Collection Zone Rouge. Mamy Sexe (1/2)
- Mes sincères condoléances Arlette.
- Merci.
- Mes condoléances madame Arlette.
- Vous avez perdu le meilleur des hommes.
Je pourrais leur répondre, mais je me contente dune poignée de main, à la limite dune accolade avec tapement dans le dos.
Il faut dire que jignore quelles sont ces personnes de notre quartier où jhabitais avec Raymond depuis notre mariage, ça change si souvent.
À la retraite depuis douze ans, nous nous étions refermés sur nous-mêmes, depuis que mon mari avait fait sa première crise cardiaque.
Il était ambulancier, jétais infirmière.
Cest bien sûr dans la clinique privée de notre ville de province que nous nous étions rencontrés.
Il amenait des patients que je prenais en charge.
Pour ma part jai fait toute ma carrière comme infirmière, débutante au début, toute fraîche sortie de lécole dinfirmières.
Jaurais pu essayer comme dautres de mes amies de me faire un médecin, mais cest ce grand couillon de Raymond qui a eu mon cur et mon corps.
Cétait un jour où jétais de garde de nuit quil a profité dun moment de calme pour me coincer dans la salle où je pouvais mallonger quelques minutes avant la tournée des chambres suivantes.
Il était lui aussi de service de nuit et mavait amené une qui se plaignait de maux de ventre.
Dans ce temps-là, jétais un peu, non, beaucoup salope.
Il marrivait même de craquer avec des patients.
Pardon, vous pourriez croire que je me tapais des personnes mourantes, non, cétaient des malades guéris de leur maladie à la clinique privée et devant sortir le lendemain.
La première fois, jétais de service avec Jennifer, elle avait une grosse journée le lendemain.
Elle avait rendez-vous avec un mec qui lui avait promis la bague au doigt et voulait se présenter dans sa meilleure forme car il était issu dune bonne famille de la ville.
Elle mavait fait la confidence que cétait le père qui lavait baisée dans son étude de notaire.
Il souhaitait pouvoir continuer à la sauter, sa femme refusant de frétiller du cul.
Il sétait arrangé pour lui faire rencontrer son fils, puceau notoire à 28 ans, elle qui en avait 22.
Depuis deux mois elle se partageait entre le père et le fils qui était fou amoureux de sa jolie infirmière blonde.
Jignore comment leur trio s'est terminé, un jour elle a démissionné car elle partait avec un troisième larron, l'étude notariée ayant du plomb dans lair.
Donc cette nuit-là, jétais rentrée dans la chambre dun dénommé Christian qui dormait les draps retirés, nous étions en été et à cette époque nos services étaient sans climatisation.
Javais déjà connu le loup dans mon école dinfirmières par lintermédiaire dun professeur qui venait nous apprendre comment piquer nos malades.
Cest moi qui me suis fait piquer mon pucelage, il est vrai qu'à presque dix-huit ans il commençait à me peser.
À cette époque, jétais assez chaude, mais me contentant de mes doigts et de mon stylo que jintroduisais dans mon vagin pour caresser mon clitoris et me faire jouir.
Bien sûr ce prof, comme pour lamant de Jennifer, était un homme marié et comme me faire passer la bague était loin de mon but, il ma servi simplement à môter cette putain de membrane.
Vite fais sur le gaz, et tout le temps des études, il me coinçait chaque fois quil le pouvait et me mettait sa bite.
Jétais tout de même un peu oie blanche dans ces années-là, car il a fallu que je connaisse Raymond pour savoir ce que jouir d'une bite bien placée voulait dire.
Ce prof était éjaculateur précoce.
Mais je maperçois que jai vécu des moments si intenses sous ma blouse, le cul à lair, que je mégare.
Je parlais du sieur Christian, beau brun de 25 ans, du moins cest sa date de naissance sur la plaquette au bout de son lit qui me le disait.
Il bandait comme un taureau, les burnes trop pleines, coincé ici depuis presque quinze jours.
Je me suis penchée et je lai pris en bouche, cétait la première fois que je faisais une fellation.
La première fois, mais pas la dernière !
Vous ignorez le nombre de mecs qui bandent le drap enlevé sachant que ça va être lheure de votre ronde.
Je pense aussi au nombre de verges que jai pu voir, des grosses, des petites comme celle qui mavait dépucelée.
Des noires, des brunes pâle, des jaunes, oui des asiatiques plus rares celles-là, bien que la clinique se trouvait près dun quartier où ils pullulaient.
On a toujours considéré quils avaient leur médecine et acceptaient de se mélanger avec nous quau bout du bout quand les choses avaient mal tournés.
Jen ai vu quand je leur rasais les couilles pour une intervention, mais aucune en position favorable pour me faire saillir.
Christian ma fait boire son sperme comme la plupart des garçons que jai pu sucer en terrain favorable.
Il y avait une certaine compétition entre infirmière pour savoir celle qui entrerait dans la chambre dun garçon dont nous savions que nous pourrions en tirer une certaine jouissance.
Ça a été le cas de Berthe, infirmière de 53 ans, qui sétait fait choper par un médecin de garde insomniaque qui lavait vu entrer dans la chambre dun garçon de 19 ans, sans en ressortir au bout dun temps raisonnable.
Il lavait attendue et lui aussi lavait sautée dans la pièce de repos.
Cétait la première fois quelle trompait son mari et cette nuit-là ayant flashé sur le jeune homme, elle avait réussi un doublé.
À partir de ce jour, ce cas sest renouvelé, jusquà sa retraite six ans plus tard, cétait la plus active de nous à se faire sauter.
Chaque fois que ce médecin était de garde, il traînait vers notre service.
Il aurait pu se faire de plus jeune dentre nous fraîchement sorties de lécole, mais il avait un gout prononcé pour les femmes dâge mûr.
Certaines disaient quil faisait un complexe dOedipe sans que nous nen ayons la preuve.
Et donc il y a eu Raymond, on peut dire quavec mon mari, javais trouvé un chaud lapin et comme jétais une folle du cul, nous étions faits pour nous entendre.
Rapidement notre couple s'est transformé par des soirées à trois ou à quatre.
Il ma entraîné dans le monde du libertinage.
Cest le soir de notre union quil a invité son témoin dans notre lit et cest là que pour la première fois, je me suis fait baiser en double pénétration.
Cétait ma première fois en anal, mais jai très vite pratiqué cet exercice me faisant prendre par le cul.
Vous voyez, je ne vous cache rien alors que je suis en train de pleurer sur lépaule de Justine, la première fille avec laquelle je me suis gouinée.
Elle était infirmière aussi et cétait Raymond qui avait vu et compris que le couple était échangiste.
Il les avait invités un samedi soir, jignorais que je pouvais embrasser une fille et lui lécher la chatte.
Cétait pourtant ce que nous avons fait ce soir-là, après avoir dansé un slow langoureux.
Elle se frottait la chatte contre la mienne et jai rapidement senti que je mouillais.
Pendant que nos hommes nous regardaient, sirotant un marc de Bourgogne dans nos fauteuils, elle ma dénudée tout en dansant.
Elle a attaqué mes seins qui se sont mis à bander, il faut dire que jétais déjà une liane à forte poitrine, 95 C, bien quà part mes amants qui les léchaient et les aspiraient, jignorais ce quallaiter voulait dire, nous avions décidé déviter de nous reproduire avec Raymond.
Nous avions trouvé un équilibre dans notre couple fait de plaisirs divers et variés avec des couples ou de simples mecs ou gonzesses que nous invitions pour des parties chaudes.
Il y a eu le premier coup darrêt il y a 10 ans, pour Raymond à 62 ans, première attaque jusquà ce dénouement il y a trois jours où je me retrouve habillée de noir à me frotter dans les bras de Justine.
Ce souvenir de ma vie sexuelle depuis mon adolescence réveille en moi des sensations que je croyais disparues, mais qui semblent simplement mises en sommeil.
Plusieurs amis veulent me raccompagner et rester avec moi ce soir.
Au fond de moi savais-je déjà ce que je vais faire ?
Il est 22 heures quand je sors de mon bain.
Jouvre larmoire où sont rangés les vêtements dont nous nous servions avec Raymond dans notre période club libertin.
- Bonsoir monsieur, conduisez-moi au « Mistik », vous connaissez ladresse ?
- Je conduis des clients les jeudis, vendredis et samedis, jen reviens, cétait un couple la jeune femme étant rousse.
Javais enfilé avec satisfaction ma guêpière, jai juste dû resserrer les lacets de deux centimètres, labnégation portée à mon mari ma fait un peu maigrir, affinant ma ligne déjà longiligne.
Dans ma glace, mes seins tenus par les balconnets retrouvent leur hauteur, ils sont comme soutenus, posés sur des plateaux.
Javais oublié la courbe de mes reins quand je mets mes bas attachés à mes jarretelles.
Le seul problème ce sont mes chaussures à talons, mon équilibre a diminué au fils des années.
Ensemble rouge, basse résille noire, et escarpins noirs.
Ces escarpins seront le lien avec Raymond, je les ai achetés pour aller avec ma robe de deuil pour la cérémonie de cette après-midi.
Je retrouve mon imper léger que je mettais pour éviter de montrer ma tenue et vers quel endroit je me rends en sortant de chez moi.
- Bonjour madame, que cherchez-vous ?
- Cest toujours gratuit pour les femmes les samedis !
- Attendez, je veux éviter de vous êtes désagréable, mais vous souhaitez entrer dans notre club libertin, vous savez ce qui s'y passe ?
- Je sais, les hommes et les femmes se mélangent !
- Tout à fait.
- Et mon âge vous interpelle, Marie est partie !
- Non, cest la patronne, elle a racheté le club.
- Appelez là, elle me connaissait bien quand elle était à votre place.
Vous lui ressemblez, est-ce votre mère ?
- Oui, non, entrez.
Je vais pouvoir retrouver lambiance davant la maladie de Raymond.
Jentre, le club est entièrement rénové, mais lambiance est la même.
Imper posé au vestiaire, jentre dans la grande salle du bar...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!