Le Gang De Bikers Noirs 03
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Il y avait déjà quelques mois que Judith s'était faire refaire les seins sous les ordres du chef de gang. Elle adorait sa nouvelle poitrine. Au début, elle avait été déçue de l'engourdissement de ses seins. Mais au cours du temps, la cicatrisation se fit et elle recommença à avoir des sensations. Elle était heureuse du résultat.
Dans son ancienne vie, elle aurait fait scandale si elle avait eu une chirurgie mammaire. Ses amis de la paroisse auraient été horrifiés en la regardant. Mais ils ne savaient pas qu'elle avait changé un 90B pour un 90E et que sa langue et sa chatte étaient percées.
Mais sa transformation n'était pas que physique.
Pendant de nombreuses années Judith avait eu le fantasme d'être utilisée comme une chienne par de nombreux noirs. Elle avait été très discrète. Mais quand le gang des « Chevaliers noirs » l'avait possédé dans le petit restaurant au bord de la route, ses rêves étaient devenus réalité. Aujourd'hui, elle avait pris l'habitude d'avoir des grosses bites de blacks en elle. Elle satisfaisait la plupart des besoins des hommes du groupe, comme les autres femmes. Il était évident que non seulement elle appréciait mais qu'elle en avait besoin. Elle avait toujours été une femme qui aimait le sexe. Maintenant qu'elle avait découvert la queue noire, elle avait besoin d'être baisée tous les jours. Dans son ancienne vie, elle réussissait des escapades seulement deux ou trois fois par mois. Maintenant elle avait toutes les bites qu'elle voulait.
Hier soir, Rodney, le chef du gang l'avait appelé dans son bungalow pour lui dire qu'il avait de nouvelles perspectives pour elle et qu'ils devaient aller en ville pour qu'elle se constitue une nouvelle garde-robe.
Avec sa queue enfouie bien profond dans son cul, une main serrée sur ses cheveux roux il lui dit qu'elle allait bientôt devenir une prostituée à TULSA.
Le gang avait toujours besoin d'argent et l'utilisation de la chatte de Judith était un moyen d'en gagner. Alors que l'homme lui pilonnait durement le cul en lui expliquant son avenir, elle s'excita et jouis rapidement.
L'idée de devenir une pute pour Rodney et sa bande l'émoustilla si bien que son sexe resta toujours humide. Elle eut des nuits agitées si bien qu'elle fut reconnaissante quand ils partirent un matin pour la ville.
Elle ne savait pas ce qui la rendait si impatiente de commencer ce nouvel épisode dans sa vie avec le gang, mais elle savait qu'elle le voulait et elle tremblait à l'idée d'hommes payants Rodney pour la baiser.
A 8h00, ils arrivèrent en ville et s'arrêtèrent devant le bar local. Voulant déjeuner, ils s'assirent à une grande table ronde dans un coin. Ils étaient six avec Judith. Rodney vit son ami Steve, le tatoueur assis à une autre table. Ils se levèrent et s'étreignirent comme de vieux amis. Steve attrapa une chaise et s'assis à côté de Judith :
- Je vois que ta chienne a de nouveaux seins mon ami.
Il avait les yeux fixés sur la poitrine de la femme. Rodney ordonna :
- Montre tes seins à Steve, Salope.
Judith tira son débardeur au-dessus de ses seins et resta immobile pendant que les hommes la mataient. Depuis sa chirurgie, elle n'avait pas besoin de soutien-gorge pour soutenir sa poitrine.
- Touche comme ils sont bien fermes Steve.
Rodney sourit à son ami qui prit un sein dans chacune de ses mains. Il les serra puis joua avec les tétons jusqu'à ce qu'ils deviennent durs.
- C'est Doc BRADLEY qui a fait ça Rodney?
Steve posa la question tout en continuant de pincer et malaxer les nouveaux seins. Rodney hocha la tête en regardant. Judith aimait cette sensation d'être tripotée. Elle se souvint du jour où le tatoueur l'avait baisé après lui avoir percé la langue et les lèvres de sa chatte. Elle mouilla de plus en plus sous l'action des mains puissantes sur sa poitrine.
Rodney déclara :
- Ouais BRADLEY a fait du bon travail. Il sait exactement les seins que je veux pour mes chiennes. Après avoir acheté quelques vêtements, cette salope va nous gagner un peu d'argent avec sa chatte.
Puis il ajouta en direction de Judith :
- Suce sa bite Salope.
Elle ne demandait que ça. Elle se pencha et déboutonna le jean tandis que les grosses mains continuaient de s'acharner sur ses nichons. Elle était si heureuse que la sensibilité revint dans ses mamelons. Alors qu'elle saisit la grosse bite pour la sortir du caleçon, Steve poussa sa tête vers le bas.
Ses lèvres s'enroulèrent autour du gland, puis s'abaissèrent pour enfourner la queue dans sa bouche. Sa main masturba le bas du membre pendant qu'elle le suçait.
Judith était tellement excitée que ça ne la dérangeait pas de faire une fellation à 8h30 du matin dans un bar bondé.
Elle gémit et grogna tout en suçant l'homme. La queue de Steve était maintenant bien raide. Elle sentit qu'il tirait son débardeur pour lui passer par-dessus les épaules. Ensuite il la souleva par les hanches pour la déposer directement sur sa bite. Et il poussa sur ses épaules pour qu'elle s'empale complétement. Un gémissement s'échappa et elle laissa tomber sa tête sur son épaule puis se mit à bouger des hanches.
Steve tira sa tête en arrière et commença à sucer ses seins. Il passa de l'un à l'autre tandis que Judith rebondissait sur lui.
Prise de frénésie sexuelle, elle sut qu'elle était prête à jouir. Quand le tatoueur lui mordit un mamelon, elle explosa dans un hurlement. Et elle sentit que l'homme allait lui aussi jouir. Alors elle réclama :
- Oui Bébé, remplis ma chatte. Vide-toi complétement en moi.
Echauffé, Steve éjacula dans son vagin. Il fut étonné que malgré le nombre de fois qu'elle était baisée, elle soit encore prête à plus. Non seulement elle était prête mais elle en demandait de plus en plus.
Depuis les quelques mois où elle était « captive » du gang, Judith était devenue ce qu'elle désirait au plus profond de son esprit. Maintenant, elle se sentait vivante et excitée, réclamant du sexe.
Quand Steve eut fini de remplir sa chatte, il la poussa vers le bas, à genoux sous la table. Elle savait ce qu'elle devait faire. Elle suça son gland pour le nettoyer, avalant chaque goutte de sperme dégoulinant.
Enfin, le tatoueur rangea son engin, se leva et retourna à sa table puis il dit :
- Je dois te dire, Rodney, que cette salope baisera n'importe qui. Elle va te faire gagner beaucoup d'argent.
Steve sirota son café, détendu après le moment qu'il venait de passer. Rodney lui sourit et demanda à son groupe de finir leurs boissons afin qu'ils puissent trouver la nouvelle garde-robe de Judith. Elle en aurait besoin à TULSA. En sortant le chef de gang déclara :
- Je la ramènerai peut-être pour un tatouage.
- Pas de problème, elle pourra me payer avec son cul, si cela te convient. Demanda Steve
- Ok mon ami. Répondit Rodney avant de claquer la porte du bar derrière lui.
Le groupe alla dans une boutique haut de gamme où l'on pouvait trouver un grand assortiment de lingeries, robes et talons aiguilles. Rodney laissa Judith errer à travers les rayons et choisir des tenues mais elle devait lui demander son approbation à chaque vêtement retenu. Elle comprit très vite qu'il voulait la voir en haut talons avec bas et jarretière, avec des robes ou jupes très courtes, soutien-gorge et chemisiers devant être révélateurs.
Du coup, Judith réalisa que ces vêtements étaient de trop bonne qualité pour faire le trottoir. Elle réalisa qu'elle ne serait pas une simple pute de quartier avec des clients ordinaires. Rodney allait surement présélectionner sa clientèle.
Elle ne savait pas si elle était contente ou non. Elle aimait la façon dont elle était utilisée sur le camp.
Mais c'est Rodney qui commandait et il voulait gagner de l'argent. Des clients plus classe paieraient plus cher, Judith n'avait rien à dire.
Après deux heures dans le magasin, ils avaient fini de choisir. Laissant les vêtements qui seraient livrés plus tard, le petit groupe de bikers enfourcha les motos. Judith sauta derrière Rodney et ils partirent pour leur campement.
Après y être arrivé, Rodney retourna directement dans son bungalow, laissant Judith sur place.
Elle décida de retourner dans son propre logement, mais alors qu'elle se déplaçait, deux motards sortirent de leur caravane et lui demandèrent de venir avec eux. Ils la tirèrent par les cheveux puis la jetèrent dans le salon. Les hommes s'assirent dans des chaises longues, allumèrent la musique et demandèrent à la femme de faire un strip-tease.
- Rodney te réserve une place de danseuse dans son bar topless à TULSA. Alors Salope, montre-nous comment tu bouges ton gros cul sexy!
Judith fut instantanément excitée à l'idée d'une danse et d'un strip-tease devant une foule d'hommes dans un bar. Elle commença à bouger ses hanches en frottant son corps avec ses mains. Elles se déplacèrent sur ses bras et ses épaules puis descendirent sur ses gros seins, son ventre et son entrejambe. Elle tourna le dos aux motards et se pencha en avant. Lentement, son cul fut exposé. Puis elle défit sa jupe, se releva et la laissa lentement glisser le long de ses jambes jusqu'au sol.
Judith était en string et en bottes à talons hauts. Elle bougeait son cul au rythme de la musique. Soudain elle sentit des mains sur ses hanches et une bite raide appuyer sur les lèvres humides de sa chatte et la pénétrer profondément. Elle se plia en deux tout en enlevant sa brassière, la laissant tomber sur le sol.
La prise sur ses hanches était ferme tandis que l'homme la baisait avec de grands mouvements d'avant en arrière.
Puis il se retira et gifla le gros cul avant de la pénétrer à nouveau. Le bruit de la claque résonna dans le bungalow.
Comme d'habitude, ce traitement amena la femme au bord de l'orgasme. Elle supplia :
- Oui OUI Merci. J'aime être traitée ainsi. Plus fort s'il vous plait....
Judith sentit sa tête saisie par deux mains. Et quand elle la tourna, une verge appuya sur ses lèvres avant de pénétrer sa bouche.
- Suce-moi Putain. Dit le black.
Judith avala le gros membre noir et commença à utiliser sa langue et ses lèvres pour obtenir une plus grosse érection. Le sexe dans sa chatte allait bientôt la faire jouir et elle voulait goûter au sperme de l'autre en même temps.
Des spasmes commencèrent à traverser sa chatte. Son cri fut étouffé par le sexe dans sa bouche mais les hommes l'entendirent. Ils se joignirent à son orgasme. Du sperme inonda son vagin alors qu'elle bougeait son cul en phase avec chaque coup de boutoirs de l'homme.
Le sexe dans sa bouche était au plus profond lorsqu'il se vida. Elle avala aussi vite qu'elle le pouvait.
Pendant que Judith reprit son souffle, l'un des motards lui expliqua son avenir :
- Demain tu vas à TULSA. Tu séjourneras dans une suite à l'hôtel Ambassador sur la rue principale. C'est un bon établissement pour rencontrer des hommes d'affaire assez riches. Les soirs où tu n'auras pas de rendez-vous, tu danseras au CLOUD sur la troisième rue. Sois prête à partir demain à 7h00.
L'homme lui jeta ses vêtements et la poussa hors du bungalow.
---------
Il s'était passé deux semaines depuis que Judith était arrivée à TULSA. Ce fut un défilé constant d'hommes en costumes de marque dans sa chambre d'hôtel. Certaines nuits, il n'y en avait qu'un ou deux, mais d'autres, elle était le centre d'attention de plusieurs hommes à la fois.
Durant ces deux semaines, elle dansa au CLOUD environ trois fois par semaine. A ces moments-là, elle fut excitée de montrer son corps en public, de danser sur les tables ou de danser en privé. Mais la direction de l'établissement lui avait dit qu'elle ne pouvait aller plus loin que se laisser légèrement toucher ou caresser. Elle ne pouvait sucer ou baiser personne.
Alors elle dansait et quand personne ne regardait, elle glissait sa main vers sa chatte pour se caresser. Mais ce n'était pas suffisant pour qu'elle jouisse.
Contrairement à la plupart des prostitués ou des danseuses, Judith était là pour le sexe et non pour l'argent. De toute façon, elle ne gardait rien de ce qu'elle gagnait, c'était envoyé tous les jours à Rodney au camp des bikers.
Même s'il ne se passait pas un jour sans qu'elle fut baisée dans sa chambre d'hôtel, la plupart des hommes n'étaient pas assez endurants ou n'avaient pas de grosses queues pour la faire jouir. Par contre, lorsqu'elle devait divertir plusieurs hommes à la fois, elle obtenait assez de bite pour satisfaire ses besoins ce jour-là.
Mais il lui manquait les grosses bites noires du gang des bikers. Elle en avait pris l'habitude ainsi que du traitement violent qui augmentait son excitation. Les hommes qui payaient pour ses services étaient généralement respectueux, polis et sexuellement ennuyeux. Elle aimait être traitée comme une chienne, utilisée brusquement et jetée quand c'était fini.
Les nombreux gang-bangs qu'elle avait subis l'avaient pleinement satisfaite car les hommes avaient rapidement compris qu'elle voulait être traitée avec rudesse.
Ce soir, Judith devait divertir un homme d'affaire en visite à TULSA. Pendant qu'elle se déshabillait, elle espérait que l'homme saurait la satisfaire mais il était probable qu'elle serait encore déçue et frustrée. Il allait arriver dans sa chambre dans une heure.
Pour assurer la sécurité de Judith, elle avait une suite au dernier étage de l'hôtel. Cela signifiait que toute personne désirant la voir devait posséder une clé d'ascenseur spéciale pour se rendre à son étage.
L'arrangement était toujours le même. Rodney laissait une enveloppe à la réception pour le client. Elle contenait la clé d'ascenseur et le numéro de chambre. Les hommes ne sachant pas qu'elle habitait là à demeure, ne pouvaient pas revenir à l'improviste.
Cette arrangement était profitable à l'hôtel qui évitait les troubles et à Rodney qui était sûr d'être toujours payé.
Après le bain et après avoir séché ses cheveux, Judith alla dans le dressing se choisir une tenue. Comme Rodney lui avait demandé de couper et teindre en blond ses cheveux, elle décida que le noir lui allait bien.
Elle choisit un string en dentelle, un soutien-gorge noir ainsi qu'un porte jarretelle avec des bas noirs. Montée sur des talons noirs de 10 centimètres, elle avait l'air d'un modèle.
Ensuite elle enfila un chemisier en soie blanche qu'elle boutonna jusqu'au milieu de son décolleté imposant. Elle entra dans avec une mini-jupe rouge qui couvrait à peine ses fesses.
Enfin, elle finit avec une veste rouge coordonnée.
Elle ressemblait maintenant à un mélange de femme d'affaire et de femme qui aimait montrer ses attributs.
Fermant sa chambre privée, elle traversa le salon pour ouvrir la double porte de la deuxième chambre qu'elle appelait la chambre «business». Elle baissa les lumières et mit un peu de musique. Elle regarda tout autour pour s'assurer de l'atmosphère. La lumière tamisée donnait une ambiance sexy. L'éclairage était vraiment faible mais il était loin d'être sombre.
Alors qu'elle finissait de préparer la pièce, elle entendit un léger coup sur la porte. Elle demanda à la personne d'entrer. Un homme très bien habillé pénétra dans la suite. Alors qu'il se déplaçait lentement vers elle, elle dit :
- Bonjour, je suis Danielle et je vous appellerai Jack. Voulez-vous un verre Jack?
Rodney lui avait conseillé d'utiliser un faux nom et elle aimait bien « Danielle ». Elle utilisait un autre nom pour danser au CLOUD.
Jack, pas loin, demanda :
- Il est agréable de vous rencontrer. Je veux bien un scotch si vous avez.
Judith alla au bar et lui versa du Johnnie Walker Red sur de la glace. Elle se retourna et lui tendit le verre. Il comprit qu'elle voulait qu'il avance alors il finit de parcourir le peu de distance qui les séparait. Alors qu'il commençait à boire, Judith ôta lentement sa veste rouge et commença à déboutonner son chemisier.
- Profitez de votre boisson ainsi que du spectacle. Dit-elle avec un léger sourire.
Elle enleva son chemisier et le jeta à côté de la veste. Jack vit la grosse poitrine déborder du soutien-gorge ainsi que les mamelons durcir sous le fin tissu. Il tendit la main, effleurant la chair exposée. Mais la femme sourit et se déplaça légèrement hors de portée.
- Pour le moment, regardez et profitez. Vous pourrez bientôt toucher autant que vous voudrez.
Judith aimait jouer la pute sexy. Cela l'excitait, elle mouillait déjà.
Ses mains se déplacèrent vers la fermeture éclair latérale de la jupe rouge. Elle la descendit lentement. Puis elle secoua ses hanches sensuellement pour faire tomber le vêtement sur ses chevilles. Elle poussa la jupe de côté, restant en lingerie noire et talons aiguilles. Elle vit le piquet de tente dans le pantalon de jack. Alors elle mit la main dessus, commençant à frotter le membre à travers le tissu.
- Est-ce que vous aimez ça? demanda-t-elle tout en descendant la braguette de l'homme.
Puis elle ajouta :
- Enlevez votre pantalon et laissez-moi jouer.
L'homme obéit, laissant son pantalon tomber à ses pieds.
Quand Judith prit la bite presque dure dans sa main, elle fut surprise de la bonne taille de l'engin. Alors que ses doigts enveloppaient le membre, elle sentit qu'elle mouillait encore plus, excitée par sa taille. Elle se dit que ce soir serait un des soirs où elle obtiendrait ce dont elle avait besoin.
- Vous avez une belle grosse bite Jack. Elle se sent bien dans ma main.
Elle caressa le membre de haut en bas. Et elle eut le plaisir de le voir augmenter de taille dans sa longueur et dans sa largeur.
- Très bien Danielle. Dit l'homme.
Il se dépouilla de sa chemise et de sa cravate et fut bientôt complétement nue devant la pute.
- Allez-vous asseoir dans ce joli fauteuil et détendez-vous.
En prononçant ces mots, Judith poussa son client vers le siège sans lâcher la queue raidie. Lorsqu'il s'assit, elle se mit à genoux entre ses jambes et descendit sa bouche vers son sexe. Ses lèvres se posèrent autour du gland et elle déplaça sa tête vers le bas engloutissant peu à peu la bite dans sa gorge. Lorsqu'elle remonta, sa main branla le sexe doucement. Elle plaça le piercing de sa langue directement sur la surface sensible de la queue.
- Oh putain, que c'est bon. Gémit l'homme.
Il regardait la tête blonde descendre et remonter de sa hampe tendue.
- Enlevez votre soutien-gorge que je puisse voir vos seins. Ordonna-t-il.
Judith utilisa sa main libre pour défaire l'attache et se tortilla pour faire tomber sur le sol le sous-vêtement. Les mains de l'homme saisirent les mamelons durcis pour les presser. Judith gémit tandis qu'il jouait avec les seins et les tétons. Elle accéléra sa fellation afin d'être récompensé d'une décharge de sperme. Mais son client voulait plus. Après quelques minutes, il la tira par les épaules et dit :
- Levez-vous et amenez votre chatte sur ma bite.
Judith obéit, le voulant en elle. Elle se releva, enleva son string. Elle prit sa bite pour la positionner à l'entrée de son vagin et elle descendit ses hanches pour s'empaler complétement sur la queue.
- C'est ce que vous voulez Jack? Que Danielle baise votre grosse bite?
En disant cela, elle commença un mouvement ascendant et descendant des hanches. Jack attrapa ses cheveux blonds pour lui tirer la tête en arrière. Pour la première fois, ses yeux tombèrent sur le visage de la femme. Il hoqueta :
- Judith? Merde! Judith arrêtez! Où étiez-vous? Tout le monde vous recherche depuis des mois.
Jack était abasourdi. Judith fut surprise de ces mots et regarda de plus près l'homme. Il s'agissait de Jack Cutter, le président de l'association de sa paroisse. Il était sous elle, sa bite ancrée en elle. Dans la lumière tamisée, elle ne l'avait pas reconnu mais elle ne le connaissait pas tellement. C'était surtout un très bon ami de son mari.
- Je ne sais pas que dire Jack. S'il vous plait, ne dites rien à mon mari.
Elle le supplia. Et sentant encore la queue raide dans sa chatte, elle recommença à le baiser à nouveau.
- Stop Judith. Et descendez! Ce n'est pas bien.
Mais l'homme ne fit rien pour arrêter le mouvement des hanches de la femme sur son sexe.
- S'il vous plait Jack, je sais que voulez me baiser, je le sens en moi, je sens votre grosse bite. S'il vous plait Jack, je vous supplie de ne rien dire à personne.
Judith le supplia tout en bougeant son corps sur lui.
- Mon dieu, tu es une salope!
L'homme prit les hanches de la femme entre ses mains et accompagna le martèlement sur ses cuisses.
- Oui Jack, je suis une vraie salope. Je ferais tout ce que vous voudrez. Mais ne le dites à personne. Je vous baiserai tant que vous le voudrez.
- Je pourrais te baiser quand je le voudrais Salope? demanda-t-il.
- Oui Jack, tout ce que vous voulez. Je ferais tout ce que vous voulez. Vous ne paierez pas Jack. Vous pourrez toujours m'utiliser gratuitement. Mais s'il vous plait, gardez mon secret.
- D'accord Salope! je te baiserai quand je veux et je garderai ton secret. Montre-moi ce que tu sais faire.
Entendant cela, Judith accéléra le mouvement pour lui faire plaisir. Mais elle était proche de l'orgasme avec cette grosse queue.
- Merci Jack, Remplissez moi de votre semence, éjaculez dans votre salope. OOOHHHHH OUIIIII!
Elle haleta et commença à jouir. Elle sentit qu'il était prêt à exploser en elle donc elle continua à s'agiter sur lui.
- Ohhh putain...... Prend mon sperme Salope... Tiens....
L'homme rugit en éjaculant avec force dans le ventre de Judith, la remplissant de sperme bien chaud. Il convulsa sous elle. Ralentissant le mouvement de ses hanches, la femme lui tira jusqu'à la dernière goutte.
- Et bien salope, que c'était bon. Audrey ne m'a jamais donné autant de plaisir. Tu es une vraie salope.
Jack reprenait son souffle. Judith connaissait sa femme Audrey, une vraie bigote assidue aux messes, toujours habillée de façon stricte et puritaine. D'ailleurs, c'est peut-être ce que pensaient les gens d'elle avant.
Judith se redressa et recula tout en attrapant la queue, puis elle tomba à genoux à nouveau en face de lui et commença à le caresser.
- Est-ce qu'Audrey suce votre bite humide Jack? J'aime le goût du sperme mélangé à mon jus. Est-ce qu'Audrey vous suce pour que vous recommenciez à la baiser?
Judith prit la queue partiellement dégonflée dans sa bouche pour la nettoyer et essayer de la durcir de nouveau. Puis elle l'abandonna, leva ses yeux pour lui demander :
- Je veux que vous me sodomisiez Jack. Audrey vous laisse-t-elle utiliser son cul? Est-ce qu'elle vous supplie de la sodomiser?
Elle se remit à le sucer. Et tandis que son sexe revenait à la vie il répondit :
- Non elle ne l'a jamais fait. Mon dieu, je veux ton cul, je veux t'enculer Salope.
Judith se leva et tira Jack hors du fauteuil. Tournant lentement autour de lui, elle monta les genoux sur le fauteuil et baissa la tête. Ainsi elle exposait son cul devant l'homme qui le toucha et le massa.
- Mouillez votre bite Jack et prenez mon cul. N'ayez pas peur de me faire mal. Demanda-t-elle.
Il glissa sa bite sur les lèvres humides de la chatte, la frottant le long de la fente luisante avant de plonger profondément dans le vagin. Le membre de Jack finit de grossir à l'intérieur Judith. Excitée, celle-ci déplaça son cul en arrière en réclamant :
- Dans mon cul Jack! S'il vous plait, enculez-moi.
Soudain, Judith sentit sortir le membre de l'homme qui immédiatement appuya sur son petit trou serré. Jack n'attendit pas que l'anus s'habitue à la taille de son sexe, il força l'entré brutalement et pénétra le cul de la femme de toute la longueur de sa bite. Le cri de Judith fut étouffé par le tissu du fauteuil contre sa bouche. La douleur de la pénétration était cinglante mais elle avait envie d'être utilisée ainsi.
En commençant à pilonner le cul de la femme, Jack cria :
- Prends ça Salope!
Jack n'était plus doux ou gentil, il était le maître. Il était devenu un amant dominant et énergique. La façon dont il la sodomisa était celle d'un violeur qui ne se soucie pas de sa victime mais seulement de ses propres besoins.
Une fois de plus, Judith n'était pas loin de l'orgasme avec cette sodomie profonde et sauvage. Sa main avait glissé sur son clitoris pour le caresser.
- Allez Jack! Enculez votre putain, Remplissez son cul de votre semence!
Et elle jouit en criant. Jack continua à l'enculer de plus en plus fort et bientôt il éjacula en elle tandis qu'elle gémissait.
Puis l'emprise de jack sur les hanches de la femme disparut peu à peu jusqu'à ce qu'il tombe sur son dos. Ils restèrent quelques secondes dans cette position, le temps de récupérer de leur orgasme.
Enfin, Judith se dégagea, et avant que Jack ne réagisse, elle avait saisi sa bite pour la lécher, la nettoyer et la sucer. Elle le regarda et vit qu'il avait un grand sourire sur son visage. Il dit :
- Maintenant, ton cul est à moi quand je le veux.
A suivre...
************************************************
Traduit avec l'aimable autorisation de l'auteur Loansum
N'hésitez pas à commenter.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!