Chatte Chaude Ne Craint Plus Rien...
Valentin
La fatigue a eu raison de moi, et jai fini par sendormir. Ce matin, tôt, jai été tiré de mon sommeil par des bruits dans la pièce dà côté
pas nimporte quels bruits
les ahanements dun homme qui baise, les halètements, puis les gémissements, de plus en plus rapides, dune femme qui baise, qui va bientôt jouir, puis son cri rauque, saccadé, quand elle jouit
Encore
ils sont insatiables
Je pensais pourtant quhier soir, Gabin et moi avions suffisamment «pratiqué » Bernadette pour la rassasier
Mais non, il semble bien que le sommeil a réveillé leur faim de sexe
Bernadette et moi formons un couple serein. Nous acceptons les libertés que lautre prend avec ses engagements matrimoniaux, même si, pour ma part, je reste plutôt «fidèle » (quoique, parfois
quand la tentation est trop forte
). Elle me raconte, sans sappesantir, ses balades sexuelles, comme si elle me dévoilait la couleur des plantes quelle cultive dans son jardin secret. Jaime faire lamour avec elle, jaime son corps de femme épanouie, sensuelle, lubrique parfois, mais je nai jamais eu envie de la voir livrer son corps, ses beaux seins pleins, lourds, son ventre accueillant à la bouche, aux mains et au sexe dun autre homme.
En cette fin dété, Bernadette et moi recevons dans notre maison de Nancy danciens collègues de Metz, Gabin, marié mais en train de divorcer, et Albine, qui vient dêtre quittée par son mec. Le repas se déroule dans une ambiance amicale qui, lalcool aidant, se réchauffe doucement. Après le repas, nous passons au salon où, avec une douce musique en toile de fond, les libations continuent daccompagner nos discussions.
Jai lesprit passablement embrumé par lalcool et, tout en faisant lintelligent devant Albine, qui, avec son corps à la Jane Birkin, me plait bien, je ne prête pas trop attention à ce que se disent Bernadette et Gabin.
Jusquau moment où Gabin lance, dune voix rauque, faussement enjouée :
Et si lon faisait un strip-poker ?
Me retrouver nu, en public, ne meffraie pas, car nous avons, dans le passé, pratiqué, lune ou lautre fois, le sauna mixte mais, pris par une brume alcoolisée, je ne me rends pas bien compte de ce que cela signifie, ni jusquoù nous allons être amenés à aller
Bernadette :
Dès larrivée de nos hôtes, jai perçu les regards que Gabin adressait à mon corps, et jen ai été flattée, car je ne me vois pas comme une femme belle et désirable.
Aussi, japprouve sa proposition par un petit sourire complice, puis je prétexte un besoin pressant pour aller dans la salle de bain et retirer mon soutien-gorge. Quand je reviens, les seins libres, ballants, les tétons pointant sous mon t-shirt, je vois briller les yeux de Gabin
Valentin, souriant un peu naïvement, ne remarque rien
Le jeu se met rapidement en place. La chaleur ambiante et lalcool font quaucun de nous quatre ne rechigne à retirer, lun après lautre, ses vêtements. Quand jen viens à retirer mon t-shirt et que mes seins jaillissent, libres, je lis de la surprise dans les yeux de mon mari, qui commence à comprendre mes intentions, et une concupiscente admiration dans le sourire de Gabin
Quand il contemple mes seins, on dirait que ses yeux bandent, comme ceux du loup de Tex Avery, ce qui me remplit de satisfaction, me fait frissonner et humidifie mon intimité
Accoutumée à la nudité asexuée ( ?) du sauna, jaime ma semi-nudité, impudique, lair caressant ma poitrine arrogamment exposée aux regards des deux hommes
Manifestement, Valentin nest pas le seul à aimer mes seins
Les yeux de Gabin me caressent comme le feraient des mains, et cest délicieux
Assez rapidement, nous nous retrouvons, tous les quatre, nus comme des vers.
Après avoir jeté un bref regard à Valentin, Gabin me demande: « On danse ? ». Je me lève et le rejoins sur le parquet. Il menlace, me serre contre lui. Je mets mes mains autour de son cou, appuie mes seins contre son torse
Cest bon
je sens son sexe durement arqué cogner contre mon ventre, comme pour lui demander le droit dentrer
Je caresse sa nuque, pour lui signifier ma reddition. Ses mains me caressent le dos, descendent lentement vers mes fesses, les pressent pour appuyer mon ventre contre sa queue. Lune delles remonte et se glisse sous mon aisselle pour semparer dun sein, en accueille le poids, en savoure la douceur, titille son téton, samuse avec lui
Jen frissonne, je halète
Puis sa main quitte ma poitrine pour descendre vers mon pubis. Son pouce joue avec mon clitoris, lénerve, le taquine, tandis que son majeur saventure dans mon sillon, pénètre dans ma chatte trempée
Je gémis
Valentin
La question de Gabin me surprend, et dautant plus quand je vois que Bernadette accepte, sans réticences, son invitation. Elle se lève, nue, ses beaux nichons en figure de proue, et va se blottir dans les bras de Gabin, nu, qui lattend, pour une danse, une étreinte, à caractère fortement érotique.
Pour la première fois de ma vie, je vois Bernadette dans les bras dun homme, et je me sens complètement perdu
Que va-t-il se passer ? Bernadette se contentera-t-elle de flirter avec son cavalier ou va-t-elle aller plus loin ? Ils sont nus, nom de Dieu ! Les deux danseurs se regardent en se souriant, et se collent lun contre lautre, comme sils étaient seuls au monde.
Pour garder une contenance, jinvite Albine et la prends dans mes bras. Je la tiens à distance, nosant pas trop lui toucher les seins, le ventre ou les fesses.
Quand les yeux dAlbine se posent au-dessus de mon épaule, je nen comprends pas le pourquoi, jusquà ce que je me retrouve face à lautre couple de danseurs. Bernadette a posé sa tête sur lépaule de Gabin qui la serre contre lui de sa main gauche, tandis que sa main droite est remontée jusquà sa poitrine. Il lui caresse les seins, lentement, presque tendrement, en homme sûr de lui. Bernadette rejette sa tête en arrière, colle son ventre contre celui de son danseur, de ses deux mains, elle lui caresse la nuque avec douceur. Puis je les vois rapprocher leurs visages, leurs bouches se rejoindre pour se baiser intensément, pendant que la main de Gabin lâche les seins de Bernadette pour descendre jusquà son pubis, sattarder entre les poils puis chercher le clitoris, le trouver, le titiller, provoquant une crispation des fesses de Bernadette contre lhomme qui la pelote et la lutine.
Je suis comme électrocuté. Devant moi, Bernadette est nue contre un homme nu, elle le caresse et accepte en retour, avec un plaisir non feint, quil sempare de ses seins et de son sexe
Les yeux fermés de Bernadette souvrent pour madresser un regard, même pas de défi, mais trouble, indifférent à tout ce qui nest pas le plaisir que lui donne Gabin, un regard qui est le reflet cruel de ce plaisir
Sils continuent, il va la faire jouir, là, devant nous
Justement, devant nous
Ne suis-je pas nu, moi aussi, et en train de tenir dans mes bras une femme nue ? Je reprends conscience et ma main, avec hésitation, descend vers les fesses dAlbine, les caresse doucement puis remonte pour entourer lun de ses jolis petits seins, pendant que, mon autre main presse son corps mince contre moi. Albine lève son visage vers le mien et, bonne fille, me tend ses lèvres que je baise, un peu maladroitement, la tête ailleurs, mais le sexe raide, tendu contre son ventre.
Troublé par ce que je viens de voir, je massois sur le canapé où Albine me rejoint. Machinalement, sans grande conviction, mais tout de même excité, je reprends mes caresses sur ses seins, puis les prends dans ma bouche, et les lèche, les suce, et approche un doigt de son sexe pour tenter de la faire réagir
En vain, je suis tétanisé, bloqué par ce que jimagine se passer dans la chambre
le corps de Bernadette livré aux mains, à la bouche, au sexe de Gabin, surtout à son sexe
De plus, Albine se dégrise, se montre réticente à aller plus loin, peu désireuse de compromettre par son inconduite un éventuel retour de son mec, auquel elle se plait à croire. En sexcusant de me laisser « dans cet état-là », elle se lève et, me laissant seul et un peu vexé, va rejoindre la chambre damis.
Frustré, jentre dans la chambre conjugale et réclame la libre disposition de mon lit et de ma femme. Sur la couche, Gabin et Bernadette, enlacés, sembrassent. Les mains de lhomme ont repris possession des seins et du sexe de Bernadette tandis quelle lui caresse doucement la queue, comme pour le flatter et lencourager avant lassaut à venir. Ils cèdent, et Gabin sort pour aller dormir sur le canapé convertible du salon, tandis que je me couche à côté de Bernadette, nue, à la place de celui qui était bien parti pour ly baiser.
Nous éteignons la lampe. Je bande encore, douloureusement
Il faut que je baise ! Jentreprends de caresser les seins de Bernadette et glisse un doigt dans son con, bien humide. Elle repousse ma main, me signifiant quelle ne désire pas faire lamour avec moi, pour ne pas frustrer Gabin qui la désirée, quelle a désiré, et qui est à côté
Par défi, je lui suggère, bêtement, daller le rejoindre, convaincu quelle nen fera rien, puisquelle a accepté de délaisser ses caresses pour dormir avec moi. À ma grande surprise, Bernadette accepte, guillerette, ma proposition (« Cest vrai, je peux ? »), se lève, se couvre à la va-vite dun peignoir et, sans même prendre la peine de le fermer, elle sen va rejoindre Gabin dans le salon.
Bernadette
Gabin était trop excité pour pouvoir sendormir et sattendait à nous entendre faire lamour ; aussi est-il agréablement surpris de me voir débouler, nue, offerte, sous le peignoir ouvert, et quand je me penche vers lui pour lembrasser, il me fait basculer à côté de lui, ses mains fébriles semparent de mes seins, puis glissent vers mon sexe, pour en retrouver la prometteuse humidité. Sans poser de questions inutiles, il me libère du peignoir et nous reprenons avec gourmandise le cours interrompu de nos caresses.
Valentin
Seul dans mon lit, je suis en proie à une tempête sentimentale. Je suis jaloux, et frustré, certes, mais aussi terriblement excité
Comment ai-je pu envoyer ma femme rejoindre un homme pour se faire baiser ? Mais jen suis si excité
Que dois-je faire ? Aller rejoindre Albine ? Mais elle ma déjà dit non ! Je ne peux tout de même pas la violer, même si elle je la fais en partie responsable de mon érection !
Je tends loreille, mais nentends rien
Je nai eu jamais eu loccasion dêtre voyeur auparavant, alors, que mattendais-je à entendre ? Mon imagination galope
Comme un somnambule, je me lève et entre dans le salon. Sur le canapé, Bernadette, étendue sur le dos, soffre à son amant qui, allongé à côté delle, lembrasse goulûment et égare ses mains sur ses seins et dans son sexe. Hagard, je massois sur une chaise en face du canapé et regarde le couple. Mon érection devient douloureuse
Quand Gabin descend sa tête vers le ventre de Bernadette et enfonce sa bouche dans son pubis, Bernadette gémit, et ses yeux, hagards, se tournent vers moi. Tel un zombi, je me lève et vais masseoir sur le lit, à côté des amants. Bernadette, entre deux gémissements de plaisir, me sourit. Je regarde la tête de Gabin, rivée au sexe de Bernadette, qui halète de plus en plus fort, et pose mes mains sur les seins de ma femme pour les caresser, et ma bouche sur sa bouche, tendrement, amoureusement, y recueillant les halètements du plaisir que lui donne son amant. La bouche de son amant est rivée à son sexe, mes mains sont sur ses seins, et ma langue dans sa bouche
Bernadette ne résiste plus et part dans un violent orgasme qui la fait crier en se cambrant, repoussant ma bouche de la sienne. Repoussant la tête de Gabin de son ventre, elle lui dit :
Viens, baise-moi, maintenant, jen peux plus
Quand Gabin retire sa bouche du ventre de Bernadette pour sallonger sur elle, son sexe trouve facilement laccès à son con trempé par la salive et le plaisir. Un ferme mouvement de ses fesses me montre que ça y est, son sexe est enfoncé, à fond, dans la chatte de mon épouse chérie, sous mes yeux
Et moi, je bande et contribue au plaisir de ma femme adultère en la caressant avidement, en lembrassant fiévreusement, pendant que cet homme ahanant ramone le sexe de ma femme, de plus en plus fort, de plus en plus rapidement.
Quand, au terme de sa course effrénée dans le ventre de Bernadette, quil conclut par un cri sauvage, Gabin bascule sur le côté, le sexe tout luisant de leurs plaisirs mêlés, il a un geste sans équivoque pour minviter à prendre sa place dans la chatte de Bernadette, doù sourd son sperme. A mon tour, je mallonge sur ma femme et, quand jenfonce ma queue dans son sexe, je suis surpris par sa douceur, par sa lubrification, une lubrification que je ne connaissais pas, et je reçois en retour un profond soupir de Bernadette, enchantée de cette nouvelle pénétration de son ventre. Pendant ce temps, Gabin lui caresse les seins, les tète avec délice, lembrasse et lui titille le clitoris, en effleurant mon sexe au passage.
Et Bernadette jouit
Je prends mon temps avant déjaculer dans son ventre. Quand jai eu terminé, Gabin a recouvré sa vigueur et, sans lui laisser de répit, à peine ai-je défouraillé, il fourre à nouveau sa queue dans le con de Bernadette. Quand, plus tard, il a eu éjaculé en elle, comme je suis de nouveau prêt à lassaut, je cesse de la caresser pour engager à nouveau ma bite dans sa chatte débordante de nos spermes mêlés
Sans me forcer, je prends tout mon temps, pour lamener à un nouvel orgasme, que je pense final
Mais, alors que Bernadette et moi sommes allongés côte à côte, nos bouches encore soudées pour un baiser conjugal, Gabin se couche à nouveau sur Bernadette et, à une crispation du visage de ma femme, accompagné dun halètement, je sais quil la baise à nouveau
Bernadette gémit, crie, jouit jusquà plus soif, sa bouche contre la mienne.
Puis, enfin repue et rassasiée (enfin, cest ce que jai cru
), elle sendort.
Ensuite, vidé, harassé, troublé par le plaisir pris par Bernadette, et par ma propre excitation, je retourne dormir dans mon lit, laissant dormir ma femme, enlaçant son amant
Et ce matin, si tôt, ils recommencent
Quelle (belle) garce tout de même !
Et maintenant, que vais-je faire ? A nouveau, les rejoindre ? Je me tâte
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