Match De Foot
Samedi soir, 21 H, je vais à la douche. Je profite de l'eau chaude, très chaude... j'adore sentir l'eau couler sur ma peau quand elle est très chaude. Je me savonne rapidement puis me rince, je ne veux pas m'attarder sous la douche.
Je sors, me sèche en prenant soin de me frotter partout. Je m'applique de la crème sur le visage, brosse rapidement mes cheveux. J'applique de l'huile sèche sur l'ensemble de mon corps : mes jambes, l'intérieur de mes cuisses, j'insiste sur mes fesses (il ne faut jamais oublier ses fesses !) puis je remonte sur mon ventre et mes seins. J'en profite pour me caresser les seins, à pleine mains, je titille également mes tétons pour qu'ils pointent un peu. Le reste de l'huile sur mes mains sert à hydrater mes bras. L'huile est légèrement parfumée, un parfum sucré, parfait pour ce soir
J'abaisse le couvercle des toilettes pour pouvoir m'asseoir dessus, j'att un bas, le roule et l'enfile sur ma jambe gauche : je le tire correctement jusqu'à mi-cuisse, fais attention de placer le haut du bas correctement, hum
bien, je me caresse la jambe tout le long du bas en commençant par le pied pour remonter jusqu'en haut de la cuisse. A l'autre jambe ! Je recommence le même manège pour la jambe droite : je roule le bas, l'enfile, m'applique pour qu'il soit bien disposé. Mes jambes sont prêtes, je passe au haut. C'est un top en tulle noire transparente sur le ventre et dentelle sur les seins, orné d'un bijou à la pointe basse du décolleté. Je l'ajuste sur mon corps, att la première jarretelle et l'attache à mon bas noir, deux, trois quatre jarretelles. Voilà, un rapide coup d'il dans le miroir : de face ma poitrine est mise en valeur, un quart de tour pour vérifier le dos : le haut dévoile mes fesses nues juste comme il faut.
J'att les menottes, le bâillon boule et glisse mes pieds dans mes escarpins à talons aiguilles noirs. Je suis prête ! C'est soir de match de foot à la télé, je rejoins donc Monsieur qui s'est installé tranquillement devant, et lui tend les menottes et le bâillon boule.
Il me regarde, à ses yeux je vois qu'il apprécie la vue, se lève et m'embrasse. Sa langue fouille ma bouche, je ne peux m'empêcher de me coller un peu plus à lui, une douce chaleur envahit mes reins. La soirée promet d'être agréable.
Ses mains s'attardent sur mon corps, mes seins qu'il prend et malaxe fort, puis il fait glisser le tissu afin de découvrir un de mes seins. Il en pince fort le téton puis me prend le sein a pleine bouche. Il découvre ensuite mon deuxième sein et me dit :
« Comme ça tu fais bien plus salope, c'est comme ça que doivent se présenter les seins d'une bonne salope. ». Merde, je mouille ! Puis il me fait me tourner, je sais qu'il veut sentir mon cul contre sa queue, il me caresse encore un peu : les seins, les jambes, le cou. Il se détache de moi, me fait retourner à nouveau et me demande de me passer la langue sur les lèvres.
« A genoux ! » : j'obéis rapidement, « Suce-moi ! » : il me tend sa bite passée par-dessus son pantalon. Je ne sais si c'est le match qui l'a mis dans cet état mais la fellation tourne très vite en une gorge profonde très puissante : je manque m', il maintient ma tête contre lui un temps qui me semble infini, je n'arrive plus à respirer, je suffoque : je ne peux que lui taper sur la cuisse pour lui demander d'arrêter, il se retire, j'ai les larmes aux yeux et de la bave partout. Une vraie petite truie pleine de salive, un long filet reliant sa bite à ma bouche.
Maintenant il me demande de l'allumer. Je m'exécute, en rajoute un peu en me massant et tripotant mes seins qui sortent de façon indécente du tissu poussé sur le côté par Monsieur, je me penche et caresse mes jambes en remontant lentement, je me tourne et renouvelle ma descente : cette fois il a pleine vue sur mon cul ! Je continue un peu, il s'est rassit sur le canapé et a sorti sa belle queue dure de son pantalon, il se branle en me matant. Je décide alors de me fesser, je fais donc claquer fortement ma main sur ma fesse gauche en le regardant lair aguicheur, puis je me claque les deux fesses, les prends à pleines mains et renouvelle les claques.
C'est la fin de la publicité à la télévision, il se lève, att les menottes. Je suis toujours dos à lui, il m'att un bras y installe une des menottes, il fait pareil avec l'autre bras. Je sais ce qui m'attend, je place mes bras dans le dos, mes mains contre mes fesses : il attache les menottes ensembles. Me voilà donc les bras liés dans le dos, les mains qui reposent sur mes fesses. Il me fait tourner face à lui, att le bâillon, j'ouvre instantanément la bouche et Monsieur y installe la boule. Je baisse la tête pour lui permettre d'attacher le lien. Je suis prête, le match a recommencé. Il me montre ma place, je m'installe à genoux aux pieds du canapé le front reposant par terre, le cul relevé.
Monsieur s'assoit confortablement sur le canapé pour regarder son match, et installe ses pieds sur mon dos. Je suis son repose pieds, la croupe à l'air, la tête écrasée au sol. Puis il laisse un pied sur mon dos et vient écraser ma tête avec son autre pied : je suis humiliée, réduite à un simple objet bavant à gros filets à cause du bâillon. Monsieur à l'air d'apprécier son match de foot, ses mains se baladent sur mes jambes et plus particulièrement sur mon cul qu'il pince de temps à autre très fort : la douleur et vive mais délicieuse, je mouille encore un peu plus.
Puis il enlève ses jambes et fait passer ses mains sur mon cou puis sur mes seins. A nouveau il me pince très fort, les tétons cette fois, encore une fois la douleur est vive : je couine. Je couine comme une petite chienne.... Et je bave.
Il remet ses pieds sur mon dos, m'écrase à nouveau la tête avec son pied, et ce sentiment de lui appartenir devient un peu plus puissant. En bruit de fond le match de foot se déroule. Le pied qui m'écrase la tête se lève et passe sous ma tête au niveau de ma bouche :
« Lèche ».
Je m'exécute en sortant tant bien que mal ma langue malgré la boule du bâillon qui me gêne. Je bave tellement, mais je lèche, je lèche son pied comme une bonne esclave.
Il me fait me redresser, je suis à genoux, ma salive dégouline le long de mon menton et coule sur ma poitrine. Monsieur me dit que je suis obscène, et que c'est normal puisque je suis une bonne salope. Ma chatte dégouline elle aussi ; mais je sais que ce soir c'est la queue de Monsieur qui sera à l'honneur.
Je me tourne d'un quart de tour, toujours à genoux, pour lui faire face. Il me demande de poser mon visage sur sa bite. A travers de son pantalon je sens sa queue dure, je frotte mon visage dessus. Et je bave littéralement d'envie
Mince l'équipe de Monsieur vient d'encaisser un but, il me relève la tête en me tirant les cheveux, il est agacé :
« Je vais te frapper les seins car mon équipe vient de prendre un but » Il dénude alors mes seins en repoussant à nouveau le top sur le côté et se met à me gifler les seins : j'ai mal, je couine, il me gifle à nouveau les seins, je gémis. Il me gifle les joues : je crois qu'il en a marre de m'entendre mais je ne sais pas me retenir : sa main frappe ma joue dont l'intérieur se cogne à la boule du bâillon.
Il me refrappe les seins et me chiquenaude les tétons. C'est douloureux mais je vois le plaisir dans ses yeux et ça m'excite. Monsieur décide alors de m'ôter le bâillon, il fourre sa langue dans ma bouche, me crache dedans, baisse son pantalon. Je vais enfin pomper du dard, de la belle trique.
Effectivement Monsieur me prend la tête à deux mains et la dirige vars sa queue tendue. C'est l'heure de sucer. Je m'applique lentement d'abord : je fais passer ma langue sur son gland, je descends tout le long de sa verge avec ma bouche bien fermée, mais probablement l'énervement d'un match qui ne tourne pas comme il le souhaiterait et mes mains attachées dans le dos, Monsieur décide d'imprimer un rythme plus rapide et surtout de m'enfoncer au plus profond de ma gorge sa queue. Il appuie fort sur ma tête, je manque de m' pour la deuxième fois de la soirée. Il fait bouger ses hanches pour que sa queue emplisse entièrement ma bouche, je me fais baiser la bouche encore et encore.
Je crache sur ce sexe dur, gonflé et chaud pour que ma min soit elle aussi emplie de salive et je l'astique. Monsieur prend du plaisir devant le match de foot. Puis il me demande de caresser sa bite avec mes seins ce que je fais avec application, la libération est proche, il se branle
« Maintenant viens, ouvre la bouche je vais te remplir de sperme mais n'avale pas »
J'ai à peine le temps d'enfiler sa queue bien dure dans ma bouche que je sens le liquide chaud s'écouler sur ma langue je ferme bien ma bouche et surtout je ne déglutis pas.
Monsieur a fini, je fais glisser mes lèvres le long de son membre, je plante mon regard dans le sien et ouvre ma bouche pleine de foutre, de son foutre. « C'est bien petite salope, fais bien tourner dans ta bouche et avale ». Je tire ma langue pleine de semence blanchâtre et visqueuse afin de bien en imprégner toute ma bouche et je déglutis avec un gémissement de plaisir.
Je m'assois sur le canapé afin que monsieur puisse poser sa tête sur mes genoux, il reste quelques minutes avant la fin du match. Monsieur mérite un peu de repos, je soulève alors sa tête avec mon bras et de ma main libre dénude mes seins. Monsieur me tête les seins, et je caresse sa bite doucement. Des va-et-vient lents et réguliers, Monsieur m'aspire les tétons.
La fin du match a sonné. Nous nous dirigeons vers la chambre où je me déshabille devant Monsieur puis viens me nicher contre son corps. Je caresse encore un peu sa bite qui se tend sûrement : c'est le signe ! je descends lentement ma tête le long de son corps et prends à nouveau à pleine bouche sa bite.
Que c'est bon de sentir qu'elle se gonfle dans ma bouche.
« Putain mais quelle salope, tu en redemandes encore ! »
Je m'applique à lubrifier son engin avec ma salive, je lèche son torse, fait courir mes seins et mon visage tout à tour sur sa queue chaude.
Ma bouche appartient au plaisir de Monsieur, qui se décharge une deuxième fois à plein jets dans cet orifice chaud et humide dédié à sa jouissance. Je relève la tête en bonne petite chienne obéissante, tire à nouveau la langue pleine de foutre et avale dans un râle de plaisir.
Je me blottis contre Monsieur, je vais m'endormir avec une petite chatte gonflée et mouillée et satisfaite d'avoir comblé Monsieur.
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