Avec Ondine : Au Réveil
CHAPITRE III
Le réveil dOndine
Dimanche, jai quitté Ondine il y a vingt-quatre heures, depuis je nai pas cessé de penser à elle et à laprès-midi torride que nous avons vécu ensemble. Ni tenant plus, je lui téléphone, malheureusement elle nest pas libre, passant sa journée avec des copains et copines de fac. Finalement cest une bonne chose car jaurais eu du mal à trouver un alibi pour ma femme.
Je dois partir en déplacement le lendemain matin. Alors elle me propose de passer chez elle avant de partir et den profiter pour lui apporter des croissants pour le petit déjeuner.
Lundi matin, je quitte ma banlieue à six heures pour éviter les embouteillages (cest ce que jai dit à ma femme). Je passe chez le boulanger qui nest pas encore ouvert mais, en frappant à la fenêtre de son atelier, je peux obtenir des croissants tout chauds. Ça y est, il ne me reste plus quà me rendre chez Ondine.
Il fait encore nuit lorsque je gare ma voiture prés de chez elle, il y a du brouillard mais la journée sera sûrement ensoleillée, pour linstant il fait plutôt frais. Comme dhabitude, Paris est déjà en mouvement, derrière les vitres embuées des bus on aperçoit des ombres emmitouflées, quelques piétons se dépêchent pour prendre le métro, une maman emmène son chez sa nourrice. Évidemment, tous ces gens ne peuvent pas savoir que je vais retrouver ma maîtresse, ils sen moquent dailleurs, mais moi je ressens une émotion comme un gamin qui se rend à son premier rendez-vous.
Grâce à la clé quOndine mavait donnée, jouvre les portes, de limmeuble puis du studio, sans bruit. Le petit studio est plongé dans le noir mais heureusement léclairage de la rue filtre à travers les persiennes, laissant des traits de lumière sur le lit où Ondine dort encore. Après un moment daccoutumance, je mavance sans bruit, je pose mes croissants sur la petite table et me mets à genoux prés du lit.
Délicatement, je soulève la couette en évitant de faire rentrer trop dair froid. Je me glisse dessous, Ondine est couchée en chien de fusil, nue, jarrive par derrière. Une forte odeur de femme menvahie, excitante, elle menivre.. Je touche son cul avec ma joue, cest doux
Japproche mes lèvres de son minou, il est tout sec, je tente dintroduire ma langue entre ses lèvres et puis non, je reviens doucement vers son cul et lui lèche délicatement la raie. Ondine a un petit mouvement et semble se réveiller. Je recule instantanément. Dés quelle ne bouge plus, je reviens vers sa chatte, jécarte ses petites lèvres avec ma langue, et là, divine surprise, ce nest pas sec, au contraire cest humide, très humide, une mouille épaisse. Ondine se réveille, se retourne sur le dos et pose une jambe par-dessus mon épaule. Je lèche, jaspire, javale tout ce jus féminin. Je la suce avec délectation lorsque je sens quelle pousse pour pisser
Ma bite devient raide, jouvre la bouche espérant le nectar. Mais Ondine joue avec mon désir, elle sétire, se raidit, tend tous les muscles de son corps, elle enserre ma tête entre ses cuisses en serrant très fort, roule à droite et à gauche, cela dure plusieurs minutes, enfin détendue elle se relâche. Et moi, ballotté, soumis, jattends son bon vouloir
Enfin, elle pisse, son urine est très forte, je suis surpris mais je ne vais renoncer maintenant. Le débit nest pas trop important et je peux tout avaler sans en faire tomber une goutte sur les draps. Je mhabitue maintenant, finalement cest encore meilleur que dans mes pensées de la veille. Je bande dur, très dur.
La source se tarit. Ondine me plaque la bouche contre sa chatte. Je lui suce le clitoris, laspire, le fait tourner dans ma bouche, elle a de petits soubresauts et laisse entendre des onomatopées
.
Reconnaissant, jembrasse maintenant lintérieur des ses cuisses, je descends le long de sa jambe tout en lui donnant des petits baisers. Jarrive au bout de la couette que je soulève pour mieux pouvoir respirer, jai son pied à portée de bouche, je le baise avec humilité, le caresse, aspirant un à un ses petits doigts, faisant tourner ma langue autour de chacun dentre eux. Ondine se défend en riant « tu me chatouille », repoussant mon visage avec son autre pied que je mempresse dattr pour recommencer ma dévotion. Les « assez » quelle me lance de temps en temps ne sont pas convaincants et je comprends « encore ». Au bout de quelques instants, sans doute lassée de ce jeu, elle se recroqueville, me signifiant par la même occasion que lhommage est suffisant. Elle vient de prendre la direction des opérations.
Je replonge sous la couette, Ondine, toujours en chien de fusil, me tend sa croupe proposant ainsi la perfection à mon adoration. Je veux enfoncer mon visage dans le vallon formé par ses globes bien fermes mais elle serre les fesses, suppliant, je lèche sa raie. Enfin, elle relâche ses muscles, je devine son petit trou plus que je ne le vois et jy fourre ma langue. Lodeur et le goût musqué mexcitent, je sens ma bite qui avait eu quelques moments de relâchement, se raidir de nouveau.
Ondine ronronne comme une chatte en chaleur, elle remue lascivement son bassin, mon visage servile collé à son cul. Le temps ne compte plus, je suis au bord de lexplosion, sen rendant compte, elle se met sur le ventre en écartant les cuisses et dans un souffle, lance une invitation.
Viens !
Jai encore mon pantalon que je mempresse de retirer.
La réalité se rappelle à nous avec le réveil qui se met à sonner, Ondine se lève pour prendre sa douche et moi je me débarbouille le visage et nettoie la queue dans le lavabo. Jai encore un peu de temps devant moi et décide de préparer le petit-déjeuner. Jouvre les volets quand Ondine sort de la douche. Dieu quelle est belle, se tenant bien droite, les petits seins fièrement pointés sans un soupçon de pesanteur, une taille fine, un petit ventre plat, un cul (je me répète) la perfection, de longues jambes fines et galbées. Elle se meut dun pas léger, souple et gracieux. Voyant mon il concupiscent, elle enfile vite un peignoir.
Il fait clair maintenant, le soleil essaie de percer le brouillard et va bientôt y arriver. Ondine sinstalle en face de moi sur la petite table les yeux rieurs. Elle porte une serviette de bain nouée sur la tête qui la fait ressembler à une princesse hindoue, quelques boucles de cheveu noir de jais enserrent son visage qui affiche le sourire qui ne la quitte jamais. Pendant que nous mangeons, je sens son pied qui remonte le long de ma jambe et se dirige vers mon bas-ventre. Je crains quelle nallume un nouvel incendie.
Dieu, que cétait bon ! Je nai jamais connu un réveil pareil, se faire lécher le cul et la minette comme ça au matin est un vrai un délice ! Mais suprême délice, pouvoir se soulager comme ça sans avoir à sortir du lit est une jouissance particulière, le délice de la transgression dun tabou inculqué dans la plus tendre enfance
Après un court silence, coquine, elle ajouta.
Et dire quon ma toujours laissé ignoré quil me suffisait de pisser pour faire bander mon amant.
Fantasme, quand tu nous tiens.
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