Les Aventures De Dje 68
LES AVENTURES DE DJE 68
Ep 68 : ENFIN LES VACANCES
La première semaine de vacances Léa restait avec nous. Le boulot n'était pas trop laborieux. On se faisait beau, ça c'était pas le plus dur
On est beau ! Bein si je vous rappelle que je vous l'avais dit dès le premier récit
Je suis très mignon ! En fait notre boulot consistait à se faire beau pour la caméra, donc ...
On se relâchait un peu, on se levait un peu plus tard, toujours la séance de sport comme toute l'année puis petit déjeuner, ensuite tout ce joli monde partait un peu comme au boulot
Moi et Antoine avions tout un tas de contrats publicitaires, séances photo, tournage des pubs, séances d'habillage, les marques offraient à nos deux amis chaque costume ou accessoire qu'ils allaient promouvoir dans les pub. Heureusement il y avait Charles et son très grand talent pour ce qui est de tout ranger comme il faut, les penderies devenaient petites.
Luc avait ses émissions à préparer, les enregistrements, il était assisté par Bob qui bien sûr avait trouvé un petit boulot aussi. Bein oui ! Comme d'habitude Luc avait décroché son téléphone, avait demandé Mr Le Conte, lui avait expliqué que Bob
Ce serait bien si
Un petit boulot
etc
Et bien sûr comme vous le savez Mr Le Conte ne peut rien refuser à Luc !
Bob était content lui, il ne demandait rien à personne, on lui trouvait du boulot, en plus un boulot pas trop dur, passionnant et bien payé. On ne lui appliquait pas la grille tarifaire syndicale à lui !
Au bout d'une semaine Léa partait passer ses vacances dans sa famille. Pour Antoine, une rupture, une réconciliation suivie d'une autre rupture. Plus personne ne savait s'il était en couple et avec qui. Peut être ne le savait-il même plus lui-même.
Le premier week-end Luc avait invité à la maison deux sportif qu'il avait reçu dans son émission. Une traversée d'un océan en duo avec un bateau
( Oui je sais, présenté comme ça, c'est un peu banal )
Sans assistance, en plus ils n'avaient pas battu le record de la catégorie mais si on devait se limiter à ne parler que du champion dans chaque catégorie on aurait vite fait le tour du sujet et on ne parlerait plus de rien à la télé.
Moi : Alors Luc, l'enregistrement s'est bien passé ?
Luc : Comme d'habitude, on prépare l'émission et on l'enregistre en une seule prise.
Moi : Tu as des invités on me dit ?
Luc : Oui je te présente Youri et Thomas
Deux beaux gaillards avec un sourire franc et une poignée de main ferme. Rapidement on passait à table. Ils étaient sympathiques, ils avait des projets intéressants de courses, de reportages pour la télé, de développement de la voile
C'était leur passion et ça se voyait.
La soirée avançait, Charles avait disparu, tout était rangé. Antoine avait disparu également, lui il était sorti. Luc s'était excusé, il avait des dossiers à préparer. J'en revenais pas, il devient mature le p'tit. C'est vrai que ce travail lui plaisait et il le faisait bien. Bob restait avec moi et nos deux invités. Bon ne bavez pas devant vos écrans, ce soir on restera sage.
Je ne sais pas ce qu'il y avait dans le regard de Bob. Il était moins directe, moins droit
Bon si on compare au regard qu'il avait un an plus tôt
A cette époque en général quand je lui parlais il devenait tout rouge et fixais le bout de ses chaussures, donc par rapport à cette époque on peut dire qu'il avait un regard directe mais ce soir il y avait quelque chose. Il avait beaucoup gagné en assurance le petit gars, il était de plus en plus beau et je me disais souvent que mon petit frère avait de la chance.
Mais là, il n'avait pas sont regard habituel. Par moment j'avais l'impression qu'il ne regardait pas nos invités dans les yeux mais plus bas, parfois même beaucoup plus bas.
C'est pas trop son habitude à ce petit bonhomme
Même si tous les garçons que je connais jettent toujours un il
Souvent en vain mais on est comme ça incorrigible. Ceci dit ça faisait aussi un moment que je regardais l'entre jambe de nos invités, j'étais prêts à parier qu'ils ne portaient pas de dispositif de chasteté eux. Mais Bob non plus il n'en porte pas !
Tout en discutant, ils échangeaient des regards complices, l'un se grattait les couilles, l'autre ajustait son pantalon.
Youri : C'est vrai que vous portez tous une dispositif de chasteté ?
Bob : C'est obligatoire si tu veux entrer dans l'université PK .
Thomas : Et ça en vaut la peine ?
Bob : Ce sont les meilleurs étudiants du continent, ils ne cherchent pas d'emploi, ce sont les emplois qui les cherchent .
Nos deux invités avaient l'air impressionnés.
Moi : J'en porte un depuis un bon moment déjà.
Youri : On peut voir ?
Thomas : Pour moi il n'est pas question que je porte un truc comme ça !
Bob : On peut voir ?
Je regardai Bob, j'étais surpris de sa réflexion. Je l'ai connu plus timide que ça le petit Bob, je peux vous garantir, il était moins dégourdi que ça il n'y a pas un an ce petit gars. Il se levait et baissait son pantalon
Merde j'avais complètement oublié que Bob était sous clé. Il n'en parlait plus depuis un moment
Et encore un qui ne porte pas de sous vêtement. Mais ils me copient tous ou quoi ? Je vous l'ai dit il me semble, non ? Je ne porte pas de sous vêtement
J'en faisais de même. Mais je ne m'arrêtais pas à baisser son pantalon, mes chaussures sautaient, ma chemise suivait
Bref en quelques secondes je me retrouvais à poil
Ils me regardaient les deux skippers, ils n'en loupaient pas une miette. Je les regardaient bien dans les yeux, je regardais aussi leur entre-jambe. Ils commençaient à se redresser, il y avait comme quelque chose qui prenait de la place et qui gênait
Un court instant je ne m'occupais plus de Bob et quand je le regardais il avait fait comme moi ! Il est beau Bob, il a pris du muscle depuis qu'il vit avec nous. Il avait un corps doux, quelques restes de la beauté de l'enfance même s'il n'en était plus un depuis longtemps. Son corps gardait quelques rondeurs, quelques douceurs qui le rendait encore plus attirant. Ma bite gonflait brusquement dans ma cage qui se redressait devant moi.
La vache
A cet instant je me disais que mon petit frère avait vraiment de la chance
Bob
Il était vraiment craquant ! Et à voir comment Youri le regardait je ne devais pas être le seul à me faire cette même réflexion.
Youri se levait, il ne rigolait pas là, aux mouvements de sa glotte je devinais qu'il avalait sa salive. Ses yeux parcouraient du haut vers le bas le corps de Bob. Lui il avait un petit sourire. Youri s'avançait vers Bob, au passage il heurtait la table basse, il y a des moments comme ça ou on devient soudainement maladroit
Thomas et moi regardions le spectacle. Je remarquais que le dispositif que portait Bob était fortement redressé. S'il n'avait pas porté ce dispositif c'est une belle grosse queue que nous pourrions admirer. Je l'ai un peu pratiqué Bob, si vous vous souvenez ! ( Ep 42 ). Je me souvenais de la douceur de sa peau, la chaleur de son corps, la force de sa musculature et sa virilité
Là aussi je l'avais senti passer, avec ce dispositif il ne semblait plus aussi dangereux mais il était toujours aussi beau. Un peu comme dans cette chanson
'' Il était beau comme un , fort comme un homme ! ''.
Il faut que je pense à autre chose, je suis à moitié en train de tomber amoureux de Bob moi !
Youri était juste devant devant Bob, et au moment ou Youri posait sa main sur le torse de Bob, je devinais que ce dernier frissonnait. Le dispositif de chasteté réveillait en lui des désirs qui n'étaient pas ses désirs habituelles.
Je me retournais vers Thomas. Il avait maintenant une réaction très visible, pas seulement parce quil avait du mal à avaler sa salive et qu'il gardait la bouche entre ouverte. Son pantalon ne pouvait plus dissimuler une grosse bosse qui n'était pas là un peu plus tôt. Il tournait les yeux vers moi, je lui répondait par un grand sourire comme seule invitation.
Il se levait à son tour et s'approchait, je le recevais en lui ouvrant mes bras en grand.
Je le serrais dans mes bras, le caressais en cherchant avec les mains une ouverture, un passage jusqu'à sa peau. Bob avait pris de l'avance, son partenaire était déjà torse nue ! Je décidais de le rattr, je glissait mes mains sous la chemise de Thomas et les remontais vers son torse, mes mains glissaient rapidement vers le boutons de sa chemise qui s'ouvraient sans difficulté. Je le couvrais de baisers, il refermait ses bras sur moi, penchais sa tête et m'embrassait également juste sous l'oreille. Ça chatouille à cet endroit et il me faisait frisonner
Un il sur mon camarade Bob, le pantalon de Youri était tombé, Bob était à genoux et lui suçait la queue. Je me disais que le plus souvent avec mon frère ça ne devait pas trop se passer dans ce sens mais il avait l'air de bien savoir ce qu'il faisait le petit Bob. Youri lui, semblait aux anges, il relevait la tête, ouvrait la bouche, laissait échapper quelques gémissements de plaisir et caressait la tête de Bob.
J'avais ouvert le pantalon de Thomas, je glissait mes mains contre ses cuisses, entre ses cuisses, ça ne me surprenait pas il bandait ferme. Une belle bite, pas énorme, pas minuscule, normale. Elle était bien ferme bien dure, je me penchais et sans plus attendre la prenait dans la bouche. C'est toujours plus facile de sucer une queue quand elle n'est pas disproportionnée, pas trop grosse. Youri semblait être dans la même catégorie, dans la norme
Thomas prenait ma tête entre ses mains et me guidait, comme si j'avais besoin qu'on me guide
Je le laissais faire, ça ne me dérangeait pas et ne m'empêchais de lui montrer ce que je savais faire. La langue qui roule autour de son gland, les lèvres qui recouvrent bien les dents, les dents c'est le principal ennemi quand on veut sucer comme il faut. La queue qui s'enfonce doucement et qui glisse doucement contre le palais avant de s'enfoncer un peu plus loin, la glotte écrasée et le gland qui rentre jusqu'à la gorge. Là il faut bien contrôler sa respiration sinon
Et pour la victime à qui on fait subir tout ça, ce ne sont que contactes doux, caresses chaudes et humides.
Je fantasme toujours sur les grosses queue, c'est vrai que je suis bien membré aussi mais, la taille juste en dessous, c'est pas mal non plus, c'est plus facile à sucer en fin de compte et le reste du corps donne toujours la même douceur, la même chaleur, la même force et la même tendresse. Les étreintes sont toujours aussi fermes, les gémissements toujours aussi bruyants.
C'est toujours avec la même force que le bassin pousse en avant que les mains se cramponnent et nous tirent la tête en avant au moment ou un cri de plaisir suivi d'une giclée de sperme met fin à ce moment de plaisir. Souvent suivie d'une seconde giclée, puis de quelques autres moins violentes, l'éjaculation est suivie d'une décontraction de tous les muscles. Thomas était envahi de plaisir, mois je vibrais de le sentir, je restais sur ma faim, je gardais sa queue encore un moment dans ma bouche, lentement il débandait, il se retirait, je levais les yeux il me regardait avec un grand sourire.
Youri était déjà assis dans le fauteuil et le regard fixe de Bob ne cachait pas la frustration qu'il devait éprouver. Je me demandais s'il savourait aussi, autant que moi cette frustration. Elle fait aussi partie du plaisir !
Thomas se laissait retomber sur son fauteuil
Thomas : On m'avait bien un peu parler de ça !
Moi : De moi ?
Thomas : Non pas de toi mais des porteurs en général
Youri : On nous avait prévenu.
Bob : Et ?
Moi : C'était à la hauteur de vos attentes ?
Thomas : Mieux que ça
On ne ma jamais sucé comme ça !
Youri : Moi c'est pareil .
On échangeait des regards sans rien dire
Bob : ( bien fort d'un coup ) Mais c'est qu'il n'y a plus rien à boire !
On sursautait tous les trois et Bob était content de lui
Bob : Je vais chercher une autre bouteille, il en reste dis moi Jérémy
Moi: Oui il y a tout ce qu'il faut !
Ce premier mois de vacances était avant tout studieux, on travaillait surtout
Nous avons passé plusieurs soirées du genre de celle là. On invitait plusieurs mecs, et le plus innocemment du monde on s'envoyait en l'air. On les suçait, on se faisait enculer. Le plus souvent Luc participait, Antoine était souvent là aussi. Mais pour Bob la situation était spéciale.
Luc avait choisi et même demandé à porter ce dispositif. Antoine et Moi l'avions accepté puis on était devenu demandeur
C'est quand même nous qui avions conçu les dispositif actuellement commercialisés et que nous portions tous
Mais Bob lui, au début il ne le voulait pas, ensuite il s'était un peu senti pour des raisons économiques, il allait entrer à l'université et à moins de le faire dans une autre ville c'était une obligation. La nouvelle direction de l'université exigeait le port d'un dispositif PK pour les étudiants ( les enseignants aussi ) .
Bob n'avait au départ pas les moyens financiers d'aller s'installer dans une autre ville. Bien sûr avec le boulot et les contrats que Luc lui trouvait régulièrement il le pouvait maintenant mais
Il y avait Luc, il était fou amoureux de Luc et c'était réciproque. C'est ça qui faisait qu'il acceptait sa nouvelle situation de porteur. Mais le manque, le manque sexuel était particulièrement intense chez lui.
Ils avaient passé un accord entre eux. Tant que ce n'était qu'une histoire de cul, chacun accordait à l'autre une grande liberté. Une condition toutefois, il devrait y avoir une franchise totale, une honnêteté totale.
J'en parlais avec Bob !
Moi : Tu sais Bob, tu n'est pas obligé d'aller dans cette université si tu ne le veux pas !
Bob : Je sais j'ai gagné beaucoup d'argent depuis quelques temps. Ça suffirait pour une première année, largement même.
Moi : Je t'ai proposé un soutient économique, ça tient toujours.
Moi : C'est sympa Jérémy, c'est très sympa mais
Luc m'a fait la même proposition tu sais
Mais je veux rester avec lui !
On verra bien comment les choses vont évoluer. On sait par expérience que c'est très supportable, addictif même. Au début on se plaint, on râle, on s'énerve
Ensuite on s'habitue, et pour finir
On en redemande et on ne peut plus s'en passer !
Avec Antoine on était occupé, on avait presque tous les jours des séances photo, enregistrement vidéo, quelques conférences, des défilé de mode. On en a même fait plusieurs avec Bob. Quelques Dollars Internationaux de plus dans la poche. Surtout que je ne vous dis pas comment ça paye bien ce genre de boulot. C'en est presque indécent ça mais bon c'est le capitalisme
Vers la fin de ce mois on recevait une lettre de Justine. Elle avait reçu des proposition pour Bob
Ça ne m'étonnait pas vraiment Bob il est vraiment super mignon, les filles craquent complètement devant lui et les garçons le trouvent tous très sympathique
Bien sûr il les acceptait, Justine n'avait gardé que les propositions intéressantes. Je pense qu'à partir de ce moment il aurait pu choisir une autre université sans avoir besoin de notre soutient jusqu'à la fin de ses études
Il n'avait rien demandé à personne et il commençait à avoir du fric, il était content comme tout lui.
Pour Antoine et moi, Justine nous apprenait que les ventes étaient plus importantes que prévues et nous faisait parvenir un chèque supplémentaire non prévu
'' Bah il faut savoir se résigner '' me disait Antoine d'un air blasé : '' Nous serons encore plus riche que prévu à la fin de l'année
! ''.
Ce dernier jour, le salon était plein de bagages. Mon frère et Bob partaient en vacance, au bord de la mer. Luc avait décidé de présenter Bob à nos parents, il n'avait pas besoin de moi pour ça et je ne m'inquiétait pas vraiment, ça devrait bien se passer.
Moi : Tu sais Bob que tu vas poser pour des sous vêtements et des vêtements de sport, tu ne dois surtout pas bronzer !
Bob : Si ! J'ai le droit de bronzer mais uniquement si je n'ai pas la marque du maillot !
Luc : Et il n'a pas de maillot !
Antoine pouffait de rire !
Antoine : Ils ont tout prévu les p'tit !
Moi : Et toi Antoine tu vas ou ?
Antoine : Je vais faire un voyage à l'étranger ! Les grandes étendues de sables, les forêts vertes et sauvages. Les fleuves rugissants et les chûtes d'eau
Moi : Tout ça en un mois ?
Antoine : J'ai trouvé une club de vacance qui a un super parc à thème !
Là c'est tout le monde qui pouffait de rire
Bob : Et toi Jérémy ? Tu fais quoi ?
Moi : Je ne sais pas encore, je vais prendre la voiture, rouler, et on verra bien. Je ferai un rapide passage au château vers la fin du moi
Antoine : Et Léa, tu la revois quand ?
Moi : J'ai reçu quelques informations qui me laisse imaginer qu'elle ne sera pas parmi nous à la rentrée
Ils me regardaient tous sans rien dire.
Moi : Il me semble que ce qui lui plaît le plus chez moi c'est ma carte de crédit !
J'aurais pensé que ça jetterais un froid mais ils se regardaient tous les uns les autres, haussaient les épaules puis continuaient à vaquer à leurs préparatifs de départ.
Charles arrivait peu après, on remplissait les voitures, on s'embrassait tous, Charles fermait l'appartement, on prenait la route !
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