Collection Black. Black And Black. Mon Fantasme En Double Exemplaire (6/7)

Baiser dans ma sous-pente, mais avant pomper Jason, c’est une bonne façon de quitter ce coin où j’ai eu plus mal à la tête après des heures passées sur mes cahiers que de parti de plaisir à me faire baiser.

De retour, au-dessus du garage où Jason gare sa voiture, je fais la connaissance de Linda sa gouvernante.
Elle est d’origine portugaise, elle a préparé le repas et fait les lits, elle a dans les 50 ans et parle peu le français.

- Je vais au magasin même si c’est fermé les lundis, repose-toi, regarde la télé je reviens te voir tout à l’heure.

C’est comme cela que pour la première fois depuis qu’il m’a sauvé la vie, du moins j’aime à le croire, qu’il me quitte à moitié car Linda continue sa tâche.
Elle part, je reste seule, l’envie de visiter les placards et recoins de l’appartement me fait envie.
J’ai le temps, il faut que j’apprenne ce qui est permis ou non avec mon homme car nous sommes passés à l’agence de location de mes 12 m².
Plus de clef, si je me fais virer, il me resterait soit la rue, soit Arras où je sens que le virage de ma vie va me permettre d’y échapper.
Jason me trouve dans la chambre à ranger mes affaires dans l’armoire qu’il m’a montrée comme m’appartenant.

- Tout s’est bien passé ma belle biche, j’espère que je t’ai un peu manqué.

Pour lui prouver, je m’approche, je l’embrasse dans un baiser lui montrant l’amour qu’il m’inspire.
Il enlève mes vêtements, puis les siens avant de me coucher sur le lit.
Sa langue rejoint la fente qu’il a ouverte il y a peu mais qui depuis a largement appris à le recevoir.
Il me relève les jambes et fait passer sa langue de mon clito qui réagit à mon anus par de nombreux allés et retours.
Mon clito réagit mais mon anus aussi et je suis étonnée que ce soit la première fois qu’il me fasse cela.

- Mets-toi à quatre pattes ma grande salope.

Sa voix est un peu plus grave que je l’entendais dans mon oreille, ça doit venir de la sonorisation de la pièce.

C’est la première fois qu’il emploie un mot un peu grossier dans nos rapports mais j’aime bien et je le laisse me traiter de salope.

- Je peux.

Ces nouveautés sont loin de me déplaire.
Le changement de lieu semble entraîner un changement de pratique.
Quand je vois le luxe où il me fait évoluer, je vois mal lui refuser ce plaisir, quand je sens sa verge pointer ma rosette.
Un instant j’ai peur du morceau de reine qu’il va m’introduire mais je suis tellement mouillée et surtout amoureuse que je le sens entrer, ressentant une simple petite gêne.

- Alors heureuse, c’est bon de se faire sodomiser.

La voix que j’entends vient de ma droite et le poids qui appuie sur le lit me montre Jason amenant sa bite en main pour me la mettre dans la bouche.
Je mets du temps à comprendre !
Je me retourne et Jason me sodomise.

- Tu avais le fantasme de te faire prendre par une bite noire, profite, tu en as deux à ta disposition.
Excuse Sophie si nous te forçons un peu la main, je te présente Justin mon frère jumeau.
- Bonjour Sophie, Jason m’a beaucoup parlé de toi et je crois que comme lui je suis tombé amoureux à distance.

Deux fous, j’ai affaire à deux fous, plus grave je suis amoureuse d’un fou.
Quand je me souviens du nombre de fois depuis que j’ai démarré mon fantasme et que j’ai pu regarder les bosses de pantalons des blacks, chaque fois c’est une nouveauté pour moi.

- Sophie, je comprends que tu t’interroges, tu aurais pu ruer pour faire sortir Justin.

Mieux tu continues à me sucer en me caressant les couilles, fais-moi un signe de tête pour nous dire que tu veux continuer notre vie à trois.

J’ai eu une fraction de seconde l’envie de ruer, de le recracher allant même jusqu’à le mordre, mon père m’a toujours dit que j’ai l’esprit vif.
J’analyse la situation et je donne un mouvement à mon corps pour faire comprendre à ces deux bites qu’elles pouvaient continuer à s’occuper de moi.
Fantasme multiplié par deux, dans un cadre magnifique, dans un des plus beaux quartiers de Paris, Justin m’a traité de salope, quand je me fais arroser anus et glotte, sur j’en suis devenue une "poule".

Quand je dis qu’ils m’arrosent, c’est après un temps interminable ayant entraîné en moi plusieurs orgasmes brefs mais intenses.
Par chance, l’appartement est climatisé, pourtant de grosses gouttes recouvrent nos corps.
Ils me libèrent, Jason va dans la salle de bain pendant que Justin me couche à son côté, sa queue encore bandée.
Jason revient, une serviette de toilette en main, il s’allonge, je suis face à lui, nos regards se croisent.
Sa bouche prend la mienne, sa salive et son sperme se mélangent à ma salive.
Avec la serviette, il caresse mon corps, je suis bien alors que je devrais être déjà partie de cette maison de fous.

- Tu émerges petit cœur, tu es lucide, veux-tu que je t’explique ?
- Oui.

Peut-on répondre avec une telle petite voix, moi si sûre d’habitude, je me sens petite souris entourée par deux gros matous noirs.

- Il y a quelques mois nous avons rencontré une jeune femme qui nous plaisait à tous les deux mais qui a refusé de vivre un ménage à trois.
- Mon frère a raison et si tu acceptes de vivre avec nous, nous te promettons de faire de toi une reine qui sera notre maîtresse.
- Justin est maladroit, le mot maîtresse veut dire que tu seras la reine de cette maison.

Quel deal, j’aime tout ce qui m’arrive, même la sodomie de Justin.
Je sais en prenant la décision de rester que je vais échapper à la triste vie que me propose mon père, devenant notaire surtout à Arras au pays de la pluie et du froid.
Ici, j’aurai deux bites à ma disposition, toutes mes copines ont perdu leur pucelage entre 16 et 18 ans, je sens que mes deux beaux mâles vont me faire rattr les 4 à 6 ans que j’ai perdus.
Surtout que la couleur me fait mouiller.
Je me place sur le dos, je tends un bras vers Justin lui saisissant la queue.
Je croyais les frères identiques, je me trompais, Jason en a une plus développée que celle de Justin.
Je comprends pourquoi il m’a sodomisé sans avoir eu mal, mais il doit culpabiliser en plaçant ses mains sur sa verge.
Je sens le besoin de lui faire voir, le dicton dit "une petite vigoureuse contre une grande fainéante", ce qui est loin du cas de Jason, je me redresse et le place dans ma bouche.
Sa taille a un avantage c’est qu’elle entre sans que j’aie besoin d’écarter mes mâchoires.
Jason voulant éviter d’être en reste réduit la distance, sa bouche titille mon clito qui se satisfait de son attaque.

Comme le disait Justin quand il est venu remplacer son frère sans que je le sache je deviens une grande salope et ce qui aggrave mon cas j’aime ça.

- Sophie vient sur moi, empale-toi par la chatte.

C’est Justin qui me donne l’ordre, allongé à côté de moi dans ce lit assez large pour nous contenir tous les trois.
Je comprends pourquoi ils possèdent un tel lit et sans beaucoup de problèmes, je m’assieds sur sa queue que ma bouche a fait tendre vers le ciel.
C’est sa bouche que je cherche espérant lui faire comprendre que j’accepte le challenge de vivre entre ces jumeaux qui vont au fond des choses.
C’est le cas de le dire quand son frère se présente à l’entrée de mon anus.
Mon premier amant m’a fait connaître le fist et je comprends que je vais servir de tranche de jambon entre les deux baguettes de pain de ceux que dans ma tête je considère être devenu mes hommes.
Il y a presque dix minutes que les deux verges entrent et sortent de moi, me faisant prendre un plaisir jamais atteint.
Il est vrai que mon expérience du sexe est plus que récente.
Quand une verge bouge dans un sens, l’autre prend le relais dans l’autre ce qui me procure un orgasme infini.
J’espère que tout est bien insonorisé car on doit m’entendre tellement je hurle accompagnée par les deux garçons qui éjaculent.
Justin avec une voix plus grave que celle de son frère.

- Aimes-tu être prise en double pénétration ?

Mon regard vide suite au plaisir que je viens de ressentir et toujours présent au fond de moi, me fait faire la carpe cherchant de l’air.
Si j’enregistre un nouveau jeu sexuel dans mon arsenal de fille pratiquement accro au sexe, je suis dans l’impossibilité de prononcer la moindre parole.
Justin quitte mon fondement, ce qui me permet de m’écrouler à côté de son frère.
Ils m’ont proposé d’être la maîtresse de leurs jeux afin de leur faire voir que c’est moi la reine des putes, je saisis les deux verges dans chacune de mes mains et je peux assurer que petite ou grosse je les aime à armes égales...