Collection Escorte. Bourgeoise Et Pute (1/1)
- Edwige Les tarifs sur ton site, ce sont bien les bons !
- Pourquoi tricherais-je, bien sûr.
- 150 la pipe, 300 la chatte et 500 la sodomie.
- Oui, cest exact.
Et comme vous semblez douter de tout, sachez que ma tête est floutée, mais mon corps est celui que vous avez vu.
- Pour la nuit, quel est le tarif, vous avez oublié de le stipuler.
- La nuit, il faut que je réfléchisse car à ce jour, jamais on ne ma proposé de baiser toute une nuit.
Faites une proposition !
- 3 000 .
- Cest trop, jaurais limpression de vous voler votre argent.
Une pute sur les réseaux vous en trouverez des centaines qui soccuperont de vous aussi bien que moi pour moins cher.
- Cest vous qui mavez tapé dans lil.
- Cest 3 000 où je raccroche, tant pis.
- Non, voilà mon adresse.
Le moment le plus long depuis que je vends mon corps pour un moment de plaisir, cest le moment le plus existant que je connaisse.
Blanc, gros, petit, black, jaune.
Jaune cest rare, en France ils sont discrets et ont leur vie en vase clos.
Moment où la surprise va être totale.
Il y a ceux qui, quand ils appellent, font exprès de montrer leur visage sur leur téléphone.
Des fois ce sont les bons, des fois ce sont des photos glanées sur Internet, de vagues sosies, mais mieux queux.
Des cons, la seule chose qui mintéresse, cest leur queue, seulement leur queue.
De nombreuses queues, le maximum de queues.
Tout a commencé il y a six mois, non sept.
Dans ce temps bien lointain si je compte en nombre de bites, jétais ce que lon appelle une bonne bourgeoise de province, oisive.
Mon mari Benoît était chirurgien-dentiste.
Il lest toujours mais sans ma présence.
Il lest dans lun des quartiers de Paris les plus riches, grande ville comparée à celle où je tapine grâce à Internet.
Il y a environ sept mois que ma vie a basculé.
Depuis longtemps, javais limpression dêtre une occasionnelle pour mon mari.
Il me baisait à temps perdu, vite fait certains soirs où aucune de ses clientes ne lui avait donné sa dose de sexe.
Le reste du temps, cest la masturbation qui me donnait le plaisir dont chaque femme a besoin.
Cest par Internet que je métais fait livrer un gode avec stimulateur de clito, même si une bite cest mieux.
Un jour, tout a déraillé, javais rendez-vous avec Marie, celle à qui lon donne le bon Dieu sans confession.
Javais changé de sac à main et au moment de payer le resto, mon portefeuille brillait par son absence.
Sans problème, Marie a payé.
Nous devions aller faire les soldes, attention pas à Carrefour, Leclerc ou Auchan, mais dans les quartiers chics de Paris, près de lOpéra, à deux doigts dun célèbre palais.
Nous étions à quelques centaines de mètres de chez moi et du cabinet de Marc.
Je suis montée, Marie mattendant dans le café faisant face à mon chez-moi.
Jai ouvert afin déviter que Simone ne soit dérangée dans son travail.
Je lui avais donné lordre de frotter largentique.
Je lai vue, sorti sur la table de la salle à manger, mais point de bonne.
Un bruit venant du couloir menant vers les cuisines ma intrigué.
Jai avancé, le bruit devenait de plus en plus suspect.
- Ah, ah, ah.
Monsieur vous êtes gros, mais cest bon, continuez à menculer, vous êtes le premier.
Jai réduit la distance, Monsieur, cétait monsieur qui sautait la bonne.
Monsieur me trompait, mon sang a bouilli dans mes veines, non pas parce quil me cocufiait, ça je le savais depuis longtemps, mais faire ça avec la bonne, impossible de le supporter.
La sodomisant en plus.
Je suis partie dans notre chambre, jai ouvert mes armoires et fais ma valise.
Jai appelé un taxi, je suis descendue dès que jétais prête sans oublier mes papiers.
Je me suis engouffrée dans le taxi que javais appelé et direction la gare de Lyon.
Jai vu Marie qui semblait estomaquée que je parte comme une voleuse, elle était encore assise à la terrasse de son café.
Je suis montée dans le premier train en partance, sans billet et sans savoir où jallais.
Un coup de folie, un arrêt, je me suis aperçue que nous roulions vers le centre de la France.
À un moment, après avoir dormi, jai décidé que la première gare où nous arriverions cétait là le but de mon voyage.
Hôtel, promenade sur les bords de Loire, faire un break dans cette ville, cétait plaisant.
Je voulais me donner du temps pour peaufiner ma vengeance.
Le fric, qui lui a permis de sinstaller dans lun des quartiers les plus huppés de Paris, cest le mien, celui de ma famille.
Sans moi, il serait un petit kinésithéute de province, d'un lieu d'où mes cul-terreux de beaux-parents sont originaires.
Il était beau, je lui ai donné mon corps, au début il prenait soin de moi.
Il avait une queue dont il savait se servir.
Certes, il était loin dêtre le premier, mais jai cru en lui.
Je lui ai redonné le goût des études et lai aidé à avoir ses diplômes.
Il aimait faire la fête, je le tenais sur ses bouquins, me contentant de me faire baiser pour lui relâcher le cerveau.
Jai réussi, je lai installé en même temps que jachetais lappartement où il a osé sauter la bonne.
Quand jai ouvert la porte de son cabinet où javais fait installer le meilleur matériel acheté dans la plus grande enseigne, il en a été reconnaissant.
Jai été la première prise sur ce fauteuil, jusquau jour où jai découvert quil sautait certaines de ses clientes, sous-couvert de les décontracter avant de subir sa fraise, la plus rapide sur le marché.
Comme je lai dit au début de mon histoire, ces bourgeoises, aucun problème, mais enculé le bas peuple, cétait se sortir de notre milieu et me faire cocue.
Alors pourquoi faire la pute dans cette ville des bords de Loire ?
Je me sentais bien, mais lhôtel où jétais descendue était bruyant et en me promenant jai vu une pancarte « Meublé à louer ».
Je my suis installée.
Un soir, javais besoin dair, javais remarqué un bar, jaime le whisky et jai décidé daller siroter quelques verres.
Lalcool, remède aux peines de cur !
Un bar, un siège, une jupe remontant, montrant mes jarretelles tendant mes bas.
Un client voisin, qui vous offre un verre.
- Vous êtes seule, vous a-t-on souvent dit que vous étiez jolie.
Cest comme ça que ça commence, vous lui dites que vous voulez boire seule.
Il continue, se persuade que vous êtes une pute racolant et vous acceptez de lemmener dans votre meublé tenant votre vengeance.
Benoît baise des bonnes, je vais me faire baiser par tout ce qui bouge.
- Tes une occasionnelle, fait mieux que ça si tu veux que je revienne étant là chaque semaine, si tu sais me donner du plaisir, tu tassures un client fidèle.
Jaime tes seins, ni trop gros, ni trop petits.
Depuis les sept mois où je tapine, cest ce client qui ma incité à avoir mon profil sur ce site descorte.
Il avait raison, ça fonctionne du tonnerre, même dans cette petite ville.
Une pute à demeure.
Voilà comment et voilà pourquoi je vends mon corps par simple vengeance, bien que jy trouve mon compte.
Vous avez compris le pognon je men bas la queue de mes clients, seule ma vengeance mintéresse.
Vengeance, mais aussi le pied que je prends avec eux.
Je suis une pute jouissante sous leurs coups de bite.
Jai découvert grâce à eux que même quand ils menculent, je jouis par mon anus.
Jai découvert que jétais programmée pour donner du plaisir aux hommes qui savent men donner en retour.
Alors, jattends ce nouveau client voulant me sauter toute une nuit.
3 000 cest les restos du cur près de mon meublé qui vont être satisfaits.
Ma motivation à tromper Benoît avec toutes ces bites est tout autre que largent et chaque mois, je leur fais parvenir une enveloppe avec tous mes gains.
- Bonjours ma chérie, enfin je te retrouve.
Benoît, cest lui à qui je dois vendre mon cul pour 3 000 toute une nuit.
Je suis pute, je le fais entrer et je me fais enfiler toute la nuit.
Lui pense faire lamour à sa femme et arrive à la faire jouir, un étalon, il se prend pour un étalon.
Il croit quil a été plus malin que moi grâce à ma carte bancaire dont je me sers depuis que je suis ici et qui lui a permis de savoir où jétais.
Cest en attendant la sortie de mon meublé dun de mes clients quil a eu le site où je tapine.
- Chérie retournons à la maison, jai compris la leçon.
Marie ma dit que tu étais revenue chez nous ayant oublié ton portefeuille.
Tu as dû entendre ce que je faisais dans la cuisine avec notre petite bonne.
Je le regarde amoureusement, 3 000 de repas pour les nécessiteux, ça vaut bien mon plus joli sourire.
- Encule-moi.
- Ma chérie, tu me refusais ton anus, cest pourquoi jai craqué avec Laure.
Saligaud, il lappelle Laure.
- Tu sais, ce jour-là, cétait la première fois avec elle et avec toutes autres, je tai toujours été fidèle.
Jai envie de lui crier et avec tes bourgeoises sur ton fauteuil, tu te fiches de moi.
Bien sûr, jaccepte de revenir.
Dommage pour toi Benoît, le fric en mallongeant, en me faisant prendre en levrette, dans lentrée de mon meublé acheté à Paris où je me rends tous les après-midis, te faisant croire que je sors avec Marie entre à foison.
Surtout que jai deux chambres, jai initié Marie au sexe tarifé, vous vous souvenez celle à qui on donnerait le bon Dieu.
Jaide les restos de mon quartier où je vends mon corps, elle aide les petites surs des pauvres de son propre quartier.
Je vous laisse, cest un client qui mappelle, la vengeance est un plat se mangeant froid surtout quand on a appris à aimer le sexe.
Joubliais, Marie et moi avons Benoît dans nos clients, il nous baise pour pouvoir faire lamour au même tarif que les autres.
Si nous apprenons quil nous trompe, même avec une bourgeoise, nous reprenons tout ce qui a fait de lui ce chirurgien-dentiste de renom.
Texte corrigé par Anne ma muse.
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