Table De Sapin 13

Quand ma femme est entrée dans la cuisine, nous étions avec Patricia en train de mettre la table.
- Ça sent bon ! Fut ses premières paroles.
- Nous l’avons cocoté avec amour… répondis-je. Alors que Patricia se mit à rire.
- Je vois ça. Répliqua-t-elle en soulevant le couvercle de la couscoussière. Bon je ne sais pas pour vous mais moi je vais me servir un kir.
- Un pour moi aussi fis-je.
- Tu en veux un Patricia ?
- Non je préfère un verre de soda. Pas d’alcool pour moi. Cela me fait perdre la tête.
- Je te laisse te servir. Répondit ma femme.
Pendant ce temps là, j’en es profité pour mettre le feu dans la cheminée. Cela faisait plus convivial.
Pas le temps de finir notre verre que déjà mes beaux-parents franchissaient le pas de la porte. Après le salut d’usage je me suis proposé de m’occuper de sortir les bagages de la voiture. Alors que je m’apprêtais de les emmener jusqu’à la chambre je fus rejoint par ma belle-mère. Qui prit la peine de fermer la porte avant de me sauter dessus. Me roulant un patin. J’en ai profité pour glisser ma main sous sa robe. Avant de la faufiler à l’intérieur de son collant. Comme souvent chez elle, elle ne portait pas de culotte. Mes doigts bougeaient à l’entrée de son vagin. Subjugué, elle écarta les cuisses comme pour mieux se laisser fouiller.
- Bon ! Ne nous attardons pas trop longtemps. Notre absence va faire jaser.
- Il faut à tout prix qu’on se voit dans la semaine.
- Tu es en manque.
- A ton avis ?
J’ai repris ma main pour la glisser sous mes narines.
- Ça sent bon ? Me fit-elle.
- J’ai l’impression de sentir du sperme. Répliquais-je.
- Mon cul !
- Il ne t’a pas baisé ?
- Laisse tomber ! Veux-tu.
Alors qu’elle prit le chemin des toilettes, moi je suis retourné dans la cuisine. Que fus ma surprise d’y trouver Isabelle, une collègue. Elle était accompagnée de son mari.


- Nous nous sommes rencontrer sur la route, fis mon beau père, comme pour justifier leur présence. Alors nous leur avons demandé de venir manger chez nous à la bonne franquette. J’ai bien fait Alain ?
- Mais vous êtes chez vous ! Plaisantais-je.
- On ne savait pas que vous nous aviez cocoté un couscous. « Et quel couscous ! » fis-je pour moi-même.
- Ça tombe bien. Fit ma belle-mère en faisant son entrée. J’ai une faim de loup.
Avant d’ajouter :
- Installez-vous, j’amène l’apéro.
Isabelle a profité que ma femme s’affaire de mettre deux couverts supplémentaires pour venir me saluer. Elle avait la quarantaine, se donnant du mal pour paraître ingénieuse dans le service. Rouquine, grande, opulente, les seins et les fesses ondoyant au rythme de ses pas. Elle se parfumait beaucoup, sans doute pour effacer l’odeur de transpiration qu‘elle traînait derrière elle.
Ce soir là, Isabelle s’était engoncée dans un tailleur, un peu court et étroit pour elle. Une habitude chez elle. Qui projeté à la vue de ceux qui désiré le voir un fessier évasée. Un peu modelé comme le fait une cannette d‘Orangina.
Hormis cela, elle était une chaude au lit. Et pourquoi je le savais ? Tout simplement parce que j’ai eu plusieurs fois l’occasion de m’en rendre compte.
Tout avait commencé il y avait quelques mois de ça. Elle était entrée dans mon bureau chargé de notes de services.
- Des notes pour toi. Je te les pose sur ton bureau ?
- Oui merci, répondis-je.
- Tiens j’ai ça aussi.
Elle me tendit un dossier avec un feuillet à l’intérieur.
- Il me faut la réponse tout de suite.
Je m’en suis saisi et je l’ai rapidement feuilleté. Isabelle s’est installée sur un des deux fauteuils réservés aux visiteurs. Elle a écarté les genoux. Le bas de sa jupe était remontée. Découvrant ses jambes jusqu’à l’aine, mais aussi son pubis sombre. Avec les lèvres mauves du sexe qui se détachaient distinctement au milieu.

- Ma chère Isabelle, tu as omis de te passer une culotte ce matin.
- Mais je n’en mets pas quand je suis au boulot. Lança-t-elle en découvrant la direction de mon regard. Il ne faut surtout pas te gêner.
- Tu n’as qu’à pas l’étaler.
Elle eut un rire cruel.
- Tu me juges comme étant une salope !
- Je n’ai jamais dis cela.
- Oui mais tu le penses tellement fort, que je l’ai entendu.
Elle a haussé les épaules. Puis elle a avancé ses fesses au bord du fauteuil. Elle a écarté largement le compas de ses jambes. Sa jupe s’est retroussée jusqu’à la taille. Son pubis s’est étiré pour laisser apparaître une blessure à vif. D’où suintait un filet de mouille.
- Et là ! Je ne fais pas salope ?
Elle est devenue toute rouge et sa respiration s’est accélérée.
Son attitude ajouté à son maquillage, j’avais de plus en plus la nette impression que sa vulgarité était trop ostentatoire pour être naturelle.
- Au fond tu as raison, je suis une salope et j’aime le faire paraître. Enfin, il faut que tu me donnes ta réponse au plus vite. Changeant de conversation.
- Oui, je sais. Tu me la déjà dis.
Me fixant avec un air taquin, elle se passa la langue sur ses lèvres tout en effleurant du doigt son clitoris.
Son sexe mouillait de plus en plus. De son autre main elle a caressé ses nymphes avant d’enfoncer son index dans son sexe.
- Mais dis-moi, Isabelle ! Je lis là… (Je lui désignais de l’index la ligne). Il faut que je lui rende compte dans la minute. Mais à ce que je sache le directeur est en congé en ce moment ?
- Oui… oui… c’est vrai ! Et alors ?
- Alors ça ne presse pas.
- Non ! Tu as raison, ça ne presse pas.
J’ai levé les yeux vers elle qui continuait à remuer son index dans son vagin. J’ai senti le feu me monter aux joues, et un émoi malsain envahir mon ventre. J’ai refermé le dossier et l’ai posé sur un coin de mon bureau.
- Tu sais combien nous sommes ce matin ? Me fit-elle
- Je ne sais pas.

- Trois… nous sommes trois.
- Il aurait mieux fait de fermer le service.
- Oui comme tu dis. Autrement dit, nous sommes tranquilles. Ajoutait-elle.
- Tranquilles ? Fis-je. Pour quoi faire ?
- Je ne sais pas, riposta-t-elle. Tu n’as pas une petite
Idée ? Elle haleta entre deux plaintes.
Cette petite garce m’excitait au plus haut point.
- J’en bien une. Répliquais-je.
- Ah oui ! Et je peux savoir laquelle ?
- La même que la tienne, cochonne.
- Ah bon !
Il m’en fallut pas plus pour me mettre dans des dispositions exceptionnelles.
- Euh, nous sommes au travail, articula-t-elle d’une voix rauque.
- Ah oui ! Alors qu’attends-tu pour sortir.
Comme elle n’en fit rien, je me suis levé et je me suis approché de la porte d‘entrée. Je me suis empressé de la verrouiller. À mon retour près d’elle, Isabelle se mordait les lèvres.
- Arrête, où je cris ! Rigola-t-elle.
J‘ai posé ma main sur sa nuque pour l’attirer à moi.
- Cris, qu’attends-tu ?
Elle n’en fit bien sûr rien. Elle s’est même laissé embrasser. Sa langue s’est activée dans ma bouche. C’était une nature, cette
Isabelle ! Elle m’a embrassé avec frénésie. Elle devait avoir un gros retard d’affection ! Pensais-je. Puis elle m’a échappé pour se mettre debout
- Tu pourrais peut-être passé ce soir à la maison. Fit-elle en se plaquant à moi. Se frottant contre mon ventre,
- Et qu’est-ce que tu fais de ton mari, ma cocotte ?
- Absent pour deux jours, répliqua-t-elle, en roucoulant lascivement.
- Alors, tu en dis quoi ?
- Je ne sais pas si j’aurais autant envie ce soir, qu’en ce moment.
- Bonne réponse. Répondit-elle en se penchant.
Elle a fourragé sous sa jupe. Quand ses mains réapparurent à la lumière du jour, elle entraînait avec elles une culotte rouge. Elle la fit rouler sur ses cuisses, la faisant tomber au plus le bas de ses talons.
Cette initiative, d’une impudeur troublante, me fit grimper un peu plus en flèche ma tension artérielle.
- Sais-tu cher collègue. M’envoya-t-elle coquettement. Que je suis toute nue sous jupe à présent ?
- Tu m’en vois ravis.
Pour mieux me convaincre, elle remonta sa jupe. Elle était si étroite qu'elle doit se contorsionner. Elle pouffa de rire en surprenant mon regard glissait sur sa toison fournie. Qu’une épaisse mouille bordée le contour de la fente. Je l’ai effleuré du bout du doigt. Puis j’ai caressé les chairs mauves, qui s’épaississaient à l’entrée du vagin. Je n’avais qu’une idée en tête, approfondir notre relation.
- Intéressant, fis-je d’une voix oppressée.
Il faisait bien chaud dans ce bureau à présent. Mon ventre s’embrasait au fil des minutes. J’ai regretté un instant d’avoir mis ce jean, si serré. Qui me faisait apparaître aux yeux da ma collègue, indécent !
Déjà, la coquine s’est empressée de glisser ses mains sous mon tee-shirt. Ses doigts m’ont électrisé. Un frisson m’a parcourait tout le corps. En moins longtemps qu’il me fallut pour l’écrire. Elle m’a fait passer mon seul vêtement par-dessus la tête. Me m’étant par la suite mon torse à nu, hormis mes poils. J’avais les tétons tout bandés. Elle a enfouit son visage dans mes poils. Ses lèvres s’y ont promené sans hâte, jusqu’au nombril, pour s’y attarder. Sa langue y a plongé, avec délices et s’est mise à tourbillonner lentement. J’ai tressaillis. J’ai gémis, presque inaudible. Sans cesser d’embrasser mon ventre, elle a cherché à tâtant ma ceinture. Qu’elle s’est empressée à déboucler. Ceci fait, elle a ouvert ma braguette. Avant d’y plonger sa mimine. Elle a trouvé à l’intérieur, la preuve indéniable que ses caresses ne me laissaient pas indifférentes. À travers le tissu de mon slip, elle a embrassé, elle a mordillé ma verge, avant de la gober. J’ai fixé la bouche qui montait et descendait le long de ma verge. Au bout d’un moment, elle a reculé, recrachant par la même occasion, mon pénis luisant de salive.
Elle a prit place de nouveau dans le fauteuil visiteur et elle m’a attiré à elle.
- Baise-moi. Me fit-elle d’une voix excitée.
- Pas tout de suite. J’ai besoin de te goûter avant.
- Fais comme bon te semble…
J’ai avancé mon visage à la hauteur de sa chatte. Je l’ai trouvé très épicée. Son odeur était très puissante. Une forte effluve d’urine s’en dégagée. Elle a ondulé du bassin.
Comme très souvent, cette odeur très forte me fit un effet fou. Au point de ne pas pouvoir résister à caler mes lèvres sur ce sexe dégoulinant de plaisir. J’ai dardé ma langue aux endroits sensibles. Elle a sursauté. Elle a tangué au rythme des lampées. Accrochant ses doigts à mes épaules.
En règle générale, c’est la seule performance dont je suis vraiment capable d’assumer jusqu’au sa jouissance.
D’ailleurs sous ma caresse buccale, ses petits cris de plaisir se sont transformés petit à petit en râles de plaisir. Je me suis affairé toujours plus à lui fouiller chaque recoin de son intimité. J’ai même pris l’initiative de poser chacune de ses jambes sur mes épaules pour pouvoir augmenter encore le rythme du cunnilingus que j’étais en train de lui prodiguer.
Après l’avoir mené au plaisir, elle a voulu profité de ma bandaison. S’embrochant sans plus attendre sur mon pieu de chair. Elle est allée et venue sur elle. Menant une danse débridée. S‘astiquant sans complexe jusqu’à extériorisé sa joie. Elle a continué, se déchainant sur ma poupée d‘amour. Coulissant toujours plus vite comme si elle était possédée. La sensation était des plus agréables. Comme si sa chatte était faite pour mon joujou. Comme si nous étions faits l’un pour l’autre.
J’ai jouis en elle. J‘ai jouis fort. Je dirai même très fort.
Mais revenant à ce couscous voulez-vous. Le beau père m’a placé à table entre ma femme et Isabelle. L’alcool avait ouvert les appétits et on s’empiffrait en silence.
Isabelle se délectait et suçait ses doigts après avoir séparait les os de mouton de la chair. Des bouteilles de rosé glacé circulaient autour de la table. Chaque convive remplissait son verre en s’interpellant très fort. Chacun disait d’énorme plaisanterie cochonne. Au fil de la soirée, la chaleur se faisait plus pesante. La cheminée en était sans doute la cause. La plupart des convives se mirent à l’aise. Isabelle avait les pommettes très rouges et les yeux brillants. Ma belle-mère ainsi que ma femme desservirent la table, avant de poser sur la table le café et les digestifs.
Les convives avaient trouvé le couscous excellent. J’ai eu une érection sous la table, rien qu’en songeant à Patricia et à ce qui c’était déroulé avant que ces légumes rejoignent la gamelle. Dont j’ai contemplé avec amusement. L’air digne et le visage sage.
Personne ne c’était rendu compte de quelque chose dans ceux qu’ils avaient mangé. J’ai ri intérieurement. C’est l’instant qu’avait choisi Isabelle pour se pencher au-dessus de la table, pour se saisir de la carafe de café. J’ai pu apercevoir au-dessus de sa jupe, un espace de peau laissé nu de tout vêtement. De même qu’étais visible un bout de son string. De couleur rouge. Me rendant compte de la liberté de mouvement, qu’avaient en dessous ses fesses nues sous sa jupe. Roulant sous l‘étoffe rêche. J’étais amoureux de son divin cul. Une pensée qui m’a desséché la bouche. Celle d‘y fourrer ma main. Pour ça, il fallait que j’attende le bon moment. Surtout que ma femme ne me quitter pas des yeux. Comme si elle s’attendait à quelque chose. Les femmes ont la faculté de deviner ses choses là.
Alors quand mon beau-père a proposé de visionner la VHS, concentrant les images de son séjour, j’ai sauté sur l’occasion.
-Et par dit que j’ai envie de la voir. Je n’osais pas vous le proposer.
- Et pourquoi donc ? Répliqua-t-il.
- Je ne sais pas. Par pure gêne.
Bien entendu il demanda mon aide pour mettre à bien le visionnage. Avant de reprendre ma place, je suis allé jusqu’à l’interrupteur pour éteindre la lumière.
- Tu fais quoi là ? Fit ma femme.
- Nous verrons mieux… non ?
- Oui. Approuva mon beau-père.
J’ai profité de la semi-obscurité pour plonger ma main entre les cuisses d’Isabelle. Me faufilant au plus près de son sexe. Pour venir à mon aide elle a écarté ses cuisses au maximum sous la table en sapin. J’ai pu glisser mon index dans son vagin et de ma paume je lui ai massé tendrement le clitoris. Elle fut très vite rattr par un orgasme. Jutant sur mon index. Le fait quand ne soit pas tout seul dans la pièce l’avait précipité dans son plaisir. Quand la lumière revint le méfait était digéré. Seule l’odeur sur ma main était là témoin qu’il s’était passé quelque chose…

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