Collection Black. Black And Black. Quand ? (1/7)
Aujourdhui jai vingt ans et je suis encore vierge.
Limage que me montre ma glace est pourtant élogieuse pour moi, je suis blonde aux yeux bleus avec un corps taillé pour lamour.
Mes études sont à la base de cette virginité.
Je refuse tout moment de plaisir qui pourrait nuire à mon but.
Je suis en troisième année de fac, je suis des études pour devenir notaire afin de succéder à mon père qui a créé une officine.
Elle fonctionne bien, non loin de la cathédrale dArras.
Chaque fois quil me voit, il me ressasse la même phrase.
- Sylvie souviens toi que lon na rien sans rien dans la vie, seul le travail est source de plaisir.
Je lai toujours cru jusquà mon dernier séjour chez mes parents.
Jai appris de la bouche de ma mère que trop cest trop, amasser du pognon sans jamais le dépenser, en un mot être radin, est tellement frustrant.
Elle a décidé de partir à Agde dans la villa de son amant !
Elle a découvert cet endroit lété dernier, alors quils étaient à la plage, mon père passait son temps à faire les cent pas sur la promenade, le téléphone collé à loreille, à donner des ordres à son adjoint resté dans le Nord.
Ils étaient à lhôtel où il avait accepté de venir pour la première fois.
Il avait mis une limite, seulement pour quatre jours, après quelle leut exhorté à prendre des vacances.
Il était tellement casanier que son inactivité entraînait une obésité précoce qui risquait de se terminer par un bel infarctus.
Son amant sappelle Robert, il est agent immobilier dans cette ville et lui aussi sait amasser du pognon, mais en bon célibataire aime à le dépenser.
Elle ma expliqué que tout a craqué en elle quand ce bel homme, bronzant près delle sur une plage textile, lui avait parlé.
Rapidement elle sétait aperçue que cétait elle son centre dintérêt alors que depuis quelle était mariée, pour papa, cétait son pognon, toujours son pognon.
Elle sétait sentie redevenue femme, elle avait répondu à ses questions au point de se lever, prendre ses affaires, laissant les serviettes et de le suivre chez lui où il a fait delle sa maîtresse, mais surtout une femme comblée.
Jétais gênée, quand elle ma fait la confidence que mon père lui faisait lamour comme un lapin en bon éjaculateur précoce depuis quils sétaient connus et quelle ignorait ce que jouir voulait dire.
Vingt-trois ans de mariage, vingt-trois ans de frustration.
Malgré ses trente-neuf ans, je suis née quand maman a eu seize ans.
Au fil du temps elle a pris conscience que son corps ne lui a servi quà se vider les couilles, se fichant complètement de sa partenaire.
La phrase peut paraître crue, mais cest par ces mots quelle ma fait comprendre ce quavait été sa vie.
Vingt-trois ans de trop, alors quant au troisième jour de ses amours adultérins, une nouvelle fois Robert la fait monter au rideau et lui a demandé de venir vivre avec lui, tout en elle a craqué.
Chaque fois, ils retournaient sagement sur leurs serviettes en passant par leau, chacun de son côté, faisant croire à mon cocu de père quelle revenait de la mer.
Maman a toujours eu des cheveux bien coiffés en chignon.
Trop accaparé par ce quil faisait au téléphone, toutes les fois où elle revenait de sêtre fait faire divinement lamour, ses cheveux aussi blonds que les miens, tous auraient remarqué quils tombaient en cascade autour de son visage, Robert les détachant car la trouvant plus jolie.
Ma glace montre mon corps de rêve, quand jessaye le petit mini-maillot que je viens dacheter, avant de le ranger dans ma valise.
Ce principal morceau de tissu, je compte le porter pendant mon mois de vacances, après avoir accepté de moctroyer quelques jours de repos en rejoignant maman et son homme au cap.
Je suis contente, car si javais rejoint mon père comme les autres années, javais lassurance de garder ma membrane, ce qui devenait gênant à mon âge.
Pourtant tout bouillonne en moi et chaque fois ma chatte me démange.
Je trouve mon petit bouton que mes rares copines disent masturber pour se donner du plaisir.
La première fois que je lai caressé, javais lâge de maman qui elle me mettait au monde.
Je dois dire que le plaisir ressenti, certes sympa, ma laissée sur ma faim.
Au fil du temps, jai appris à le caresser et la décharge que je ressens me permet déviter daller acheter un gros gode noir, depuis quun jour à la piscine dArras, alors que javais dix-huit ans, près dune douche, un homme ma montré son engin de taille impressionnante quil masturbait.
Ça a entraîné chez moi un fantasme sur la taille et la couleur des sexes des hommes.
Je sais que ce sera toujours un fantasme, car je sais que quand je rencontrerai celui qui me dépucellera, je serai tellement heureuse de me débarrasser de mon hymen, que jéviterais de faire la fine bouche.
Valise et métro, après avoir quitté ma chambre de bonne généreusement louée par papa.
En bon pingre, il ma fait une avance sur capital, souhaitant le rentabiliser dès mon diplôme acquis en travaillant à létude familiale.
Le train memporte à lopposé de ce quaurait dû être des vacances lan dernier, savérant être une corvée dans létude à Arras.
Tous les jours, il me demandait de lui avancer quelques petits dossiers, ce qui me prenait huit des heures de ma journée, cloitrée dans un coin de létude.
Le soleil, vivre au soleil, les doigts de pieds en éventail, dès que jarrive je vois Robert et maman que je trouve resplendissante.
Elle est à la limite davoir rajeuni de dix ans grâce à sa nouvelle coupe de cheveux et ses vêtements sexy me montrant quil y a autre chose que le fric dans la vie.
Samuser, cest ce que nous faisons, dès la première minute.
Valise déposée, ils mentraînent jusquà la plage et je suis fière dexhiber mon petit carré de tissu.
Dès quils ont posé leurs serviettes, maman sans aucune pudeur et sans rien me demander, se déshabille.
Elle me montre lendroit doù je suis sortie.
Elle est remarquablement épilée alors que moi malgré ma blondeur je galère, car si ma toison semble inexistante, la vitesse où poussent mes poils et leur grande profusion en fait que j'ai une sorte de forêt vierge.
Robert limite, je comprends le revirement de maman si papa était petite bite, son amant est le contraire car la grandeur et la grosseur de sa verge est aussi imposante au repos que celle de mon noir vu sous la douche de la piscine il y a quelque temps.
Je me rends compte que de la plage textile où ils se sont rencontrés, ils sont passés à la plage naturiste.
- Sylvie, fait comme nous, ici on est libre, je tai vu tellement de fois nue depuis que tu es née, avant que tu ne partes à Paris, quand nous partagions la salle de bain, toi étant toujours en retard.
- Maman, je me suis épilée mais ils poussent rapidement, jai peur que ça ne choque quand je vois autour de moi celles qui sont bien taillées ou si lisses.
- De retour à la maison, je vais téléphoner pour te faire une épilation au laser, après tu seras tranquille.
Cest ainsi que le lendemain elle me conduit dans son institut où une femme pour la première fois me caresse le sexe professionnellement.
Il va sans dire s que cela me laisse un certain trouble.
Dans la nuit, jai confirmation après avoir vu mon futur beau-père sur la plage, car ils vont se marier, quil sait sen servir, quand par deux fois des cris de plaisir ponctuent les moments où la verge tendue de son homme doit la déchirer.
Jétais si près deux dans la chambre voisine que le moment où elle devait lui présenter ses fesses, je lai vécu en direct.
- Encule-moi, viens salaud, tu sais le plaisir que je prends dans cette position, déchire-moi le cul.
Cette phrase dans la bouche de ma maman maurait paru incongrue du temps où elle était avec papa, car sil est vrai comme elle me la dit, quil baisait comme un lapin, chanter son plaisir lui était inconnu.
Laprès-midi, je décide de rester sagement pour consulter lun des livres achetés pour la quatrième année de fac et ainsi comprendre par moi-même ce que sera mon année détudes, quand Robert entre dans ma chambre sans frapper.
Jallais pour le rabrouer, mais le caleçon et la serviette quil porte sur lépaule men dissuadent.
Me voyant mal refaisant ma valise pour traverser la France et atterrir dans le chef-lieu du Pas-de-Calais comme le dit la chanson.
- Tu viens à la plage, profite du soleil, on dirait un cachet daspirine quand on te voit.
Je referme mes livres le suivant, assez contente dexhiber ma chatte lisse comme celle des femmes autour de moi.
Dès le soir nous sommes sortis et dans une boîte, je fais la connaissance dun garçon qui semble intéressant pour perdre ma virginité.
Les slows langoureux me font mouiller, quand maman mentraîne vers les toilettes.
- Sylvie laisse tomber, il est marié malgré quil soit sans alliance, sa femme travaille de nuit à lhôpital, il y a deux semaines elle lattendait à la sortie de la boîte.
La police a dû intervenir car elle avait un couteau et voulait planter sa rivale, cest un coureur invétéré, regarde ce soir il est déjà de retour.
Bien gênée, je trouve un motif bidon, prétextant mêtre tordue la cheville en glissant sur le carrelage des W.C. pour rester assise et le voir quelques secondes après sattaquer à une femme aussi jeune que moi et sortir quelques minutes après.
Cette nuit-là, maman a droit à un seul moment de bonheur, mais comme hier avec la totale et même en lui faisant une fellation, car jentends ses borborygmes, quand il lui remplit la bouche.
Je rêve de bite de couleur en me caressant, pleurant à moitié, pleurant de ce qui était arrivé, regrettant presque davoir suivi maman, car même avec le risque lhomme de cette nuit aurait pu être mon dépuceleur.
Le lendemain, à la plage en fin de matinée je perds léquilibre dans leau buvant une tasse bien salée, quand une main virile me sort de mon mauvais pas.
Il est là, bien plus grand et plus baraqué que dans mes rêves les plus fous avec le seul point identique, il est noir comme de lébène.
- Vous voulez perdre votre jeune vie, Mademoiselle.
Dun air bête je le regarde sans pouvoir dire le moindre mot.
Je sors de leau en lui tenant la main avant de la lâcher et courir vers maman et ma serviette, quand je maperçois quil ma suivi.
- Je vous ramène votre fille, elle avait envie de vous quitter.
Cest à maman quil dit cela, je maperçois avec une certaine jalousie quen lui parlant, il surplombe sa chatte car elle sest relevée sur ses avant-bras, les cuisses écartées.
Cest le moment où pour la première fois je regarde la verge de celui ignorant jusquà son nom et que je la compare avec celle de Robert, qui est dans la même position que maman.
- Comment vous appelez-vous jeune homme ?
- Jeune homme comme vous y allez, je mappelle Jason et je suis guadeloupéen résidant à Paris où je suis directeur dun super marché féminin, jai vingt-neuf ans.
- Bien Sylvie, maintenant que nous savons à qui nous avons à faire, nous tautorisons à fréquenter ce bel homme.
Cest avec un grand éclat de rire que nous repartons vers la mer pour que je poursuive mon bain.
Jouer nue dans leau avec un homme aussi nu que moi, malgré leau qui nous entoure me fait mouiller.
Chaque fois quune vague arrive je prends plaisir à lui sauter dans les bras sentant sa verge battre le long de mon intimité.
Mes seins malgré la température de leau sont dressés et si je lui saute dans les bras, je veux croire que cest pour me protéger depuis quil ma sauvé de la noyade tout à lheure.
Mes vacances prennent une tournure intéressante...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!