La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1271)

Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode N°1264) –

Le couple suit Le Noble jusqu’au Chenil où un serviteur les accueille…

- Monsieur Le Marquis, je ne pensais pas que vous prendriez la peine de vous déplacer… Madame, Commandant, bonjour.
- Après l’information que tu m’as fait parvenir, ce midi, tu pensais que j’allais l’ignorer ?
- Je ne voulais pas vous importuner, c’était simplement pour vous en informer.
- Et tu as bien fait, j’apprécie ta rigueur… Quel box ?
- Le 17, Monsieur Le Marquis.
- Parfait, je te laisse retourner à tes tâches, je vais gérer la situation.
- Bien Monsieur Le Marquis.

Le Châtelain emprunte un couloir, suivi par le couple, jusqu’à une sorte de hangar où plusieurs cages sont alignées. Certaines sont vides, dans d’autres se trouvent un esclave nu, mâle ou femelle, la plupart présentent sur leur corps les traces d’une sanction récente. A l’arrivée du Noble, derrière les barreaux tous les esclaves se sont prosternés immédiatement, mains devant eux, fesses relevées, face contre terre. Tous, sauf un, qui est resté agenouillé, la verge encagée, c’est un esclave mâle dans la cage portant le numéro 17.

- Il est obligatoire et normal que Mes chiennes et chiens du Chenil se prosternent à Mon arrivée, gronde Monsieur Le Marquis auprès du résident du 17.
- Je suis désolé, Maître, je ne savais pas, répond l’homme toujours à genoux.
- Walter ne t’en a pas informé ? Alors soit ! Mais maintenant tu es au courant, qu’attends-tu pour t’exécuter ?, accuse-t-Il d’une voix grave.

L’esclave finit par comprendre et se prosterne à son tour, sans présenter ses excuses pour avoir tarder, ce qui étonne Vanessa. Le Noble regarde le couple, voyant Laurent le sourire aux lèvres, comprenant de quoi il retourne et, Vanessa attentive qui tente de comprendre la situation.

- Tu te demandes pourquoi nous sommes ici, n’est-ce pas Vanessa ?
- Je pensais que nous venions voir un soumis méritant, que Vous seriez venu récupérer pour lui faire l’honneur de sa présence auprès de Vous ce soir, ça doit être la seule raison de Votre venue au Chenil, répond la jeune femme.


- En général, je ne prends pas la peine de Me déplacer pour venir jusqu’ici, pour cela. C’est Walter qui se charge de ça…
- Je doute que ce soumis soit méritant, il en est même loin, il faute, ne présente pas ses excuses et réagit tardivement pour corriger son comportement. Il ne porte pas Votre marque, mais Vous appelle Maître, j’en conclue qu’il est un novice à l’essai.
- Conclusion parfaite ! Je constate, une fois de plus, que tu maîtrises à la perfection les comportements, ou non, que doit avoir une soumise ou un soumis sous Mon joug. Donc, pourquoi sommes-nous ici ?
- Le fait que Vous Vous donniez la peine de le visiter, me laisse penser qu’il a fauté lourdement, tout du moins suffisamment lourdement pour que la situation ne puisse être réglée par Votre serviteur et, en l’absence de Votre Majordome, Vous avez décidez de prendre les choses en main.
- Comment es-tu au courant de l’absence de Walter ?, s’étonne Le Noble.
- Son absence lors de notre arrivée m’a mis la puce à l’oreille, le fait qu’on ne l’ait pas vu tout au long de l’après-midi et, surtout le fait que Vous veniez au Chenil personnellement régler un problème qui est en général de son ressort.
- Décidemment…qu’est-ce que tu ne sais pas ?, s’amuse Le Châtelain.
- La faute qu’a commise ce soumis, sourit Vanessa.
- Evidemment ! Eh bien, ce chien a passé une bonne partie de la journée à se faire entendre, il a E-X-I-G-E de Me voir, réclamant le droit, oui j’ai bien dit le droit, d’être à Mes pieds.

Vanessa se demande comment ce soumis a bien pu croiser la route de Monsieur Le Marquis et, comment il a pu terminer au Chenil du Château, avec si peu de perspicacité sur la place de chacun dans le milieu D/s.

- Mais être à Vos pieds n’est pas un droit, c’est un privilège, un honneur, que Vous n’octroyez qu’aux plus méritants, précise Vanessa.
- Exact, as-tu entendu le chien ?
- Oui Maître, répond l’homme d’une voix penaude.

- Tout est dit, je te ferai cet honneur, lorsque tu auras prouvé que tu le mérites. Pour l’heure, tu vas être sanctionné pour avoir agi ainsi. Avec mon aval, il arrive parfois que les chiens réclament eux-mêmes leur punition et, proposent la sanction à appliquer. Mais comme tu n’y connais strictement rien, c’est une soumise expérimentée qui va décider pour toi et mon ami ici présent qui se chargera d’appliquer la sanction.

Disant ceci, Le Châtelain se tourne vers Vanessa, la regardant le sourire aux lèvres, attendant sa proposition. Elle se tourne vers Laurent, cherchant la bonne réponse, mais il se contente de lui sourire, lui faisant signe de la tête qu’il ne l’aidera pas dans ce choix. Elle réfléchit un instant, le comportement de ce soumis mérite une sévère sanction, sanction qu’il sera certainement bien incapable de supporter jusqu’au bout. D’un autre côté, elle doit prendre en compte le fait qu’il soit novice, cette sanction a donc plus une vocation éducative que punitive. Elle hésite, le martinet serait trop doux, le fouet trop dur, elle choisit donc la badine. Pour le nombre, elle se doute qu’il n’a encore jamais subit plus de 10 coups à la suite, 50 serait juste, mais trop élevé, elle choisit donc de couper la poire en deux.

- 25 coups de badine, Maître, me semble être une sanction à la hauteur de sa faute, annonce-t-elle tout haut.
- Seulement ? C’est ce que tu aurais réclamé si c’était toi qui avait commis cette faute ?, s’étonne Le Noble.
- Au risque de paraitre présomptueuse, Maître, je ne pense pas pouvoir faire une telle erreur, mais si j’avais dû la faire, je pense que j’aurai réclamé le triple et certainement le chat à neuf queues.
- Donc pourquoi autant d’indulgence ?
- Parce qu’il est novice, moi c’est différent, j’ai l’honneur de porter Votre marque, Vous ne sanctionnez pas de la même manière les soumis de Votre cheptel et ceux qui aspirent à en faire partie.
- Bonne réponse ! Tout cela est fort juste donc qu’il en soit ainsi, répond Monsieur Le Marquis faisant signe à Laurent qu’il peut disposer du soumis.


Le Commandant ouvre la cage, se saisit de la laisse du jeune homme et le tire hors du box, le plaçant au centre du couloir à quatre pattes. D’ordinaire, il apprécie mieux sanctionner les esclaves debout, mais celui-ci est beaucoup trop novice pour supporter la badine sur ses deux pieds sans flancher. Il lui place la dragonne de la laisse dans la bouche, puis se dirige vers le mur pour choisir une badine parmi les nombreux instruments de corrections qui y sont accrochés.

- Tout véritable soumis aurait dû subir cette sanction debout, en comptant chaque coup, mais tu es bien loin d’en être capable, et bien loin de mériter ce titre, annonce Le Commandant d’un air dédaigneux tout en parcourant son corps de la badine. Je n’attends de toi que le silence et l’immobilité, si tu romps un de ces deux principes, je recommence à zéro. Pendant toute cette période, tu vas lever les yeux sur Le Maître, Monsieur Le Marquis d’Evans, et ne pas détacher ton regard, sous peine de sanction plus lourde.

Le Noble se place face à lui, l’observant de sa hauteur et de Ses grands yeux bleu, ronds, profonds, Dominant, un regard pénétrant l’âme et que l’on n’oublie pas, un regard qui en impose à lui seul … L’homme peine à lever les yeux, il le fait très timidement. Face au regard impassible, froid, puissant, Dominant du Maître, le soumis rougit comme une tomate. Il voit Vanessa à Ses côtés qui patiente la suite des évènements, sans ressentir véritablement de pitié pour cet homme, elle songe simplement qu’il n’a pas sa place dans ce monde ou qu’il n’est pas encore prêt à y être….

- Retire ta robe, salope, lui souffle Le Noble à l’oreille.

Sans perdre un instant, Vanessa s’exécute, laissant choir le bout de tissu au sol, s’agenouillant, entièrement nue aux pieds du Châtelain, en parfaite position d’attente, seulement parée de ses chaussures à talon.

- Mets-toi à quatre pattes, Ma chienne, face à lui.

A peine a-t’Il donné Son exigence, que la jeune femme est en position, face au soumis qui ne peut la manquer.
Le Châtelain se saisit d’un martinet et commence à faire rougir le cul de Vanessa, mais ses coups sont doux, presque des caresses, ils n’ont que pour vocation d’éveiller les sens si réceptifs de la jeune femme, ce qu’Il obtient rapidement puisque son sexe devient luisant de son plaisir. Il pose le martinet et fait signe à Laurent de commencer alors qu’Il se place derrière Sa soumise pour la saillir à même le sol d’un coup de reins lent mais profond. Vanessa sent ainsi La noble Verge la pénétrer avec douceur, prendre possession d’elle et c’est avec émotion qu’elle Le reçoit. Le soumis qui lui fait face ne peut ignorer le plaisir qu’elle affiche sur son visage alors qu’il reçoit le premier coup, envoyé par le Commandant. Le soumis serrant les dents sur la dragonne pour ne pas crier. Monsieur Le Marquis prend Keira MDE au rythme des coups de badine, comme une double peine pour ce novice qui comprend que seuls les plus méritants peuvent obtenir les considérations du Maître. Le plaisir de Vanessa monte, de petits gémissements se font entendre, alors que Laurent qui dose ses coups arrive à la fin de la sanction.

- Tu as envie de jouir, chienne ? dit distinctement le Maître en parlant à Sa soumise tout en fixant du regard le chien soumis en train de recevoir les derniers coups
- Oui Maître.
- Te l’ai-je permis, soumise Keira MDE ?
- Non Maître.
- Donc que vas-tu faire, chienne ?
- Me retenir Maître, dit-elle serrant les dents pour réprimer son plaisir.

Le Maître des lieux accélère alors le mouvement jouissant dans la chatte trempée de Sa soumise Keira MDE avant de se présenter devant elle pour qu’elle le nettoie, ce qu’elle fait sans tarder, sous le regard du soumis plus rouge qu’une écrevisse. Le vingt-cinquième coup vient de tomber, le cul du soumis présente de large traces rouges qui irradient encore tout son corps. Il garde les yeux sur Le Noble comme exigé mais avec difficulté tellement il se sent gêné, inférieur par rapport au regard Dominateur du Châtelain, tout en voyant Vanessa profiter de l’honneur de L’avoir en bouche… A peine a-t-elle terminée qu’elle se prosterne à Ses pieds immédiatement sans attendre, mains devant elle, face contre terre sur le côté, les fesses relevées, exhibant ainsi ses parties intimes au soumis.

- Maître, je Vous remercie de l’honneur que Vous venez de me faire, dit-elle d’une voix forte pleine de sincérité.
- Un honneur ? Tu en es certaine ? Pourtant tu n’as pas joui.
- Mon plaisir est Votre plaisir Maître, je suis honorée que Vous l’ayez atteint en moi.

Le Châtelain le sait parfaitement, ce moment théâtral n’a que pour vocation de faire comprendre au soumis la réalité de ce monde de la Domination/soumission, de sa place, de ce qu’il peut espérer.

- Allonge-toi sur le dos, chienne.

La jeune femme obtempère, se plaçant sur le dos, jambes largement écartées face au soumis, du sperme s’échappant de son sexe encore gonflé de plaisir.

- Chien, pour te récompenser d’avoir subi cette sanction sans faute, sans avoir crié ou émis un seul son de ta bouche, je te fais l’honneur de gouter à mon sperme, nettoie-la parfaitement avec ta langue de petit chien… Et toi, Ma soumise, si tu souhaites jouir sous ses coups de langue, je te l’autorise.

Vanessa a véritablement envie de jouir et espère que cet homme sera à la hauteur pour lui permettre d’atteindre l’orgasme. Il s’approche à quatre pattes, pose timidement sa langue sur le sexe luisant de la jeune femme et commence à donner de petits coups de langue, bien trop timides au goût de Vanessa.

- Mieux que ça, Le Maître dit parfaitement, applique-toi, enfonce ta langue, ne perds pas une goutte, gronde Le Commandant tout en assénant un coup de badine supplémentaire sur son fessier rougi.

L’homme s’active d’avantage, mais bien qu’il n’oublie aucune partie du sexe de la jeune femme, il est bien trop maladroit pour qu’elle espère atteindre la jouissance. Après de longues minutes à lécher, le sexe de la jeune femme est propre de toute trace de sperme.

- Cela suffit, rentre dans ta cage, ordonne soudain Le Noble.

Tête basse, le visage rouge de confusion, la verge encagée, le soumis obéis sans tarder, peu désireux de subir une autre sanction, et se prosterne devant Monsieur Le Marquis qui referme ensuite la cage, sans plus de considération pour ce chien soumis. Puis Il se dirige vers Vanessa, il ramasse sa robe et lui tend la main pour l’aider à se relever.

- Rhabille-toi, dit-Il en lui tendant sa robe.
- Merci Maître.

Vanessa passe sa robe, puis hésite de la conduite à tenir, restant en retrait, debout, attendant un signe. Laurent vient à son secours et la prend par les hanches, la collant à lui. Monsieur Le Marquis sourit, heureux de voir Laurent si amoureux et si protecteur envers sa future femme, fier d’avoir permis cette union prochaine.

- Bien, nous avons perdu suffisamment de temps en ces lieux, partons.

Le couple suit Le Noble jusqu’au salon privé où ils s’installent pour discuter de divers sujets, Vanessa prenant librement part à la conversation, collé à Laurent, le serrant amoureusement…

(A suivre …)

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