Une Femme Peu En Cacher Une Autre...
Comme cétait souvent le cas après une réception je réunissais tout le personnel qui avait travaillé avec moi sur la prestation pour prendre le verre damitié. Pour cela nous nous installions autour dune table où javais installé des coupes de champagne bien mérité. Pour accompagner le breuvage jai sorti une plateau de petits fours que javais bien soigneusement mis de côté en début de soirée. Notre équipe était composé pour ce soir là de trois serveuses, Myriam ma copine de cul. Que vous connaissez, vous lecteur, si vous suivez mes récits. Christine une habitué, et une toute nouvelle, Nathalie. Trentenaire, rousse, grande, mince, sérieuse. Sa voix était gourmande, maniérée, parfois acide, elle pouffait à chaque fois quelle était contrainte demployer un mot cru. Après sa première coupe, elle sest détendu, ôtant même sa veste. Se montrant à nous en chemisier moulant. La dentelle était si fine quon devinait par transparence les mamelons, les tétons.
Une fois la bouteille vidé je décidais de lever le camp. Alors que je mapprêtais à fermer les lieux, Myriam est venue me proposer ses services sexuels.
- Non merci, pas ce soir. Je suis trop crevé.
- Viens dormir à la maison, me fit-elle.
- Cest gentil de ta part mais non. Dailleurs, jai promis à Nathalie de la déposer devant chez elle.
- Ah oui ! Répliqua-t-elle. Seulement déposer ?
- Ce qui est bien avec toi ma chère Myriam, cest que tu crois ton cas pour une généralité.
- Comme si je ne te connaissais pas.
- Peut-être pas assez !
- Il faut mieux entendre ça quêtre sourd. Bon dommage ! Tu ne ses sans doute pas ce que tu loupes ! Je me sentais cette nuit, très aventureuse.
- Ça crois-moi, je le sais. Tu ne manques pas dimagination.
Cela la fit bien rire.
- Si par hasard tu changes davis tu ses où me trouver.
- Je te promets que le moment venu, jy penserai !
Sitôt débarrasser de la chieuse excitée, jouvris la portière à Nathalie, qui prit tout de suite place sur le siège passager.
Alors que je mapprêtais à minstaller derrière le volant, jai reconnu la voiture, étant celle de Myriam, sarrêter à ma hauteur. Le carreaux sest baissée, et de nouveau la chipie ma relancé.
- Tu en es sûr ? Tu as bien réfléchi ?
- Parfaitement sûr. Merci quand même. Et noublie pas que jai encore besoin de toi la semaine prochaine.
- Tant pis pour toi ! Répliqua-t-elle en relevant le carreau.
Je me fis aux indications de ma passagère. Je fis halte un peu plus tard devant le bâtiment haut de six étages, daspect cossu.
- Bien merci ! Je suis arrivée. Je voulais te remercier de dêtre occupé de moi. De mavoir fait confiance.
- Tu as été parfaite, crois-moi. Ce nest pas toujours le cas avec les nouvelles.
- Cest gentil tentendre cela de toi.
- Cest naturel. Quand cest bien il faut le dire.
Avant de refermer la portière, elle marqua un temps darrêt.
- Si tu venais prendre un verre chez moi, ça me ferait plaisir, lança-t-elle, le visage tout rouge.
Mais quest-ce quelles avaient toutes à vouloir que je monte. Cétait contagieux !
- Non, je ten remercie mais je vais rentré. Jai un grand besoin de dormir.
- Mes parents ne sont pas là. Si tu veux
enfin ! Tu peux dormir chez moi.
- Non merci ! Jai une famille.
- Bon ! Bon ! Comme tu veux. Je ninsiste pas.
- Une autre fois. Répondis-je.
Cela la fit sourire.
- Oui ! Comme tu dis. Une prochaine fois. Jy tiens
Jai attendu quelle franchise le pas de porte de son hall, pour passer la première et prendre la route. Sur le trajet qui allait me mener jusquà mon lit, je me suis remémorer les deux invitations des deux coquines. Regrettant après coup de ne pas avoir accepter celle de Nathalie. Je la trouvais
comment dire ? Très désirable
Je ne fus pas moins mécontent dêtre arrivé à destination. Avec mille précautions, jai franchis la porte de chez moi, pour ne pas réveillé la famille.
Sitôt dans le lit, jai sentis ma femme bougeait, avant de sapprocher au plus près de moi. Jai cru quelle venait membrasser, comme elle le faisait souvent dans pareil cas. Mais cette fois je lai sentis se glisser au pied du lit. Très vite, jai senti son souffle chaud au-dessus de ma verge. Tout de suite après sa langue allait et venait lentement sur ma verge. Des flots de salive coulaient jusque dans ma toison. Noyant mes testicules d'un liquide poisseux, et tiède. Ma femme sest activée plus violemment quà son habitude. Jai mis ça sur le compte de lexcitation.
Puis elle a enserré dune main ferme mon sexe. Exerçant sur lui un travail de sape. Montant et remontant sans arrêt. Tout en me pompant, elle entoura mon gland de ses lèvres. Dun mouvement rapide de la langue, elle sest activée sur le frein.
Un vertige trouble sest emparé de moi. Il men fallait pas plus pour en oublier ma fatigue. Pas le temps dapprécier un peu plus lagréable caresse buccale, quelle ma recraché, avant que je la sente de nouveau se déplacer dans le lit. Jusquà la sentir sinstaller au-dessus de mon bassin. Prenant la pose de la femme qui sapprête à se soulager. Puis elle sest laissée descendre. Sempalant sur ma verge. Jai senti son anneau de chair sélargir, avant davaler mon gland. Les parois chaudes et humides se refermèrent sur mon sexe. Comme une bouche vorace.
Elle est restée là, marquant un temps darrêt. Gainant ma verge de son sexe. Puis elle sest mise en branle. Coulissant habilement le long de ma queue, pour mon plus grand bonheur. Chaque mouvement déclenchait des ondes de plaisir qui irradiaient tout mon corps. Je ne respirais plus. Cétait un moment prodigieux. Un spasme de délice ma alors embrasé la queue.
À peine avait-elle libérée ma verge, que jai sombré dans les bras de Morphée. Je ne sais combien dheure je métais assoupie que je fus réveillé avec limpression dêtre absorbé par une bouche chaude et vorace. Jai cligné des yeux à cause de la luminosité que dégager la lampe de chevet.
- Quand même ! fit ma femme, chevauchant mon sexe. Je croyais bien que tu nallais pas te réveiller.
- Cest que jétais très fatigué.
- Comme tu bandais fort, je me suis permis de me servir. Jai bien fait ? Ajouta-t-elle, en montant et descendant le long de ma queue.
Dans sa mobilité, ses seins remuaient lourdement à porté de mes mains. Je me suis empressé de les pétrir. De jouer avec ses mamelons. Qui grossissaient sous ma caresse. Ma femme a accéléré sa cavalcade. Passant du trot au galop. Qui la mena très vite à lorgasme. Quelle extériorisa dun cri rauque, avant de saffaler sur moi. Haletants, nous sommes restés immobiles. Toujours emboité lun dans lautre.
- Cétait bon ! Me fit-elle.
- Je ne sais pas. Je nai pas joui !
- Oh excuse-moi !
Elle se remit en selle, et à laide de ses muscles intimes me mena jusquà la jouissance. Elle sest dégagée doucement. Du sperme a coulé le long de ses cuisses. Elle avait le visage en sueur, les cheveux en bataille. Elle sest allongée à sa place dans le lit.
- Tu as donné largent à Joëlle ? Me fit-elle.
- Comment ça ?
- Elle était bien là quand tu es rentré ?
En peu de temps, jai tout de suite compris, je métais fait rouler par la baby-sitter. Elle sétait fait passée pour ma femme pour acquérir mes faveurs.
- Ah oui ! Tu parles de Joëlle.
- Oui ! Qui dautre ?
- Je ny étais pas. Bien sûr
Oui
oui
que je lui ai donné. Cent francs, cétait ça.
- Oui ! Bon sur ceux. Me fit-elle. Je vais dormir, si tu veux
bien ?
Jai jeté un coup dil sur côté du réveil.
- Si tu veux bien éteindre ? Fit ma femme.
Je nai bien sûr pas pu retrouver le sommeil. Joëlle ne perdait rien pour attendre. Je comptais bien lui demander des comptes. Et pas plus tard que le lendemain.
Je lai topé alors quelle attendait son car qui allait la mener jusquau lycée.
Elle ne sest pas fait prier pour prendre place à mes côtés. Jai même lu de ironie chez elle. Jai attendu de prendre la route pour la questionner.
- À quoi tu joues ?
- Oui je sais, jai déconné. Mais bon il ny a pas mort dhomme.
- Tu as profité de notre gentillesse, de ma femme et moi, pour nous trahir.
- Oui ! Je mexcuse. Sur le coup je nai pas réfléchir au mal. Seul le plaisir de passer un bon moment avec toi m a fait franchir le pas. Un besoin de me faire ça avec un homme. Et pas nimporte lequel. Avec toi. Tu ne mas jamais laisser indifférent. Mais ça, je pense que tu le sais. Cela faisait longtemps que javais envie de commettre ce genre de méfait avec toi. Alors quand jai eu loccasion jai sauté dessus.
- Sans te préoccuper des conséquences que cela pourraient engendrer. Tu as pourquoi un beau copain merde !
- Laisse tomber. À peine entré son outil, que déjà il lâche son venin. Avec toi, jai pris mon pied. Tu regrettes ?
- Davoir fait ça chez moi, dans mon lit conjugal, oui.
- Jai bien senti que tu prenais ton pied.
- Parce que je pensais faire ça avec ma femme. La bonne
blague !
- Pas un moment tu as senti que je nétais pas elle ?
- Non, jétais dans un tel état de fatigue.
- Je commence dans une heure, en pourrait
- En pourrait quoi ?
- Donner une suite à
- Ça ne va pas, tu es inconsciente.
- Ténerve pas.
- Tu mériterais que jaille voir ta mère.
- Que de la gueule ! Tu vas la faire mourir de jalousie.
- Comment ça ?
- Eh bien ! Elle ne serait pas contre une petite partie de cul avec toi.
- Et tu sais ça doù toi.
- Parce que elle men a glissé un mot. Comme cest le cas aussi pour Marie-Ange. Dailleurs quand je suis sortie de chez toi je me suis précipité jusquà chez elle.
- Tu ne vas pas me dire que tu lui a dit.
- Et comment que je lui es dit. Jétais trop fière davoir réussi mon plan.
- Mais ! Tu es complètement folle.
- Tinquiète elle ne dira rien.
- Cest elle qui te la dit ? Lui dis-je.
- Parfaitement. Dailleurs je lai senti très heureuse pour moi.
Là elle se mit à rire.
- Et je peux savoir ce qui te fait rire.
- Non
cest que elle ma. je ne sais pas si je dois te le dire.
- Vas-y au point où on en est.
- Et bien
elle ma léché la chatte. Pour boire ton sperme.
- Vous êtes dingue, à être enfermé.
- Mets toi à sa place.
Avec tout ça nous étions arrivé devant la grille lycée.
- Dehors, maintenant, lui fis-je.
- Tu es encore en colère.
- Tu ne peux pas savoir à quel point.
- A en faire un crime ?
- Pas jusquà là. Mais une bonne correction.
- Chiche !
- Dehors
- Tu nas tout de même pas était volé sur la marchandise.
- Bon maintenant Joëlle soit gentille. Sors
Elle sest saisie de son sac et a ouvert la portière. Mais alors quelle sapprêtait à descendre elle se laissa tomber sur le siège et me dit :
- Dit en fait ! Pour mon argent ?
- Je pense que tu tes payé, non ?
- Comment ça ?
- Fait marcher ton cerveau et tu comprendras.
- Salaud ! Fit-elle en claquant la portière.
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