Si Vous Avez Besoin De Quoi Que Ce Soit

Mon mari et moi allons régulièrement passer des week-ends en amoureux dans des petits hôtels romantiques. Pour notre dernière escapade, nous sommes allés nous prélasser dans une station thermale des alpes suisses.

Nous arrivons en début d’après-midi dans un magnifique hôtel à l'architecture typique des chalets de montagne, surplombant un petit village dans le même style, le tout dans un écrin de roches et de pins alpestres

La jeune femme qui nous accueille à la réception attire immédiatement mon attention. De superbes courbes, de magnifiques yeux gris clair, des cheveux dorés tombant en cascade sur un chemisier en dentelles laissant deviner des petits seins en forme de poires.

L'enregistrement terminé, elle nous entraîne dans les couloirs sombres de la bâtisse jusqu'à notre chambre où un grand lit en pin massif nous attend. Après nous avoir présenté les lieux, la jeune femme se place au centre de la pièce et nous demande avec un beau sourire: “Si vous avez besoin de quoi que ce soit, je suis à votre disposition… ”

Mon mari lui répond tout en renfermant lentement la porte de la chambre: “Je n'aimerais pas r de vous, mais… je trouve cet endroit magnifique et je dois dire aussi que vous êtes une femme superbe… Je fais de la photo à mes heures et j'aimerais beaucoup faire quelques clichés de vous dans cette belle chambre…” Flattée et aussi un peu troublée, la jeune femme rougit et répond timidement: “Vous êtes trop gentil… Pourquoi pas…”

Mon mari sort aussitôt son “reflex” de sa valise et commence à mitrailler notre belle hôtesse. Adossée près de la fenêtre, allongée sur le canapé, assise sur le rebord de la baignoire… La jeune femme prend visiblement plaisir à se faire photographier et nous offres des poses de plus en plus suggestives.

Mon mari nous observe un instant avec un sourire malicieux et déclare: “ Vous iriez bien ensembles, toute les deux… Allongez-vous côte à côte sur le lit et fixez l'objectif !”.

La jeune femme et moi échangeons un regard complice. Nous retirons nos escarpins et nous nous installons sur le lit, allongées sur le ventre, bras dessus bras dessous, comme l’auraient fait deux bonnes amies.

Le contact de la jeune femme et son doux parfum fruité m’enivrent et font monter en moi un désir irrépressible. Je me tourne vers elle et embrasse doucement le lobe de son oreille… Au lieu de protester, la jeune femme ferme les yeux et pousse un léger soupir. Je poursuis et vais à la rencontre de ses lèvres entrouvertes. Son souffle est rapide, haletant. Je glisse ma langue dans sa bouche et nous nous embrassons passionnément sous les crépitements de l’appareil photo.

Soudain, la jeune femme se ravise : “Non !… non… ce n’est pas bien !… Nous ne devrions pas…”. Je la pousse sur le dos et l’immobilise en m’assaillant à califourchon sur son ventre. Sa bouche dit “Non” mais son corps qui ondule sous moi m'implore de poursuivre... J’att ses poignets et immobilise ses mains au-dessus de sa tête. Elle ferme les yeux et entrouvre la bouche pour recevoir un nouveau baiser.

J’observe un instant cette belle inconnue qui se donne à moi sous le regard de mon mari. Mon ventre papillonne. Mon envie de sexe est trop forte. J’agrippe son chemiser et l’ouvre d’un coup sec en faisant voler les boutons, dévoilant ses petits seins blancs et ses mamelons déjà gonflés d’envie. La jeune femme se cambre doucement et supplie à demi voix “Oh, non… il ne faut pas… non…”. Je prends tour à tour ses tétons dans ma bouche. Je les lèche, les suce, les mordille et les recouvre de salive…

Mon mari s’est rapproché et prend la scène en gros plans : “Déshabille-la… mets-la à poil !”. Je la pousse sur le côté et lui retire ce qui reste de son chemisier. La jeune femme se laisse faire. Sa respiration se fait de plus en plus courte. Je tire sur sa jupe fourreau puis sur son string et les fais glisser le long de ses jambes galbées.

La situation est des plus excitantes. La belle hôtesse est là, à ma merci, allongée nue sur notre lit d'hôtel alors que mon mari et moi sommes toujours habillés. Je me penche sur elle pour goûter à nouveau à sa bouche. Elle vient à la rencontre de mes lèvres et m’embrasse avec fouge comme si sa vie en dépendait.

Alors que nos langues se mélangent dans un long baiser, je glisse une main entre ses cuisses et agrippe sa vulve déjà trempée de désir. La jeune femme s’accroche à mon cou en haletant. Mon index et mon majeur glissent entre ses lèvres et vont à la rencontre de son point G… Tout son corps ondule et vibre sous mes mains.

Mes doigts qui s’agitent dans sa chatte pleine de mouille accompagnement ses gémissements d’un clapotis obscène. La jeune femme jouit presque instantanément en se cambrant dans mes bras. Sans attendre, je retire mes doigts dégoulinants de cyprine et les pose doucement sur son anus. Surprise et encore étourdie par l’orgasme, elle recule sur le lit et supplie doucement: “Oh non… pas là…“

Il n’en faut pas plus pour m’encourager. Je la pousse sur le dos, replie ses jambes sur sa poitrine et m’installe devant sa croupe entièrement offerte. La jeune femme continue de me supplier mais ne fait plus rien pour échapper à mon petit jeu pervers. Elle redresse la tête et me regarde la bouche entrouverte en train de caresser son anus. J’enfonce alors lentement mon majeur dans son cul tout en la regardant dans les yeux.

Visiblement excité par la scène, mon mari installe l’appareil photo sur son trépied, enclenche l’enregistrement vidéo, se déshabille entièrement et vient nous rejoindre sur le lit. Il s’agenouille près de la jeune femme et écrase son gros gland cramoisi sur ses lèvres. Docilement, la belle ouvre la bouche et enfourne la queue encore molle de mon mari tout en le regardant d’un air soumis.

Alors que la jeune femme s’applique à sucer l’imposante queue de mon mari, je continue à explorer son trou du cul tout en masturbant son clitoris. Soudain, je sens son anus se resserrer sur mon doigt. Elle est sur le point de jouir. Je continue en la masturbant de plus belle… Le corps parcouru de spasmes, la belle jouis une nouvelle fois en expulsant des petits jets de mouille et en poussant un long gémissement étouffé par la queue enfoncée dans sa bouche.

Cette fois mon mari n’en peut plus. Il se couche sur le dos et demande à la jeune femme de s’asseoir sur lui. Agrippée à mon cou et encore à peine remise de son deuxième orgasme, la jeune femme s’accroupit dos à mon mari et descend maladroitement sur sa queue en pleine érection. Mon mari dirige son gland sur l’anus de la belle qui s’empale lentement sur l’imposante colonne de chair.

Mon mari att ses poignets, lui bloque les bras dans le dos et commence à la pilonner sans ménagement. Toujours accroupie, la jeune femme rebondit sur mon mari en gémissant de plus en plus fort. Je vais prendre l’appareil sur le trépied pour filmer chaque détail de la scène.

La queue de mon mari, raide comme un pieu, défonce le cul de la jeune femme dans un rythme infernal. Après quelques instants, mon mari pousse un grognement bestial et jouis tout en continuant de bourrer la belle hôtesse dont les gémissements se sont transformés en cris.

Le sperme s’échappe de l’anus de la jeune femme et coule en paquets sur les couilles de mon mari. Elle jouit à son tour en hurlant et en éjaculant sur les draps, puis se laisse tomber sur le lit, assommée par la puissance de son orgasme.

Je me suis déshabillée à mon tour et les ai rejoints sur le lit. Je n’ai pas résisté à l’envie de lécher le sperme sur les couilles de mon mari et de le partager avec notre belle hôtesse dans un long baiser baveux.

Plus tard dans la soirée la jeune femme est revenue frapper à notre porte pour nous demander si nous avions besoin de quoi que ce soit… Comme vous pouvez l’imaginer nous lui avons demandé de faire des choses très spéciales pour nous, pendant une bonne partie de la nuit, mais ça c’est une autre histoire…

Bon baisers, Suzanne.