Les Fantasmes De Damien (2): Sophie Prend De Plus En Plus De Plaisir Avec Son Premier Amant

Je vis avec mon Mari Damien depuis bientôt 25 ans. Nous avons une vie de famille normale avec des s, une sexualité plutôt saine et normalement aucune tromperie de l’un ou de l’autre. Mais comme toute personne normalement constitué nous avons des fantasmes.

Damien aimerait, et ça depuis très longtemps (je pense même savoir d’où vient son fantasme mais je vous en parlerai une autre fois), me voir dans les bras d’un autre homme. Je ne sais pas si c’est parce qu’il bande de plus en plus mou ou juste moi qui est des envies mais son fantasme trotte de plus en plus dans ma tête. Pour le moment je préfère pas lui en parler, je le connais il va se faire plein de scénarios et je ne sais pas si je suis vraiment prête à passer le pas.

L’hôpital dans lequel je suis infirmière me propose de monter en grade mais pour ça je dois suivre différentes formations dont la première est sur Paris. Comme je ne connais personne là bas qui peut m’héberger, je demande à mon voisin de m’aider à chercher un hôtel. Pascal est chasseur de tête sur la capital et y vit la semaine, il rentre uniquement le week end dans notre village pour rejoindre sa famille.

Le deuxième soir de ma formation, il m’invite à diner. Le coquin me fait livrer une robe très sexy à mon hôtel mais il ne s’arrête pas là, il m’a acheté une paire de chaussure mais aussi string, soutien gorge, porte jarretelles et bien sûr une paire de jarretelles. Moi qui suit plutôt pudique je m’étonne de me trouver aussi belle en petite tenue. Je le rejoins avec une certaine excitation pour passer la soirée avec lui.

Dans notre village, Pascal a une réputation de coureur de jupons et pourtant ça ne m’arrête pas. Plus la soirée avance plus je comprends pourquoi il attire à ce point les femmes. En plus d’être beau garçon et très charmant, il sait trouver les mots pour toucher les femmes et leur plaire. Je me sens de plus en plus émoustiller surtout qu’il m’a fait beaucoup boire du coup je ne contrôle plus rien.

Nous prenons un digestif dans un des petit salon de l’auberge, où il m’a invité à diner, qui fait aussi hôtel. Je suis tellement émoustillé par sa présence que lorsqu’il approche son visage du mien et que nos lèvres sont à quelques centimètres des siennes, j’ai du mal à ne pas avancer pour l’embrasser. En bon gentleman, il retourne le visage et maintenant avec le recul je crois que ça m’a encore plus fait craquer.

Après avoir réglé l’addition, il prend ma main et au lieu d’aller vers sa voiture, Pascal me dirige jusqu’à la réception de la partie hôtel et y récupère la clé d’une des chambres. Sans me dire un mot, mais je ne proteste pas non plus, nous nous dirigeons vers l’ascenseur. Un mélange d’angoisse et de stress me prend mais au lieu de fuir je sers sa main encore plus fort.

Une fois dedans il appuie sur le troisième étage, ma main est toujours dans la sienne. Plus nous montons plus je serre mes doigts autour des siens. Les portes s’ouvrent, je ne relâche pas la pression. Il nous dirige jusqu’à la porte de la chambre sans même regarder les indications, il a l’air d’un habitué des lieux. En ouvrant la porte il plonge son regard dans le mien, je craque de plus en plus.

Avant de nous enfermer il place l’écriteau « Ne pas déranger », il referme la porte et je me retrouve le dos plaqué contre elle. Il se rapproche de moi très lentement, peut être même un peu trop à mon gout car j’avance ma tête pour cette fois ne pas rater le baiser. Nos lèvres s’entremêlent un moment avant de plus les ouvrir et que sa langue rentre dans ma bouche.

Je ne sais pas ce qu’il me prend mais je suis encore moins passive et répond complètement à son baiser. Je l’enlace tendrement et lui caresse le dos alors que ses mains sont toujours contre la porte. Nous nous embrassons de plus en plus langoureusement, j’ai très chaud et encore plus quand je sens ses doigts se poser sur mon dos.

Je frissonne de plaisir et je le laisse descendre sa main sur mes fesses, si je savais comment je pense même que je l’encouragerai. Quand sa deuxième main se pose sur mon autre fesse, je veux aussi en profiter et ses à mon tour de tâter son postérieur. Vu comme Pascal tressaute, il ne devait pas s’y attendre mais il soupire de plaisir alors je continue.

Après m’avoir malaxer un moment, ses mains viennent vers le devant de mon corps et remonte sur le haut de mes cuisses avant d’atteindre mon petit ventre. Malgré mes grossesses il est encore assez plat mais il ne s’y attarde pas trop et remonte directement sur mes seins. Après un court malaxage, ses mains repartent vers mon dos mais uniquement pour défaire l’attache.

Pascal plonge sa main dans mon décolleté et retire le soutien gorge qu’il m’a offert, il le jette derrière lui. Enfin libéré, il peut s’occuper à pleine main de mes seins. Il s’arrête un bon moment sur mes tétons qu’il peut maintenant caresser, pincer, tirer… à sa guise. En plus ça a le don de me faire encore plus mouiller, mon string doit être dans un sale état. A mon tour de le dévêtir, j’ouvre les boutons de sa chemise, j’écarte bien les côtés et je caresse son torse légèrement poilu comme j’aime.

Je ne m’attaque pas autant que lui à ses tétons mais il à l’air d’apprécier ce que je lui fais, il se met même à gémir. Ses mains retourne vers mon dos pour, cette fois, déziper ma robe. Une fois que je sens le métal de la fermeture éclair juste au dessus du string, ses doigts remontent sur le côté de mon corps et font glisser le tissu de mes épaules. Je me retrouve avec uniquement mes talons, mon string trempé, mes jarretelles et porte jarretelles.

Il y a aucune raison que Pascal profite plus de mon corps mais pas moi du sien alors je fais tomber sa chemise. Mes mains redescendent le long de son corps et vont ouvrir sa ceinture. Même si ma bouche est toujours collée à la sienne, je prends une grande inspiration et glisse ma main dans son pantalon. Non seulement il est excité comme un âne mais il ne porte pas de sous vêtements. J’empoigne directement sa grosse bite qui est bien plus dure et raide que celle de mon mari.

Je le caresse un moment, tant bien que mal, et je me décide enfin à ouvrir son pantalon pour être plus à l’aise. Quand il se retrouve à terre, Pascal bouge ses jambes pour retirer ses chaussures et son pantalon. Nos bouches se dessoudent mais ses lèvres, toujours sur ma peau, descendent le long de mon corps. Une fois à genoux, il retire ses chaussettes et vient frotter son visage contre le triangle de tissu noir et humide alors que ses doigts parcourent mon corps sans but précis.

Il retire enfin le peu de tissu qui me servait de culotte et se relève pour m’embrasser rapidement. Sa bouche se rapproche de mon oreille et il me chuchote:
« C’est fini la mode de la foret vierge, pour la prochaine fois tu me taillera ça! »
Je suis rouge de honte, je n’ai pas le temps de réagir que ses lèvres se recollent aux miennes. Alors que nos langues dansent, serrées l’une contre l’autre, il m’entraine vers le lit.

Je me retrouve allongée sur un lit d’hôtel avec mon voisin qui est complètement nu et moi en talons, portes jarretelles et ma touf! Je caresse de nouveau son torse, je descends sur son ventre et atteint enfin ce que je convoite depuis maintenant quelques minutes: son sexe bien dure. Je le masturbe lentement alors que lui me malaxe un sein alors que son autre main se rapproche de ma chatte.

Malgré sa réflexion de tout à l’heure, il me caresse les poils pubiens, j’accélère le rythme de ma main. Son index se fraye un passage dans ma forêt et rencontre rapidement mon petit bouton. Il gonfle rapidement en m’excitant de plus en plus. Pour calmer mes gémissements je descends le long de son corps pour aller lécher son gland.

Il comprend ma manoeuvre et me bloque, il me fait tourner puis monter sur lui pour nous retrouver en 69. Je sens sa respiration sur mon sexe qui me semble bien ouvert alors que j’ai sa belle queue juste devant moi. Je gobe son gland, après l’avoir décalotté, alors que ma langue le parcourt. Quand je sens la sienne se poser sur mon clito et remonter sur mes lèvres intimes, je m’immobilise et me laisse profiter du moment.

Une fois que sa langue est sur mon périnée, non seulement Pascal ne s’arrête pas mais il écarte mes fesses avec ses mains. J’ai honte de lui exposer cette partie de mon corps mais quand sa bouche s’occupe de ma rondelle j’oublie tout. Je viens même à me demander pourquoi j’ai toujours interdit cette région de mon corps à mon mari.

Sa langue tourne autour de mon petit trou, le masse et même l’aspire. Pendant tout ce temps je garde son gland dans ma bouche, ce qui ne m’empêche pas de gémir. Même si j’ai très envie de ne penser qu’à moi, je commence à le sucer en l’enfonçant de plus en plus dans ma bouche. Quand son gland tape ma glotte, je prends le chemin inverse en faisant tournoyer ma langue sur sa tige.

Je sens sa langue pénétrer lentement mon cul, j’accélère le rythme et la pression sur sa tige. Il force un peu mais mes sphincters finissent par céder et lui ouvre le passage de mes entrailles. Je me soulève pour que le bas de mon dos soit droit et qu’il rentre le plus loin possible. Comme posséder, je replonge sur sa queue et l’avale jusqu’à le faire rentrer dans ma gorge. Je me déchaîne sur lui et sens ma bave s’échapper de ma bouche et s’étaler sur son pubis.

Sa langue et sa queue me rendent folle, j’ai toujours interdit mon cul à Damien et refuser les gorges profondes (du moins à l’époque ou il bandait assez pour que ce soit possible),mais la j’en redemande encore! Même si Pascal ne s’occupe pas du tout de ma chatte, je sens que je dégouline sur lui. Je recrache son sexe mais le branle en attendant et le supplie:
« Viens dans mon cul, j’ai envie que tu sois le premier! »
Je pense que d’entendre que mon cul est vierge l’excite encore plus car sa langue rentre et sort encore plus vigoureusement entre mes fesses.

Je ne le laisse pas faire et me soulève pour me décaler et me mettre en levrette. Il ne perd pas de temps et vient s’installer derrière moi, ce n’est pas sa bite que je sens contre mon petit trou mais de nouveau sa bouche. Même si mon cul et moi profitons bien de ses léchouilles, je me retourne et lui dit:
« C’est de ta queue dont j’ai envie! »
Pascal dégage son visage d’entre mes fesses et me réponds:
« Il faut bien préparer ton petit trou, surtout pour une première fois! »
Et il retourne s’occuper de ma rondelle.

Rapidement je sens que sa langue est rejointe par un doigt. Pascal a du mal à le faire rentrer, il me fait un peu mal mais je prends quand même du plaisir. Quand il passe mon anneau et s’enfonce en moi, une chaleur m’irradie et parcourt tout mon corps. J’ondule le bassin pour lui faire accélérer le rythme et qu’il rentre encore plus profondément en moi.

J’aimerai qu’il ne s’arrête jamais mais son son doigt s’immobilise alors que j’en sens un autre me pénétrer mais cette fois le sexe. Il les fait tournoyer en même temps et même se toucher à travers la fine paroi qui les séparent. A chaque fois ça m’électrise, je plonge ma tête dans un coussin ce qui fait que je suis encore plus cambrée et je les sens encore mieux en moi.

Quand son doigt quitte ma chatte c’est pour aller rejoindre l’autre dans mon cul. Il le rentre plus facilement que le premier, le plaisir est encore meilleur. Pascal me lime les fesses un bon moment quand je le sens changer de position. Il y a de nouveau du mouvement, c’est à l’entrée de ma grotte mais cette fois c’est sa queue qui s’enfonce d’un coup sec en moi, je crie de plaisir la tête enfoncé dans les coussins.

Je le sens tout collé à mes parois, j’ai l’impression que je vais exploser tellement que je suis remplie. La dernière fois que j’ai eu de telles sensations c’était avec Abdallah, celui qui m’a défloré (je vous en parlerai bientôt). Et la en plus j’ai deux doigts dans mon cul qui viennent régulièrement caresser sa queue et me donnent encore plus de bonnes sensations au passage. Pascal fait quelques allers retours très secs dans ma moule et en ressort.

Il retire ses doigts l’un après l’autre de mon cul et vient plaqué son gland, humide de mes sécrétions, entre mes fesses. Il se penche sur moi et me murmure:
« Pousse comme si tu étais aux toilettes. »
J’ai un peu honte de péter ou pire mais je l’écoute et je sens son gland s’enfoncer tout doucement et ouvrir mon cul. J’adore et j’ai mal en même temps, la sensation est trop forte et je me crispe.

J’y suis aller un peu trop fort, du coup j’ai éjecté le sexe de Pascal. Il reprend position derrière moi, écarte mes fesses avec ses mains et revient positionner son gland. Je pousse de nouveau et je sens la tête de son champignon me perforer. Il s’immobilise et me demande de bien souffler avant de pousser de nouveau. Je m’exécute et, cette fois, je sens vraiment mes sphincters s’ouvrir pour le laisser rentrer.

Je sens chaque centimètre de sa bite m’envahir. Plus il rentre plus j’ai envie d’hurler de plaisir. Quand je sens ses couilles contre mes fesses il s’immobilise mais pas trop longtemps. Il commence a ressortir, toujours très lentement, mais s’arrête pour replonger dans mes entrailles. Il recommence plusieurs fois, la même opération, mais à chaque fois plus rapidement. Quand il me sent assez accueillant il me ramone vraiment et je ne gémis plus mais cri mon plaisir.

Juste quand je sens une chaleur naitre dans mon ventre, Pascal décule d’un coup sec. J’adore sentir les replis de son gland me titiller la rondelle mais je déteste la sensation de vide qu’il me laisse. Il m’att par la taille et me fait me retourner sur le dos. Il att mes jambes qu’il soulève et coince sur ses épaules ensuite il att son sexe et retourne au fond entre mes fesses.

Cette fois quand il me sodomise, je n’ai plus que du plaisir. Il ne s’immobilise pas quand il est au fond mais me lime directement et a un bon rythme. Rapidement, je sens la chaleur de tout à l’heure revenir. Même si, tout mon corps est bien maintenu par mon premier amant, je gigote de plus en plus. Une explosion démarre de mon ventre et se repend dans tout mon corps.

Sous mon orgasme, mes muscles se contractent tellement que j’ai l’impression de broyer le sexe de Pascal. Vu ses gémissement et son visage, ça n’a pas l’air de lui déplaire. J’ai une nouvelle confirmation quand je sens sa bite s’immobiliser en moi et être prise de soubresauts. Je sens son sperme venir tapisser l’intérieur de mon cul à plusieurs reprises.

Quand nos corps se calment, il tarde pas à sortir de mes entrailles et ça tombe bien parce que je commence à avoir mal, j’ai l’impression qu’il bande toujours. Je dois quand même avouer que lorsque son gland titille ma rosette au passage, j’ai des frissons qui me parcourt le corps. Pascal vient s’allonger à côté de moi et me prends dans ses bras.

Je viens de tromper mon mari en cachette alors qu’il me demande de le faire devant lui, je devrais culpabiliser mais je suis toujours percher sur un nuage. Mes yeux sont de plus en plus lourds et je les ferme alors que je sens le sperme de Pascal couler de mon cul, puis plus rien…
Je me réveille avec le bruit de la douche, je mets un moment à me lever et découvrir enfin la chambre d’hôtel dans laquelle j’ai passé la nuit.

Je me retrouve nez à nez avec moi quand je me plante devant un miroir, je ne porte plus que les jarretelles. C’est incroyable mais je me trouve belle et épanouie. Je jette un coup d’oeil sur mon entrejambe, Pascal exagère! Ca fait un moment que je n’ai pas entretenu les poils de ma chatte, mais ce n’est pas une foret pour autant!

Je vais voir mon téléphone, il n’est que 6 heures du matin, j’ai plusieurs appels en absence et messages de Damien. Il me reste 4 heures avant de démarrer ma formation du jour alors je retire mes collants et par rejoindre mon premier amant sous la douche pour retrouver certaines sensations de la veille. Là aussi il m’a fait vibrer mais je crois que l’alchimie est réciproque puisque en me déposant à mon l’hôtel alors que je porte toujours ma robe rouge de la veille, Pascal m’annonce:
« Ce soir, je te laisse te reposer mais demain soir on dine chez moi! »

Nous nous embrassons tendrement et je le quitte mais seulement pour quelques heures. Une fois que je me suis déshabillé mais surtout sûre que Damien n’est pas libre je lui laisse un message:
« Bonjour mon chéri. Hier je suis rentrée tard et me suis couchée immédiatement. On se parle ce soir. Je t’aime »

Je n’arrive même pas à culpabiliser car je l’aime vraiment même si j’ai adoré me faire sodomiser par Pascal. J’ai hâte de les revoir tous les deux. C’est quand même la faute de mon mari, il n’avait qu’à ne pas me parler tout le temps d’autres hommes!
Maintenant il ne me reste plus qu’à trouver quand et comment lui en parler mais d’abord je vais profiter de ma prochaine soirée avec Pascal…