49- Charmant Guet Append Pour Ma Terma (1)
49- Charmant guet append pour ma Terma (1):
Il y a quelques temps, jai amené ma femme à lhôpital de la capitale pour des examens et une petite opération dablation dun kyste mal placé. Cela nécessitait son hospitalisation de cinq jours. Le premier jour, je suis resté avec elle, à lhôpital, jusquà 18h passée, pour massurer quelle était bien installée. Ensuite, je suis descendu en ville à la recherche dun hôtel. Mais après plus dune heure de recherches dans cinq hôtels au centre ville, je nai pas trouvé de chambre libre et on ma conseillé daller vers les hôtels de banlieue. Alors, un taxi ma amené dans un petit hôtel minable très loin du centre et on ma donné une chambre pour la nuit. Comme je navais pas mangé presque de toute la journée, on ma désigné un magasin à quelques ruelles plus loin où je pourrais acheter quelques victuailles et de leau. Et jy suis allé à pieds. En effet, à trois ruelles plus loin et quelques tournants, jai trouvé le magasin, assez achalandé et jai acheté de quoi me remplir le ventre pour ce soir. Puis jai essayé de retourner à lhôtel.
Malheureusement, il était déjà 23h et il faisait très sombre dans ces ruelles. A mon deuxième tournant, jai été abordé par trois personnes dont je ne distinguais pas les traits et qui mont demandé de largent. Cétait un guet append. Je navais pas beaucoup dargent liquide car jutilise en majorité des cartes de crédit. Ils ont pris largent et mes achats et mont laissé les cartes, mais ils étaient mécontents et voulaient me donner des coups. Je les ai supplié et lun deux ma demandé de lui donner mon manteau et ma veste, puis un autre denlever mon pantalon de velours. Jai du obéir pour sauver ma vie. Maintenant je distinguais leurs visages. Deux étaient assez jeunes et imberbes et le troisième, nettement plus âgé, avait une grosse barbe et des moustaches. Dès que je fus à moitié nu, les deux jeunes commencèrent à rigoler et à me traiter de tapette.
A lintérieur, cétait assez obscur mais jai distingué les escaliers du bâtiment. Et ils mont poussé par dessous, pour ouvrir une porte et pénétrer dans une sorte de cagibi sous les escaliers. A lintérieur étroit, il y avait quelques affaires et surtout un sommier avec un large matelas dessus. Il devait leur servir souvent, cest certain et ce soir, cetait moi qui serait leur victime. En effet, tout de suite, les deux jeunes ont dégagés leurs zobs de leurs braguettes et les tenaient dans leurs mains en les branlant légèrement. Puis ils mont descendu mon slip et poussé sur le lit en mobligeant à leur tourner le dos et en me baissant. Sachant ce quils allaient faire, je me suis mis à genoux sur le matelas et jai écarté mes cuisses pour leur offrir mon derrière et mon cul. Heureusement que ma Terma avait lhabitude des sodomies. Lun deux ma lubrifié lanus avec de la salive, puis il a poussé son zob. Jai un peu serré mon anus au début pour lui faire croire que jétais vierge et lui donner un peu de plaisir, puis jai laissé faire. Son zob sest engouffré dans mon cul en vitesse jusquaux couilles et il a commencé ses vas et viens de plus en plus rapides. Son zob nétait pas très gros ni très long et je le sentais assez légèrement, mais jai loué le jeu en gémissant et en disant quil me faisait mal. Il rigolait et fonçait. Et trop rapidement, il arriva à son top et éjacula en force dans ma Terma.
Puis il laissa place à son jeune copain. Je lui ai demandé de me laisser évacuer le sperme dabord Mais il voulait enfoncer son zob tout de suite dans ma Terma.
Alors, il sortit son zob, me le montra bien en face, comme en exposition, et mobserva pour voir ma réaction. Effectivement, la, javais affaire avec un homme et un vrai zob dhomme, long, gros, à première vue lourd et puissant, et, sincèrement, ma Terma en était déjà excitée. Il remarqua mon regard intéressé. Il ôta totalement son pantalon. Ses longues et puissantes cuisses étaient aussi un complément dexcitation pour moi, car poilues et bien remplies, elles allaient certainement me donner de puissants coups de zob.
Immédiatement, jai pris position et il sest placé derrière ma Terma. Jai largement écarté mes cuisses et, la tête sur le matelas, jai placé mes mains sur les fesses pour les écarter et lui montrer mon anus et son intérieur doux et rosâtre. Je lentendis ricaner et me dire que je savais y faire et que cela gonflait son zob encore plus. Alors, il mouilla un doigt et me lubrifia lanus. Il me dit que cela nétais presque pas nécessaire car ma Terma mouillait et mon anus brillait de son jus. En effet, pour ma part, dès linstant où javais vu son zob, et encore mieux, lorsque je lai touché, ma Terma sest affolée et me démangeait à fond. Je savais que mes sucs allaient démarrer pour la lubrifier et la préparer au zob qui allait la défoncer, lépouser et linonder de jouissances.
Il poussa son zob lentement et ce dernier senfonça avec douceur dans ma Terma en écartant avec délices mon anus, puis les chairs de mon sphincter. Javais affaire maintenant à un zob dhomme, bien gros et puissant et il me remplissait très bien le cul. Je gémissais déjà. Je ressentais maintenant, avec jouissance, le zob qui progressait dans mes entrailles. Quant il buta sur le fond de ma Terma, et que les poils du pubis de lhomme me chatouillaient les fesses, jai lâché fortement ma respiration que javais essayé de ralentir et d pendant toute la pénétration. Quel bonheur de sentir, enfin, la puissance et la chaleur de ce pieu de chair qui remplissait totalement mes entrailles et les premières jouissances commençaient à faire vibrer tout mon corps.
Ma chair interne frottait le zob et augmentait mon plaisir. Je le sentais vibrer comme un gros serpent de plaisir qui malaxait ma chair intérieure et me soulait déjà de jouissances sexuelles. Je savais que cela donnait aussi du plaisir au zob de lhomme. Il mexpliqua daller doucement car il était très sensible et risquait darriver trop rapidement à léjaculation. Il me dit quil voulait dabord jouir longtemps de cette belle Terma si douce et si profonde. Alors je me suis arrêté. Ainsi, il a pu commencer enfin ses vas et viens classiques en saccrochant à mes larges hanches. Il allait trop vite à mon gout, mais je pense quil était assez excité et avait hâte de jouir, comme il dit, de ma Terma si douce et si profonde et qui affolait son zob de vibrations sexuelles. Il me donnait des coups de reins violents, soufflait très fort et même criait ses frissons dextase. Moi, je gémissais aussi et ce nétait pas de la comédie, cette fois, comme tout à lheure avec les deux gosses. Non jétais vraiment entrainé dans le plaisir et ma Terma qui jouissait à fond lançait à tout mon corps des frissons et des ondes de plaisir.
Après une vingtaine de vas et viens durant lesquels ma Terma à joui sans arrêt, il saccrocha fort à mes hanches et éjacula en force dans mes entrailles. Quatre, cinq jets puissants et chauds mont rempli la Terma et il resta accroché pour se vider les couilles à fond. Enfin, il sortit son zob de mon cul et se détacha de moi. Malgré létat peu engageant du matelas, mais étourdi par le plaisir, je me suis écroulé dessus pour continuer à gouter les sensations de mon corps et de ma Terma. Je savais que mon cul, mon anus était largement ouvert à lair et je sentais le sperme qui suintait sur mes fesses et sur mes cuisses. Ce guet append savérait en définitive assez agréable. Dautant plus que lhomme mavait rendu mes vêtements et mon argent. Tournant la tête vers lui, je voyais lhomme assis sur le bord du lit, les yeux fermés et tenant son zob comme pour le presser et le vider à fond. Je me suis redressé et magitant un peu, je suis allé lui prendre le zob que jai avalé pour le sucer, le lécher et le nettoyer. Machinalement, et sans aucune intention préconçue, je continuais à le sucer et même à le branler doucement. Lhomme, les jambes et cuisses écartées, les mains de part et dautre sur le lit, penché en arrière, goutait mes attouchements, les yeux toujours fermées. Mais son zob, très rapidement sest redressé, bandé et puis gonflé jusquà redevenir aussi dur quavant. Je continuais et il savait que je le désirais encore. Alors il ouvrit les yeux et me fit signe de son accord.
Alors, je me suis rapidement vidé des restes de sperme sur le sol, puis je me suis allongé, le dos sur le matelas, et jai largement écarté et levé mes jambes et cuisses aussi haut que possible. Ainsi, mon anus était visible, face à lui, sous mes couilles. Jétais certain que ma Terma, mes fesses et mon anus devaient briller des restes de sperme et leur donnait un état de chatte affamée de zob. Je lui ai demandé que cette fois, il devrait me prendre en force et il fit signe de ses yeux. Alors, il sagenouilla entre mes cuisses et tenant son zob bien levé, beau, affolant, il le pointa à lentrée de mon anus et lenfonça violement dans ma Terma. Le zob fila directement jusquau fond de mes entrailles en frottant les contours sensibles de mon cul et cette pénétration me fit hurler de jouissances. Lui aussi ne put sempêcher de crier en enfonçant son zob avec un coup de reins puissant et de tout son corps. Ensuite, il se pencha sur moi et me donna quelques baisers sur mon visage et ma bouche. Ses moustaches me chatouillaient et me donnaient la sensation de domination de cet homme sur mon corps.
Jai fermé les yeux car ces sentiments me gênaient, et jétais près à mabandonner non seulement sexuellement mais totalement à cet homme. Je me suis ressaisi et me suis contenté de gouter, au maximum, cette sodomie de face. Jai mis mes jambes et cuisses autour de son dos et soulevait mon corps pour moffrir au mieux à son zob. Lui, toujours penché sur moi, donnait des coups de reins accélérés et puissants. Jentendais aussi les bruits de sussions mouillés que faisaient le zob et la Terma dans leurs frottements réciproques. Et cela amplifiait mes fantasmes et mes jouissances. Il lui a fallu seulement une quinzaine de vas et viens et de haut et bas pour arriver à son second top. Je lai senti, lorsque son zob sest gonflé un peu plus dans ma Terma et jattendais son éjaculation. Elle arriva, puissante, chaude et abondante. Il laissa les trois premiers jets gicler dans ma Terma et il retira son zob pour se vider des deux derniers jets sur mon ventre et ma poitrine. Tenant son zob à la main et le pressant, il projeta son sperme blanc et visqueux jusquà ma poitrine et même mon visage. Je voyais à son regard quil était très content de sa prouesse et il me demanda si javais, moi aussi joui. Jai confirmé, en le moussant un peu, car je savais quil était du genre à aimer les compliments, que jamais je navais autant joui et avec un tel zob formidable et puissant. Jai pris du sperme avec mes doigts sur la poitrine et je lai mis dans ma bouche en lui disant quil était chaud et agréablement salés. Il était superbement heureux. Je voulais encore gouter de ce zob puissant les jours suivants et ces compliments allaient porter leurs fruits.
Il se leva et je me suis accroupi encore une fois pour me vider les entrailles, cest, je crois, la quatrième fois, ce soir. Puis il ma donné un large mouchoir quil a sorti de je ne sais où pour messuyer la poitrine et le ventre. Jen ai profité pour messuyer aussi le cul, les fesses et les cuisses et je lai jeté sur le matelas. Ensuite, on sest habillé et on est sorti dans la rue. Comme il mavait rendu mes vêtements et mon argent, je lai remercié et il ma dit que ma Terma lui convenait très bien, la preuve, rien à y penser il continue de bander, et il aurait aimé continuer. Cest ce que jespérais entendre. Il ma dit quil avait un appartement pas très loin et quil vivait seul. Sachant que jétais à lhôtel, il ma proposé de minviter chez lui, dès ce soir si je voulais. Son zob ayant été à la hauteur des désirs de ma Terma et désirant économiser lhôtel, jai accepté immédiatement. Alors, on est allé ensemble à lhôtel pour prendre mes affaires. Jai voulu régler ma note de cette nuit mais le patron a refusé en me faisant un clin dil. Dans la rue, mon copain, disons Ali, ma expliqué que le patron était un copain à lui et quils se partageaient parfois les belles Terma quils draguaient. Et si je le voulais, demain, on ira discuter un peu avec lui pour le remercier et jai accepté. Ensuite on a rejoint son logis au second étage dun batiment juste après le coin de la rue.
Cétait simple, pas très meublé mais juste ce quil faut dans la chambre unique et la cuisine. Le salon était très petit et la salle de bain normale. Rapidement, il nous a fait à diner en ajoutant mes achats. Puis on a prit une douche chaude, ensemble et on sest fait quelques gâteries sous leau. Jai sucé son gros zob déjà dur malgré la douche et il ma doigté le cul plusieurs fois et ma léché les fesses et lanus. Puis on a couru vers la chambre, tous nus et je me suis allongé sur le dos, levant mes jambes et cuisses pour lui offrir mon anus. Il la encore léché et enfoncé ses lèvres puis il sest agenouillé entre mes cuisses. Tenant haut son gros zob, il la enfoncé avec force dans ma Terma. Habituée à la violence et bien échaudée et lubrifiée par les sodomies de tout à lheure, mon cul a avalé son zob jusquaux couilles et en vitesse. En heurtant mon fond, Ali a eu un hoquet de désir et moi jai entouré son torse de mes jambes et cuisses. Ensuite, et à son aise sur ce lit douillet, il a démarré ses mouvements haut et bas et droite gauche. Je ressentais nettement mieux son zob dans mes entrailles que tout à lheure. Jétais en sécurité et ouvert à fond, alors je goutais le plaisir en gémissant et même criant à chaque onde de jouissances. Il ma sodomisé une bonne demi heure, et ma caressé la poitrine, les seins et ma donné quantité de baisers et de gentillesses sur tout le corps.
Enfin, arrivé à son top, il éjaculé au fond de ma Terma par quatre jets chauds et puissants. Mieux que tout à lheure, je ressentais très bien la chaleur de son sperme et la puissance de ses coups de reins qui accompagnaient ses éjaculations. Nous avons hurlé en phase ces jets de plaisir et puis on sest apaisés lun contre lautre sur le lit. Après cinq ou dix minutes, nous étant apaisés, je lai repoussé pour me lever et aller prendre une nouvelle douche. Il ma suivi juste après et on sest lavé mutuellement. Maintenant son zob assez fatigué pendait sur ses puissantes cuisses et même ainsi, il dégageait, en tout cas pour moi, une grande dose dérotisme et de désir. Mais il fallait dormir et dix minutes plus tard on a éteint la lumière et fait dodo, son corps collé à mon dos et à mes reins. Tôt le matin, à 8h je suis parti à lhôpital, laissant Ali toujours endormi. Jai pris un café dans un bar et jai acheté des croissants et des gâteaux pour ma femme. Pendant toute la journée, je suis restés soit à ses cotés, soit dans les couloirs lors de ses soins particuliers. A midi, je suis allé nous acheter quelques choses à manger et nous avons discuté toute laprès midi. Bien sur elle ma demandé si jétais bien logé à lhôtel et je lai rassurée, sans avouer la réalité de ma nuit passée. Et vers 18h, on ma obligé à la quitter pour la nuit.
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