Le Manoir Du Péché...
LA LOCATAIRE
Mauricette, locataire du domaine dont jétais le gardien se tenait comme tous les jours, sur sa terrasse. Moi pour lépier, en face planqué dans le bosquet. Là où je me trouvais il était impossible pour elle de me voir.
Elle était mariée avec un mec qui passait le plus long de son temps à entretenir sa voiture. Un couple comme bien dautres. Dont leur drame faisait occasionnellement mon bonheur. Pour un chasseur daventure sexuelle comme moi. Deux personnes qui sétaient aimées au début. Avec amour. Mais qui au fil des années la banalité coutumière sétait installée. Exterminateur des sentiments. Avec comme fond de toile, labsence de relation sexuelle.
Les jumelles vissaient à mes yeux, un éclair me traversa. Javais tout à coup limpression davoir déjà vécu une scène semblable. À la même place, à faire les mêmes gestes. Mon cur saffola. Mais pas assez pour me mettre en transe.
Là-bas sur sa chaise, assise les jambes croisées, une tasse de café sur la table tout proche delle, Mauricette ouvrait lenveloppe rose que je lui avais fraichement envoyée, et que le facteur venait de mettre dans la boite à lettres. Anonymement bien sûr. Elle y sortit le courrier. Ma dernière uvre libertine, spécialement écrite pour elle. Une activité périodique chez moi. Comme dhabitude je me sentais à cet instant intensément fébrile. Attendant anxieusement sa réaction. Si elle allait la lire ou la déchirer. Ce qui ne cétait jamais produit au court des précédentes fois.
Comme elle navait jamais montré non plus, un besoin de ce satisfaire en parcourant les lignes. Cétait pour moi comme une sorte de loterie. Allait-elle aujourdhui franchir le pas. Et moffrir un spectacle affriolant. Le pourquoi de ma planque ce matin-là. Mais ce quelle tenait en main était de la bombe. Cette fois je métais surpassé. Passant dune écriture érotique à celle très hard.
Elle déplia la lettre et sans faire attention à ce qui pouvait bien se passer autour delle, Mauricette plongea dans la lecture de mon courrier, alors que je mintéressais à ce qui se trouver sous la table.
pouvais voir dessous. Elle avait de très jolies jambes à la peau très blanche. Malgré ses nombreux passages sur la terrasse ensoleillée. Des chevilles fines. Des mollets un peu ronds.
Ses cheveux longs couleur paille encadraient son visage aux traits fins et agréable. Elle portait un débardeur sans manche et une jupe jaune très éblouissant. Sans lever le nez du courrier, elle hocha plusieurs fois la tête comme si elle répondait aux lignes quelle lisait.
Relevant une jambe, dévoilant par ce mouvement tout son entrecuisse. Japercevais pour ma plus grande joie, le triangle jaune dune culotte. Un mince sous-vêtement en nylon, qui moulait à la perfection la bosse dun pubis. De même que la forme dun sillon. Pour la première fois, je la surpris en train de poser une main sur sa cuisse et la remontait sous lombre de sa jupe. Effleurant son sexe à travers sa culotte. Son comportement était inespéré, mais bandant.
Elle se conduisait comme si elle était seule. Ignorant dans létat quelle me mettait. Et tout cela en étant absorbée par sa lecture. Elle se caressait en toute naïveté à travers son sous-vêtement.
Jétais aux anges. Elle se permit tout de même de suspendre un instant sa caresse, ainsi que sa lecture pour retirer ses bras des manches. Ce qui eut pour effet de faire retomber le haut de son tee-shirt sur son ventre. La poitrine était enveloppée dun soutien-gorge jaune et ouvragé. Les mains glissées derrière son dos, et allaient dégrafer le dernier rempart. Exhibant sa belle poitrine. Elle se tenait fermement. La peau était aussi laiteuse que ses cuisses. Les longues pointes dardées étaient framboise. Ils bougeaient au rythme de sa respiration saccadée. Trahissant son émotion.
Il nen fallait pas plus pour que ma queue soit parcourue de fourmillements. Un désir, volé et honteux se ficha dans mes reins. Elle écarta les cuisses. Autorisant mes yeux de la caresser.
sa fente à travers le tissu. Appuyant sur le clitoris dressé. Alors quavec lautre main elle se malaxait la poitrine. Comme elle laurait fait avec une pâte à pizza.
Je ne vous cache la tête quelle ferait, si par pur hasard elle sapercevait de ma présence. Sa fente sentrebâillait. Doù les bourrelets charnus suintaient. Brillant au soleil. Colmatant quelques mailles du nylon, de sa substance. Jétais émoustillé plus que jamais par la situation. Très vite tenté par une masturbation. Dont la jouissance me démangeait. Je baissais sa fermeture Éclair de ma braguette et me retrouvais avec une verge raide dans ma main.
Tenant la paire de jumelles de mon autre main, je dévorais son entrejambe. Me demandant quelle était la couleur sa touffe pubienne. Plus clair que ses cheveux;
Mon souhait fut très vite comblé, puisquelle se débarrassa de sa culotte. La laissant choir sur le béton de la terrasse. Entre les cuisses longues et fermes mapparut une toison claire. Épaisse et lustrée. Couronnait dune fleur aux pétales violacés, larges et charnus. Une sorte de plante carnivore.
Mauricette écarta lentaille sexuelle que je parcourus grâce aux jumelles. En haut de la fente, le bourgeon rose du clitoris pointait. Elle le pinça doucement, avant de le faire rouler sous son index. Il réagit tout de suite. Se redressant comme un petit pénis en érection. Elle revint sur la vulve ceindrait deffluves salins. Elle glissa ses doigts entre les replis de chair molle qui suaient dune mouille gluante. Comme un blanc duf.
Je me touchais, les yeux rivés sur lentrejambe de ma voisine. Calquant mon rythme avec le sien. Soudain de derrière le fourré me parvenait un bruit de pas. Écartant quelques branches, je perçus un couple dont la femme rousse ne métait pas inconnue. Ils se dirigeaient un peu à lécart de la route.
Lhomme sadossa debout contre un chêne, alors quà ses pieds la rousse se démenait avec son pantalon.
présent. Elle était la voisine du bout de la rue. Mais lhomme quelle pompait nétait pas son époux. Ça, jen étais certain.
Elle faisait coulisser adroitement le sexe de son partenaire entre ses lèvres. Émettant des bruits de succion à la fois obscènes et excitants. Sa langue sactivait autour du membre dur qui allait et venait dans sa bouche. Titillait le gland avant den lécher la base de façon experte. Elle ne le sortait de sa bouche que le temps de reprendre sa respiration avant de le gober à nouveau.
Dun coup dil du côté de la terrasse, je maperçus que Mauricette était loin dêtre dégoutée par ce quil se passait sur le sentier. Elle était comme hypnotisée par ce quelle voyait. Ne pouvant détacher son regard de la scène.
Un coup de jumelle pour apercevoir quelle avait glissé son doigt au plus profondément de son intimité, luisante. Quelle fit coulisser plus rapidement. Se mordant les lèvres pour ne pas gémir. Et par la même occasion de se faire repérer par le couple. Un second doigt rejoignit le premier. Toute à son plaisir et les yeux perdus dans le vague, Mauricette ne faisait presque plus attention au couple qui continuait à se donner du plaisir quelques mètres plus loin.
La rousse avait accéléré la cadence. Pompant le sexe presque violemment. Comme si elle était pressée den finir. Celui-ci, émettant des grognements de plaisir de plus en plus forts. Agrippa la tête de la rousse et lattira à lui. Quelques instants plus tard, tandis que la rousse reprenait sa respiration, lhomme remontait son pantalon.
Puis le couple disparu comme il avait apparu. Le silence reprit sa place. Sur la terrasse Mauricette avait continué de se doigter frénétiquement. Le visage écarlate, elle fut très vite prise dun long orgasme.
Mais pas le temps de se remettre de son orgasme quune sonnette de téléphone se fit entendre.
- Mais
mais en voilà des manières
petit voleur
- Comment ça petit voleur ?
- Faites pas linnocent. Je vous ai surpris en train de chaparder ma culotte.
- Comme je vous ai surpris en train de vous envoyer en lair sur votre terrasse.
Elle en avait perdu de sa superbe.
- Mais vous fabulez mon pauvre type
vous confondez vos désirs pour la réalité. Fit-elle en tournant des talons, prête à retourner chez elle.
Mais je lattrapais brusquement par le poignet. Et portais sa main droite vers mon nez.
- Putain
ça sent la moule.
Immobilisée, jen profitais pour glisser mon autre main sous sa jupe. Fourrageant avec mes doigts, sa toison humide. Des larmes dans les yeux elle me supplia :
- Vous nallez pas
pas me violer
au moins. Fit-elle en mattirant jusquà lentrée de sa demeure dont la porte était grande ouverte.
- Non
non. Je vous interdis de rentrer chez moi. Me tirant à lintérieur et referma la porte derrière moi.
- Mais vous êtes fou
que comptez-vous me faire.
- Moi. Mais rien
répliquais-je.
- Ça vous a plu, tout à lheure ? Demanda-t-elle.
-
. Heu ! Oui beaucoup
un vrai supplice.
- À oui ! Tu men vois ravi.
- Voir et ne pas toucher.
- Quest-ce que tu attends alors ? Touche-moi
Elle me déboutonna le pantalon. Baissa ma fermeture Éclair de ma braguette. Et fourra sa main dans mon slip. Malaxant ma verge comme elle lavait fait plus tôt avec sa poitrine.
- Tu es vraiment un horrible personnage. Me forcer à vous mettre ma main dans ton slip. Moi une honnête femme. Jespère que cela va sarrêter là. Que tu ne vas pas me forcer à te mener jusquà ma chambre
Elle me saisit par la queue et me remorqua jusquà une pièce au fond du couloir. Comme javais les chevilles entravées par le pantalon cétait à petits pas que je franchis la chambre. Parfaitement rangée.
- Non, il ne faut pas, je ne saurai pas, je nai jamais trompé
.oh mon dieu
Non cela ne se peut pas
je suis une honnête femme, moi, cest mal
Oh seigneur comme cest doux. Humm
jadore ta queue Elle me poussa sur le lit. Je me reçus sur le dos. Elle en profita de me déchausser, et dans lordre dôter mon pantalon, mon slip mes chaussettes.
- Tu es content à présent. Comme tu me la dis je tai déshabillé comme
? Fit-elle, les yeux exorbités par le désir. Rivés sur ma queue dure comme du bois.
Elle menjamba et à laide de sa main, elle guida sa verge jusquà son puits damour. Et se laissa tomber. Sempalant dessus avec un soupir dextase.
- Putain ! Quel toupet
forcer une femme mariée de ce conduire pire quune prostitué
dans son lit conjugal
tu mérites la prison
oui la prison
Ses hanches se mirent à onduler de plus en plus vite. Bientôt ponctué de plaintes rauques à chaque fois que ma queue linvestissait, la possédait. Elle mavait englouti au plus profond delle-même. Le rythme saccéléra encore. Jhaletais, éperdu de plaisir, tandis quelle gémissait, en envoyant des tonnes de :
- Oui
oui
oui
Elle avait joui, mais pas moi. Et je comptais y parvenir. Mais pas par là. Dailleurs javais limpression de nager à lintérieur. Je lavais sorti toute poisseuse pour la guider vers lautre ouverture.
- Mais dit-moi, que comptes-tu faire là
- Tu vas voir
tu vas aimer aussi de ce côté
.
- Ah oui ! Fit-elle, en se laissant retomber de tout son poids.
La bague brune sécarta, gobant mon gland comme une bouche pleine de salive. Mauricette avait eu un étrange ronronnement de satisfaction. Jétais serré dans une gaine brûlante et moelleuse. Elle resta immobile. Trois-quatre secondes, avant de se mettre delle-même à bouger.
Un mouvement insolite, une sorte dondulation du bas du corps qui faisait entrer et sortir ma queue. Une animation qui allait en saccélérant, tandis quelle se mettait à haleter, à geindre. Elle lâchait dune voix rauque.
- Oh que cest bon
Ce nétait pas que bon, cétait fabuleusement bon. Elle bougeait avec adresse, augmentant mes sensations. Elle respirait fort et balbutiait des choses incompréhensibles. Elle aimait vraiment ça. Et le montrer en accélérant le mouvement.
- Oui
haleta-t-elle. Oui
putain que cest fort
Le temps nexistait plus. Il ny avait que cette extase, ce plaisir inouï. Soudain, elle se cabra et gémit.
- Je vais jouir
Oui, je jouis.
Avec un grognement sourd, serrant plus durement les hanches de ma voisine, je lâchais ma semence au fond de ses reins. Moubliant au seul profit de son bonheur, elle me chevaucha ardemment. Jétais devenu le spectateur de son euphorie. Elle jouit une énième fois en sécroulant contre moi. Il lui fallut de nombreuses minutes pour revenir à elle.
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