Futa Fantasy : Les Préliminaires D'Une Quête

L'histoire qui va vous êtes racontée ici se passe dans un monde de magie. Ce monde s'appelle Quouallac Dans ce monde cohabitent plusieurs races telles que les humains, les elfs, les nains, les gobelins ou les orcs pour ne citer les plus courants.
Mais il faut avant d'attaquer cette histoire savoir une chose importante.

Il a fort longtemps, des mages à l'inspiration lubrique avaient en tête de jeter un sort puissant. Ce sort avait pour objectif de rendre toutes les créatures femmes humanoïdes (comme les elfs, les orcs, les démones ou même les golems) très belles. Ce qui signifiait qu'elles avaient des ventres plats, des fesses bien arrondies, de fine jambe et des poitrines très largues.

Ce sort réussit son œuvre mais il avait un effet secondaire, il fit pousser entre les jambes des femelles une chose qui n'est utile que pour les hommes, en clair elles avaient toutes un organe masculin.

Étaient-elles devenues homme pour autant ?

Non.Elles sont devenues de délicieuses hermaphrodites vues elles avaient encore leur vagin fonctionnel (elles avaient aussi des testicules mais ces derniers étaient dans leur corps et donc impropres à la fécondation, ce qui ne pouvait pas dire pour autant qu'elles ne pouvaient pas tomber enceintes).
Ceci dit voici le début de notre histoire Dans un village isolé vivait un jeune forgeron se prénommant Jonnassas.

Jonnassas était jeune, environ 17 ans et encore puceau. Bien que les jeunes filles de son village sont très belles et véloces au niveau de la sexualité, il n'a pas pu faire le premier pas.

Pourtant ce n'étaient pas les occasions qui manquaient La première fois qu'il a fait perdre sa virginité était un matin de la saison des neiges.

Une jeune paysanne du nom de Genille s'était invitée chef lui, elle avait des cheveux blonds en tresse et portait une robe maintenant ses lourds seins en valeur.

Rien ne quand la voyant Jonnassas eut une érection.

Quand elle se mit à nu, il n'a pu retenir son éjaculation. Au bout du compte, la pauvre, énervée, se finit son travail en branlant son gros manche et en touchant sa verge.


Il avait aussi une autre situation où au détour d'un chemin, il entendit du bruit. La curiosité l'emportant, il alla voir ce qui se trama.

Il vit alors une bande de jeunes femmes qui profitaient de leur corps pour se donner du plaisir à tout-va. Envoûté par la vision paradisiaque, il se mit à se masturber. Cette vision de plusieurs pairs de gros seins se tripotant et jouant avec des pénis très dure lui mit une forme montée de sang dans son appareil génital.

Quand l'une d'entre elles prit sa partenaire en levrette, la vision lui fit branler son pénis de plus en plus fort. Mais c'est au moment du grand mélange orgie-talle qui ne put retenir sa semence.
À la fin, il sait branler tant de fois que son gland fut rouge de douleur.


En ce matin de saison du renouveau, il se morfondra dans ses pensées rêvant de belles créatures aux formes généreuses ouvrant leur porte du paradis pour lui.
Il commençait à avoir une réaction due à sa pensée.

Un peu, plus tard, il entendit frapper à sa porte, il ouvrit donc et fut frappé par la vision angélique qui lui était offerte.

Une femme, environ vingt et trente ans, à la chevelure rousse, ondulante et longue et aux yeux vert émeraude, se tenait à son entrée.
Notre forgeron remarqua son accoutrement et en déduisit qu'elle devait être une guerrière ou une chevalière ou un truc de ce genre.

Car notre inconnue rousse portait une armure rouge ornée de motifs or qui lui mit son corps en avant. Ornée de peintures rouge et or, elle lui couvrit en somme les bras en se terminant aux épaules par deux largues épaulettes, les jambes jusqu'à la moitié des cuisses, notant au passage les talons haut qui lui affinait la silhouette.

Et pour le reste du corps, c'était assez minimal, juste un soutien-gorge métallique de petite taille comparé à ses énormes seins et un cache-sexe donc la composition de résumé à deux bouts de tissu attaché par une chaîne au niveau de la taille (il faut noter sur ce dernier élément que rien d'autre reliait les bouts de tissu, ce qui veut dire que sous ce cache-sexe, elle avait ses organes génitaux à l'air libre).
Mais il faut dire que ce genre d'accoutrement était assez répandu dans le continent aux mille montagnes, la partie basse et la partie haute formée une sorte de bouclier assez dense mais invisible pour mieux montrer les formes de leurs porteuses.

Après quelque temps secondes la femme prit la parole, de manière très provocante.

-Bonjour forgerons ! Pourrais-tu me réparer mon épée ? elle a quelques fissures ! je t'en serais grès !

-Bon ... bonjour ! vous ... vous voulez que je m'occupe de vous ? HEU ! je veux dire de votre épée !

La femme eut un rire étouffé.

-J'ai impression que je te fais de l'effet !

-Heu ... oui. Je veux dire non ! enfin heu ...

-Bon je te laisse travailler et si tu as fait du bon boulot, t'auras droit à une récompense

Elle partit donc, laissant ce pauvre Jonnassas seul, avec l'épée.
Il commença à l'imaginer dans le plus simple appareil, tout nu, ses seins massifs ballottant à l'air libre.

Rien quand n'y pensant, il eut la bosse dans son pantalon.

Puis il l'imagina à genoux, le dos penché en avant et la tête au niveau du sol, écartant sa vulve pour faire signe qu'elle désirait une pénétration vaginale.

Là il commença à se masturber.

Ensuite il imagina en train de lui enfoncer son engin dans sa vulve, dans son délire elle se retourna, montrant fièrement sa poitrine charnue mais aussi son pénis bien dressé vers lui, remuant son corps divin au rythme de l'accouplement

Alors qu'il commençait à imaginer lui toucher ses gros fruits bien mûrs, il ne put retenir son sperme plus longtemps "et merde ! " se dit-il en regardant sa quéquette dégonflée "Bon ! il a plus qu'à se remettre au boulot" ne se dit-il dégoûté.

Elle partit donc, laissant ce pauvre Jonnassas seul, avec l'épée.


Il répara donc l'épée, ce qui lui prit environ une heure, il lui restait plus qu'à attendre.

Il recommença donc à penser à sa cliente nue, en pleine érection et ses lèvres vaginales gonflées, plus cette vision lui monter dans le cerveau, plus il avait du mal à ne pas éjaculer de nouveau.

Ses pensées deviennent de plus en plus focalisées sur la poitrine ainsi qu'au niveau du vagin qui dans son délire se baissa sur un champignon. Champignon qui n'était nul autre que son engin gonflé à bloc.

Au moment où dans sa propre rêverie son pénis et la vulve de sa partenaire imaginaire fusionnèrent, il jouit.

-Bon sang ! ce n'est pas vrai ! à chaque fois, ça sort trop tôt ! je n'arriverais jamais à niquer si je ne contrôle pas mon excitation!

-Ça on peut le dire !

-Oui je sais ... mais qui a dit ça ?!

Il se retourna et vit la femme en armure rousse qui le regarda, une situation très embarrassante pour le jeune forgeron mais qui semblait amuser la jeune femme.

-Hé ben ! hé ben ! hé ben ! on a un cas de force majeure ! il est temps d'y remédier
-Heu ... qu'est-ce que vous voulez dire par là ?

La femme ne répondit pas à Jonnassas, au lieu de ça elle prit une sorte de collier miniature et le mit son pénis.

-Mais ... mais qu'est-ce vous faites ?

-Ha ça !

Elle sera le collier au niveau de l'engin du forgeron

-Une astuce qui va te permettre de ne pas tout vidanger avant d'entrer au paradis !

Jonnassas regarda son pénis, mit la laisse puis regarda la bonne femme qui enleva son haut, il put voir ses seins monstrueusement lourds devant lui.

Ses seins, en réel, sont mille fois plus provocants que dans ses fantasmes. Il sentait son engin se redresser fièrement.


Elle enleva son cache-sexe (même si c'était inutile) et dévoila toute son anatomie sexuelle, son pénis se dressa pour dévoiler son vagin ruisselant.
Ni une, ni deux, elle n'enfila le gros manche de notre forgeron dans sa caverne fécondable "J'y crois pas !" ce qui Jonnassas dans sa tête "là c'est pour de vrais ! ce n'est pas un délire dans la tête ! je baise une bombasse rousse super-excitante !".

L'étrange sensation qui ressentait était indescriptible comparer à ses éjaculations précoces, il sentait tout son attirail aspiré par l'utérus de sa partenaire.
Sa partenaire qui a ce qui peut voir prit prend son pied, elle se caressa ses seins volumineux.

-Tu veux les toucher .
-Que ... QUOI ? vrai... vraiment ?
-Bien sûr ! ils sont là pour ça !

Il empoigna donc ses deux gros nichons et les caressa avec frénésie

-Doucement ! si sont très sensibles !
-Heu ... désolé !


Il ralentit donc le rythme, la rouquine prit de plus en plus de plaisir par le massage de sa poitrine et commença à masturber son poireau.
Ces spasmes de plaisir se fit ressentir dans tout son corps et notre ami Jonnassas à prendre par les hanches commença à accélérer son mouvement.

Notre aventurière se mordilla les lèvres, elle avait une main sur son sexe d'homme et l'autre sur l'un de ses gros seins. Elle gémissait et laissa entendre des "hummmm", des "va-si", ou des "comme ça".

Ces gémissements augmentaient l'envie de tout envoyer chez Jonnassas mais l'étreint-l'empêchant d'éjaculer, il augmenta sons rythme.
Les mouvements furent de plus en plus rapides et notre guerrière était portée au paradis sexuel, on pouvait voir que son esprit était parti dans les méandres du plaisir vu que ses yeux se levèrent vers le ciel.

Elle ne se touchait plus rien, ni ses gigantesques seins qui se balancèrent librement, ni sa bite qui remua prête à exploser.
C'était comme si tout son être était focalisé sur la perverse sensation que lui donna le pénis de son partenaire. Plus le contact durait plus l'engin de notre jeune dépucelé brûlait de tout rendre.

-J'en ... je n'en peux plus ! je ... dois ... décharger !
-Ne t'inquiète ... ha ! pas ! on va ... HAAA ! jouir tous les deux !

C'est alors qu'elle détachera la ceinture qui retient le sperme du forgeron.
À la demi-seconde, notre ami Jonassas en envoilant tout son foutre dans l'utérus de sa partenaire qui sentant le liquide reproducteur lâcha elle aussi une bonne quantité de sperme

-Ho purée, c'était aussi magnifique que la petite cochonne que je viens de me faire tout à l'heure !
-De qui vous parlez ?
-Ho d'une paysanne en route que j'ai surprise en train de se polir ! on peut dire que nos orifices on était bien rempli !
-Et ben ! vous vous n'êtes pas ennuyé ! en tout merci ! je vais pouvoir enfin utiliser ma bite comme il faut
-Et on verra si cette fois tu n'éjaculeras pas avant de me la mettre !

Jonnassas se retourna et vit la belle et sexuelle Génille qui a dû se masturber en voilant notre couple compulsé au vu qu'elle avait ses seins à l'air libre et sa robe remontée pour faire apparaître son intimité sexuelle.
Sans conter que son pénis semblait avoir vidé une bonne quantité de jus gluants.

-Gé ... Génille ?
-Vous vous connaissez .
-Un peu qu'on se connaît ! il n'a pas réussi à tenir deux secondes avant de tout lâcher !
-C'était un accident !
-Alors on va voir si là tu peux tenir !
-Surtout que là, je l'ai conditionné !
-QUOI ? Vous ... voulez le faire à trois ?

Comme réponse, Jonnassas vit ses deux créatures paradisiaques et bisexuées se jetaient sur son engin

Notre ami vit la vision que tout homme rêverait d'avoir, deux magnifiques poitrines collées l'un à l'autre et leur membre sécréteur entre. En voyant cela, il crut que sa tête explose.

Et ce n'était pas le rythme effréné de la masturbation mammaire qui arrangea le tout.
Il faut signaler aussi que nos deux hermaphrodites sexys ont mis dans leur étroite cavité vaginale une chose ressemblant fortement à un champignon.
AU bout d'un moment il envoya son jus -Et ben, on peut dire qu'il a tenu le coup là !

-Oui je pense qu'il est bon pour le niveau suivant
-Le ... le niveau suivant ?

Sans plus explication, notre inconnue aux cheveux de feu enfila de nouveau le manche de Jonnassas dans son petit vagin, puis Genille se mit sur lui pour mieux être prît par l'aventurière.
Jonassas put sentir la forte poitrine de sa paysanne sur son torse, il admira aussi le corps splendide de sa cliente et surtout ses deux melons très appétissants.
Il prit tellement de plaisir qu'il ne sentit pas le membre bien dressé de la blonde.

Plus le rythme accélérait plus sa cervelle se déconnecter pour ne plus se focaliser sur sa vision des seins présents devant lui et aussi des seins collés sur lui.
Il mit néanmoins ses mais sur les fesses des deux femmes (une main à chacune pour la de favoritisme) et les palpa vigoureusement.
Ses partenaires n'étaient pas en reste car leurs cris d'extase accumulée pour former une symphonie sur la jouissance.

Jouissance qui leur parvenu en même temps

-Ho la vache ! c'est tout vidé !
-Ben maintenant il faut te remplir !

Ni une, ni deux, notre fermière ses jeta sur la rouquine. Elle la pénétra sans forme de procès, ce qui lui causa pas de tracas, bien au contraire.
À cette simple vue, notre forgeron se remit à bander et en voyant cela, l'inconnue aux seins provocants prit le fessier de Génille et écarta le tout pour montrer le vagin ruisselant d'excitation ne demandant que quelque chose de dure ne le bouche pas.

En voyant cela, notre fécondateur du groupe mit son ustensile dans la partie intime de la blondinette, qui par la pénétration, poussa un cris de plaisir.
Tout en fécondant sa partenaire qui elle-même avait son engin occupé à titiller un organe féminin, il avança sa main pour se faufiler entre les gros accumulateurs de lait organique.

Cherchant les tétines pour plus de sensation Une fois trouvé il saisit un téton d'une partenaire avec doigtée, ce qui fit augmenté la cadence de prolifération.
Et au final il prit leur orgasme en stimulant Fatigés par cette magnifique expérience, ils se laissèrent tomber, les uns à coté des autres.
Mais notre guerrière se leva et commença à se revêtir

-Tu t'en vas déjà ?
-Oui, je dois aller au château de Girotte, il paraît qui s'est passé une chose épouvantable ! HA ! j'oubliais, je m'appelle Hélléna !


Fin de premier récital, la suite vous sera contée prochainement