La Voisine Du Dessous.
Durant les jours qui suivirent notre pique-nique, je métais gavé le plus possible du corps de Brigitte ma voisine du bas.
Tout en feignant dêtre absorbé par une quelconque lecture, je lobservais alors quelle faisait le ménage à lentrée du hall comme devait le faire chaque locataire à son tour. Pas une seule fois elle avait parlé de son geste obscène lors du repas. Je mis cela sur le compte de lalcool.
Tout au moins, jadorais contempler son cul quand elle saccroupissait. Cétait un derrière animal plein et frémissant. Il emplissait le tissu de sa jupe dont je devinais le sillon qui séparait ses fesses. Je rêvais aussi de sa forêt pubienne. Que je devinais très fournie. Elle nétait pas du genre à sépiler.
Quand elle se penchait sur laspirateur, japercevais la naissance dun sein qui trop vite à mon goût allait se perdre parmi les dentelles noire du soutien gorge. Je profitais de ses instants pour me gaver de toutes les courbes et tous les replis de son corps pour pouvoir les retrouver lors de mes branlettes. Chaque nuit, donc je mabandonnais avec bonheur à ces plaisirs solitaires.
Bien vite sur ma marche javais perdu le fil de ma lecture et tout en faisant semblant de continuer, jadmirai le spectacle qui métait généreusement offert.
Sa croupe saillait sous sa jupe et ses seins tendaient le chandail. Ses habits la moulaient avec tant de précision quelle avait lair dêtre nue. Ses hanches pleine, son cul sagitaient en tous sens. Comprimé dans sa jupe, mon sexe commençait à prendre des proportions et une dureté impressionnantes.
Jéprouvais lenvie impérieuse de me branler. Là à quelques mètre delle, à labri de mon livre. Je me tripotais discrètement la verge. Je la sentais toute raide à travers du tissu. Jaurai voulu la sortir de son nid. Mais Brigitte continuait à passer laspirateur. Elle se plaça peu à peu de profil par rapport à ma place. De temps en temps elle me décocha un regard furtif.
Et jétais convaincu que la cochonne le soupçonner. Ses faits et gestes étaient là pour mon persuader. Ses mouvements se faisaient plus lents. Creusant ses reins davantage, faisant fléchir légèrement les jambes, ce qui eut pour effet de remonter sa jupe sur ses cuisses.
Je pouvais apercevoir le haut de ses bas, lattache de son porte-jarretelles et un triangle de chair blanche. Ses mains allaient et venaient le long du manche de laspirateur comme si elle le caressait.
La garce mallumait ! Alors je repris mon massage sur ma verge. Son exhibition mexcitait tant que je nallais pas tarder à décharger dans mon slip. Cest alors que la voisine madressa la parole :
- Si tu continu ainsi, tu vas tacher ton slip !
Je restais comme pétrifié de honte. Jétais loin de mattendre à cela. Rouge de confusion, je me levais tant que je pus. Fini le spectacle !
Je décidais daller faire un tour dans le quartier avant de revenir dans le hall pour finir ma lecture, avec le souhait quelle ny soit plus. Et mon vux se réalisa. Hormis le parfum du produit quelle avait utilisé pour le lessivage il ny avait plus de Brigitte.
Mais au lieu de reprendre ma lecture, je décidais de monter chez moi. Arrivé sur le palier de Brigitte la porte souvrit de volé.
-Tiens de retour ? Me lâchait-elle.
-Oui ! Ça sent bon !
-Merci ! Me répondait-elle.
Mais alors que je mapprêtais à grimper les marches, elle me retint par le bras dune main ferme et me déclara dun ton sans réplique :
-Tu vas baisser ton pantalon et ton slip.
Jétais sidéré par sa déclaration, et par la même occasion incapable du moindre geste. Sous mon silence, elle répéta alors sa demande, plus sèchement cette fois ci :
- Quattends-tu ? Je veux que tu te touches devant moi. Cela te gêne ?
-Non
non, pas plus que ça
-Tu ne métonnes pas là, répondit-elle en plaquant sa main sur ma braguette comme elle cétait permis de le faire lors du pique-nique.
Elle tâta ma verge. Toujours raide malgré lappréhension. Avec des gestes dinfirmières, elle ouvrait mon pantalon, quelle accompagna jusquà mes genoux.
- Baisse ton slip, veux-tu !
Je mexécutais, me retrouvant sur le palier avec le sexe à lair. Dune tirade elle mattira à lintérieur de chez elle.
- Branle-toi, à présent ! Mordonna-t-elle en refermant la porte.
Jétais incapable du moindre geste, alors elle me gifla, en répétant son ordre. Mes yeux se remplirent de larmes. Je ne sais pourquoi je me répugnais de me branler devant ma voisine. Mais lexcitation fut la plus forte, maidant à murer ma verge de mes doigts, et je commençais à jouer du poigné. Une lueur intéressée traversa le regard de la voisine.
Elle se saisit de son aspirateur, pour glisser le manche entre ses jambes et elle chevauchait lappareil. Sa jupe dans le mouvement se retroussa au ras de son cul, je pouvais dorénavant apercevoir quelques poils séchappaient de sa culotte blanche. Le spectacle était des plus saisissant.
Je me laissais envahir par lérotisme de la situation. À part la gifle, rien nétait déplaisant. De voir cette femme dont je rêvais depuis pas mal de jours se frotter la chatte contre laspirateur me faisait oublier lempreinte douloureuse de ses doigts sur ma joue. Lardeur de la voisine était communicative et je me branlais à présent sans plus de gêne.
- Allez, jute ! Envoie ta sauce ! Me lança-t-elle. En passant une main sur son corsage afin de caresser la pointe de ses seins.
Il men fallait pas plus pour atteindre la jouissance. Un jet de sperme alla sécraser sur sa cuisse gainée, alors que quatre ou cinq largages finirent leurs courses sur le parquet. Il nen fallait pas plus à Brigitte de sarrêter de danser et prenant la peine de retirer lembout rigide de laspirateur, elle sagenouilla entre mes jambes écartées. Lengin tournait toujours. Le tuyau à la main, elle se pencha sur ma verge. Elle approcha linstrument.
- Espèce de cochon. Tu as encore du sperme au bout de la queue. Je vais te montrer comment nettoyer ça !
Elle promena lembout en plastique dans mes poils. Dans un bruit de succion, jai vu disparaître mes poils dans le tuyau. Puis la voisine se saisit de ma verge pour lenfiler dans lembout. Je me sentis subitement aspiré et une partie de ma verge disparu dans le conduit. Je tentais tenté de me débattre, mais cétait cause perdu, surtout quavec sa main libre elle attrapa mes testicules et me les écrasa légèrement.
- Si tu bouge, je tarrache les couilles ! Menaça-t-elle. Cest pas si désagréable de se faire sucer la queue, non ? Je suis sûre que tu aimes déjà ça !
Je ne pris pas la peine à répondre à ça. Et dailleurs
pourquoi ! Elle faisait bien ce quelle avait envie de faire. Elle relâcha son étreinte et se mis à me peloter les couilles. Mon sexe qui avait débandé, retrouvait une belle raideur. Elle continua à me sucer avec laspi et à me caresser pendant quelques minutes, un sourire dominateur aux lèvres. Entre la crainte et le plaisir je ne savais que penser.
Enfin elle coupa le contact de lengin. Dun il sévère, elle mexamina ma queue en détail. Elle la souleva et la tourna dans tous les sens, avec désinvolte.
- Humm
je vois encore des traces de foutre. Je crois quil faut que je te nettoie mieux. Lâcha-t-elle.
Avec une expression vicieuse qui me fit craindre le pire. Elle me saisi la verge à pleine main, et ouvrit en grande sa bouche. Je crus sur le moment quelle allait me la manger. Mais elle sortit sa langue dentre ses lèvres, et tel un chat, se mit à laper ma verge à petits coups de langue. Pas la peine de vous précisez quel effet cette caresse à crée sur moi. Sa langue était chaude et agile et salivait sur tout la hampe. Quand elle arriva sur mon gland, elle lenglouti entre ses lèvres et une nouvelle fois, jeu peur.
Mais ses dents neurent fait que meffleurer et sa langue senroula autour de mon gland.
Les lèvres et la langue de Brigitte se promenèrent sur mon pubis. Puis elle se recula comme pour admirer son uvre. Mais lexpression de joie qui illuminait son visage pendant quelle me suçait à brusquement disparu. Elle fronça les sourcils et montra ma verge raide du doigt.
- Mais tu en as encore envie, mon cochon ! Il faut que je te vide complètement pour que tu puisse la mettre dans ton slip.
Elle magrippa le pénis et me la fourra de nouveau dans le tuyau de laspirateur quelle prit soin de remettre en fonction. Elle se trouvait à genoux à mes côtés, son visage à hauteur de mon nombril et ses gros seins appuyés sur ma cuisse. Dune main elle maintenait le tube dans le prolongement de mon sexe et de lautre, elle me força à écarter les cuisses. Ses doigts se refermèrent sur mes testicules quelle entreprit de peloter.
Lair chaud qui courait le long de ma verge me procurait de drôles de sensations et les doigts qui me malaxaient les couilles, mexcitaient. Sans réfléchir, je me mis à onduler. Ma verge allait et venait dans le tuyau. Je baisais laspirateur pour la plus grande joie de la voisine.
- Oui, vas-y ! Tu aimes ça mon salaud !
Elle me rendait fou cette salope, à faire nimporte quoi. Javais honte de ce que je faisais, mais cétait si bon que je magitais de plus en plus vite. Tout en gémissant. Elle me manipulait les couilles avec beaucoup plus de vigueur. Elle me força à bouger ainsi jusquà ce que je déchargeais en poussant un long grognement dextase. Je sentis mon sperme jaillir de ma verge, pour être aussitôt aspiré par lappareil. Ravis elle coupa le contact, et tira sur le tube pour libérer ma verge.
- Voyons à présent si tes couilles sont bien vides. Menvoya-t-elle en les tripotant dune main alors quelle me massait la hampe de lautre.
La vicieuse savait parfaitement ce quelle faisait. Son geste fit monter un reste de foutre et une goutte de sperme perla du méat.
- Tiens, il en reste une goutte !
Dun coup de langue, elle lapa ce restant de jouissance. Puis elle recommença à me presser les couilles et la hampe ensuite pour faire sortir de nouvelles gouttes de sperme quelle lécha aussitôt. Elle me trairait encore et me tétait ensuite. Bien quayant déjà joui par deux fois, je me suis remis à bander. À cet âge les ressources sont énormes.
- Tu triques encore ! À ton âge on est infatigable. Allez viens !
Elle me traîna jusquà son salon. Elle me fit masseoir sur le divan de velours. Elle mécarta les jambes et sagenouilla entre mes cuisses. Sa tête se trouvait à hauteur de ma verge. Une mèche de ses longs cheveux blonds, vint chatouiller lintérieur de mes cuisses. Avec lune de ses mains, elle empoigna ma queue et elle débuta un long mouvement de va-et-vient. La main libre se posa sur mon entrecuisse et ses ongles égratignèrent mes couilles.
Elle savait y faire et me branlait avec beaucoup de technique. Ses mains avaient rapidement su faire monter la pression dans mes couilles. Je mabandonnais entre ses mains. Je nétais plus quun sexe en rut. Nétant plus maître de moi-même, je tendis une main avec le souhait de lui peloter sa poitrine.
- On ne touche pas !
Ces quelques mots suffirent à me dissuader de rester sage. De son côté, elle ne se gêna pas de poser sa bouche sur le sommet de mon gland et tout en maintenant ma verge fermement dans sa main, elle lenfonça entre ses lèvres. Lorsque la moitié de la verge eut disparu dans sa bouche, elle se mit à me sucer avec ardeur. Sa langue enroulait autour de mon nud, elle agaçait mon méat dilaté.
Je voyais sur son visage le plaisir quelle prenait à me pomper. Sa main me branlait maintenant la base de la queue pendant que ses doigts me caressaient les couilles. Je sentais mon sperme grimper le long de ma verge. En connaisseuse elle le devina, et accéléra sa succion. Sa bouche et ses mains se déchaînèrent jusquà ce quune nouvelle décharge vienne lui inonder le palais, quelle aspira jusquau bout, me gardant dans sa bouche jusquà ce que je sois complètement ramolli.
Puis elle se redressa, pas mécontente de ses prouesses. Je pensais quelle allait me virer de chez elle. Mais ce ne fus pas le cas. Car la voisine était passablement excitée et elle avait bien lintention de se soulager à son tour.
- Avec tout ça tu mas fait mouiller. Me lança-t-elle en troussant sa jupe jusquau dessus du nombril et en sasseyant sur le parquet.
La coquine sétait séparée de sa culotte, mais pas de ses bas. Elle se tenait les jambes largement ouvertes devant moi. Je pouvais contempler cette chatte qui me faisait tant fantasmer. Sa toison épaisse était brillante comme la fourrure dun animal. Elle était séparée en deux par une fente béante et dégoulinante. Dont la couleur rose vif contrastait avec les poils. Les grandes lèvres étaient très épaisses. Larges et pigmentées. La voisine souvrait vicieusement la chatte et la raie. Ses doigts tiraient sur les lèvres de son sexe pour me permettre de voir toute son intimité.
Cette chatte était à potée de ma main. Jaurai donné nimporte quoi pour y fourrer mes doigts, mon nez, ma bouche ma langue. Je voulu mapprocher mais elle mordonna de ne pas bouger.
- Tu regardes et tu te branles si tu veux, mais cest tout !
Je ne comprenais pas pourquoi elle ne voulait pas de mes caresses. Puisquil ny avait rien dautre à faire. Je contemplais le spectacle.
Elle plaquait sa main sur sa chatte ouverte en deux et se barbouillait les grandes lèvres et le clitoris avec sa mouille. Elle poursuivit sa caresse jusquà sa raie et enduisit son anus par la même occasion. Ses doigts étaient luisants et elle en introduisit trois dans sa fente, quelle maintenait béante de son autre main. Elle se travaillait la moule pendant un moment, puis, comme si cela ne lui suffisait plus, elle sempara dune grosse bougie et la pointa vers sa tirelire.
Je croyais quelle ne pourrait jamais se lintroduire, vue le diamètre. Mais sa chatte devait en avoir vu dautres. Car elle se lenfila avec une aisance déconcertante. On aurait dit quelle lavait aspiré. Elle imprima un mouvement de va-et-vient à lengin qui rapidement se couvrait dune écume blanchâtre. Elle se lima le vagin dune main pendant que lautre, elle se triturait le clitoris. Celui-ci décapuchonné et en érection, émergeait des ses long poils, comme une petite fraise.
- Approche ! Me fit-elle. Mets-toi à califourchon au-dessus de ma tête. Le visage tourné vers ma chatte. Enfile-moi ta bite dans la bouche et remue-la pendant que je me branle.
Jenjambais sa figure et aussitôt, elle empoigna ma verge et lavala. Elle me pompa tout en continuant de se branler la fente avec le gode fictif. Elle plaça sa main libre sur mon cul et imprima à mon bassin un mouvement davant en arrière. Je me laissai guider et ma verge se branla entre ses lèvres. À chaque va-et-vient, mon gland frappait le fond de sa gorge et mes couilles venaient sécraser contre son front et son nez. Jétais en train de lui baiser la bouche, comme la bougie lui baisait le con.
Elle fut secouée par une série dorgasme qui paraissait de pas devoir finir. Elle se défonçait avec la bougie et se déchaînait sur ma verge. Elle me dévorait, me tétait à me faire mal. Javais limpression dêtre aspiré par sa bouche avec beaucoup plus de vigueur que tout à lheure par laspirateur. Mon gland senflammait et mes couilles étaient douloureux. Et ce fut avec soulagement que je me vidais. Enfin un orgasme sec.
Rassasiée de jouissance, Brigitte consentit à me libérer.
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