Collection Black. Black And Black. Réalisation De Mon Fantasme (5/7)

C’est sur la terrasse de la chambre de Jason où j’ai passé ma nuit que je commence ma journée.
Enfin femme depuis hier où j’ai perdu ce maudit pucelage traîné depuis ma naissance, ayant privilégié les études à mon sexe.
Plus jeune à la piscine, j’avais vu un black s’astiquer le manche, faisant naître un fantasme que j’ignorais réalisé avec Jason.
Il faut reconnaître que je fantasmais sur une queue noire, celle que je commence à pomper est entièrement dans ces normes.

Le résultat obtenu est à la hauteur de mes envies, Jason sait certainement qu’il doit s’économiser, surtout en ayant ouvert à la vie, plutôt à la sexualité, une jeune femme de 22 ans.

Je me redresse et je l’embrasse, je m’assieds sur ses genoux.
Quand je tourne la tête, je vois la plage naturiste.
Dire que c’est là dans l’eau que tout a commencé.

- Caresse-toi, mets-toi un doigt !

J’étais vierge, mais je décide d’apprendre vite.
J’avance les doigts d’une de mes mains et je me pénètre tout en me caressant les seins de l’autre.
Comme je suis placée, ses grosses lèvres viennent engamer ma fraise droite.
Instinctivement elle s’érige devant moi, je dépasse la rambarde, je vois un homme faisant son jogging me regarder et me faire un signe du doigt, comme vous trouvez sur Facebook qui veut dire « J’aime ».

Mes doigts pour la première fois entrent sans aucune résistance.
Je dois être devenue folle, même si je sens une légère douleur, j’arrive à y entrer trois doigts.
Il m’en faut plus et en lâchant toute pudeur je m’introduis cinq doigts jusqu’au bout de mes phalanges.
La compression de mon clitoris me donne un début de plaisir et j’émets un soupir.

- Oui bébé, fiste-toi, tu verras, les filles qui le peuvent, ce qui est rare, adorent cette impression et ce plaisir.
- Fiste-toi, que veux-tu dire ?
- Entre en toi toute ta main c’est ainsi qu’une fille se fiste ou se fait fister.


- Tu es fou, je vais me massacrer.
- Veux-tu que je te le fasse !

Tu verras que c’est possible, mon sexe en érection est aux trois quarts de la grosseur de ta main !

La main à l’orée de ma chatte doit l’exciter car je commence à sentir sa verge entièrement bandée.
Il m’aide à me lever, me porte sur notre le lit, m’écartant les jambes.
Je suis placée le dos appuyé sur les oreillers, ma main m’ayant délaissé afin que ce soient ses doigts qui approchent.
Il commence à me caresser le clitoris ce qui m’existe.
Je tortille du croupion à si haut point qu’il déclenche le premier plaisir de ma journée, même si elle est bien avancée, vu l’heure où j’ai émergé.
Il tourne ses doigts comme s’il voulait les vriller en moi, de droite et de gauche et je sens qu’il avance inexorablement.
Ma chatte s’ouvre, mes chaires s’écartent et comme je suis placée en vue plongeante, je vois son poignet arriver à la partie plus large formé par le pouce, rapproché des autres doigts.

- Tu vois petit cœur, elle est entrée entièrement en toi, ton sexe est assez souple pour la recevoir intégralement, profite.

Pour profiter je profite, j’en ai le souffle coupé.
D’autant plus que ses doigts qu’il fait bouger touchent un point dans la partie supérieure de mon sexe qui semble particulièrement sensible.

Cette séance de fistage où j’ai joui et les nombreuses fois depuis que j’ai rencontré Jason mon amant extraordinaire m’a fait l’amour.
Cette main en moi m’entraîne dans des pensées folles de stupre et de luxure.

J’ai attendu 22 ans pour en arriver où j’en suis à ce moment et où les jours me séparant du retour à Paris de Jason sont comptés.
Le tout accompagné par des restaurants haut de gamme de la région et de parties de sexe trois à quatre fois par jour.

- Petite grenouille, c’est notre dernière promenade sur la plage au clair de lune, tu te souviens que je repars demain.

- Oui, je vois le temps défiler mais j’évitais de t’en parler pour garder l’ambiance si extraordinaire que tu as su créer entre nous.
- Retourne avec moi à Paris demain.
Lundi je reprends le travail dans ma boutique, je vois mal attendre septembre et le retour de tes cours pour que l’on se revoie.
J’ai un bel appartement donnant sur l’Opéra avec une terrasse où tu pourras te faire bronzer intégralement dans ta magnifique nudité.

Il a su être persuasif, bien qu’il lui ait été facile de me convaincre par un baiser et une caresse sur ma poitrine, qui depuis que Jason est venue dans ma vie a une fonction dans mon plaisir de première importance.

C’est à la suite de cette proposition que je roule à ses côtés dans sa grosse Mercédès après avoir été embrasser maman et son amant après avoir récupéré l’intégralité de mes affaires.
Sur l’autoroute il y a plus de voitures qui descendent vers le sud que celles remontant vers le nord.
Qu’importe, je suis dans une voiture remplie de cuir enivrant.
Je suis confortablement installée, la main que j’ai décidé de suivre posée sur ma cuisse nue.
J’ai mis un débardeur, sans soutien-gorge et un short ras mon sexe de femme comblée sans petite culotte bien sûr.
Jason se moque des radars car par deux fois, je souris à la photo quand un flash se déclenche.
Je me garde de lui demander des explications car à presque 200, il est préférable d’éviter de détourner son attention, sachant aussi que les hommes sont très pointilleux sur leur façon de conduire leur véhicule.
Porte d’Orléans après un léger bouchon quand les deux autoroutes venant du sud se retrouvent puis la traversée de Paris nous arrivons dans le quartier de l’Opéra où il a dit habiter.

- Petite caille regarde c’est là que je travaille dans cet espace dédié aux femmes.
Demain tu trouveras robes et maquillages autant qu’il t’en plaira pour continuer à être aussi belle que maintenant.


Espace dédié aux femmes, presque un grand magasin sur trois étages.
Cent mètres plus loin, il entre dans une impasse et arrête la voiture devant une porte coulissante qu’il ouvre avec sa télécommande dans ce qui devait être un ancien garage.
C’est sûr, la porte ouverte, nous entrons dans un espace où se trouvent plusieurs voitures certainement de collection dont une devait être de course, vu le numéro 14 peint sur son flanc.
L’ancien pont pour lever les voitures est toujours là ainsi que, dans un coin, un palan pouvant certainement soulever plusieurs fois mon poids.

- On a acheté cet endroit sans savoir qu’en faire.
C’est bien pratique pour ranger les voitures, surtout depuis que nous avons aménagé une porte nous permettant d’aller facilement jusqu’à notre ascenseur et monter à notre étage.

C’est ce que nous faisons, je découvre l’univers où je vais vivre dès ce jour.
En route il m’a précisé ses envies.
Dès demain matin, nous devons aller vider ma chambre d’étudiante afin que je vive avec lui.
Un vrai conte de fées, dont je suis la princesse, dans son palais des mille et une nuits.
Nous visitons la cuisine à l’américaine.
Je sens que je vais pouvoir lui préparer de bons petits plats.
Une salle avec une grande baie vitrée est ouverte sur le balcon et ses transats.
J’approche du bord, je vois les toits de l’Opéra et la pointe de la tour Eiffel.
La chambre est un peu en désordre comme si quelqu’un avait dormi il y a peu.
Il en va de même pour la salle de bains.

Mais c’est dans une autre pièce qu’il m’entraîne.
Un lit immense permet à cette chambre immense de paraître normal.
La salle de bains est commune à ces deux pièces.

Jason après ce voyage me tend les bras, après avoir posé nos deux sacs.
Il ouvre les robinets et démarre le système de bain moussant.
Il me déshabille, vu ce que j’ai sur mon dos, c’est fait en un éclair.

Il m’imite et nous prenons un bain réparateur après ce long voyage.

- Tu as faim, je suppose, pomponne-toi.
Il y a des peignoirs ici et viens me rejoindre je vais voir ce que ma gouvernante m’a préparé connaissant la date de mon retour.

C’est la première fois que je fais l’amour à l’intérieur d’une baignoire, fut celle de Jason plus proche d’un Jacuzzi que de la douche de ma chambre que je vais quitter demain.
La table est mise sur la séparation entre les deux pièces et après m’être juchée sur de hauts tabourets, je déguste des légumes froids en salade et des fruits suivis d’un bon café.

- Sophie, viens t’allonger sur les transats, nous allons profiter de la quiétude de la nuit pour contempler les étoiles.

C’est nu que nous sommes car depuis notre arrivée, après avoir mangé, nous avons laissé tomber tous nos vêtements.
Je me laisse guider et c’est main dans la main que nous nous endormons, ayant simplement eu le temps de voir la voute étoilée.
Au matin, comme au cap, j’émerge, Jason est dans la maison et prépare le petit déjeuner qu’il m’apporte et dépose sur une table basse.
J’avale avec envie, le café et les tartines.
Après avoir mangé un bœuf, j’enfile des affaires propres et nous redescendons pour reprendre la voiture afin d’aller récupérer toutes mes affaires.

Nous arrivons sous les toits.

- Moi aussi je vois la tour Eiffel en montant sur cette chaise et en ouvrant ce vasistas.
- Je peux voir.

Je mets la chaise en place pour le faire monter.
Dès qu’il a le corps à moitié sorti, je saisi son pantalon de survêtement, dégageant sa queue d’ébène.
Avant de le sucer, j’éclate de rire.

- Petite salope, tu m’as piégé, mais j’adore.
Seul le mur de l’immeuble d’à côté est devant mes yeux.
Tu voulais une nouvelle fois me sucer, essaye de la rentrer le plus loin possible.

C’est avec plaisir que j’essaye ma première gorge profonde.
Il va sans dire qu’il est tellement imposant quand il bande, qu’il reste plus de dix centimètres à l’extérieur.
J’y mets la main et je le masturbe.
J’ai bien déjeuné, mais un peu de sperme est loin de me déplaire.
Quand je dis un peu…

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