Lucy 1
*** toute première fois racontée par une narratrice majeure ***
« Les garçons avaient fini par me jeter dans la piscine, toute habillée. Faut dire que je les avais asticotés tout laprès-midi. Personnellement, je trouvais Mike le plus mignon dentre tous et cest surtout lui que jadorais taquiner. Mais voilà, il était presque toujours avec ses copains.
Ça ne fait rien, quand je suis sortie de leau, toute mouillée, jai bien vu quil ma jeté un drôle de regard. Au fait, ses copains aussi dailleurs. Jen étais très satisfaite. Javais mis mon short le plus collant, pour faire de leffet chez les garçons.
Mes petits tétons pointaient sous mon t-shirt mouillé. Mike les avait regardés, jen étais presque sûre. Jallais trouvé un endroit discret pour me déshabiller devant les garçons, puisque javais une bonne excuse, mais le directeur du centre nous a fichus dehors en criant et les garçons sont partis jouer au foot.
Je rentrais donc seule au bungalow. Les gens me regardaient. Mais les hommes me regardaient différemment. Je commençai par trouver cela étrange. Cétait une découverte pour moi. Au bout dun certain temps, cela commença à mexciter bizarrement. Malgré moi, je marchai moins vite et en me déhanchant le plus possible.
Mais javais un problème : ma mère était absente pour tout laprès-midi, elle était partie faire les boutiques avec tante Sally . Elles ne rentreraient certainement que dans la soirée. Heureusement, sur le chemin, jai rencontré oncle Jo. Il ma regardée sous toutes les coutures. Des coutures qui étaient prêtes à craquer dans le cas présent. Oncle Jo a paru très intéressé. Il ma demandé de tourner plusieurs fois sur moi-même. « Dis donc ! » quil a fait et il ma pincé les fesses. Jai un peu sursauté et beaucoup rougi, mais ça ma bien plu. Je lui ai raconté ma petite aventure à la piscine. Il a bien ri. « Viens avec moi, je vais te sécher, et puis nous attendrons que tante Sally rentre pour te reconduire chez toi.
Ça me plaisait beaucoup. Jétais folle amoureuse doncle Jo. Il navait jamais fait attention à moi alors que cette petite peste de Christine, ma cousine, prétendait quils avaient fait des choses ensemble, mais ne disait jamais quoi. Jen étais terriblement jalouse. Je ne regrettais plus du tout davoir été jetée toute habillée dans la piscine. Jallais être bien gentille avec oncle Jo parce que cette occasion ne se représenterait peut-être jamais plus. Ce fut encore beaucoup mieux que tout ce dont javais jusque-là secrètement rêvé. Arrivés chez lui, nous étions seuls, tante Sally nétait pas encore rentrée.
Mon short était difficile à enlever. Jai fait semblant que je ny arrivais pas. Ça a marché. Oncle Jo ma alors proposé de maider. Bien sûr, jai dit oui. Cétait difficile. Ses mains traînaient autour de mes petites jambes. Javais le sentiment quune histoire merveilleuse commençait pour moi. Je nallais pas être déçue. Jétais toute nue. Oncle Jo ma alors proposé de messuyer.
Cétait trop bien. Il ma fait écarter les jambes. « Un peu plus, mon trésor ! » il a dit. Il ma essuyée partout, bien à son aise, surtout entre mes jambes. Puis il a jeté lessuie et il a senti partout avec ses mains. Jai frissonné. « Tu es chatouilleuse, trésor ? » il ma demandé. « Oui, un peu, je crois » jai répondu. « On va essayer un peu, pour voir, tu veux bien, mon ange ? » il a fait. « Euh
oui, bien sûr ! » jai répondu spontanément, cachant difficilement ma curiosité et surtout mon envie de lui plaire à tout prix.
Il a commencé à me toucher partout, vraiment partout. Il a même commencé à toucher ma petite mimi. Je ne savais pas trop ce que je devais faire, je gloussais un peu, je me tortillais beaucoup et je finis par me presser fermement contre lui. Je pensais que cétait ce quil voulait pour continuer et aller plus loin. En tout cas, ses mains sont restées près de mon entre-jambes. « Tu sais que tu es vraiment toute mignonne, mon petit trésor damour ! »
Son doigt a écarté légèrement les lèvres de ma petite prune.
Là, après mavoir écarté les jambes, il embrassa longuement ma mimi qui était toute grasse et se mit à la lécher longuement. Sa langue me chatouillait divinement. Je tenais sa tête entre mes mains. Que pouvais-je faire de plus pour lui faire comprendre que je voulais quil continue. Pendant quil me léchait la mimi avec sa langue, je sentis ses mains qui commençaient à me caresser mes fesses bien dodues. Un de ses doigts se présenta à lentrée de mon petit cul. Ce fut une sensation absolument divine quand ce doigt força lentement le passage, puis, après avoir un peu progressé, commença un lent mouvement de va-et-vient. Cétait le paradis.
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