Berlin, Son Histoire, Ses Vices 4
Chapitre 4 : Immersion totale.
- Vous parlez français en Suisse ?
- Oui, comme vous pouvez le constater.
Elle parle un peu français, mais très mal. Aussi, je me propose de le lui apprendre. Cependant, coquine, jinsiste pour le lui apprendre en utilisant ses méthodes de dresseuse. Elle me sourit, me fait longuement lamour en acceptant. Nous avons épuisé toutes nos forces en des orgasmes saphiques aussi voluptueux que délectables. Cela étant, je ne me souviens que de cette odeur de café allemand, infecte à boire. Dans son salon, nous avons longuement bavardé, en buvant cet infâme jus de chaussette. Assise près delle, je prends ma première leçon de code, dus et coutumes de son monde, devenu pratiquement mon monde en moins de temps quil avait fallu pour le dire. Ma Maîtresse, oui, elle est ma Maîtresse, elle moblige à ne plus jamais serrer ou même croiser mes jambes en public comme dans le privé. Elle mapprend comment me tenir face à un dominant. Cest ainsi que je croise mes bras dans mon dos quand je suis debout. Cest encore ainsi que je magenouille, mes mains offertes sur mes cuisses, mes genoux écartés. Dorénavant, en public, en sa compagnie, je nai le droit de massoir sur une chaise que si elle my autorise. Sinon, je dois me tenir à genou, le corps bien droit, mes bras croisés dans mon dos. Plus la journée avance, plus je me donne à cette femme. Je suis mue par un amour qui me dévore. Exactement le même qui ma fait flasher sur Béa. Je trouve enfin ma place dans la vie, celle dune soumise prête à tout par amour. Même si Alain venait, devant lui, mon comportement nouveau ne serait changer. Du reste, dans une lettre que je lui écris, je lui raconte tout, sans rien lui cacher de mes amours nouveaux. Avec ça, sil ne comprend à quel point sa bite, son corps, tout de lui me manque, autant arriver nue chez lui en exigeant quil me viole.
Mademoiselle et moi, nous baisons encore.
Berlin prend alors un nouveau sens dans ma tête, mon corps et surtout dans mon cur. Mademoiselle reçoit ses clients, ces payants comme elle dit avec un dédain certain. Hommes et femmes se succèdent dans son donjon. Tous sont à la recherche de sensations aussi jouissives que violentes. Dans ces moments, je deviens lassistante de Mademoiselle, je participe parfois, me faisant remplir par ses soumis. C'est toujours un homme qui me baise en guise de récompense. Et moi, envoutée, e, souffrant dune profonde addiction à ces jeux, je prends mon pied de ne plus être quun objet à lentière et totale disposition de Mademoiselle Janice. Quand Béa est présente avec nous, ses jours de congé, nous ne sommes plus les chiennes de Mademoiselle, nous agaçons les sens des hommes soumis par nos danses lascives, amoureuses, nos coups de langue pervers. Ayant interdiction davoir la moindre érection, on prend plaisir à les voir bander dur comme fer avant d'en subir les conséquences. Avec les femmes, cest encore plus vicieux et pervers. Et là encore, elles en paient un prix cruellement élevé pour avoir eu du plaisir.
En ce dimanche matin, Mademoiselle nous pose nos colliers, nos laisses. Sans rien dautre quune simple cape noir sur le corps, Mademoiselle décide quil est temps de mexhiber. Nos mains menottées dans notre dos, Mademoiselle se pose derrière le volant de sa puissante limousine. Après avoir pratiquement traverser Berlin, près dun luxuriant parc, elle nous oblige à sortir. Dans ce parc, en plein centre, le Tiergarten, Mademoiselle nous promène. Nos capes souvrent à chacun de nos pas. Béa marche telle une pouliche. La voyant se déplacer ainsi, je limite. Derrière nous, Mademoiselle flatte nos culs dune badine en nous obligeant à marcher lentement, sans stress. Puis, dans une clairière, elle regarde soigneusement aux alentours. Elle veut sassurer quaucun de moins de 18 ans ne sy trouve. Rassurée, elle ouvre nos capes, les noue dans notre dos. Nos mains libérées, elle nous fait mettre à quatre pattes, toujours en laisse. Telles deux chiennes, nhésitant pas à nous cingler nos culs de sa badine, Mademoiselle nous fait faire le tour de cette clairière. Là, devant un imposant chêne, elle nous oblige à nous soulager comme les chiennes que Béa et moi, sommes. Javoue ma peine, ma honte. Mon visage, depuis la découverte de ces lieux, est rouge, bouillant de honte. Cela amuse énormément Mademoiselle qui nhésite pas à me moquer. Avisant une femme arborant le dau arc-en-ciel, elle lui demande si elle ne désire pas se faire lécher par nos bouches. Javoue en avoir une envie irrépressible. Je devance même Béa, léchant déjà les pieds nus emprisonnés dans des sandales romaines. La femme se baisse un peu, relevant sa jupe sur une toison plus quabondante. Ma langue, ne me demandez pas la raison, sen vient dévorer ce minou. Un gout acre envahit ma bouche, elle doit avoir uriné il y a peu. Pourtant, ma langue senfonce déjà dans ce sexe et la femme de mieux plaquer mon visage contre sa chatte. Béa nous contourne, écarte les fesses de cette femme. Je ne vois pas ce quelle fait, mais je le devine aisément.
Près de la limousine, Mademoiselle nous retire nos capes, ouvre le coffre. À ce moment précis, un grand bus, remplit de touristes, sarrête derrière la limousine. À peine les touristes sur le trottoir, que Mademoiselle nous exhibe encore une fois, ses mains sur nos nuques. Puis, devant des touristes hébétés, elle nous force à monter dans le coffre après nous avoir menotté dans notre dos. Une jeune femme sapproche, nous prend en photo. Béa et moi, nous lui adressons notre plus beau sourire avant que la porte du coffre ne referme sur nous. Nous entendons Mademoiselle discuter quelques minutes avec la jeune femme. Malheureusement, si mon allemand est excellent du point de vue scolaire, ma connaissance des dialectes laisse encore à désirer.
Une semaine et demie en compagnie de ces deux femmes exquises, ça passe vite. Si Mademoiselle ma instruite sur ce rendez-vous avec Monsieur Heinz, je suis toute tremblante en me levant.
- Ma chère, cette petite me plait. Elle en a dans le coffre. Si jen avais dix comme elle, jen serai ravi. IL faut que nous discutions, vous et moi, ma chère Janice.
- Certes, je ne suis pas contre le fait quelle tourne pour vous, très cher. Reste que cest à elle den décider. Officiellement, elle nest pas encore ma soumise, nayant aucun contrat signer à cette date. Cela dit, tout à fait entre nous, mon cher Heinz, cela métonnerai beaucoup quelle se refuse à vous.
- Cest ce que jai pensé lors de notre toute première rencontre, dans le magasin, au sous-sol. Jai vu dans son regard quil ne lui fallait quun léger coup de pouce pour quelle bascule dans notre monde. Nest-ce pas, Aroa !
- Oui Monsieur, cest vrai. Cest Béa qui a été linterrupteur, si vous me permettez cette comparaison. Puis, Mademoiselle Janice sest montrée délicieusement persuasive. Enfin, jai vu pratiquement tous vos films, Monsieur Heinz. Alors, tourner pour vous, si Mademoiselle my autorise, je suis partante si cela se passe comme aujourdhui.
- Dis-moi, Aroa, que penses-tu de mes orties ?
- Que du bien Maître, que du bien.
- Vous autres, décrochez-là et que quelquun la soigne. Ma chère Janice, il vous faut lui faire signer son contrat sans perdre de temps. Sinon, cest moi qui lui fais signer un contrat. Vous la prendre, je ne vous le cache pas, me réjouirais. Béa me manque tellement.
- Béa ? Oui, je me souviens de cette passe darme. Mon cher, elle va le signer son contrat, mais avec moi. Si elle venait à refuser, je lui promets un mois de suffisamment douloureuse pour quelle nous signe nimporte quoi. Tenez, voyez comme je suis bonne, cest son adresse. Du moins, une fois que jaurais équipé son appartement.
- Mais cest tout près de votre domicile, très chère.
- Alors, imaginez seulement la suite, délicieux ami.
Pendant quon me soigne, Mademoiselle et Monsieur Heinz discutent encore de moi, de la suite à donner à ma vie de future actrice de film fétichiste et SM. Les orties, ça, je peux prétendre avoir aimé au-delà de ce que je pouvais supposer. Je crois que je deviens légèrement masochiste. Pire que tout, jaime ça, souffrir un peu.
Le lendemain, en robe moulante, corset et talon aiguille XXXL, je me rends à mon nouvel appartement. Le soir précédent, pendant que ma douce Béa me soignait encore, jai écrit une longue, très longue lettre à mon ami et chef, Alain. Je lui ai tout raconté sans ne rien lui cacher. Je sais davance que ma lettre va me le faire bander comme un âne. Mais là, tout en flânant dans ces rues émoustillantes, je passe devant une boutique et dans la vitrine, une photo, la photo dune belle poitrine ornée de ses petits anneaux et de la petite chainette qui les unit. Je décide de me renseigner. Derrière un petit comptoir, une femme, les tétons dénudés, reliés par une chainette et une autre, formant un triangle avec son nez, lui aussi annelé. Je suis fascinée par cette vision surréaliste et sublime. Un homme sort de derrière un rideau, me demande ce que je désire. Je me mets à lui poser mes questions. Il ordonne à la femme de retirer sa courte jupette. Je la devine délicieusement soumise en la voyant rougir devant moi au moment où sa jupette glisse sur ses jambes. Devant ce sexe annelé, je ne peux empêcher ma main de caresser ce sexe glabre en titillant les anneaux et le cadenas qui obture sa chatte. Nous devons avoir pratiquement le même âge et son sexe se pare vite dune légère humidité. Lhomme la retourne, me montre son cul tatoué au nom de son Maître, lhomme de la boutique. Je me pose mille et une questions, à savoir si cela plairait à Mademoiselle que je lui revienne annelée entièrement. Le prix ne représente pas un problème en soi. Le problème est de savoir si je peux supporter la douleur que me décrit cet homme avec une précision diaboliquement pervers. Convaincue, je décide de sauter le pas. Si lhomme ne peut me prendre ce jour, nous fixons tout de même un rendez-vous.
Puis, notant notre rendez-vous, il me demande qui menvoie, là, le simple nom de Mademoiselle Janice accélère grandement les choses. Il biffe notre rendez-vous, frappe dans ses mains, deux autres femmes arrive, aussi nues que celle derrière son comptoir. On me sourit, des sourires de connivences. On me guide, me déshabille, on me caresse, on me lèche partout, même mon cul. Devant les quelques poils qui repoussent, on me rase de près jusquautour de mon anus. On minstalle et ça commence et par ma cloison nasale. Je sais pertinemment que je vais souffrir et je laccepte parce que cest par amour pour Béa et Mademoiselle Janice que je le fais avant tout. Il est tout juste dix heures du matin, mon nez porte mon premier anneau et jai à peine souffert. Les deux assistantes désinfectent les emplacements au fur et à mesure que lhomme me transperce de ses aiguilles. Je souffre et pas quun peu, surtout mes seins encore terriblement sensibles après la petite séance de martinet de la veille. Sur mon sexe, lhomme peine un peu à poser sa pince, je mouille en abondance en pensant à la surprise de mes deux amours, ce soir. Une des assistantes me plante une fine aiguille qui traverse mon téton, par surprise. Le temps que je comprenne, je ne mouille plus et je suis percée. Lautre mamelon subit le même sort peu après et mon sexe est annelé.
Ma main se glisse entre les cuisses de cette jeune femme. Je sens déjà la douce moiteur de son sexe. Je la branle sans ne plus penser à autre chose quà la faire jouir. Il ne reste que le capuchon de mon clitoris. Quand laiguille le traverse, je ne peux empêcher un cri de douleur. La bouche de lautre assistante sur la mienne, me muselle. On me désinfecte, on me bichonne. Alors, chose insensée, je demande à lhomme duser de mon corps pour en jouir. Cest Mademoiselle qui, dans sa très grande bonté, ma autorisé les hommes dont je suis encore particulièrement très vorace. Alors, devant ses assistantes, il me baise, je branle ses deux soumises de mes mains. Lhomme passe de mon con à mon cul. Ma bouche, mes mains sactivent entre les cuisses annelées de ces deux femmes. Il ne jouit pas en moi, me forcent à boire son sperme dont je me délecte. Je n'ai plus guère l'occasion d'en déguster depuis mon arrivée dans cette ville, Berlin.
Puis, à la caisse, il refuse que je paie sous prétexte que Mademoiselle possède un compte chez lui. Je refuse de laisser Mademoiselle payer ma décision. Je pose mille mark, laffaire est conclue. Je ne peux mempêcher de faire jouir la troisième des employées. Ma bouche la boit, mes mains la couvrent de caresses. Sa cyprine inonde ma bouche, une femme fontaine, ma première femme fontaine, je me régale d'autant plus. Dans mon appartement, je me change après une longue douche suave. Je ne peux aller voir ma Maîtresse chez elle ce soir, elle reçoit un client depuis mon départ, un payant particulièrement masochiste. Alors, tout de court vêtu, je me présente à Béa, fière de ma chainette pendant à mon nez. Je cicatrise vite, cest une chance. Devant elle, je plaque sa main sous ma courte jupette de gamine vicieuse. Leffet est immédiat, ses mains me fouillent, sa langue lèche mon nez. Derrière, elle me baise, me viole, parfois sous le regard attendri dAgnès qui se refuse encore. Si seulement elle savait ce que nous vivons, la pauvre. Alors, je raconte tout, du perçage de mon nez jusquau moment où lhomme me baise et que je fais jouir ses assistantes. Là, le regard dAgnès change quand je me redresse nue devant elle. Voyant mes seins et mon nez reliés par ces cette longue chainette, je mapproche delle, son regard bloqué sur ces chainettes. Dans son cou, je pose mes lèvres.
- Tu es sublime ma chérie. Si tu voulais
mais je ne suis pas pressée à vouloir te faire jouir et pourtant.
Je pris sa main, la posant sur mes chainettes.
- Tu pourrais me guider là où tu veux que jembrasse ton corps, me forcer même.
- Jai peur, tu me fais peur, vous me faites peur, toutes les trois.
Béa comprend vite que mon désir de corrompre sa collègue et elle my encourage dune main discrètement posée sur mon fessier. Sans le savoir encore, je deviens accro, nymphomane et une putain de salope de chienne soumise. Je deviens une e du sexe, merveilleuse addiction sil en est. Agnès me cède un baiser, un vrai, se laissant maintenant caresser. Je me permets même un baiser sur sa chatte, à travers sa culotte.
- Aroa, puis-je te dire quelque chose en privé ?
- Tout ce que tu veux et tu le sais.
Elle mentraine au sous-sol, nous passons rapidement la porte de la réserve. À peine la porte fermée à double tour, elle me gifle durement. Je me tombe à ses pieds que baise tendrement. Elle me relève, membrasse à pleine bouche.
- Ma belle, il y a que je taime depuis que tu es entrée dans notre boutique. Cest seulement maintenant que jarrive à te le dire. La gifle, cétait juste pour te reprocher de navoir pas fait le premier pas avant.
- Ma chérie, ma douce, toi, Béa et Mademoiselle, vous me rendez folle damour. Tu comprends ça ? Je ne pouvais avant et ce nest pourtant pas lenvie qui me manquait. Il fallait juste que je sache si tu étais prête. Oui, je te voulais prête à faire le premier pas dans notre direction. Je te sais soumise au fond de toi, Béa me la si souvent répéter. Elle non plus na pas osé. Comme moi, elle attendait un signal fort venant de toi. Je voudrais tant te voir avec nous deux, afin de toffrir à Mademoiselle. Ne me dis surtout pas que tu ne laimes pas. À chaque fois quelle vient, tu fonds damour devant elle. Tu files même te branler juste après son départ comme une sale gamine. Maintenant, si tu veux me punir, mon corps est devant toi. Tu peux en user comme bon te semble.
- Je ne veux pas te faire mal. Je suis
je
- Moi aussi, ma douce, je le suis, amoureuse de toi.
Que marrive-t-il. Faut-il que je la pervertisse elle aussi ? Ne suis-je pas assez heureuse ainsi, avec deux femmes à aimer sans quil ne me faille aussi Agnès ? à vrai dire, quand une personne me plait, il me faut la rallier à moi, cest plus fort que moi. À croire que je deviens folle mais folle damour pour la gent féminine. Maintenant, une chose est certaine, Agnès nous aime, Mademoiselle, Béa et moi. Cela se voit sur son visage quand nous sommes là, devant elle. Et puis, avec Béa, elle fait tout pour ne pas lui montrer ce quelle ressent. Nous la savons avec un homme, je ne sais si elle est heureuse avec lui. Je nose le lui demander, attendant quelle me le dise. Elle retire la chainette de mon nez, membrasse, passant ses mains sur tout mon corps. Je la couche, laime, la fais jouir et, main dans la main, lemmène devant Béa en lui donnant sa main. Je mhabille, je rentre.
Dans mon appartement, je me sens soudainement seule, très seule, trop seule même. Je sais que Mademoiselle ne veut me voir, cela mattriste. Le téléphone sonne, cest Béa qui me dit avoir averti Mademoiselle pour mes anneaux. Elle ajoute quelle ne va plus tarder à débarquer chez moi. Jai juste le temps de me mettre une nuisette de salope dévergondée. Derrière la porte, je magenouille, mes mains sur la tête, mes mains menottées comme mes chevilles. Elle arrive telle une tempête, me voit, mordonne de me relever. Je lui abandonne mon corps, elle me gifle, les larmes lui coulent sur ses jouent. Je les lui lèche, lui susurrant mon amour indéfectible. Elle me fouette de sa cravache, derrière, Béa et Agnès arrivent, main dans la main. Je me fais punir et à juste raison, je nai pas demandé son autorisation à Mademoiselle. Elle cesse, me redresse, inspecte mes anneaux. Mon corps brule de passion pour Mademoiselle. Derrière, Agnès arrive sans bruit. Elle nest plus la femme effrayée, elle sen vient vers moi, sagenouille devant moi, embrasse mon pubis. Puis, elle se retourne, embrasse les mains de Mademoiselle, limplorant de ne plus me punir. Notre Maîtresse la relève, lembrasse tendrement. Cest gagné, Agnès fond damour pour notre divine Maîtresse. Ce soir, elle ne rentre pas. Dans mon lit, nous laimons jusquà ne plus pouvoir. Elle mavoue enfin ne plus jouir avec son mari. Elle se dit en manque, un manque qui la rend folle de désir pour Béa, Mademoiselle Janice et enfin moi.
Deux jours plus tard, Agnès, sans prévenir, avec armes et bagages, déboule chez moi sans crier gare. Immédiatement, elle se jette à mes pieds, me les baise, me les lèche.
- Maîtresse, Mademoiselle menvoie à vous, elle exige de moi que je sois votre esclave et je laccepte très volontiers parce que je vous aime.
Le trouble menvahit, cest déjà une soumise, une divine et belle soumise. Mon dieu, que cette femme est belle, ainsi prosternée à mes pieds. Je maccroupis devant son visage. Je lembrasse, ses lèvres sont aussi douces et sucrées que du miel.
- Relève-toi, ma douce. Et ton mari
- Il ma mise dehors après que je lui ai avoué mon amour pour vous, Béa et notre déesse. Cependant, il en est une que jaime plus que les autres, vous Maîtresse. Faites mon éducation, je vous en conjure. Je vous serais fidèle jusque dans la mort, Maîtresse Aroa.
Je ne sais comment my prendre. Agnès me trouble car, à quelque part, elle me ressemble quand je me donnais à Mademoiselle Janice. Soumise, je le suis et jusquau bout des ongles et je ne peux le nier. Je crois être davantage encore, bien plus que je ne le suppose. Mais quant à dresser et éduquer une soumise, je ne sais pas. Empruntée, perdue, je cherche comment. Et puis, je comprends tout dans une sorte de révélation et tout me devient limpide. Je lemmène. Une fois dehors, je trouve vite ce que je désire. Dans cette boutique animalière, mais pas que, je lui achète le même collier et le lui impose sans aucun refus de sa part. À son doigt, je mets la bague, la même que Béa et moi. Je lui mets encore une laisse à son collier et lui impose mon ménage à demi-nue. Là encore, je prends vite un gout certain à la dominer amoureusement. Pendant quelle nettoie mon appartement, je me rends chez Béa, dans la boutique. Le matin, cest toujours calme.
- Alors, comment va ma douce amante. Me demande ma douce compagne
- En face de toi, merveilleusement bien ma douce. Y a juste un petit problème.
- Lequel ?
- Agnès, sur ordre de notre Maîtresse, elle est arrivée y a deux heures avec ses valises. Elle ma apprit avoir été virée de chez son homme.
- Le petit merdeux, lenculé, le
- Chut, calme-toi, ma chérie. Là, en ce moment, je ne vais pas arriver à nous faire vivre toutes les deux. Même avec son salaire, jai explosé mon budget avec mes anneaux. Tu peux mettre une annonce pour
- Pour faire comme Mademoiselle ?
- Oui, exactement, le temps que je commence mon boulot.
- Sans problème, je fais passer le mot. Je donne ton adresse et ton téléphone ?
- Si tu veux, oui. Marque bien quon est deux enfin, sauf si tu veux te joindre à nous, ma belle amazone.
- Cest à voir. Lidée nest pas pour me déplaire.
- Je baise ton petit cul, ma douce amante. Il faut que je retourne moccuper de léducation de notre nouvelle amie de cur.
- Ne sois pas trop vache.
- Aucun souci.
Béa me promet de passer après la fermeture. Dans mon appartement, je dois rire en découvrant Agnès sur le sommet de mon bar, se donnant du plaisir sur ce gros gode placé en son extrémité. Aussi, avant quelle nait le temps de se retirer, je menotte ses pieds à mon bar et me presse dappeler Mademoiselle pour lui signifier larrivée dAgnès. Pour faire voir à Mademoiselle, qui est en chemin, je me menotte mes mains aux pieds dAgnès et me mets à genou, nue, à attendre larrivée de ma déesse de Maîtresse.
À peine dans le salon, elle sarrête net. Cest très lentement quelle retire sa cape, ses gants. Vicieuse, elle prend un martinet et flagelle délicieusement mes seins sans défense. Je me mords ma lèvre inférieure, signe plus quévident que jéprouve du plaisir. Elle ne me frappe encore pas très fort. Cest ensuite le tour dAgnès de recevoir ces lanières exquises. Sa mouille me dégouline dessus. Vicieuse, Mademoiselle loblige à se soulager. Quand ce liquide chaud me coule sur le corps, je suis déjà au bord de lorgasme. Ma tête renversée en arrière, je me gave de cette urine salée. La main de mademoiselle masse mes seins, les étire, les tord en tous sens. Elle en profite même pour étaler lurine sur ma poitrine, mon ventre et ma chatte détrempée. Plongeant mon regard dans celui de ma Maîtresse adorée, je suis sur le point dhurler mon bonheur quand Mademoiselle plaque sa bouche sur la mienne. Elle avale mon long râle de bonheur, se masturbant de ses deux mains maintenant.
- Je te reconnais bien là, espèce de sale pute. Tu es la pire chienne que je connaisse avec Béa. Comme Béa, je taime mon adorable chienne.
- Wouaf ! Que je lui rétorque, trop heureuse de passer pour une chienne.
- Et toi, Agnès, cest ce que tu veux devenir ?
- Oui, servir, vous servir, servir Aroa. Je veux aussi vous aimer, vous vénérer à chaque instant de ma vie, ne plus vous quitter, vous, mes deux maitresses. Mais surtout, je ne veux plus mappartenir.
À suivre
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