus les contrarier pensant quils allaient interrompre leur agression. Lorsque Simon sentit que je ne me débattais plus, il relâcha la pression et me dit :
On ne dira rien mais tu dois te laisser faire. OK sale pute ?
Ouais ! On va la baiser comme une salope, cest quune putain.
Elle est à notre disposition, profitons-en. Rétorqua Karim.
Ces paroles dites sur un ton froid et tellement sérieuses, me firent appréhender la suite, je métais mise à trembler. Il nétait pas encore minuit, je me sentais foutue, pas moyen de prendre mon smartphone, William ne rentrerait pas avant deux heures du matin, les seules personnes pouvant venir à mon secours étaient les agents de sécurité, malheureusement ceux-ci magressaient. Ne pouvant pas résister à trois hommes, je ne voyais aucune issue, pouvais-je faire autrement que de subir leurs assauts, je navais pas envie quils me martyrisent. Je me sentais humiliée mais je devais faire face.
Jérôme mavait déjà retiré ma robe, je me retrouvais en soutien-gorge redresse-seins laissant voir les tétons et les aréoles par transparence, en petite culotte noire à dentelle super sexy, ouverte devant et derrière et en porte-jarretelles assorti. Je devais donc jouer à la bonne petite pute afin de les satisfaire au plus vite. Dès que je pus ouvrir la bouche, je répondis :
Je vous fais une pipe et vous partez. Daccord ?
Avec un grand sourire, Simon me mit une bonne claque sur la cuisse, en mordonnant de les sucer : « Cette salope va nous faire jouir. » Puis il me remit une claque sur lautre cuisse en continuant :
Allez salope, montre-nous de suite ton talent ! Et en sadressant à ses compères : Regardez bien ! Karim prépare-toi.
Le jeune maghrébin sortit sa queue de son pantalon, il ne bandait pas encore totalement mais sa bite était très longue et dun diamètre bien plus que respectable, cette verge dénotait par rapport à son corps si mince. Je métais agenouillée devant lui, javais penché la tête sous ses couilles telle une soumise, je léchais sa verge, suçais doucement, faisant très vite bander sa belle queue. Javalais, je le gobais, cependant nétant pas très à laise les mains dans le dos, je demandai que lon menlève les menottes. Soudain je reçu deux nouvelles claques sur mes fesses nues :
Ta gueule ! Fais ça les mains dans le dos, montre à mes collègues comment tu mobéis. Suce-le fond ! Cria Simon.
Voulant en finir au plus vite, sans rien dire de plus, je mexécutai et fis une gorge profonde, je le suçais comme il désirait, sans les mains mais avec difficulté, son dard dune bonne vingtaine de centimètres métouffait :
Vas-y salope, je vais gicler. Dit Karim en me tenant la tête afin quil éjacule dans ma bouche.
Il avait expédié tellement de foutre dun seul coup que je fus dans lincapacité davaler tout. Lorsquil ressortit sa longue verge de ma bouche, un liquide visqueux composé de sperme, de salive et de glaire, sortait de mes lèvres et dégoulinait sur ma poitrine. Je reçus deux nouvelles claques sur le cul : « Quest-ce que tu fous bon Dieu ? » Sinsurgea Simon :
Allez chef cest à ton tour. Criait Jérôme.
Cétait bien la première fois que je faisais des pipes sans prendre de plaisir, ce vieux me dégoutait. Sa verge était de taille moyenne mais épaisse, il bandait déjà lorsque je lavais prise dans la bouche. Quelques secondes plus tard, il me tira fortement par les cheveux pour ressortir sa queue et me gifla : « Putain fais gaffe ! Tu me fais mal avec tes dents ! » Jérôme placé derrière moi, me triturait les seins et les fesses, pendant que je suçais Simon bien profond. Le vieux très excité navait pas attendu longtemps, il était au bord de lexplosion, il mavait maintenu la tête, sa verge était au fond de ma gorge lorsque je ressentis son éjaculation. Ne voulant plus être frappée, je mappliquai à tout avaler sans aucun plaisir :
Vous avez vu les gars ! Elle sera docile comme ça toute la soirée maintenant. Allez Jérôme, cest à son tour de profiter de sa bouche. Et fais ça bien salope ! Dit le vieux Simon en me giflant sur lautre joue.
Arrête Simon ! Pas si fort Bon dieu ! Nous ne sommes pas payés pour ça. Dit Karim en lui maintenant le bras.
Sur le moment, sous la douleur des claques sur mon cul et mes joues, je navais pas fait attention aux propos du jeune maghrébin. Ce ne fut que lorsque je suçais le CRS que je compris que toute la mise en scène fut orchestrée par Gédéon pour le plaisir de William. Karim nétait absolument pas violent, de ses mains douces, il me flattait la poitrine sensuellement et Jérôme parlait pendant la fellation : « Regarde les vidéos sont en fonction, tout est filmé, applique-toi et avale. Jenvoie la sauce ! » En effet, il éjacula à son tour me maintenant par les deux joues quil caressa en se retirant. Puis il me fit une bise et demanda à Karim de me retirer les menottes : « Nous sommes payés pour te baiser la chatte, le cul et la bouche. Maintenant nous pouvons jouer ensemble ! »
Dun seul coup, mon cerveau tournait à plein régime, ma peur qui sétait emparée de moi depuis plus dune demi-heure se transforma en une grande excitation. Même si je fus angoissée un long moment, ce que mavait organisé mon chéri était magnifique, Gédéon fut ingénieux sur le coup. Les trois hommes masturbaient leur pénis quelque peu ramolli, afin de pouvoir reprendre de la vigueur. Jétais bien décidée à prendre moi aussi du plaisir :
Oui bien-sûr ! Je commence par qui alors ?
Après les avoir tous branlés, sucés et léchés une nouvelle, les trois faux agents de sécurité étaient en érection, je me tournai et me penchai en avant devant Simon, jécartais les cuisses, présentant juste devant les yeux du gros bonhomme, ma chatte ouverte à quelques centimètres du visage. Il était assis sur le canapé, les deux autres cétaient levés et me pelotaient déjà. Il attendait, sa bite dressée dans sa main. Je lui enfilai une capote, puis lui faisant face, je le chevauchai, mempalant dun seul coup sur sa queue. Je remuais du bassin davant en arrière, de haut en bas en jouant de mes muscles les plus intimes :
Prenez-moi tous les trois, je suis à vous. Dis-je très excitée.
Putain quelle sacrée salope ! Je vais lenculer. Répondis Karim.
Pendant que Jérôme me faisait face derrière le sofa, il me présenta sa queue devant mes lèvres. Il me maintenait la nuque fermement, il enfonçait sa verge dans la bouche en faisant des aller et retour. Le phallus de Karim rentrait et sortait violemment de mon anus dilaté, très vite jentendis râler Simon, il venait de jouir dans le latex. Prise ainsi, je jouis pour la première fois de la soirée. Les deux plus jeunes échangèrent leur position, Karim saffala sur le canapé, jétais couchée sur lui de dos, il me sodomisait en minsultant pendant que Jérôme remplaça le vieux chef en me prenant le vagin de sa belle queue, tout en me léchant le visage.
Pendant que jétais prise en une double pénétration, Simon me martyrisait les tétons et me claquait les seins. Très excités, Jérôme se retira enleva la capote et menvoya toute sa semence entre mes deux seins. Étant sur Karim, il ne put se relever, il sortit sa bite recouverte de latex, de mon anus, enleva son préservatif, il neut pas le temps de faire autre chose que déjaculer son sperme entre mes cuisses. Je venais à mon tour de jouir et mon orgasme fut matérialisé par de longs jets séjectant de mon intimité. Simon nen avait pas loupé une seule miette, il regardait mais ne bandait plus assez pour participer. Ce fut probablement la raison pour laquelle il me claquait les fesses :
Allez suce-moi salope et remets-moi en forme.
Je nen avais pas fini pour autant, ces hommes étaient résistants et très performants, pendant plus de deux heures, je leur servis dobjet sexuel, pour mon plus grand plaisir. Entre fellation, gorges profondes, cunnilingus, doigtés en tous genre, pénétrations diverses, vaginales, anales, double et triples. Mais aussi, fessées, tirage de cheveux, gifles sur les joues, claques sur les fesses, sur les seins et triturage des tétons, javais connu plusieurs orgasmes. Malgré la rudesse de Jérôme le CRS qui ne fut pas très tendre avec moi, me baisant avec force et détermination, ce fut lui que javais apprécié le plus car il me respectait.
Karim était raciste, il minsultait, ne pensant quà enculer une salope de française. Il fut assez violent, me prenant uniquement le cul bien trop bestialement et toujours en me traitant de petite « bourge de merde ». Quant à Simon, il fut de loin le plus brutal et le plus méchant, dépassant souvent les limites, notamment lorsquil mavait mis une fessée, avec ses grosses paluches calleuses, il mavait fait vraiment mal. Je me souviendrai de cette expérience car avec eux, malgré la douleur, javais pris du plaisir à jouer mon rôle de « pute soumise » devant les caméras en pensant au bonheur que jallais procurer à mon chéri.
Lorsque William était rentré dans lappartement, jétais entièrement nue avec mes bas filés et mes escarpins encore aux pieds. Jétais épuisée, allongée sur le tapis et au milieu du salon se trouvaient mon soutien-gorge en deux morceaux, mon string déchiré et ma jolie robe complètement fichue pendant que les trois agents étaient assis en train de boire une bière en attendant leur boss. Mon chéri sortit une enveloppe de sa poche quil tendit à Jérôme en lui demandant :
Alors ? Comment ça sest passé ?
Super ! Vous verrez, Sarah a été magnifique, elle a vraiment cru quelle allait se faire violer. Si vous avez encore besoin de moi, je suis partant. Dit-il pendant que les deux autres dirent à lunisson « Oh Oui moi aussi. »
Cest noté, merci messieurs !
William fut très fier de sa petite Sarah, il adorait que mes partenaires fassent des éloges sur moi et me complimentent. Il vint membrasser et me dit : « Je taime ma chérie, je regarderai la vidéo demain, je suis crevé et toi aussi je suppose. » Toujours à lécoute de mes désirs, il me demanda de réfléchir à ce que je désirais encore faire avant notre mariage. Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Sarah, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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