Avec Ondine : Sur Son Balcon
CHAPITRE 2
Avec Ondine sur son balcon
Le samedi matin, je téléphone à Ondine pour lui signaler le paquet oublié dans le coffre. Elle affirma quelle ne sen était pas aperçue mais au ton de sa voix, je me rendis compte que cétait bien une version du foulard qui comme par hasard tombe au pied du monsieur. Jesquissais un petit sourire, au fond de moi jétais fou de joie. Elle avait envie de me revoir et moi je bandais rien quen y pensant. Rendez-vous fut donc pris pour le milieu de laprès-midi.
Vers trois heures, prétextant auprès de ma femme de rapporter des documents importants au bureau, je me rendis chez Ondine. En cette belle journée doctobre, le soleil était encore chaud. Je garais ma voiture à une centaine de mètre du studio et je fis le reste du chemin à pied. Arrivé prés de chez elle, je la vis, accoudée sur son balcon du premier étage, elle discutait avec deux vielles dames sur le trottoirs, elle semblait bien les connaître. Je lui fis un petit signe de la main et elle me répondit discrètement.
Je connaissais son studio pour y avoir monté ses bagages la veille. Sur sa porte, un petit écriteau sur lequel était écrit « entre sans frapper ». Jétais attendu.
Jentrais donc et je la vis tout de suite sur son balcon, elle me tournait le dos et continuait sa conversation comme si de rien nétait. Elle portait une longue et ample jupe en tissu bariolé, une jupe qui descendait jusquaux chevilles. Ondine mavait manifestement entendu parce que, sans se retourner, elle attrapa discrètement sa jupe par derrière et la remonta tout doucement. Je vis apparaître ses mollets, le pli de ses genoux, ses cuisses et elle sarrêta au raz de son cul juste ce quil faut pour je puisse constater quelle navait pas de culotte. Toujours discrètement, elle écarta ses jambes. Je compris linvitation, je mavançais doucement vers elle en me baissant pour ne pas être vu de la rue.
Là-haut, à lextérieur, Ondine discutait toujours de tout et de rien avec les vielles dames, jentendais parfois un petit rire. La situation était surréaliste. Ondine poussait de temps en temps, et parfois, après plusieurs tentatives je recevais un jet pisse sur ma langue, au fond de ma gorge. Cétait doux, agréable, délicieux. Je buvais cette pisse comme si cétait un grand cru, je la dégustais, la gardant en bouche pour mieux en imprégner le palais, la faisant passer dune joue à lautre avant de lavaler comme le font les nologues. Je ne pus mempêcher de penser à la réaction des vielles dames si elles avaient pu se douter que la gentille jeune fille avec qui elles étaient en grande conversation, utilisait au même moment la bouche dun homme comme sil sagissait dune pissotière.
Au bout dune dizaine de minutes, Ondine resserrât fortement les cuisses, et je lentendis dire à ces interlocutrices :
Excusez-moi, je suis obligée de vous quitter, jai grosse envie de faire pipi et je ne vais pas pouvoir tenir plus longtemps !
En même temps elle mis ses mains dans son entrecuisse comme une petite fille craignant de faire pipi dans la culotte mais en réalité, Ondine me repoussait la tête.
Viens vite, je ne peux plus me retenir !
Je mavançais à genoux et collais ma bouche ouverte sur son sexe. Elle me recouvra de sa jupe et pissa de tout son saoul, jétais comblé mais très vite, devant cette grande quantité je ne pus plus avaler le divin nectar. Elle sen rendit compte et souleva sa jupe tout en continuant de marroser le visage. Cétait ma première douche dorée, ça aussi jen avais rêvé. Ondine souriait, heureuse.
Ça fait du bien de se soulager quand on a envie. Il mest déjà arrivé au Us de pisser sur des gens mais cest la première fois quon me boit, cest une drôle de sensation pas du tout désagréable. Et toi, tu as aimé ?
Je suis sur un nuage, jen rêvais depuis toujours. Cétait délicieusement bon, si tu veux me faire plaisir, utilise ma bouche comme un urinoir à chaque fois que tu as envie.
On verra, si tu le mérite, pour linstant essuie-moi.
Encouragé, je pris de nouveau sa chatte dans ma bouche et léchais les dernières gouttes. Javalais son clitoris et lagaçais avec ma langue, le temps semblait sêtre arrêté. Ondine pris ma nuque avec ses deux mains et appuya fortement ma tête contre sa vulve. On pouvait entendre des râles, je goûtais maintenant de la liqueur de femme, je la léchais avec amour. Elle eut plusieurs orgasmes de suite, javalais beaucoup de cyprine. Ma bite était tendue à lextrême. Me relevant sur mes genoux, je voulus mettre ma queue dans ce conduit complètement inondé. Dans un dernier réflexe de lucidité, Ondine me demanda de mettre la capote quelle avait préparée. Je présentais ma queue toujours triomphante à lentrée de son vagin et lenfonçais sans aucune résistance.
Mon visage était tout ruisselant de sueur et de pisse mais plus grave, ma chemisette et dans une moindre mesure, mon pantalon aussi. Je ne pouvais pas rentrer chez moi comme ça. Ondine proposa de rincer ma chemisette et de la mettre à sécher au soleil. En attendant, une bonne douche simposait. Bien sur, nous la prîmes ensemble.
Sous la douche, je la caressais tout en lui lavant le dos et les petits seins arrogants. Jinsistais particulièrement sur la raie du cul et son entrecuisse, une petite érection se manifesta. A son tour, elle me lava, ses mains étaient douces, et quand elle pris ma queue dans ses mains, celle ci se mit immédiatement au garde a vous. Ondine, toujours prévenante, menfila la capote quelle avait préparée à côté de la douche. Elle prit ma queue dans sa bouche, cétait bon, doux, mais malgré ses efforts elle ne pu lavaler quà moitié, alors tout en suçant elle prit ma bite et me branla, je guidais sa main pour quelle prenne ma queue a sa base parce que cest là ou je suis le plus sensible. La conséquence ne tarda pas et au bout de quelques minutes jéjaculais pour la deuxième fois. Je retirais la capote et préférais nettoyer tout seul ma bite endolorie.
La complicité entre nous semblait totale. Ondine proposa de me donner une clé de son studio, proposition que jacceptais avec enthousiasme. Elle chercha vainement un double de clé. Alors, le temps que ma chemisette puisse sécher, elle descendit en faire faire un double dans une échoppe au coin de la rue.
Nayant rien à faire, je mallongeais sur le canapé et fis un petit somme réparateur.
Je fus réveillé par un chatouillement sur mon nez. Jouvris les yeux et aperçu le cul dOndine juste au-dessus de mon visage. Cest vrai que je ne lui avais pas encore rendu lhommage qui lui était dû. Je mempressais de réparer mon impolitesse en tirant Ondine par les hanches et la forçant sasseoir sur mon visage, après quelques mouvements pour me permettre de respirer, Je lui léchais la raie du cul, essayant denfoncer ma langue dans son petit trou. Je ne sentais même pas le poids dOndine, je crois que jaurais pu rester des heures à sucer ce cul mais, trop vite à mon goût, Ondine reprit linitiative en se relevant.
Ta chemisette est presque sèche, Je vais donner un petit coup de fer pour quelle sèche plus vite. En attendant, sers-nous lapéritif, jai acheté une petite bouteille de champagne, les verres sont dans le petit meuble. Jespère que tu aimes le champagne ?
Je nai rien contre le champagne, mais si cétait possible, jaurais préféré une production Ondine, directement du producteur au consommateur
Après un instant de réflexion elle me répondit en riant.
OK, au goulot alors !
Pour repasser, elle sétait mise à laise en enlevant sa jupe mais avait gardé son petit haut. La voir comme ça souriante, très à laise, son petit cul nu magnifiquement rebondi, son petit ventre plat, sa toison légère sur un mont de vénus à croquer, tout ça contribuait à une charge érotique extrême.
Je servis son champagne avec des cacahuètes sur la petite table prés du canapé. Dés quelle eut rangé la table à repasser, elle sinstalla sur le canapé, se glissant de manière à mettre ses fesses juste au bord tout en les écartant. Je minstallais sur un petit coussin entre ses jambes. Javais la même vue quavait sûrement eu G. Courbet lorsquil a peint « lorigine du monde ».
Elle prit son verre dapéritif et en avala une gorgée. Ma bouche collée sur son sexe, jattendais une gorgée de la production Ondine mais elle me dit :
Recules-toi, je voudrais voir mon pipi tomber dans ta bouche !
Je me reculais de quelques centimètres, son minou se contracta et jet durine atteignit mon menton. Je Baissais la tête de façon à le recevoir dans ma bouche. Ça devenait un jeu entre nous. Chaque fois quelle laissait échapper un jet, je me rapprochais ou méloignais de sa vulve pour ne pas en perdre une goutte. Je lui ouvrais les lèvres vaginales avec mes mains de façon à sentir un jet plus puissant au fond de la gorge. Entre chaque rasade, nous nous parlions, de temps en temps, elle laissait tomber une cacahuète dans ma bouche quelle arrosait systématiquement ensuite pour que je puisse lavaler. A un moment, quand elle a eu fini son verre, elle se leva et se baissant sur ma bouche, me fit lhonneur de vider complètement sa vessie dans ma gorge.
Je mempressais de nettoyer cette chatte sublime et reçue en récompense de la liqueur féminine qui témoignait de ma qualité de lécheur. Fatiguée, elle sétait laisser retomber sur le canapé.
Il était temps de rentrer chez moi
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