Ma Balade En Forêt
Un après-midi de juillet, je me promène dans une forêt que je connais bien. Il fait très chaud et je décide daller dans une clairière traversée par un ruisseau. Il y a longtemps que je nai pas arpenté ces chemins et jai un peu de mal à my retrouver. Je mallonge sur lherbe à lombre, près du ruisseau. Au bout dun moment, je mendors.
La température est insupportable. Je me lève, et décide de me tremper. Elle est fraîche mais acceptable. Jenlève mon short, mes chaussures et ma chemisette. Je rentre nu, dans leau, une fois dedans, mon corps shabitue. Je sors de leau pour mallonge sur le ventre bien au soleil et me sécher, car je nai pas de serviette. Je me lève et entends des pas derrière moi.
- Toujours aussi mignon ! Je vois que tu as de beaux restes.
Je me retourne pour me trouver nez à nez avec une femme blonde dune cinquantaine dannées, en short et une poitrine généreuse. Cette tête me dit quelque chose, mais je suis incapable de savoir qui cela peut-il être.
- Allons ne me dis pas que tu ne me reconnais pas, je sens que je vais être vexée.
Cest Paulette ! Nous avons eu une aventure à 16 ans, cest la deuxième femme avec qui jai fait lamour. Nous avons dû nous séparer, son père layant envoyé en pension.
- Evidement Paulette, cest la surprise qui ma fait hésiter. Je connais cette clairière depuis longtemps on cassait souvent la croute ici avec mon père.
- Cest marrant on faisait la même chose avec le mien.
Paulette enlève ses chaussures pour se tremper les pieds dans leau.
- Ça fait du bien, dis-moi, que fais-tu à poil tout mouillé au milieu de cette clairière ?
- Je me suis baigné et maintenant il faut que je sèche, je nai pas de serviette.
- Moi aussi je me baigne de temps en temps dans ce ruisseau. Dis-moi, je vois que tu as pris quand même un peu de bidon.
- Tien, je croyais que javais de beau reste.
- Oui, mais cest bien ce que jai dit, des restes, encore beaux, mais des restes.
- Depuis quon sest quitté, jai pris 10 kilos. Toi tu peux juger, mais moi, je nai pas les mêmes repères, tu es toujours habillée.
- Sil ny a que ça pour te faire plaisir.
Paulette se lève et en quelques secondes elle est nue. Elle fait un tour sur elle-même.
- Alors ! Cela correspond à tes souvenirs.
- Parfaitement, tu as toujours un super cul et des jambes denfer.
- Merci, mais je les entretiens, marche et gym tous les jours. Je dois dire que toi aussi tu as gardé ce superbe cul. Jai envie de me baigner, tu maccompagne ?
- Oui, mais je ne sais pas si je vais rester longtemps, elle est quand même fraîche.
Elle entre dans leau et je la suis, Paulette passe ses mains derrière la tête, ce qui fait remonter sa poitrine. Ses tétons pointent. Elle se colle à moi, ce contact avec sa peau, ses seins qui me narguent ne font malgré la froideur de leau, je sens ma bite réagir.
- Toujours aussi beaux.
- De quoi parles-tu ?
- De tes seins évidement.
- Oui ! Ils sont moins fermes quavant. Lâge narrange rien.
- Ils ont lair de se tenir toujours correctement. Ils sont toujours aussi attirants.
- Je te vois venir, tu as quelquun en ce moment ?
- Non.
- Moi non plus, je nai pas dhomme nous sommes donc libres de faire ce que lon veut. Quest-ce que tu veux faire ?
- Les caresser.
- Et bien vas-y, ils nattendent que ça.
Je pose ma main sur son sein gauche. Elle se retourne vers moi et sa main gauche plonge sous leau pour se poser sous mon sexe qui a pris de lampleur et se dresse comme un bout de bois. Elle se retourne vers moi, et pose ses lèvres sur les miennes. Tout me revient, cette bouche, cette langue. Je la prends dans mes bras pour mieux la sentir.
Nous sortons de leau, nous couchons sur lherbe. Paulette me met sur le dos et me chevauche. Elle prend mon sexe dans sa main et le dirige vers sa vulve pour exciter son clitoris. Elle se dégage et se couche à côté de moi.
- Cela fait tellement longtemps que je navais pas senti un membre viril dans ma chatte, que des mains ne sétaient pas posées sur mon corps. Merci pour cette joie.
Ma main se pose sur son ventre. Elle écarte les jambes. Jinsiste un peu sur son pubis proéminent. Sa main se pose sur la mienne pour la pousser vers son sexe et faire entrer un de mes doigts. Jembrasse ses seins, son ventre, et je fini sur son sexe. Elle ruissèle et je retrouve le gout de son sexe. Ses mains se posent sur ma tête.
- Fais-moi lamour doucement, comme avant.
Je commence mes va et vient profondément, ses mains se crispent sur mon dos. Elle mentoure de ses jambes, je garde le même rythme au bout dun moment elle commence à gémir. Jaccélère le rythme ! Je me vide dans son nid damour en de violents jets de sperme. Elle reste les yeux fermés, sa respiration redevient normale.
Je la regarde, pour une femme de mon âge, 50 ans. Pas dembonpoint, une poitrine toujours belle, et un cul à damner un saint. Je me penche sur elle pour déposer un baiser sur ses lèvres. Elle se redresse, me regarde dun drôle dair. Je suis sur le dos, elle mécarte les jambes et les replies pour dégager mon anus. Elle sort de son sac de lhuile solaire et men enduit la rondelle. Elle pose un doigt dessus pour me titiller lanus. Elle introduit un doigt, fait quelques va et vient, un deuxième, un troisième. Paulette se saisie de ma verge et fait de lents mouvements de va et vient. Elle finit par se mettre sur le dos, sous moi.
- Jai toujours regretté de ne jamais te lavoir fait, mais aujourdhui, je vais enfin connaitre le goût de ton sperme.
Sur ces mots, elle avance la tête et je sens sa bouche menvelopper le sexe.
- Depuis combien de temps tu nas pas fait lamour ?
- Depuis que mon mari sest tiré avec ma sur.
Paulette reste allongée les jambes écartées. Jai une vue imprenable sur son pubis doù émerge à peine son clitoris. Elle vient devant moi agenouillée, elle se cambre et moffre sa vulve. Javance la tête, et aspire son jus. Elle a un sursaut au contact de ma langue avec son anus. Je lui titille lanus avec ma langue, lenfonce le plus possible.
- Oui, jaime, cest la première fois, quon me lèche le cul, cest bon, jai joui.
Je repose ses jambes sur lherbe et viens métendre à côté delle. Elle se tourne vers moi et menlace en posant sa tête sur mon épaule.
- Tu as déjà fait lamour à une femme par-là?
- Que veux-tu dire ?
- As-tu déjà sodomisé une femme ?
- Oui ! Il ny a rien de cochon dans lamour !
- Tu veux bien minitier ?
- Tu ne crois pas que tu vas un peu vite ?
- Je suis là avec toi, on se rencontre par hasard, on se reconnait, tu es nu au milieu dune clairière, je me mets nue pour être comme toi, on fait lamour ensemble.
- Ok, mais, il va falloir attendre un peu que je recharge mes batterie, avant de me mettre en forme.
Elle se penche sur moi ! Sa bouche arrive sur mon sexe qui commence doucement à se redresser. Elle le gobe, le suce, laspire jusquà ce quil soit raide. Pendant ce temps, je lui enduis le fion dhuile solaire et lui enfonce deux doigts dans lanus. Je surveille ses réactions mais elle se laisse faire sans avoir de sensations douloureuses.
- Ça va ?
- Oui, continue, mais doucement.
Comprenant son désir, jaccélère la cadence, je sens des doigts sur sa vulve, elle se masturbe en même temps quelle se fait sodomiser. Elle se crispe et se détend vite, elle finit par se laisser tomber par terre en se retournant sur le dos. Elle a les yeux fermés et un sourire illumine son visage. Nous restons ainsi un bon quart dheure, à tel point que je commence à mendormir lorsque Paulette se redresse et vient se coucher à côté de moi.
- Tout va bien ?
- Oui, parfaitement, je viens de passer des moments inoubliables.
- Il est peut-être temps de rentrer, tu ne penses pas ?
- Oui.
Nous nous rhabillons ! Arrivés à nos voitures, Paulette me prend la main.
- Tu ne voudrais pas venir chez moi, jhabite dans la ferme de mes parents.
- Ok, quand es-tu libre ?
- Si toi tu les, je le suis maintenant.
- Je te suis.
Je la suis jusquà chez elle. La maison est toujours une superbe demeure. Nous nous installons dans le salon. Paulette me sert un verre de soda et monte à létage.
- Un instant, je vais me changer.
Au bout de quelques instants, elle redescend habillée dune djellaba transparente qui ne cache rien de sa nudité. Elle est magnifique.
- jai enfilé ça car je ne supporte pas les vêtements, je suis toujours à poil chez moi.
-Décidément, oui, nous étions fait pour nous entendre, moi aussi je ne supporte pas les vêtements, je suis naturiste.
-Je nai jamais essayé, je pense que ça me plairait.
-Jen suis sûre.
- Quel dommage que nous nayons jamais pu vivre ensemble, je crois que nous nous serions complètement éclaté de sexe.
- Oui, mais tu sais très bien quau bout dun temps plus ou moins long, la libido se calme et que les relations deviennent plus ordinaires.
-Tu as raison, mais je peux dire que jadore nos retrouvailles.
Il est maintenant plus de dix-neuf heures et nous retournons nus à la maison. Je suis surpris par une odeur de cuisine.
-Cest quoi cette odeur.
-Juste lodeur du repas de ce soir, il est tard et tu vas rester ici passer la nuit. Je te garde.
-Cela nexplique pas cette odeur, la cuisine ne se fait pas toute seule. Il faut quelquun aux commandes.
- Tu as raison.
Elle se tourne vers la cuisine et cri.
- Police, sortez de la cuisine immédiatement.
Une jeune femme sencadre dans le chambranle de la porte, elle grande, blonde avec de très longs cheveux qui atteignent les fesses, une belle poitrine sous un tee shirt blanc et des fesses adorables moulées dans un short très petit.
- Je te présente Régine ma copine occasionnelle. Nous nous faisons du bien de temps en temps. Elle nous a préparé un petit repas et va passer la soirée avec nous. Régine je te présente Philippe !
Régine sapproche de Paulette et lembrasse fougueusement puis vient vers moi pour me déposer un léger baiser sur la bouche.
- Enchantée de faire ta connaissance.
Elle fait demi-tour et regagne la cuisine en faisant onduler ses fesses. Rien que de la voir, ma bite a une légère réaction.
- Dis donc, je ne comprenais pas pourquoi tu mavais dit « je nai pas dhomme », tu aurais pu préciser que tu avais une femme.
- En fait, je nai pas de femme, nous somme toutes les deux bisexuelles, mais nous aimons plus les hommes que les femmes. Cest pourquoi nous nous considérons comme libres.
-Oui mais ! Tu aimes quand même bien les femmes.
-Oui, depuis que je lai rencontré, ma sexualité a un peu évolué. Je prends de plus en plus de plaisir avec les femmes, je crois que nous nous sommes mutuellement attachées lune à lautre.
- Ok, je comprends mieux.
Nous montons à létage pour aller nous doucher. La salle de bain avec une grande baignoire et une douche à litalienne. Paulette règle leau et je me glisse sous cette cascade chaude. Nous nous-lavons mutuellement sans oublier de se caresser un peu, mais nous restons calmes. Une fois séchés, nous descendons, dans le costume dAdam et Eve dans le salon, je minstalle dans un divan recouvert dune couverture, comme chez moi, pour protéger le cuir de la transpiration. Paulette sort des verres et des bouteilles pour lapéritif.
- Ques ce que tu bois ?
-Un whisky avec du Perrier et des glaçons si tu as.
-Jen ai, je tamène tout ça.
Elle se lève et se dirige vers la cuisine. Elle revient avec tout ce quil faut accompagnée de Régine qui sest mise au diapason. Nue, elle parait encore plus grande. Je remarque quelle na pas de trace de maillot sur les seins et que son sexe est entièrement épilé avec un tout petit triangle blanc juste au niveau du sexe. Je la regarde avancer vers moi et je ne peux mempêcher de faire une remarque.
-Ton maillot ne doit pas peser lourd.
- Non ! Il tient dans un dé à coudre.
Tout le monde rit et Paulette sert lapéro. Nous buvons un coup en plaisantant, comme il fallait sy attendre, la conversation arrive vite sur le sexe. Régine se touche la vulve, fait glisser son doigt le long de sa fente et se titille le clitoris. Il est évident que ça lui fait quelque chose. Paulette se lève et se dirige vers les toilettes. Régine se tourne vers moi.
- Comment as-tu trouvé cette première journée ?
- Je suis émerveillé, je ne mattendais pas à une telle jouissance.
Elle se caresse toujours avec son majeur. Elle écarte ses jambes en grand et enfonce son doigt entièrement dans son sexe. Elle me fait signe avec son index de venir la rejoindre. Je me lève pour venir magenouiller entre ses jambes. Je plonge ma tête entre ses cuisses et mempare de son clitoris qui pointe. Je titille le sexe de Régine quand Paulette réapparait.
- Je vois que vous faites connaissance.
- Oui, il me broute le minou et jadore.
- Je sais, il fait ça très bien.
Jai la tête entre les jambes de Régine, je ne vois donc pas ce que fait Paulette. Je sens tout à coup un doigt qui me lubrifie le cul. Juste après, deux mains se posent sur mes hanches, un mandrin dur prend la place du doigt et senfonce dans mon fion.
- Je savais que tu allais toccuper de Régine comme je ne veux pas rester inactive, je moccupe de ton cul.
Je sens ses cuisses toucher mes fesses, cest une drôle de sensation, jen tremble. Régine se laisse porter par son plaisir, son corps ondule pendant que je moccupe de son clitoris. Elle pose ses mains sur ma tête, sans appuyer, pour mieux ressentir ce que je lui fais.
Je suis trop fatigué pour avoir une nouvelle jouissance maintenant, il me faut encore un peu de temps, mais je mapplique à donner le maximum de plaisir à Régine et Paulette.
Elle se penche pour embrasser sa copine. Jai la tête écrasée entre les cuisses de Régine et le ventre de Paulette, la bouche sur le sexe de Régine. Les filles se calment, Paulette me libère le cul et je me redresse pour aller massoir sur le divan, elle défait sa ceinture, effectivement il y a un gros gode vaginal à lintérieur.
- Cest celui que nous utilisons quand nous sommes ensemble. On le met chacune notre tour ! Bon ce nest pas tout ça, il faut manger un peu.
Nous passons à table, mangeons avec beaucoup de plaisir le plat préparé par Régine, en fait un civet réchauffé, et finissons sur une glace et un café.
- Je crois que je suis complètement cuit.
-Tu as raison, ça suffit pour aujourdhui.
Nous passons tous à la douche, je frotte les deux filles, mais Régine a envie dautre chose, elle appuie sur mes épaules pour me faire accroupir jusquau niveau de sa vulve. Je sors la langue et lui titille très rapidement le clitoris. Elle est tellement excitée quelle jouit en quelques secondes.
- A moi maintenant.
Je me retourne vers Paulette et lui fait la même chose, il ne faut guère plus dune minute pour la faire jouir. Je me redresse, Régine se saisie de ma bite mais je larrête.
- Non, ce nest pas la peine, jai trop joui aujourdhui, je ne me savais pas capable de ça à 50 ans. La journée a été excellente, je ne suis pas près doublier.
Après nous être séchés, nous retournons au salon pour boire un verre. Nous discutons un peu, mais nous tombons tous de fatigue.
- Au lit. Evidemment, Régine, tu dors ici.
- Tu sais que jai horreur de dormir seule quand je suis ici.
- Qui te parle de dormir seules, mon lit est assez grand pour tous les trois.
Nous montons dans sa chambre, nous allongeons, moi au milieu des deux filles, et tombons presque instantanément dans les bras de Morphée.
Le lendemain matin, je me réveille seul dans le lit. Je regarde lheure, il est plus de neuf heures. Je me lève, descends au rez-de-chaussée, elles mattendent toutes les deux. Il y a du café chaud et je me sers une tasse.
- Je dois vous quitter les filles, merci, mais je sais que vous allez ensemble en vacances dans une semaine, alors il est hors de question que vous ne passiez pas chez moi. Je vous attends, jai quelques idées pour bien samuser.
Je les ai quitté un peu triste de devoir abandonner cette ambiance de fou. Elles sont bien venues me voir, ça a été deux jours de folie.
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