La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1270)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) (suite de l'épisode précédent N°1269) -
La préparation du mariage :
Le grand jour arrivait à grands pas quand un soir Chloris était dans sa chambre pensive et inquiète car quelque chose la tracassait. Antonin arriva avec une folle et subite envie de prendre sa soumise adorée. Toute perdue dans ses pensées, elle ne remarqua ni sa présence, ni même son regard Dominant empli dun appétit sexuel du mâle en rut quil était exprimé par son envie de la posséder physiquement. Son envie retomba d'un coup quand il saperçut que sa belle était tracassée. Alors il s'approcha d'elle et s'assit à ses côtés en la prenant tendrement dans ses bras :
- Kate
heu
pardon Chloris, que ce passe-t-il ?, tu es bien soucieuse.
- Antonin, on a oublié quelque chose pour le mariage.
- Quoi donc ?
- Qui va apporter nos anneaux ?, On na pas d's dans notre entourage ?
- Ne t'inquiète pas Ma belle, j'y avais pensé et j'ai tout prévu, ce sera Emérentine.
- Emérentine ? C'est une bonne idée mais il faut le lui demander.
- Je l'ai déjà fait, je voulais te faire la surprise, la petite était ravie.
- Alors, je me faisais du souci pour rien, dit-elle souriante.
- Tu es heureuse ?
- Bien sûr, plus que jamais et grâce à ton meilleur ami, le Maître de notre Seigneurie de Beaujeu, ce jour sera le plus beau de notre vie.
- Oui et Il t'a fait un magnifique cadeau de mariage.
- En effet ce diadème est magnifique et dune valeur inestimable, Il est si généreux.
- Tu le mérites ma belle et je vais te faire un aveu. Même si c'est Lui qui te l'a offert, c'est moi qui l'ai choisi.
- Antonin, il ne fallait pas. Je suis déjà tellement heureuse.
- Je t'adore mais cesse de rouspéter ainsi ou je risque de devoir te punir, dit il moqueur.
- Hahaaaa, le Maître doit-il punir sa soumise simplement parce qu'elle donne son avis lors d'une conversation de couple ?
- Non, certes, mais cesse tout de même de rouspéter sur mes cadeaux.
- Oui c'est tout à fait envisageable, cela étant tout dépend de la punition... Maître.
Antonin se dit en lui même
- Là, Ma belle c'est comme si tu me le demandais (puis de vive voix).- Tu verras bien, met-toi nue à genoux tout de suite.
Chloris s'exécuta de suite, Antonin tournait autour d'elle en silence et se dit de nouveau en lui-même :
- Elle ne mérite pas d'être punie car c'est Moi qui l'ai provoquée et si m'a répondu, c'est par jeu. Alors ce sera aussi par jeu que je la punirai sans aucunes douleurs. (Alors de vive voix, il sexclama) : - Alors, Ma soumise, on se permet d'être insolente envers le Maître ?
- Je suis désolée Maître, je ne recommencerai plus.
- Oh si Ma belle, tu recommenceras et puis de temps en temps j'aime que tu fasses ta rebelle insolente, pensa Antonin. (Alors de vive voix, il sexclama) : - Ce n'est pas une attitude digne d'une soumise, aussi je vais devoir remédier à cela, (puis sur un ton joueur pour qu'elle comprenne qu'il n'était pas réellement fâché) n'est-ce pas ?
Chloris saisit dans le ton de la question que la séance qui allait suivre serait certes une séance entre le Maître et Sa soumise mais que ce serait aussi agréable pour tous les deux. Car ce ne serait pas réellement une punition mais juste une légère douleur destinée à augmenter leurs plaisirs communs.
- Oui Maître cela est inadmissible de ma part et je comprends que vous ne pouvez laisser passer cela.
- Bien nous sommes d'accord. En levrette cul relevé. Je vais utiliser la badine, règles habituelles.
- Un, merci Maître.
- ...
- 15, merci Maître.
- Bien, ça suffit tu as été courageuse. Maintenant à quatre pattes.
Le dominant se plaça derrière Sa belle soumise et passa ses doigts baladeurs sur et dans sa chatte en la fouillant avec une évidente et délicieuse perversité.
- Mais c'est que ça t'excite vraiment, ma parole, ça a l'air de te plaire Ma chienne regarde dans quel état sont mes doigts.
Il les présenta devant sa bouche.
- Lèche salope car tu es responsable de cela.
Chloris lécha docilement et avec délices et application les doigts d'Antonin, si bien que son envie de la prendre fut de plus en plus puissant et pressant.
- C'est bon, je vais maintenant te prendre comme j'en ai envie, comme Ma soumise adorée.
Tout d'abord étant d'humeur joueuse, il se plaça derrière elle et lui caressa ses magnifiques fesses, sans oublier de leurs donner quelques claques au passage, le tout sans la pénétrer sauf de quelques doigts furtifs pour la faire languir en se disant, et même si cela lui demandait un effort, "je ne la pénétrerai pas avant qu'elle ne me supplie de le faire". Chloris connaissant parfaitement autant le Maître que l'homme qu'elle aimait et savait exactement ce qu'il voulait et se retient le plus longtemps possible avant de dire voire de hurler.
- Maître, par pitié, s'il vous plait, baisez-moi.
- Tu en as mis du temps, je bande comme un fou, salope de chienne.
Et sans plus attendre il la pénétra, avec une facilité déconcertante tellement la chatte de la belle était trempée, d'un coup de reins puissant, viril et profond. Et il se retira tout aussi rapidement sous les gémissements de plaisir de sa bien aimée. Puis il revint vers sa chatte mais en prenant un malin plaisir à la pénétrer très lentement. Chloris aurait voulu le supplier d'aller plus vite mais ne dit rien car au fond d'elle même elle adorait cette douce et délicieuse de son cher Antonin. Lui-même, ne pouvant faire durer cela plus longtemps, augmenta la cadence en coups de butoirs profonds, virils et puissants tout en lui claquant les fesses déjà rougies. Chloris n'en pouvait plus leurs râles et gémissements et à tous deux emplissaient toute la pièce.
- Maîîîîîître hoooo je
je
vous en supplieeeee haaa puis-je... jouiiiiiiir ?
- C'est bon, pour une fois je te l'accorde, va-y, jouit salope.
Et ils lâchèrent leurs orgasmes en même temps, orgasme saisissant, dévastateur un vrai séisme cris et soupirs n'en finissaient plus
Ce n'est que plusieurs minutes plus tard quépuisés tous les deux, Antonin se releva puis aida Chloris à se relever également, l'allongea sur leur couche et la recouvrit d'un épais drap de lin bien chaud et s'allongea à ses côtés, la prenant tendrement dans ses bras. Et ils s'endormirent ainsi heureux et amoureux
(A suivre
)
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