Chatte Chaude Ne Craint Plus Rien...

Valentin

La fatigue a eu raison de moi, et j’ai fini par s’endormir. Ce matin, tôt, j’ai été tiré de mon sommeil par des bruits dans la pièce d’à côté… pas n’importe quels bruits… les ahanements d’un homme qui baise, les halètements, puis les gémissements, de plus en plus rapides, d’une femme qui baise, qui va bientôt jouir, puis son cri rauque, saccadé, quand elle jouit… Encore… ils sont insatiables… Je pensais pourtant qu’hier soir, Gabin et moi avions suffisamment «pratiqué » Bernadette pour la rassasier… Mais non, il semble bien que le sommeil a réveillé leur faim de sexe…

Bernadette et moi formons un couple serein. Nous acceptons les libertés que l’autre prend avec ses engagements matrimoniaux, même si, pour ma part, je reste plutôt «fidèle » (quoique, parfois… quand la tentation est trop forte…). Elle me raconte, sans s’appesantir, ses balades sexuelles, comme si elle me dévoilait la couleur des plantes qu’elle cultive dans son jardin secret. J’aime faire l’amour avec elle, j’aime son corps de femme épanouie, sensuelle, lubrique parfois, mais je n’ai jamais eu envie de la voir livrer son corps, ses beaux seins pleins, lourds, son ventre accueillant à la bouche, aux mains et au sexe d’un autre homme.

En cette fin d’été, Bernadette et moi recevons dans notre maison de Nancy d’anciens collègues de Metz, Gabin, marié mais en train de divorcer, et Albine, qui vient d’être quittée par son mec. Le repas se déroule dans une ambiance amicale qui, l’alcool aidant, se réchauffe doucement. Après le repas, nous passons au salon où, avec une douce musique en toile de fond, les libations continuent d’accompagner nos discussions.

J’ai l’esprit passablement embrumé par l’alcool et, tout en faisant l’intelligent devant Albine, qui, avec son corps à la Jane Birkin, me plait bien, je ne prête pas trop attention à ce que se disent Bernadette et Gabin.
Jusqu’au moment où Gabin lance, d’une voix rauque, faussement enjouée :
— Et si l’on faisait un strip-poker ?
Me retrouver nu, en public, ne m’effraie pas, car nous avons, dans le passé, pratiqué, l’une ou l’autre fois, le sauna mixte mais, pris par une brume alcoolisée, je ne me rends pas bien compte de ce que cela signifie, ni jusqu’où nous allons être amenés à aller…

Bernadette :
Dès l’arrivée de nos hôtes, j’ai perçu les regards que Gabin adressait à mon corps, et j’en ai été flattée, car je ne me vois pas comme une femme belle et désirable.

Pendant un instant, j’ai jalousé Albine pour son joli petit corps, mince et sans volumes saillants. Les avances de Gabin m’ont plu, et j’y ai répondu, malgré mes complexes, maladroitement, par des regards détournés, qui voulaient lui dire « Merci, c’est gentil de ta part, mais je ne vois pas comment… ». Puis il m’a murmuré, plus clairement, qu’il me avait une furieuse envie de baiser avec moi. Je l’ai rassuré... Je pense que mon mari ne sera pas un obstacle infranchissable… J’ai vu son sourire, un peu carnassier, quand il me regardait comme un félin qui lorgne une proie. Quand il propose son jeu de cartes, à la différence de Valentin, je comprends où Gabin veut en venir. Est-il l’amant d’Albine ? En fin de compte, peu m’importe, c’est moi qu’il veut, et son désir de moi, sa manœuvre évidente pour accéder à mon corps, m’excitent… Je ne vais pas lui résister… Après tout, Gabin ne sera pas, de loin, mon premier amant… Valentin ? Je lui ai relaté, très sommairement, certaines de mes « errances conjugales » (pas toutes, trop de sincérité tue la sincérité…), et il ne m’en a pas tenu grande rigueur (en fin de compte, ça l’a même plutôt excité, je n’ai pas regretté ma –relative- franchise…). Mais maintenant, c’est une « première » pour Valentin et moi, car il ne s’agit plus de baise volée, mais exhibée…

Aussi, j’approuve sa proposition par un petit sourire complice, puis je prétexte un besoin pressant pour aller dans la salle de bain et retirer mon soutien-gorge. Quand je reviens, les seins libres, ballants, les tétons pointant sous mon t-shirt, je vois briller les yeux de Gabin… Valentin, souriant un peu naïvement, ne remarque rien…

Le jeu se met rapidement en place. La chaleur ambiante et l’alcool font qu’aucun de nous quatre ne rechigne à retirer, l’un après l’autre, ses vêtements. Quand j’en viens à retirer mon t-shirt et que mes seins jaillissent, libres, je lis de la surprise dans les yeux de mon mari, qui commence à comprendre mes intentions, et une concupiscente admiration dans le sourire de Gabin… Quand il contemple mes seins, on dirait que ses yeux bandent, comme ceux du loup de Tex Avery, ce qui me remplit de satisfaction, me fait frissonner et humidifie mon intimité… Accoutumée à la nudité asexuée ( ?) du sauna, j’aime ma semi-nudité, impudique, l’air caressant ma poitrine arrogamment exposée aux regards des deux hommes… Manifestement, Valentin n’est pas le seul à aimer mes seins… Les yeux de Gabin me caressent comme le feraient des mains, et c’est délicieux…

Assez rapidement, nous nous retrouvons, tous les quatre, nus comme des vers.
Je vois Valentin qui, d’un œil de voyeur timide, contemple Albine… ses petits seins, ses petites fesses… C’est bien… quand Gabin et moi irons baiser, mon mari pourra se consoler avec Albine !

Après avoir jeté un bref regard à Valentin, Gabin me demande: « — On danse ? ». Je me lève et le rejoins sur le parquet. Il m’enlace, me serre contre lui. Je mets mes mains autour de son cou, appuie mes seins contre son torse… C’est bon… je sens son sexe durement arqué cogner contre mon ventre, comme pour lui demander le droit d’entrer… Je caresse sa nuque, pour lui signifier ma reddition. Ses mains me caressent le dos, descendent lentement vers mes fesses, les pressent pour appuyer mon ventre contre sa queue. L’une d’elles remonte et se glisse sous mon aisselle pour s’emparer d’un sein, en accueille le poids, en savoure la douceur, titille son téton, s’amuse avec lui… J’en frissonne, je halète… Puis sa main quitte ma poitrine pour descendre vers mon pubis. Son pouce joue avec mon clitoris, l’énerve, le taquine, tandis que son majeur s’aventure dans mon sillon, pénètre dans ma chatte trempée… Je gémis…

Valentin
La question de Gabin me surprend, et d’autant plus quand je vois que Bernadette accepte, sans réticences, son invitation. Elle se lève, nue, ses beaux nichons en figure de proue, et va se blottir dans les bras de Gabin, nu, qui l’attend, pour une danse, une étreinte, à caractère fortement érotique.

Pour la première fois de ma vie, je vois Bernadette dans les bras d’un homme, et je me sens complètement perdu… Que va-t-il se passer ? Bernadette se contentera-t-elle de flirter avec son cavalier ou va-t-elle aller plus loin ? Ils sont nus, nom de Dieu ! Les deux danseurs se regardent en se souriant, et se collent l’un contre l’autre, comme s’ils étaient seuls au monde.

Pour garder une contenance, j’invite Albine et la prends dans mes bras. Je la tiens à distance, n’osant pas trop lui toucher les seins, le ventre ou les fesses.
Pour tenter de dissimuler mon malaise, je parle, je parle... Mais malgré moi, je sens mon sexe grossir, durcir… Du coup, je me tais et cherche son regard, pour chercher à y lire une émotion, un consentement ou un refus, avant d’oser aller plus loin.

Quand les yeux d’Albine se posent au-dessus de mon épaule, je n’en comprends pas le pourquoi, jusqu’à ce que je me retrouve face à l’autre couple de danseurs. Bernadette a posé sa tête sur l’épaule de Gabin qui la serre contre lui de sa main gauche, tandis que sa main droite est remontée jusqu’à sa poitrine. Il lui caresse les seins, lentement, presque tendrement, en homme sûr de lui. Bernadette rejette sa tête en arrière, colle son ventre contre celui de son danseur, de ses deux mains, elle lui caresse la nuque avec douceur. Puis je les vois rapprocher leurs visages, leurs bouches se rejoindre pour se baiser intensément, pendant que la main de Gabin lâche les seins de Bernadette pour descendre jusqu’à son pubis, s’attarder entre les poils puis chercher le clitoris, le trouver, le titiller, provoquant une crispation des fesses de Bernadette contre l’homme qui la pelote et la lutine.

Je suis comme électrocuté. Devant moi, Bernadette est nue contre un homme nu, elle le caresse et accepte en retour, avec un plaisir non feint, qu’il s’empare de ses seins et de son sexe… Les yeux fermés de Bernadette s’ouvrent pour m’adresser un regard, même pas de défi, mais trouble, indifférent à tout ce qui n’est pas le plaisir que lui donne Gabin, un regard qui est le reflet cruel de ce plaisir… S’ils continuent, il va la faire jouir, là, devant nous…

Justement, devant nous… Ne suis-je pas nu, moi aussi, et en train de tenir dans mes bras une femme nue ? Je reprends conscience et ma main, avec hésitation, descend vers les fesses d’Albine, les caresse doucement puis remonte pour entourer l’un de ses jolis petits seins, pendant que, mon autre main presse son corps mince contre moi. Albine lève son visage vers le mien et, bonne fille, me tend ses lèvres que je baise, un peu maladroitement, la tête ailleurs, mais le sexe raide, tendu contre son ventre.
J’en suis là, quand je les vois passer devant nous, Gabin, une main dominatrice passée autour de la taille de Bernadette, et elle, les yeux hypocritement baissés, rythmant du mouvement de ses beaux seins leur marche vers la chambre conjugale… Non, ils ne vont pas se contenter de flirter, ils vont baiser… baiser ! J’ai l’impression de recevoir un coup de massue.

Troublé par ce que je viens de voir, je m’assois sur le canapé où Albine me rejoint. Machinalement, sans grande conviction, mais tout de même excité, je reprends mes caresses sur ses seins, puis les prends dans ma bouche, et les lèche, les suce, et approche un doigt de son sexe pour tenter de la faire réagir… En vain, je suis tétanisé, bloqué par ce que j’imagine se passer dans la chambre… le corps de Bernadette livré aux mains, à la bouche, au sexe de Gabin, surtout à son sexe… De plus, Albine se dégrise, se montre réticente à aller plus loin, peu désireuse de compromettre par son inconduite un éventuel retour de son mec, auquel elle se plait à croire. En s’excusant de me laisser « dans cet état-là », elle se lève et, me laissant seul et un peu vexé, va rejoindre la chambre d’amis.

Frustré, j’entre dans la chambre conjugale et réclame la libre disposition de mon lit et de ma femme. Sur la couche, Gabin et Bernadette, enlacés, s’embrassent. Les mains de l’homme ont repris possession des seins et du sexe de Bernadette tandis qu’elle lui caresse doucement la queue, comme pour le flatter et l’encourager avant l’assaut à venir. Ils cèdent, et Gabin sort pour aller dormir sur le canapé convertible du salon, tandis que je me couche à côté de Bernadette, nue, à la place de celui qui était bien parti pour l’y baiser.

Nous éteignons la lampe. Je bande encore, douloureusement… Il faut que je baise ! J’entreprends de caresser les seins de Bernadette et glisse un doigt dans son con, bien humide. Elle repousse ma main, me signifiant qu’elle ne désire pas faire l’amour avec moi, pour ne pas frustrer Gabin qui l’a désirée, qu’elle a désiré, et qui est à côté… Par défi, je lui suggère, bêtement, d’aller le rejoindre, convaincu qu’elle n’en fera rien, puisqu’elle a accepté de délaisser ses caresses pour dormir avec moi. À ma grande surprise, Bernadette accepte, guillerette, ma proposition (« C’est vrai, je peux ? »), se lève, se couvre à la va-vite d’un peignoir et, sans même prendre la peine de le fermer, elle s’en va rejoindre Gabin dans le salon.

Bernadette
Gabin était trop excité pour pouvoir s’endormir et s’attendait à nous entendre faire l’amour ; aussi est-il agréablement surpris de me voir débouler, nue, offerte, sous le peignoir ouvert, et quand je me penche vers lui pour l’embrasser, il me fait basculer à côté de lui, ses mains fébriles s’emparent de mes seins, puis glissent vers mon sexe, pour en retrouver la prometteuse humidité. Sans poser de questions inutiles, il me libère du peignoir et nous reprenons avec gourmandise le cours interrompu de nos caresses.

Valentin

Seul dans mon lit, je suis en proie à une tempête sentimentale. Je suis jaloux, et frustré, certes, mais aussi terriblement excité… Comment ai-je pu envoyer ma femme rejoindre un homme pour se faire baiser ? Mais j’en suis si excité… Que dois-je faire ? Aller rejoindre Albine ? Mais elle m’a déjà dit non ! Je ne peux tout de même pas la violer, même si elle je la fais en partie responsable de mon érection !
Je tends l’oreille, mais n’entends rien… Je n’ai eu jamais eu l’occasion d’être voyeur auparavant, alors, que m’attendais-je à entendre ? Mon imagination galope… Comme un somnambule, je me lève et entre dans le salon. Sur le canapé, Bernadette, étendue sur le dos, s’offre à son amant qui, allongé à côté d’elle, l’embrasse goulûment et égare ses mains sur ses seins et dans son sexe. Hagard, je m’assois sur une chaise en face du canapé et regarde le couple. Mon érection devient douloureuse… Quand Gabin descend sa tête vers le ventre de Bernadette et enfonce sa bouche dans son pubis, Bernadette gémit, et ses yeux, hagards, se tournent vers moi. Tel un zombi, je me lève et vais m’asseoir sur le lit, à côté des amants. Bernadette, entre deux gémissements de plaisir, me sourit. Je regarde la tête de Gabin, rivée au sexe de Bernadette, qui halète de plus en plus fort, et pose mes mains sur les seins de ma femme pour les caresser, et ma bouche sur sa bouche, tendrement, amoureusement, y recueillant les halètements du plaisir que lui donne son amant. La bouche de son amant est rivée à son sexe, mes mains sont sur ses seins, et ma langue dans sa bouche… Bernadette ne résiste plus et part dans un violent orgasme qui la fait crier en se cambrant, repoussant ma bouche de la sienne. Repoussant la tête de Gabin de son ventre, elle lui dit :
— Viens, baise-moi, maintenant, j’en peux plus…
Quand Gabin retire sa bouche du ventre de Bernadette pour s’allonger sur elle, son sexe trouve facilement l’accès à son con trempé par la salive et le plaisir. Un ferme mouvement de ses fesses me montre que ça y est, son sexe est enfoncé, à fond, dans la chatte de mon épouse chérie, sous mes yeux… Et moi, je bande et contribue au plaisir de ma femme adultère en la caressant avidement, en l’embrassant fiévreusement, pendant que cet homme ahanant ramone le sexe de ma femme, de plus en plus fort, de plus en plus rapidement.
Quand, au terme de sa course effrénée dans le ventre de Bernadette, qu’il conclut par un cri sauvage, Gabin bascule sur le côté, le sexe tout luisant de leurs plaisirs mêlés, il a un geste sans équivoque pour m’inviter à prendre sa place dans la chatte de Bernadette, d’où sourd son sperme. A mon tour, je m’allonge sur ma femme et, quand j’enfonce ma queue dans son sexe, je suis surpris par sa douceur, par sa lubrification, une lubrification que je ne connaissais pas, et je reçois en retour un profond soupir de Bernadette, enchantée de cette nouvelle pénétration de son ventre. Pendant ce temps, Gabin lui caresse les seins, les tète avec délice, l’embrasse et lui titille le clitoris, en effleurant mon sexe au passage.
Et Bernadette jouit…
Je prends mon temps avant d’éjaculer dans son ventre. Quand j’ai eu terminé, Gabin a recouvré sa vigueur et, sans lui laisser de répit, à peine ai-je défouraillé, il fourre à nouveau sa queue dans le con de Bernadette. Quand, plus tard, il a eu éjaculé en elle, comme je suis de nouveau prêt à l’assaut, je cesse de la caresser pour engager à nouveau ma bite dans sa chatte débordante de nos spermes mêlés… Sans me forcer, je prends tout mon temps, pour l’amener à un nouvel orgasme, que je pense final… Mais, alors que Bernadette et moi sommes allongés côte à côte, nos bouches encore soudées pour un baiser conjugal, Gabin se couche à nouveau sur Bernadette et, à une crispation du visage de ma femme, accompagné d’un halètement, je sais qu’il la baise à nouveau… Bernadette gémit, crie, jouit jusqu’à plus soif, sa bouche contre la mienne.
Puis, enfin repue et rassasiée (enfin, c’est ce que j’ai cru…), elle s’endort.
Ensuite, vidé, harassé, troublé par le plaisir pris par Bernadette, et par ma propre excitation, je retourne dormir dans mon lit, laissant dormir ma femme, enlaçant son amant…

Et ce matin, si tôt, ils recommencent… Quelle (belle) garce tout de même !
Et maintenant, que vais-je faire ? A nouveau, les rejoindre ? Je me tâte…

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