Collection Les Chiennes. Tout Ça Pour Ça (1/8)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

- Radia, cette baraque je la sens, une dernière et l’on rentre, les deux premières maisons étaient sans importance, rien à voler.
Certainement des gens partis en congés annuels, tu as vu, trois bijoux dans l’une, certainement du toc, mon fourgue me le dira.
Dans l’autre, à part la tirelire du petit et encore tu as vu la chambre, il devait avoir moins de 10 ans, les grands-mères étaient loin de l’avoir rempli.
- Christian on rentre, cette maison je la sens pas, tu sais mon instinct pour ces choses, rentrons.
- Bébé, je t’en supplie, ça put le fric, mon instinct de chasseur, souviens-toi de la villa cambriolée à Marbella en Espagne, trois jours après notre traversée en venant de Tétouan !
Pendant trois mois nous avons pu vivre les pieds dans l’eau de la piscine, boire leur cave et baiser dans leur lit.
- Oui, c’est sûr, ils avaient laissé presque 1 000 € dans un vieux portefeuille.
J’allais faire les courses dans le village, j’avais l’impression d’être une dame.
- Si tu m’avais écouté, j’avais le temps de fourguer toute l’argenterie.
Tu en as trop fait et les voisins t'ont remarqué, il s’en est fallu de cinq minutes pour que les flics nous serrent.
- Tu te souviens, nous baisions dans la piscine.
Si à Fès, mon père avec ses principes rigoristes savait que tu me sautais alors que je me baignais nue, il aurait fait une attaque.
- Ça a été ta chance que je te remarque sous ton voile dans cette rue.
Tu semblais perdu, je t’ai emmené dans ma chambre d’hôtel.
- Et tu m’as pris mon pucelage, alors que j’avais réussi à fuir le mariage qui m’était proposé le lendemain avec un vieillard de 44 ans.
Je t’aime BB, mais là cette baraque me fait peur.
- 44 c’est jeune, c’est vrai tu as 18 ans, moi 22 l’écart est normal.
Vient on entre, ce sont les buissons et le vent dans ces buissons qui te donnent cette impression.


Fais-moi plaisir, on y va et après direction notre studio où je souhaite retrouver ma petite chienne.

Je finis par céder, je sais comment il est quand il veut quelque chose, quand je l’ai rencontré, il a voulu tout de suite me sauter.
J’avais peur de ma première fois.
Surtout, ignorant si la famille de celui que j’avais fui était à ma recherche pour me mettre dans son lit.
Il a été très persuasif, il m’a serré le long du mur de sa chambre où il m’avait soutenu que je pouvais dormir sans crainte, qu’il me laisserait tranquille.
Il était plus fort que moi, il m’a fait décoller du sol d’un bras et a fait glisser ma culotte suffisamment pour que je sente rapidement une sorte de morceau de bois le long de mon ventre.
On m’avait élevé hors du sexe et de ses pratiques, je sortais avec mon frère aîné qui veillait sur moi à tout moment et avec ma tante quand il s’agissait de me ravitailler en objet nécessaire à toutes jeunes filles.
J’avais vu dans ces magasins des boîtes où il était marqué tampon.
Ma tante m’avait fait comprendre que tant que mon père me gardait sans me marier, mon petit trou serait trop fermé pour en mettre.
Je mettais des serviettes.
Depuis que j’ai fini par sentir ce morceau bien dur entrer en moi me déchirant à me faire hurler tellement j’ai eu mal, je me suis bien rattrapée.
Surtout quand un ami à Christian nous a récupérés dans son bateau sur cette plage près de Tétouan et nous a fait passer à Marbella avant de rejoindre la France.
J’étais sauvée, je savais que la famille de ce vieux ignorerait où j’étais partie et où Christian m’avait conduite.
C’est lors de cette traversée interminable que j’ai compris que le garçon qui m’avait faite femme, trafiquait et qu’il était venu chercher un ballot de drogue qui était sous une bâche dans ce bateau gonflable.

Arrivé en Espagne une voiture avec deux types louches sont venus prendre le colis et donner un peu d’argent aux deux passeurs.

Christian rapidement m’a fait voir ses talents avec les serrures quand nous avons vu cette villa qui nous tendait les bras.
Talent aussi quand il a démarré la voiture fuyant la police nous retrouvant à Marseille après un voyage interminable car pour éviter les péages des autoroutes nous avons pris les petites départementales.
La nuit, il faisait sauter les bouchons de réservoir de voiture garés dans de petites rues ce qui nous évitait de faire le plein dans les supermarchés où il y avait là aussi des caméras de surveillance.

Et de fils en larcins, nous nous retrouvons devant cette maison.
Comme je l’ai dit, il est persuasif et après un dernier baiser me montrant tout l’amour qu’il a pour moi nous sautons la clôture souplement.

- Viens passons par l’arrière, ces maisons avec sous-sol ont une porte arrière facilement franchissable.

C’est comme ça que nous nous retrouvons devant une porte qui s’ouvre comme par magie et que nous entrons dans une pièce avec un véritable capharnaüm.
Nous avançons grâce à sa lampe torche.

- Merde, c’est malin, appelle directement les flics.

Je viens de faire du bruit en marchant sur un râteau, heureusement posé les dents vers le sol.
Un escalier, la porte est entrouvert, nous nous retrouvons dans un couloir.

- Passe à droite, on est dans un bureau, regarde dans les tiroirs.

Nous parlons le plus bas possible.

- Regarde cette enveloppe, je te dis que ça sent le pognon.
Tiens, merde, regarde la liasse au moins 10 000 en billets de 500.
Pas facile à écouler mais ça va nous permettre de voir venir.
Alors BB qui avait raison, cherche avec moi, il y a mieux.

La lumière s’allume d’un coup.

- Bande de petits branleurs, vous croyez que vous pouvez plumer Jules comme ça.
Vous croyez que vous pouvez entrer chez lui, lui piquer son fric et repartir par le chemin où vous êtes venus ni vus ni connus.

- Monsieur Jules, laissez-nous partir.
- Elle est marrante la gonzesse, il croit qu’il suffit de demander pour que Jules lui dise oui.
Allongez-vous au sol mains sur la tête, sinon ma pétoire va vous lâcher une bastos.

Je vois Christian s’exécuter, j’en fais de même.

- Gamin redresse-toi et à poil.
- Monsieur.
- À poil, sinon c’est ta gonzesse que je flingue.
- Fais ce qu’il te dit Christian, je suis dans sa ligne de tir.

Chacun à notre tour nous nous déshabillons.

- C’est bien à quatre pattes, sortez de cette pièce.
Oui, à gauche, ouvre cette porte Christian.
Doucement pas de faux mouvements, j’ai la gâchette facile.
Ma douce quel est ton nom.
- Radia monsieur.
- Radia, ouvre ce tiroir, prends la paire de menottes qui s’y trouve et met là à ton copain, pas de faux mouvement.
C’est bien, passe les dans ce crochet devant toi.

Nous sommes dans une chambre avec un palan où j’attache Christian en passant les menottes dans le crochet.

- Salope, entre dans cette cage, ça va être ton chez-toi pendant de longs mois.

J’entre, il ferme la cage et toujours le visant, il att une télécommande et tend les bras de Christian pour qu’il ait le pied touchant juste le sol.

- Voilà, les tourtereaux, l’une en cage l’autre pendu comme un cochon, je vais aller appeler les copains.

Il quitte la pièce.
Cet homme a environ la soixantaine.
Il était en pyjama et le bruit que j’ai fait a dû le réveiller.

- Je t’avais bien dit que nous aurions dû nous contenter de ce que nous avions trouvé, fait quelque chose Christian.

La porte s’ouvre de nouveau.

- Bien joué Jules, la poulette à l’air appétissante.
- Moi, je vais m’occuper du cul de ce beau brun, ses joues sont bien rebondies.

Ils sont trois sans compter Jules, quatre mecs tous du même âge, la soixantaine.

Je sens qu’ils sont loin d’avoir envie de rigoler.

- Si tu avances PD, tu auras affaire à moi, les tantouzes, je leur mets le poing dans la gueule.
- Traite-moi de tantouze, beau brun !
J’adore ça surtout venant d’une petite lopette comme toi, regarde qui est le plus fort, toi ou moi.
Traite-moi de PD, j’adore ça surtout dans ta posture.
Regarde, je t’écarte ton joufflu, je sors ma queue, qui est le plus PD des deux ?
- Non, pardon monsieur, j’ai du respect, respectez-moi !

C’est en pleurs, que je vois l’homme assez grand, le crâne rasé, avec une verge de bonne dimension, prendre Christian par les hanches et lui fourrer sa bite dans le cul.
Les cris d’orfraies qu’il pousse doivent s’entendre au bout du village.

- Crie gamin, la pièce est insonorisée, personne ne viendra te sauver.
Crie, ma petite chienne, ton maître va te mater.
Ouaf, ouaf, aboie.
- Ouaf.
- Tu vois, tu fais moins le fier.
Dis joli toutou, tu aimes quand je te donne de grands coups avec ma queue ?
- Oui monsieur, je suis votre petit chien mais arrêtez.

Où sommes-nous tombés, je vois que l’homme qui encule Christian lâche ses flèches de sperme dans le cul de mon ami.
Que va-t-il nous arriver, que va-t-il m’arriver ?…

Corrigé par Anne.

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