Mon Fantasme Jamais Réalisé
Avant de partager avec vous un dernier récit homo réel, je vais toute fois, déroger à la règle pas de fantasme en vous racontant un fantasme fondé sur du vécu mais jamais assouvi et qui hante mes rêves. Lors dune visite dans un foyer de travailleurs, je venais saluer quelques résidents que javais connus à lépoque où jétais moi-même résident. Il y avait là une colonie de Turcs qui avaient lhabitude de se rassembler dans une des cuisine commune que lon trouve au bout du couloir de chaque étage, je connaissais la plus part dentre eux. En venant les saluer, lun deux ma fait la grimace dun baiser, cela ma troublé et je lai été plus encore quand il ma serré la main, son petit doigt ma chatouillé le creux de la main. La proposition était, certes discrète, mais sans ambiguïté, je nai pas donné suite et je le regrette encore aujourdhui. Mon imagination me laissant entrevoir ce qui aurait pu se passer avec moi. Dans ce foyer de célibataires s, venaient nuitamment une pute qui était vendue par son maquereau, les gars se lenfilait, il y avait une queue devant la chambre dédiée à la baise.
Voilà le récit imaginé mais qui na jamais eu lieu. À ce Turque qui me chatouille la main, je lui demande de voir sa chambre. Surpris de mon audace, il minvite à laccompagner, un autre, en turque, lui demande ce quil va faire, il lui explique quil va passer une nuit de baise et lautre lui demande sil acceptera de partager sa proie. « Quand jaurai vidé mes burnes je te le laisserai et tu me le rendras au bout de la nuit ». Il mouvre la porte, la chambre est tapissée de femmes à poiles. Il me pousse à lintérieur plaquant son sexe contre mes fesses. La porte refermée, il me dit « fous-toi à poiles que je vois tes fesses et suce-moi. Sitôt nu, je suis sur sa queue qui devient vite ferme. il est debout, je suis penchée sur sa tige que jastique de mon mieux. Nen pouvant plus, il me pousse vers le lit pour que, courbé, je prenne appui.
Jai compris, connaissant les lieux, quon me conduisait dans la cuisine, la pièce commune pour une sorte de gangbang. Effectivement, on ma fait allonger sur le dos, la tête légèrement renversée. Déjà une queue simposait à bouche ouverte et jai senti mes jambes relevées et écartées, un pénis bien raide se frayant un passage de lautre côté pour un pilonnage en règle. Sans doute lexcitation mutuelle poussait à une jouissance rapide, tout aussi rapide était le renouvellement des verges suivantes à travailler lune mes entrailles et lautre ma bouche. Jai été baisé, abusé je ne sais combien de temps, je ne sentais plus mon trou, ni mes lèvres, je nétais quun jouet passif débordant, des deux orifices, dun jus visqueux mélanges des éjaculations successive que javais du mal à avaler entièrement. Je suis resté là abandonné à ma nudité violée lorsquune main a pris la mienne et ma conduit dans une chambre, pour recommencer le rituel amoureux mais cette fois dans un lit. Mon partenaire satisfait ma fait sortir, javais toujours les yeux bandés et une autre main ma conduit dans une autre chambre pour une nouvelle danse nuptiale, jétais leur femelle pour ce week-end, ils allaient en profiter un max dautant que cétait gratuit et que la victime ne refusait aucune proposition pas même celle de jouer à lurinoir personnel.
Voilà le dernier fantasme jamais réaliser qui reste dans mes rêves.
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