Petite De Taille, Grande D'Esprit....
Le soir en rentrant du travail au lieu de me rendre chez moi, je me suis rendu du côté de chez Marie-Ange. Elle habitait dans un des quatre logements sociaux que possédé le village. Jai tout de suite sus quelle se trouvait chez elle, trahit par la lumière crû dune ampoule qui filtrée de sa fenêtre. Je nai pas pus résister à la tentation daller lui rendre une petite visite. Pour massurer quelle garderait bien le silence.
Jai jeté un regard autour de moi pour massurer que personne ne se trouvait dans les parages. Sachant très bien quil était absolument impossible de trouver âme qui vive, à cette heure là, de ce côté du quartier. Mais jai tout de même persistais à vérifier, cétant jamais ! Comme si je devais commettre un outrage ou un crime.
Jai poussé le portail et jai pénétré lespace qui resté tout de même privé. Je me suis avancé jusquà toucher le bâtiment. De la musique filtré de lappartement de Marie-Ange. Et ça, bien que tout soit clos chez elle. À travers la vitre jai pu voir la demoiselle saffairait au-dessus de lévier en gesticulant du cul au rythme de la musique. Un mètre cinquante à tout casser. Elle portait ce soir-là un tee-shirt. Assez moulant. De taille un peu juste pour elle. En dessous lourlet, un large bourrelet de chair nue débordait par-dessus la jupette.
Elle sest retournée, moffrant son visage allongé. Loin dêtre désagréable à voir, elle respirait la joie de vivre.
À voir le ballottement de ses grosses mamelles libres sous le tee-shirt, elle ne portait pas de soutien-gorge. Je la trouvais vraiment sexy, très sensuelle, malgré sa petite taille. Quel mâle résisterait à lappel de ce corps. Même ci cest une naine qui ce trouvait devant mes yeux.
Il men fallait pas plus pour prendre la décision dallait sonner à sa porte. Bien sûr à cause de la musique trop forte, elle na pas entendu le premier coup de sonnette. Comme elle na pas nen plus entendu la suivante.
- Mais ! Mais ! Maboya-t-elle. Il ne faut surtout pas vous gênez
- Je mexcuse mille fois, mais jai sonné deux fois sans réponse.
- Et alors ce nest pas une excuse pour rentrer chez les gens. Je rentre chez vous moi ?
- Je suis désolé.
- Vous pouvez y être. Bon ! Bon ! Pourquoi êtes-vous chez moi ?
- Un petit problème à résoudre.
- Je vous écoute.
- Cest à propos de Joëlle.
- Jen étais sûr. Et alors, quest-ce jai à voir, là ?
- A ce que je sache elle ta fait une confession ?
- Ah oui ! Fit-elle, un petit sourire moqueur aux lèvres. Et cest pour ça que vous venez memmerder, chez moi à cette heure ?
- Il faut que cela reste vraiment entre nous.
- Mais vous savez, de nos jours le silence à un prix !
- Lequel ?
- Là tout de suite, je ne sais pas
il faut que je réfléchisse.
Mille propositions folles sentrechoquaient dans mon esprit.
- Tu veux du fric, ou alors
- Ou alors ?
Je pris le temps avant dajouter :
- Je ne sais pas ! Ce que tu veux.
- Ah oui ! Ce que je veux. Alors entre et ferme la porte derrière toi. Passant du vouvoiement au tutoiement.
Ceci fait, je me suis retourné pour mapercevoir quelle mobservé, la bouche entrouverte, la tête penchée sur son épaule. Me considérant avant de dire :
- Mais ne reste pas là. Un Whisky ! Ça te va ?
- Va pour un Whisky.
- Va tinstaller sur le divan.
Sur son invitation, je me suis dirigé jusquau divan en velours de couleur rouge.
- Cest Joëlle qui ta dit quelle cétait confessée, à moi.
- Oui ! Qui dautre ?
- Tu ne le sais peut-être pas, mais elle et moi sommes suffisamment intimes pour partager certaines confidences.
- Elle ta dit quelle mavait confessé la manière dont tu as recueillis mon sperme.
-
la salope !
- Oui, comme tu dis.
- Et alors là, si je comprends bien, tu veux me baiser pour que je garde le silence.
- Je nai jamais dit ça ?
- Ah oui ! Jai pourtant cru comprendre que
- Je me suis peut-être mal exprimé.
- Je te déplais tant que ça ?
- Pas du tout ! Tout au contraire. Je tes toujours trouvé très sexy.
- Mais de là à passer à lacte il y a un monde ! Je reste quune naine.
- Où vas-tu cherché cela.
- Je le sens.
Elle a porté son verre jusquà ses lèvres et bu le contenu de son verre cul sec. Puis elle sest levée.
- Je ten sers un second Whisky ?
- Non, merci. Dailleurs il faut que je me sauve. Fis-je en me levant
- Je peux te demander avant de prendre la porte, de memplir le verre. Me fit-elle.
- Avec plaisir. Répondis-je en me saisissant du verre, et mavançant jusquà la bouteille posée sur la table.
Jai empli le verre et je me suis retournée pour mapercevoir quelle me faisait face, avec une pose provocatrice. Une lueur amusée apparut dans ses prunelles, alors quelle retroussait son tee-shirt. Faisant jaillir ses deux seins gros comme des obus. Oblongs et fermes, se terminant par deux aréoles très larges et turgescentes. Je suis resté muet devant le spectacle donné.
- Ils te plaisent ?
- Il faudrait être difficile.
- Alors quattends-tu pour me sauter dessus ?
- Ce nest pas mon genre de faire cette chose là !
- Alors casses-toi
Une fois nest pas coutume, jallais une fois de plus me laisser aller dans une nouvelle aventure de cul. Je me suis levé pour ça de ma confortable place pour aller me pencher sur elle. Ses seins étaient laiteux, zébrés de fines veines bleutées. Ornaient de larges aréoles brunes au centre desquelles se dressaient des tétons dune longueur étonnante. Vu la dilatation de ses mamelons, elle devait être particulièrement sensible aux attouchements mammaires. Saisissant ses seins dans chacune de mes mains, je les pressais lun contre lautre, leur donnant encore plus de dureté. La jeune fille commençait à gémir manifestement ravie de cette exploration. Encouragé par ses plaintes, jai tété un des mamelons, mordillant, léchant, laspirant.
Sous cette nouvelle caresse elle na pas pu sempêcher de haleter. Pour ne pas rester en reste, Marie-Anne a baissé ma braguette et elle a faufilé sa main menue à lintérieur. Elle a poussé un petit soupir daise en constatant que jétais en plaine érection. Elle a empoigné délicatement ma virilité pour la faire jaillir à la lumière. Ravie de ce quelle touchait, elle ma décoché un grand sourire.
Tout en restant debout, avec les yeux brillants Marie-Ange ma engloutit dans sa bouche gloutonne.
- Cest parti ! Grognais-je. En appuyant sur sa nuque afin quelle mengloutisse.
Sen est suivit un travail de succion. Au point que jai très vite sentis des picotements annonciateurs dun orgasme proche. Elle sest mise à mordiller le gland, puis à laspirer, à la téter consciencieusement. Branlant ma verge au rythme de ses succions. Avec tant dattention je ne pouvais que succomber. Abreuvant sa bouche de mets jets de plaisir.
Elle a prit bien soin de me toiletter la verge, et cela jusquà la dernière goutte. Ceci fait elle ma recraché, et sans un mot elle a grimpé sur le divan.
- Cela te dit de me prendre ? Me fit-elle en se trémoussant sur-place pour se soulager de sa culotte.
Soulevant sa robe du bout des doigts, elle ma exhibé son pubis soigneusement épilé. Il était aussi nu que celui dune gamine. Sans me lâcher du regard elle a relevé les genoux pour dégager la corolle nacrée qui sépanouissait entre ses cuisses comme un fruit gorgé de sève.
- Je pense que je vais te la sucer dans un premier temps.
- Ah oui ! Tu fais ça toi ?
Je me suis agenouillé, et pencher la figure au-dessus du sexe. Une odeur forte mest montée aux narines. Jai fouillé, léché, mordillé, les deux grandes lèvres avec un réel plaisir, avant de sucer vaillamment le bouton, déclenchant chez ma partenaire des gloussements, des soubresauts de tout son corps.
Puis jai dardé ma langue pour pénétrer son vagin. Allant et venant avec une atroce lenteur. Avant de me montrer plus gourmet. Après avoir poussé une plainte stridente, Marie-Ange a refermé ses deux cuisses sur ma tête. Là, elle sest mise à râler de plus belle, à crier aussi. Lorgasme digéré, elle a ouvert ses jambes pour me libérer et je me suis laissé tomber sur le sol.
Mes lèvres et le menton souillés par labondance de cyprine qui avait jailli de son sexe. Elle ma pris la main, et me tira à elle.
- Prends-moi
maintenant, tu entends ! Je veux que tu me baises
debout
Instinctivement, je me suis levé. L'odeur de sa chatte en bouche. Je lai aidé à grimper sur moi. Alors que je mapprêtais à la maintenir à la bonne hauteur, Marie-Ange sest chargée de guider ma verge dans sa chatte. Un incendie ma alors consumé. Jai agité mon bassin, tout en la maintenant fermement, les deux mains plaquées sur les fesses.
- Oh ! Je vais jouis ! Balbutia-t-elle. Le souffle court.
Elle ma enserré tant bien que mal, avec ses petites jambes. Je lui ai fait lamour comme un sauvage. Bestialement à en perdre le souffle. Mattelant à la besogner avec énergie. Alternant les va-et-vient avec des mouvements de rotation. Jai senti ma sève montée de mes reins. Je nai même pas pris la peine de me contrôler, alors que Marie-Ange a jouit dun coup, bruyamment. Avec un grognement de plaisir, qui précipita mon orgasme. Jai usé encore de quelques violents coups de reins avant de me répandre dans son sexe, tout en feulant de plaisir.
À bout de souffle je lai délicatement déposé sur le divan. Je suis resté captivé par la vue de son sexe englué de sperme et autres sécrétions.
Quelques jours plus tard jai eu le bonheur de lavoir au téléphone.
- Tu viens ce soir, mavait-elle dit.
- Pourquoi pas.
- Jai une surprise pour toi.
- Ah oui ! Je suis pressé de la découvrir.
- 20H00, cela te va ?
- Va pour 20H00.
Et cest sur ces derniers mots que jai coupé la communication.
À lheure dite je fus au rendez-vous. Je nai eu quà pousser la porte, cette dernière étant entrouverte. Devant moi au centre de la grande pièce aux murs blanchis à la chaux le lit. Sur le lit se trouver Marie-Ange nue. Son pubis bombé lisse, chauve était tout brillant. En son centre apparaissait une petite fente. Plus haut son clitoris dardé. À ses côté intégralement nue, si lon exceptait les bas noirs qui montaient très haut sur ses cuisses où les maintenaient de larges jarretière rouges, une autre naine, aussi brune que Marie-Ange. Elle me regardait fixement. Elle était un peu plus potelée que sa voisine. Elle avait de joli seins et une petite frimousse pas vilaine.
- Je te présente Mathilde. Une bonne copine. Fit Marie-Ange
- Oui
je vois ça !
- Jai quelque chose à te proposer qui devrait tintéresser dit Marie-Ange. Déjà elle écartait ses cuisses en une invitation dune rare impudeur. Les doigts en fourche, elle a écarté ses lèvres gonflées et exhiba son vagin trempé. Je ne pouvais détacher mon regard du trou profond et satiné.
- Quelque
que
chose ? Bafouillais-je.
- Du genre : veux-tu nous faire du bien
et te faire du bien
fit Mathilde.
Sans me quitter des yeux, cette dernière se peigner les poils de son pubis.
- Entre et ferme la porte, fit Marie-Ange.
Jai repoussé le battant derrière moi. Quand je me suis retourné la copine me fixait toujours. Je me suis glissé sur le lit. Elle a écarté les jambes pour me laisser la place entre elles. Jai approché mon visage de son sexe. Sa peau et ses bas avaient une odeur capiteuse. Sous lil avisé de Marie-Ange, jai tiré dabord ses poils du bout de mes lèvres, avant dhumecter le tour de son vagin avec ma langue. Son sexe palpitait. Je lai alors léché à petits coups. Je me suis délecté de lui. Mais aussi de sa mouille acide. Et des plis secrets où je me suis faufilé.
- Tu vois ! Fit Marie-Ange à lintention de sa copine. Je ne tavais pas menti. Cest un bon !
Comme encouragé par ce que je venais dentendre, jai agacé son clitoris tendu, que je me suis mis à mordiller. Son sexe sest copieusement humidifié. Je lai léché à grands coups de langue pour son plus grand plaisir. De son anus en remontant jusquau bouton dont je mordillais de nouveau. Sous leffet de son bien-être elle a gémir fortement. Comme pour prolonger la caresse buccale, elle a posé sa main sur le haut de mon crâne pour appuyer fortement ma bouche contre son sexe.
Les muscles de ma mâchoire se sont contractés douloureusement. Frisant une crampe à chaque secondes. Pourtant, pour rien au monde jaurai cessé mon hommage.
Jai joint deux doigts que jai glissés dans son con moite et je lai masturbé énergiquement, tout en suçotant son bouton. Comme sétait prévisible, elle na pas résisté longtemps et a jouit. Encouragé, jai continué jusquà lui en offrir deux autres. Moins torride que le premier, à en juger par ses cris. Jaurais bien prolongé pour un quatrième plaisir mais la demoiselle avait à présent le sexe si sensible que toute caresse était pour elle insupportable. Au point de méjecter dune ruade. Je me suis retrouvé par terre, le visage barbouillée de sa jouissance.
Pendant que Mathilde reprenait vie, Marie-Ange en a profité pour prendre le relais. Me retirant les baskets, le pantalon et enfin mon slip.
Une fois ma queue à lair libre, elle ma coulé un regard en coin. Puis lentement elle a posé ses lèvres sur lextrémité de mon membre érigé, comme si elle sapprêtait à me donner un léger baiser.
Je commençais à trouver cette surprise alléchante. Elle a promené un minuscule bout de langue rose sur le sommet du pénis, avant de me lavaler dun coup. Je nai pas pu me retenir de pousser un gémissement de plaisir, quand sa bouche sest mise à monter et à descendre le long de ma verge. Lenduisant de salive. Ses seins tressautaient à chacun de ses mouvements. Elle y mit une sorte dappétit goulu à ce quelle faisait. Maspirant en creusant les joues, tout en pressant doucement mes couilles dans sa main. Ma queue palpitait dans sa bouche.
Jétais sur le point de conclure. Et la copine le sentit. Elle ma recraché, fissa. Mathilde de nouveau compétitif et venue me chevaucher. Elle a engagé une main entre ses jambes pour guider le sexe. Quelle sest introduit à lentrée du sien, devant le regard réjoui de Marie-Ange. Qui suivait lexhibition avec intérêt. Elle a lentement fait descendre son bassin, pour envelopper ma verge dans son con chaud et moelleux. J'ai eu aussitôt la sensation que mon sexe était comme aspiré au plus profond fond de son corps. Et mon plaisir s'est avivé lorsqu'elle a ondulé des hanches, tout en allant et venant de haut en bas. J'avais rarement rencontré une femme aussi souple.
Puis elle sest mit en branle. Montant et descendant sur ma verge à une cadence passionnée. Me coulant un regard lourd, tout en se passant la langue sur les lèvres, sans cesser pour autant son pompage sur ma verge. Devenant dinstant en instant plus saccadé.
Alors que je la regardais roulait des hanches, Marie-Ange vint faire écran. En se plaçant au-dessus de ma figure. Me collant ses lèvres luisantes de mouille aux miennes. Elle se mit tout de suite en mouvement. Remuant avec de plus en plus dampleur le bas de son corps tandis que ma bouche uvrait avec une virtuosité stupéfiante. Jouant des lèvres, de la langue et des dents.
Linstant était si fabuleux que je sentais grimper en moi les signes avant-coureurs de ma jouissance montée. Jen fus le premier étonné. Moi qui étais dhabitude plutôt long à la détente ! Je mis ça sur le compte du léchage. Dailleurs Marie-Ange émit des grognements de contentement mêlés de mots incohérents. Elle eut un petit cri étranglé et son corps se tendit.
Plus bas, sur ma queue, Mathilde se cabra en émettant une sorte de feulement sangloté. Pour moi, je fus à mon tour emportait par une jouissance fulgurante.
Me contentant de projeter mon ventre en avant tout en enfonçant ma langue dans lorifice de Marie-Ange.
Jai eu par la suite avec Marie-Ange plusieurs fois loccasion davoir une relation sexuelle avec elle. Jusquà ce que le mauvais sort sacharne sur son sort. Perdant sa vie bêtement. Un stop de griller et malheureusement pour elle, un camion na pas pu léviter, la percutant. Elle mourut sur le coup. Jai bien sûr assisté à ses funérailles.
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